Après la crise des Gilets Jaunes, la réforme tronquée des retraites et le drame sanitaire du Covid-19, le président Macron est désormais largement discrédité. Et il sait que ça ne va pas s’arranger avec la crise économique majeure qui s’annonce…
Élu il y a 3 ans, il cherche maintenant un second souffle pour préparer sa réélection en 2022 (oui, oui, il ne pense qu’à ça !).
Pour créer (pense-t-il), un « électrochoc » populaire, il hésite entre un changement de gouvernement (Bayrou se voit déjà à Matignon !) et un remaniement ministériel qui lui permettrait de sectionner les branches mortes (il y en a beaucoup, mais par charité chrétienne en ce lundi de Pentecôte, je ne nommerai personne).La seule chose qui pourrait enrayer son projet serait un vaste mouvement populaire exigeant la dissolution de l’Assemblée Nationale…
Incompétence généralisée du gouvernement et des parlementaires, manque d’expérience, mensonges et errements, gestion calamiteuse de la crise sanitaire (plus de 30 000 morts, si l’on intègre les malades décédés chez eux, en EPHAD ou en cliniques privées), euthanasie planifiée des plus anciens, froidement condamnés à l’avance par manque de lits et de respirateurs, atteintes graves aux libertés fondamentales (interdiction de se réunir et de circuler – c’est la première fois dans l’histoire récente qu’on pouvait recevoir une contravention pour défaut de laissez-passer), l’échec de l’équipe dirigeante est manifeste.
Et le tout, dans l’improvisation la plus totale, puisqu’on a sans vergogne confiné les Français le 17 mars, soit… 48 heures après le 1er tour des élections municipales !
La France va devoir maintenant affronter une crise économique d’une ampleur difficile à estimer, et les manœuvres financières avec l’UE seront loin de suffire à en amortir l’impact, d’autant que les pays du Nord y sont opposés et que l’Allemagne n’est pas certaine d’obtenir le feu vert de la Cour Constitutionnelle de Karlsruhe qui a rendu un arrêt déclarant la création de monnaie par la Banque Centrale Européenne non conforme à la Constitution allemande. (https://www.minurne.org/billets/23806).
Il n’est pas utile de refaire ici la liste détaillée de tous les forfaits perpétrés par Macron et ses sbires, sauf à rappeler la tolérance coupable et dangereuse de l’exécutif vis à vis des « zones sensibles », qui ne semblent décidément plus soumises aux lois, décrets et arrêtés de la république, même en état d’urgence santé et de confinement autoritaire de la population autochtone…
- Allons nous supporter encore pendant 2 ans cette équipe de bras cassés qui a mis à terre notre pays ?
- Allons-nous devoir supporter encore longtemps la submersion migratoire et toutes ses conséquences (dont on ne parle plus guère, mais qui est toujours bien présente – voyez la manifestation du 31 mai à Paris) ?
- Allons-nous accepter la poursuite des incroyables dérives financières de l’Etat et notamment du budget sanitaire et social qui faisait, disait-on, de notre système de santé le « meilleur du monde » ? Et dont 42 % des dépenses de la CAF bénéficient à des étrangers…
- Allons nous tolérer plus longtemps les trafics divers (cartes Vitale en surnombre, retraités centenaires du Maghreb, etc…) ? Et ce n’est pas la nomination par copinage de l’incompétent notoire Moscovici qui va nous rassurer sur ce dossier…
- Allons-nous accepter d’être encore et toujours le peuple le plus taxé du monde entier ? Et donc, sans doute, l’un des Etats les moins bien gérés ?
Constitutionnellement, il reste une solution pour enrayer cette machine infernale. Inciter le président de la république à dissoudre l’Assemblée Nationale (article 12 de la Constitution de 1958).
Ni changement de Premier Ministre, ni remaniement ministériel, c’est d’une dissolution de l’Assemblée Nationale que pourrait surgir un début d’espérance pour la France.
Et c’est d’ailleurs aussi la seule solution démocratique qui vaille => renvoyer les députés face à leurs électeurs.
Le général de Gaulle lui-même a dissous l’Assemblée Nationale pour solder la crise de mai 1968.
Evidemment, personne ne peut obliger le président Macron à décider cette dissolution. Sauf si une force populaire massive (personnalités de tous bords, blogs, réseaux sociaux, associations, mouvements, médias d’opinion, partis politiques…) décidait spontanément de se mobiliser, entraînant une vague déferlante, qui finalement, pourrait le forcer à déclencher cet acte démocratique majeur.
J’entends d’avance les objections…
- Bien sûr, ce n’est pas gagné d’avance – mais qu’avons-nous à espérer si nous ne faisons rien ?
- Bien sûr, à la faveur d’élections générales, le régime peut se re-constituer une majorité de bric et de broc – mais rien n’est certain…
- Bien sûr, il pourrait y avoir une « cohabitation » – mais avec quelles forces ? Et ne serait-ce pas déjà un début de victoire d’empêcher Macron de nuire encore 2 ans sans être entravé dans ses funestes projets ?
Les partis traditionnels sont laminés et ne peuvent qu’espérer – au mieux – maintenir leurs positions.
LREM – dont le groupe parlementaire vient d’imploser – a rapidement montré ses lamentables limites : un conglomérat d’opportunistes et de politiciens laissés-pour-compte des partis traditionnels moribonds et quelques rares nouvelles têtes qui n’ont brillé depuis 3 ans, ni par leur intelligence, ni par leur compétence, ni par leur motivation, ni même hélas par leur probité…
La force du peuple peut s’exprimer dans ce seul mot d’ordre fédérant toutes les forces d’opposition patriotes sous une seule bannière :
DISSOLUTION !
Leitmotiv rappelé partout, sur les blogs, les réseaux sociaux, repris dans la presse écrite et audiovisuelle…
– Ni remaniement
– Ni changement de gouvernement
Une seule solution : LA DISSOLUTION !
Et ce jusqu’à ce que le président Macron soit obligé d’en tenir compte.
Et, s’il n’en tenait pas compte, cette campagne serait susceptible de déstabiliser par avance tout remaniement (qui serait alors considéré comme une mesurette politicienne), et plus encore tout changement de gouvernement, qui partirait avec un sérieux handicap de notoriété pour les 2 dernières années du quinquennat.
Il ne tient qu’à nous de lancer, de relayer et de répéter ce mot d’ordre, par tous les canaux de communication : DISSOLUTION !
Marc Le Stahler
1er juin 2020
QUE NENNI : il s’accroche désespérement (comme les morpions)…il faudrait agir vite et bien pour le déboulonner (avant qu’il ne soit érigé lui-même en statue)
A quoi bon dissoudre l’assemblée nationale, les lois sont votées à Bruxelles !!?
Certains ici n’ont pas compris que l’armée est déjà en burn out avec le Mali, les opex, les mandats OTAN, ONU, sentinelle, résilience…et je sais un peu de quoi je parle!
Va falloir sortir vous-même dans la rue les amis, au lieu de rester le c.. derrière vos tablettes !!!
où est mon post que j’ai déposé il y a quelques minutes ?
Si la censure a sévi…. merci de désabonner de votre site
Je souhaite la dissolution mais que fait l’armée ! A part du bla-bla rien d’autre et pourtant les Français n’attendent que ça quand on en parle tous sont dans l’attente mais rien toujours rien c’est décevant
Où est l’armée ????? LA question que je me pose TOUS les jours !!!! A part le bla-bla de quelques généraux …. RIEN !!!!!
Oui bien entendu qu’il le faudrait mais pas non plus pour revoir les mêmes bras cassés de droite non plus.
Pas pour revoir toute cette smalah de franc- macs, bilderbergistes, club du sièclistes et autres groupuscules de coquins.
Si le grand Charles a utilisé à maintes fois le référendum, n’oublions pas aussi que Le mandat présidentiel était de ……………….. 7 ans afin d’éviter ce que nous connaissons à l’heure actuelle.
Et d’après vous qui a une part de responsabilité dans ceci ?
Le même trou du C..l qui commence a réapparaitre et qui nous a roulé dans la farine.
Et oui au lieu de sa faire tout petit (ce qu’il est déjà) le nain voudrait réapparaitre comme un sauveur ?
Pas plus de Baroin, Wauquiez, Bayrou, Le Pen, Mélanchon ou autres maquignons
Nous ne sommes plus en démocratie depuis fort longtemps.
Il est temps de remettre les pendule à l’heure.
Avec des hommes et des femmes au service du peuple français.
AVEC LE PEUPLE et…… POUR LE PEUPLE
On ne va pas non plus recréer une URSS avec des politiques éculées qui n’ont jamais fonctionné si ce n’est pour ruiner les peuples (Cuba, Venezuela) et arranger un gang mafieux à la tête de l’Etat comme le PC chinois. Je ne vois pas jusqu’à présent quel type de démocratie a réussi, si ce n’est chez les scandinaves ou en Islande. Mais en fait, ils réussissent parce que ce sont des peuples avec une mentalité meilleure que celle des Français.
Le capitalisme n’est pas mauvais s’il est bien encadré par des règles que tout le monde respecte. Or ce n’est toujours pas le cas.
Et avec tous les philosophes que nous avons, pas un n’a conçu un mode de gouvernance nouveau et innovant. A quoi servent-ils alors ?
Si l’on respecte l’esprit de la 5ème à son origine… Le Chef de l’Etat est un guide.
Comme tout guide qui se respecte il doit veiller à vérifier s’il est suivi (d’où l’usage du référendum).
Le problème est que dans ce pays tous les « locataires » après le Grand Charles se sont accrochés et s’accrochent au POUVOIR. !
l’intérêt du peuple n’a jamais été leurs préoccupations.
La démocratie n’est plus respectée.
Dans ces conditions ils ne représentent rien.
S’il faut les « déboulonner » (puisque cela devient un mot à la mode) alors déboulonnons les !
A mes yeux ils ne représentent que du dégout et du mépris et j’emploierai le même qualificatif que Napoléon utilisait en parlant de Talleyrand : » De la merde dans un bas de soie » !
C’est la solution idéale par la situation actuelle, mais par où commencer ?
Par l’auto-discipline de chacun … c’est seulement ça qui nous ouvrira des horizon nouveau et positifs.
Le gouvernement envisagerait une prolongation de l’urgence sanitaire jusqu’en octobre. J’ai donc fait le commentaire suivant sur un autre forum :
« J’irai même jusqu’à suggérer à JUPITER de prolonger, par ordonnance, l’urgence sanitaire jusqu’aux présidentielles de 2022. Cela permettrait d’imposer “le bon choix” en interdisant toute campagne électorale critiquant le “camp du bien”. Cela permettrait d’obtenir une large majorité aux élections intermédiaires (sénatoriales, départementales et régionales), une reconduction présidentielle dans un fauteuil stalinien et donc un congrès à sa dévotion lui permettant de modifier la Constitution dans le “sens de l’histoire”, doux euphémisme pour dire “sur mesure pour ses desseins”. Desseins que peu de Français ont la lucidité de regarder en face, sans pouvoir les critiquer, loi Mobil (je ne suis pas sûr de la marque de la pétroleuse) oblige. »
de toute facon en 2022 Macron n aura jamais cette fois ci une majorité a l assemblée il fera peut etre un nouveau quinquennat dans la cohabitation et au bout de deux ans il dissoudra l assemblée soit en 2024.
Tout dépend de ce que les Français ont dans le ventre, dans le pantalon… Et là, ce n’est pas gagné étant donné l’anesthésie générale, l’euphorie du déconfinement pour des choses futiles et festives, avec en plus l’entretien de la psychose Covid-19 par les médias. Les GJ sont déjà K.O. Celà dit, la vague de licenciement à venir est quand même un beau tsunami… Mais anesthésie aidant, beaucoup n’ont pas encore réalisé ce qu’il va se passer… Et pensent à leur propre bouée de sauvetage plutôt que d’aller demander des comptes à l’empereur. Ce peuple Français est liquidé, sauf miracle.
1968 : « il est interdit d’interdire » : pour des jeunes de 20 ans à cette époque, l’éducation donnée à leurs enfants a largement été influencée par les remises en cause de cette révolution, tant par la perte de valeurs morales que par la montée des particularismes faisant appel aux bas instincts humains !
Cette deuxième génération a « évolué » en subissant les influences sournoises impliquées par le vécu de leurs parents et les virages politiques à gauche.
Claude Laurent a bien évoqué la situation actuelle où la télé privilégie des reportages s’étendant largement sur des gens qui ne sont préoccupés que par leurs vacances, les apéros, restaurants etc., mais peu sur les essentiels préoccupants.
Et puis, cette deuxième génération a eu des enfants, les jeunes d’aujourd’hui, encore plus formatés par l’éducation nationale, largement à gauche, et les moyens modernes de communication, bref la pleine décadence.
Alors ne vous étonnez pas si les Français sont devenus les « ventres mous » ou « à tondre » déjà exprimés : ils ne bougeront pas, ou sporadiquement, et sont même foutus, dans deux ans de renouveler Jupiter, sur la base de belles paroles, promesses ou autres artifices !
Mais vous avez raison. Macron sait qu’en 2022, il sera réintronisé car il n’y aura personne en face assez crédible ou qui fait peur. Et les Français sont trouillards, alors… Mais s’il est réintronisée, là, Macron va liquider le pays en solde, direct.
Bien sur, c’est ce que nous souhaitons tous, ici. Manifester dans la rue? Je l’ai fait avec mon épouse contre le mariage pour tous, et nous étions nombreux, résultat? RIEN.
Que fait l’extrême droite alors que l’extrême gauche mène le jeu? RIEN.
Qu’a-t-on à espérer? Une vraie guerre civile avec des armes, à condition de gagner le combat.
Tout le reste est du bla bla.
« Une guerre civile avec des armes »… Cela ne résoudrait pas grand chose mais aggraverait la situation, d’autant que les patriotes et chrétiens n’auraient pas du tout le dessus et en plus auraient les forces de l’ordre sur le dos car nous avons un gouvernement collabo. Réfléchissez bien…
La soupe que nous payons est trop bonne ….
Rappelons que lors de la manif contre « le mariage pour tous », (j’y était), le triste fromage a choisi le même jour pour déclencher les opérations militaires au Mali… Événement qui a largement occulté les infos sur la manif !