L’ACADÉMIE DE MÉDECINE RECOMMANDE LE PORT DU MASQUE OBLIGATOIRE…
“Il est établi que des personnes en période d’incubation ou en état de portage asymptomatique excrètent le virus et entretiennent la transmission de l’infection. En France, dans ce contexte, le port généralisé d’un masque par la population constituerait une addition logique aux mesures barrières actuellement en vigueur”, estime l’Académie de médecine.
En situation de “pénurie de masques” comme actuellement en France, la priorité d’attribution des masques chirurgicaux ou FFP2 plus protecteurs doit aller aux professionnels et structures de santé souligne l’Académie. Elle « recommande que le port d’un masque ‘grand public’, aussi dit ‘alternatif’, soit rendu obligatoire pour les sorties nécessaires en période de confinement » . […]
Entre les professionnels de santé et le « grand public », il y a en priorité la police et la gendarmerie, l’armée, les livreurs, les éboueurs, les commerçants ouverts pour service public, tous ceux amenés à avoir un contact direct avec les citoyens.
Les politiciens peuvent attendre, ils sont en train de nous administrer « à l’insu de leur plein gré » la preuve qu’avec des cabinets réduits et 30 % de fonctionnaires en moins, ils peuvent dire autant de bêtises et commettre autant d’erreurs qu’en temps normal.
L’AIR AUSSI EST CONTAMINÉ PAR DES AÉROSOLS À CORONAVIRUS
L’Académie de médecine estime également que lors de la future levée du confinement de la population, “le port obligatoire d’un masque ‘grand public’ ou ‘alternatif’ par la population devrait être maintenu”, dans le cadre du “maintien des mesures barrières actuellement préconisées jusqu’au contrôle de la circulation du virus attesté par l’absence de nouveau cas déclaré pendant une période de 14 jours”.
Un faisceau de présomptions montre que la transmission du virus dans l’air ambiant est vraisemblable.
Ce qui expliquerait les apparitions du virus sur des personnes isolées n’ayant approché aucune personne contaminée.
Alors qu’on estimait jusqu’ici que le virus se propageait avant tout via de grosses gouttelettes « lourdes » éjectées par la toux, les éternuements ou les postillons, de nouvelles études suggèrent qu’il voyagerait aussi via l’air et les fameux aérosols, ces nuages de gouttelettes microscopiques – mille fois plus petites que les postillons – parfaitement invisibles à l’œil nu. (Source : Quotidien national suisse Le Temps, Académie nationale des sciences américaine).
LA GESTION DES MASQUES, DE TOURAINE À VERAN : UNE MASCARADE
La circulation aérienne du virus était contestée par ceux qui, pour masquer leur responsabilité dans la disparition du stock stratégique de 1,4 milliard de masques, niaient l’utilité du masque. Mais, le gouvernement des États-Unis étant sur le point de recommander le port du masque généralisé afin de limiter les risques, le gouvernement français a subitement changé d’avis et pris les devants pour que personne ne puisse dire que Macron a copié Trump. Le président et le gouvernement français ne sont plus à un retournement de veste près dans la gestion erratique des masques et, dans cette grotesque histoire, le rôle du directeur de la santé Jérôme Salomon est essentiel.
Roselyne Bachelot puis Xavier Bertrand avaient accumulé un stock de masques – chirurgicaux et FFP2 – qui leur semblait adapté à l’effectif des services de santé et de la population française à l’époque.
Le gouvernement Hollande en hérite en 2012.
En 2013 la ministre de la santé est Marisol Touraine et son conseiller chargé de la sécurité sanitaire 2013 à 2015 est Jérôme Salomon, membre du PS comme il se doit. Est-ce lui qui a pris la décision de laisser les stocks se vider ? Peut-être pas, c’est plus probablement le Ministre des finances, un certain Emmanuel Macron, mais Salomon n’a rien fait non plus pour l’empêcher.
En 2019 il restait une quantité ridicule de masques que le gouvernement avait confisqué pour son usage personnel quand, dans le même temps, le président, le ministre de la Santé et Salomon soutenaient mordicus que les masques ne servaient à rien.
Puis, ils deviennent soudain utiles, mais seulement au hôpitaux ; pas aux soignants médecins, infirmiers, etc.
Mais puisqu’ils insistent on va leur en donner sous contrôle. En même temps un problème financier apparaît.
Ayant pressenti la catastrophe sanitaire qui arrivait, j’en ai acheté début janvier en pharmacie à 0,30 € l’unité. Une semaine après il n’y en avait plus et la pénurie commençait. Depuis, leur prix a été multiplié par 25 et c’est devenu un véritable marché noir. Les convois de masques qui partent de Roissy doivent être protégés par l’armée.
Le gouvernement en aurait acheté un milliard en janvier, ils lui auraient coûté entre 100 et 150 millions. Il a attendu la mi-mars pour passer commande. Parfait exemple de la gestion de l’argent public par les énarques inspecteurs des finances !
Et voilà qu’aujourd’hui le gouvernement nous dit qu’il faut porter des masques et, comme il n’en donnera pas, les masques alternatifs fabriqués par des artisans (ou que l‘on a le droit de faire soi-même, comme les attestations de circuler), feront l’affaire.
La gestion des masques n’est plus du Kafka, c’est Ubu, du grand n’importe quoi. Et Jérôme Salomon qui porte une lourde responsabilité dans tout cela est toujours Directeur de la santé !
On peut parier que très prochainement circuler sans masque sera verbalisé à 135 €, alors bricolez-vous vite un masque ! Et voyez sur la photo ci-dessous de ce conseil à Matignon que le gouvernement faisait tout ce qu’il interdisait aux Français..
Et constatez qu’en plus du masque, ils respectent scrupuleusement les gestes-barrières si chers à Macron et à Sibeth N’Diayé : bien serrés les uns contre les autres. À l’extrême gauche, Edouard Philippe, à l’extrême droite, Mme Lacombe du Conseil scientifique, payée en plus de son salaire par cinq laboratoires pour les coups de pouce qu’elle leur donne au gouvernement.
EN GUERRE, LES FAUTES SONT JUGÉES PAR LE TRIBUNAL MILITAIRE
« Nous sommes en guerre« , a dit le président. En temps de guerre, en France, le Tribunal militaire aux armées est chargé de la justice militaire. Des tribunaux peuvent être constitués pour juger les militaires ayant trahi ou commis des erreurs de jugement ayant entraîné la mort inutile d’autres militaires ou de civils. Mais aussi les auteurs, co-auteurs ou complices civils.
En temps de guerre, c’est un crime d’attendre la fin de la guerre pour juger ceux qui ont trahi ou commis de graves erreurs. Les nocifs doivent être mis hors circuit rapidement. Et quand on voit qu’au bout de trois mois certains pays ont entre 0 et 50 morts, d’autres déjà 5 000 ou plus, il est évident que des erreurs stratégiques graves ont été commises par des gouvernants.
Peu importent le motif, les erreurs de jugement, la manque d’esprit d’analyse et de décision, voire la corruption financière, comme dans le cas des freins mis à l’utilisation d’un médicament connu et utilisé depuis un demi siècle partout dans le monde, parce que des grands laboratoires et les complices politiques qu’ils rémunèrent préféreraient voir sur le marché leurs médicaments coûteux et plus rentables.
LA JUSTICE CIVILE LE PEUT AUSSI, MAIS IL Y AURA DES MILLIERS DE MORTS
Si l’Armée estime qu’elle ne peut pas le faire, il faudra se retourner vers la juridiction civile. Cela risque d’être beaucoup plus long et coûter des milliers de morts supplémentaires.
Si l’Armée se décide à le faire, il faut savoir que la justice militaire n’est pas expéditive.
Des dispositions spécifiques en matière de crimes et délits contre les intérêts fondamentaux de la nation commis en temps de guerre permettent de prolonger le délai de garde à vue de 48 h.
En attendant la saisine du juge ou du tribunal militaire, un magistrat du siège a la possibilité de prolonger la détention du prévenu de 60 jours.
La procédure d’audience de jugement obéit à un formalisme assez lourd, similaire à celui d’une cour d’Assises, ce qui permet de respecter les droits de la défense, et les jugements doivent être motivés.
Rappelons que les « atteintes aux intérêts fondamentaux de la nation » commis par des civils entrent dans les compétences du Tribunal militaire en temps de guerre.
Exemple : détruire les stocks stratégiques, ne pas commander le matériel sanitaire.
LES DEUX « COMITÉS » AUXILIAIRES SCIENTIFIQUES DU GOUVERNEMENT
Les deux comités scientifiques, l’un de 11 membres, l’autre de 12 membres sont avant tout un artifice de communication destiné à « couvrir » les décisions du pouvoir. Ils ont été choisis pour leur capacité à donner des avis qui sont ceux que le pouvoir attend. Souvenons-nous du Comité consultatif national d’éthique consulté sur la loi PMA pour toutes. Il avait donné en 2016 un avis défavorable.
Hollande avait révoqué son président et mis à la place le professeur Jean-François Delfraissy qui avait fait le ménage parmi les membres et, trois ans plus tard, quand Macron l’avait consulté, l’avis avait été favorable.
Delfraissy affirmait il y a quelques jours qu’un masque était inutile. Il prétend maintenant qu’un milliard ont été commandés et qu’ils sont indispensables. Il préconise les tests pour tous, mais comme il y n’y en a pas, « seulement à la sortie du confinement » (La Croix).
Macron est très content de lui.
Ces scientifiques souvent titrés sont souvent aussi en relation avec des laboratoires pharmaceutiques. Ils ne sont là que pour aider le gouvernement à faire passer ses décisions, pas pour les préparer. Et quand ils osent émettre un avis contraire au nom du bon sens, le gouvernement l’enjambe allègrement, (OGM, fermeture de Fessenheim décidée pour glaner des voix écologistes juste avant les municipales).
Cela souligne la mauvaise organisation du gouvernement et des ministères : aucun ingénieur, aucun scientifique, même au ministère de la Santé, seulement des énarques incompétents aux plus hauts postes et des sous-fifres obéissants ailleurs.
LES FRANÇAIS SONT MÉCONTENTS DE MACRON ET LES VOYOUS DES CITÉS CONTENTS DE CASTANER
Avec sa gestion erratique de Covid-19, le « Virus-PCC », le gouvernement a absolument besoin d’une caution scientifique docile. Contrairement à ce que croit le gouvernement qui prend les Français pour des imbéciles, les Français en sont parfaitement conscients. Comme les policiers après le 25 mars quand Castaner a exigé du directeur général de la Police nationale qu’il restitue les masques livrés le 16. Les policiers ont compris que ce gouvernement se moque éperdument de leur santé et de leur vie. Il y a d’ailleurs tellement de policiers et de gendarmes contaminés que Castaner a réquisitionné les élèves de l’école des gardiens de la paix et ceux de l’école de la gendarmerie. Ils seront décimés aussi et dans les cités on regarde avec intérêt comment Castaner, leur ancien camarade en voyoucratie à Marseille leur prépare le terrain.
« Il ne faut pas aller mettre le feu dans les cités », a dit son adjoint Nunez.
Les vols et délits sont déjà en nette augmentation.
L’Imprécateur
6 avril 2020
Le 11 février, l’OMS annonce que le virus est « airbone » puis se rétracte environ 5mn plus tard ! (en se justifiant avoir mal utilisé un terme militaire)…
https://youtu.be/HeskASnreEE?t=2320 <= Airborne
https://youtu.be/HeskASnreEE?t=2670 <= il se rétracte
Donc, l'OMS serait au courant depuis au moins le 11 février 2020 !
Comme cela semblerait avoir été le cas pour l'étude d'un groupe Chinois censuré par les autorités, indiqué dans l'article sur thailandmedical.
https://www.thailandmedical.news/news/breaking-news-world-health-organization%E2%80%99s-chief-says-coronavirus-is-airborne-but-many-concealing-this-including-media-from-us,-china-and-europe