INDIGNATION MONDIALISTE
(Jean Goychman)

Indignation mondiale ou manipulation mondialiste ?

Depuis quelques semaines, l’ensemble des peuples de la Terre semblent réagir à l’unisson. Effet de la globalisation ou non, les événements se propagent à la vitesse des ondes radiotélévisées tout autour de la planète en touchant tous les continents sans exception.

L’an passé, ou nous parlait du « réchauffement climatique » qui, pour être crédible aux yeux de l’Humanité, devait affecter tout le globe pour bien nous faire comprendre qu’il s’agissait d’un problème mondial. Et comme à chaque fois que cette globalité est invoquée, nous avons droit au projet de gouvernement mondial, qu’appellent de tous leurs vœux ceux que l’on nomme « mondialistes ».

« Au fond nous mourrons de n’être pas racistes et nous sommes remplacés par des gens qui le sont d’autant plus, eux, qu’ils nous voient, avec mépris, mourir de ne pas l’être. »
(Renaud Camus – Tweets II, 2018)

 




UN PRÉTEXTE QUI A FAIT SES PREUVES

A peine terminé l’épisode du Covid-19, du moins dans sa séquence sanitaire, que le devant de l’actualité de nos chaînes dites « d’information » est monopolisée par un mouvement planétaire anti-raciste, ou plutôt anti-suprémaciste blanc. Il est curieux qu’un tel mouvement, parti des Etats-Unis, ait pu, en si peu de temps, se propager d’une telle façon. Certes, la mort filmée quasi en direct d’un homme arrêté par les policiers de Minneapolis est difficilement supportable, comme l’est tout acte qui entraîne la mort violente de quelqu’un qui n’avait aucune raison de la subir. La question qui peut être posée est de savoir si la médiatisation aurait été identique si cette personne avait la peau blanche ?
Ce n’est donc pas présenté comme une « bavure policière » mais comme un « crime racial », beaucoup plus mobilisateur.

On peut également et subsidiairement s’interroger sur l’exploitation de cet événement durant la campagne électorale pour la Maison Blanche. Cette élection revêt un caractère tout à fait particulier car elle dépasse le cadre d’un simple choix entre Républicains et Démocrates dans lequel elle se cantonnait depuis des décennies. Il y a une véritable confrontation entre deux visions différentes de ce qu’il est convenu d’appeler « l’ordre mondial ».

TRUMP A CLAIREMENT ANNONCE LA COULEUR

Dès son arrivée en janvier 2017, Donald Trump n’a pas fait mystère de rompre avec la politique suivie par Barack Obama et de cesser l’interventionnisme militaire, apanage des Etats Unis depuis plusieurs décennies. Longtemps prétextée par la guerre froide, l’omniprésence de l’armée américaine, agissant souvent sous la bannière de l’OTAN, n’avait plus de raison d’être. Ce retour à la « doctrine de Monroe », base de ce qui était appelé « l’isolationnisme américain », ne pouvait que susciter le courroux de l’Etat Profond américain (Deep State), mondialiste par essence. D’autant plus que les nombreuses tentatives de déstabilisation et de destitution de Donald Trump ont, jusqu’à présent, échoué. Il y a une sorte de « crescendo » dans ces actions, lié au rapprochement le d’élection de novembre.

Dans ce combat de titans, Trump apparaît comme le challenger. Après avoir repris le contrôle de l’armée américaine et opéré le rapatriement de ses soldats sur le sol américain, il a également repris le contrôle d’une institution capitale pour les « mondialistes » : la Réserve Fédérale. Son discours de New York devant l’ONU en septembre 2019, répondant à celui d’Emmanuel Macron sur le réchauffement climatique, à sonné le glas de l’entreprise de domination mondiale.

Il déclarait alors : « l’Avenir n’est pas aux mondialistes mais aux patriotes ». Depuis le début de son mandat, il s’est opposé à tout ce qu’il pensait être inspiré par ce projet de mondialisation, Il a rendu plus étanches la frontière avec le Mexique et l’Amérique centrale, relocalisé la production industrielle en redonnant de l’emploi aux Américains, a quitté la COP 21 en mettant en doute l’action de l’Homme sur le réchauffement climatique et plus récemment a retiré la participation des Etats-Unis à l’OMS.

LES PEUPLES S’OPPOSENT DE PLUS EN PLUS A LA MONDIALISATION

Considéré comme « populiste » par les médias qui s’opposent à lui, il leur a également livré un combat permanent en faisant de Twitter son organe principal de communication. Ses tweets ont battu des records de popularité aux Etats Unis et lui valent, a contrario, des réponses cinglantes et quelquefois injurieuses des représentants de l’Etat Profond. Ses conférences de presse sont disponibles sur You Tube et sont de plus en plus regardées. Celle du 24 mai est particulièrement explicite et a probablement contribué à déclencher la riposte actuelle, qui est devenue l’affaire Georges Floyd. Celle-ci a débuté le 25 mai et on peut noter une curieuse coïncidence des dates, même s’il apparaît difficile d’y voir une relation de cause à effet. Par contre, il ne peut être exclu d’y voir une réaction d’opportunité. Trump, en raison de ses propos anti-immigration, s’est vu, depuis le début, affublé d’une image de « suprémaciste blanc ».

Or, la vitesse à laquelle ce mouvement de protestation contre cette supposée suprématie blanche s’est propagée dans le reste du monde est assez frappante. Elle donne le sentiment que l’on cherche à  instiller  un sentiment de révolte généralisée des minorités de couleur dans les pays occidentaux ainsi que dans des pays africains qui ont été victimes de l’esclavagisme.

Or, les peuples prennent de plus en plus conscience de ces manipulations d’opinion faites par ceux qu’ils désignent comme étant « l’élite » et recherchent dans le patriotisme et le souverainisme la protection que seules les nations, pourtant décriées, peuvent leur apporter.

CHERCHE-T-ON A RÉÉCRIRE L’HISTOIRE ?

C’est une vraie question. Georges Orwell, dans son livre 1984, l’envisageait déjà. Dans ce court extrait trouvé sur Wikipédia, on peut lire, sur le travail de Winston Smith, personnage du roman : 

« Son travail consiste à remanier les archives historiques afin de faire correspondre le passé à la version officielle du Parti. Ainsi, lorsque l’Océania déclare la guerre à l’Estasia alors qu’elle était en paix deux jours avant avec cet État, les autres membres du ministère de la Vérité, notamment ceux du commissariat des archives (« Commarch » en novlangue) où travaille Winston, doivent veiller à ce que plus aucune trace écrite n’existe de l’ancienne alliance avec Estasia. ».

La culpabilisation des peuples occidentaux procède de cette ré-écriture de leur histoire, et doit conduire à leur « repentance ».
Si nous admettions notre culpabilité, il serait alors logique que nous réparions les dommages ainsi causés. Cela ne peut que nous conduire à accepter que nous ayons des droits inférieurs, au titre de cette réparation, à ceux de nos supposées victimes…

SI OUI, DANS QUEL BUT, CETTE RÉÉCRITURE ?

Un récent article publié sur le site « la revue des stratèges » met en évidence un certain nombre de faits qui peuvent conduire à penser que le hasard n’ a pas agi seul dans une affaire française vieille de quatre ans et qui présente une certaine similitude avec celle de Minneapolis. Ainsi, le lien pourrait être établi entre les deux, ce qui accréditerait l’idée que, derrière ces actions destinées à lutter contre le racisme l’esclavagisme, se trouvent les mouvements mondialistes.

Ce ne serait finalement qu’un aspect de cette lutte sans merci dans laquelle s’opposent les patriotes et les mondialistes.

Jean Goychman
Président du groupe RN au Conseil Régional des Pays de la Loire
12 juin 2020

7 Commentaires

  1. Il me semble que le but recherché est le chaos …d’énormes guerres civiles inter-raciales qui réduiront de façon drastique la population mondiale ..Les Francs maçons en rêvent …leurs suppôts mettent tout en place pour le réaliser …Combien de temps nous reste t-il ..? Je ne crois plus au  » réveil  » des nations ..La déculturation et le formatage ont fait trop de dégâts sur les petits cerveaux des nouveaux humanoïdes … La preuve ..on se met à genoux devant des malfrats multi-récidivistes …

  2. On remarquera toutefois que les pays musulmans, qui ont été les plus esclavagistes (en nombre d’esclaves), le plus longtemps, le plus cruellement (castration) et le plus récemment puisqu’il est toujours pratiqué dans ces pays, n’ont vus aucune émeute de noirs sur leurs territoires. Surprenant, non ???

    • Il y a là matière à une réflexion sérieuse. La première chose à faire en France est de rétablir l’autorité de l’Etat.; Sans cela, notre pays ne sera bientôt plus le nôtre.

  3. La traînée de poudre (noire) qui balaie le monde occidental ne peut pas être le fruit d’un hasard quelconque.
    Même les réseaux sociaux ne peuvent expliquer la vitesse de propagation.
    Selon mon expérience, je pense que c’est le fruit d’une organisation étendue qui multiplie les pouvoirs et les moyens de communication audio-visuelle pour orchestrer ces mouvements.

    Je me souviens de l’ouragan d’octobre 1987 qui a ravagé la Bretagne et la Normandie. Des millions d’arbres couchés, des dizaines de milliers de bateaux coulés ou jetés à terre, 600 bateaux « en vrac » dans le port de plaisance de Cherbourg, 240 km/h de vent à Granville, les stèles tombales couchées, les bâtiments détruits.
    Il n’y avait pas les moyens de communication rapides d’aujourd’hui mais quand même, la France n’est pas le désert.
    Eh bien, la télé parisienne n’a parlé de l’évènement qu’une semaine plus tard, découvrant soudainement un fait banal !
    Je compare avec ce qui se produit aujourd’hui sous nos yeux.
    Un voyou dûment répertorié meurt à la suite de son arrestation il y a plusieurs mois. Une famille, dont il apparaît tout aussi clairement quelle comporte un nombre non négligeable de voyous répertoriés, décide de mettre le feu au pays au prétexte de sa couleur de peau.
    Tous les médias suivent, tous les politiques de gauche suivent, tous le politiques de droite se taisent à part une infime minorité.
    « On » nous rapporte que le monde occidental s’embrase. Les manifestants détruisent tout sur leur passage. L’État tremble, le ministre justifie, les flics ronchonnent, les gaulois réfractaires n’osent pas se compter.

    Comment est-ce possible ? Qui orchestre cela ?
    Personne ne me fera croire à une quelconque spontanéité.

    • Nous le savons avec certitude aujourd’hui que le maitre du chaos s’appelle Soros . Et il n’en est pas à son coup d’essai .

  4. Comme les « noirs » veulent juger l’histoire des « blancs » il faut que les blancs jugent l’histoire des noirs. Aujourd’hui en Afrique ne subsistent que, les descendants de ceux qui ont vendus leurs frères comme esclaves aux marchands blancs, et les descendants des esclaves des tributs vaincues, ce qui aujourd’hui se matérialise par des haines ancestrales liées à cette histoire.
    Quant aux noirs d’Amériques, ils sont les descendants des esclaves qui auraient été massacrés par leurs « frères » noirs si il n’avaient pas pu les vendre. C’est leur valeur marchande qui les a sauvé ! Il faut aussi se rappeler que le commerce triangulaire a été le fait d’armateurs qui ne représentent pas le peuple de France qui était alors soumis au servage.
    Alors parlons de l’histoire, mais de l’histoire réelle mais pas celle fantasmée par des idiots utiles.

  5. Depuis le temps où nous sommes confrontés à la domination des minorités de toutes sortes, et que nous tentons de nous justifier inutilement, qu’attendons nous exactement? que la justice divine intervienne?
    Devons nous attendre les prochaines élections qui fera parler le peuple? Quel peuple? L’individualisme et le bon sens oublié laissera la place aux mêmes politiques.
    L’occident est en voie de mutation vers une société globale asservie à la consommation et au numérique.

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