« Il n’est pas, dans l’histoire, de pays où le racisme ait occupé une place plus importante – et sur une aussi longue durée – qu’aux Etats-Unis »
(Howard Zinn: « Histoire populaire des Etats-Unis de 1492 à nos jours »)« Au fond nous mourrons de n’être pas racistes et nous sommes remplacés par des gens qui le sont d’autant plus, eux, qu’ils nous voient, avec mépris, mourir de ne pas l’être. »
(Renaud Camus / Tweets II, 2018)
Je me souviens d’un sketch de Roger Pierre et Jean-Marc Thibault, dans les années 60, sur la guerre de Sécession. L’un des deux, déguisé en soldat sudiste, disait à l’autre : « Nous les Sudistes, si on avait été plus nombreux, on vous aurait foutu la pâtée… »
Oui mais voilà : le Sud – l’Armée des Confédérés – a perdu, après la reddition du général Lee au général Grant, à Appomattox, le 9 avril 1865. Outre un nombre indéterminé de victimes civiles, cette guerre fratricide a tué 620 000 soldats – 360 000 Nordistes et 260 000 Sudistes – ce qui en fait, à ce jour, la guerre la plus meurtrière sur le sol américain.
Elle mit fin à l’esclavage, restaura l’Union et renforça le rôle du gouvernement fédéral. Les conséquences économiques, politiques et surtout sociales de cette guerre continuent à influer la pensée américaine contemporaine. Tant celle des Démocrates que des Républicains.
Cette guerre a un caractère original, et ce, pour deux raisons :
- Elle est considérée comme la première guerre « moderne » car l’importance de l’économie et de l’industrie y joua un rôle déterminant.
- Ce fut également la première guerre « idéologique » car on a présenté l’affrontement entre le Sud et le Nord comme motivé par la seule question de l’esclavage (ce qui n’est pas exact : 10 à 20 % seulement des planteurs sudistes avaient des esclaves).
Mais, depuis la guerre de Sécession qui a traumatisé tout un peuple, les Américains ont pris la très sale habitude d’aller faire la guerre chez les autres, à coup de Napalm, de défoliant (1) ou de bombes incendiaires – comme à Dresde – voire atomiques – comme à Hiroshima et Nagasaki (2).
Rappelons brièvement les faits, juste pour mémoire :
Le 6 août 1945, un bombardier B-29 piloté par Paul Tibbets, baptisé « Enola Gay » (du nom de sa mère, car les Américains sont de grands sentimentaux) décolle, avec à son bord une bombe atomique d’une puissance de 15 kilotonnes. À 8 h 16, la bombe explose à 587 mètres du sol, à la verticale de l’hôpital Shima, situé au cœur de l’agglomération. L’explosion, équivalant à 15 000 tonnes de TNT, rase la ville : 75 000 personnes sont tuées sur le coup.
Trois jours plus tard, le 9 août, le B-29 « Bockscar », largue une autre bombe atomique sur Nagasaki. Cette seconde bombe est au plutonium, d’une puissance de 21 kilotonnes, différente de celle d’Hiroshima. Le scénario est moins meurtrier mais 35 000 habitants de Nagasaki sont tués.
Préalablement, il y eut une longue série de raids sur Tokyo : le 24 mai 1945, 3 646 tonnes de bombes incendiaires sont larguées sur la ville. Le dernier bombardement nocturne, dans la nuit du 25 au 26 mai, est mené par 502 avions qui larguent 3 252 tonnes de bombes incendiaires.
Le bilan de ces raids est d’environ 100 000 morts, civils pour la plupart. Ce qui permettra au général Curtis Lemay, un grand humaniste, de faire de l’humour en déclarant :
« Les Nippons doivent être brûlés, bouillis ou cuits à mort ».
Tout ceci a été programmé au nom de la démocratie et « pour la liberté » donc, vous aurez compris qu’il serait malvenu, presque incongru, d’oser condamner une telle boucherie. Mais ne m’en veuillez pas si, lors des attentats du 11 septembre 2001 – quatre attentats-suicides perpétrés pour une fois sur le sol américain par Al-Qaïda – je n’ai pas donné à cette affaire plus d’importance qu’elle n’en méritait : ce quadruple attentat a fait 2 977 morts. 2 977 victimes innocentes, c’est beaucoup ! Surtout quand il s’agit d’Américains.
Rappelons-nous, juste pour mémoire, que la ville de Brest a subi, en quatre ans… 165 bombardements (et 480 alertes) de la part des Alliés. Ces bombardements ont fait 965 morts et 740 blessés graves.
Le raid aérien sur Royan (3) – le 5 janvier 1945 – a débuté par le largage de plus de 2 000 tonnes de bombes. Ce raid a totalement détruit la ville et fait plus de 500 victimes civiles (et plus de 1 000 blessés)…
On peut citer aussi le bombardement de Dresde, du 13 au 15 février 1945. Il détruisit presque entièrement la ville. Un « bombardement combiné » entre l’US Air Forces et la RAF, effectué avec des bombes incendiaires et des bombes classiques à retardement. L’évaluation du nombre des victimes se situe autour de 35 000 morts (dont 25 000 corps formellement identifiés) mais certains historiens parlent de « 2 à 3000 victimes, à peine ».
Ainsi s’écrit l’histoire puisqu’elle est écrite par les vainqueurs !
Mais, me direz-vous, quel lien y a-t-il entre la guerre de Sécession, les bombardements de la seconde Guerre Mondiale et les émeutes raciales actuelles aux USA ?
Disons que deux constats expliquent, en partie, qu’on en soit arrivé là !
a)- Le premier, c’est que, depuis la guerre de Sécession (et même avant sans doute !) les USA sont un pays éminemment raciste : les Nordistes n’aiment pas les Sudistes ; les Blancs n’aiment pas les Noirs lesquels détestent les Blancs. Depuis un demi-siècle, la montée en puissance des minorités n’a fait qu’accroître les tensions entre communautés. Les Américains blancs prennent conscience que dans quelques années les Noirs seront majoritaires dans le pays et qu’ils y feront la loi, leur loi.
L’Amérique profonde – cette Amérique des petits blancs déclassés – a bien compris que les Démocrates sont les « idiots utiles » de la communauté noire et qu’ils attisent la haine des Noirs à l’égard des Blancs. Depuis les émeutes de Watts (un quartier noir de Los Angeles) du 11 au 17 août 1965, les émeutes raciales sont un phénomène récurrent aux USA…
Avant d’aller plus loin, faisons une digression à partir d’une information qui est peu sujette à caution puisqu’elle émane du très démocrate « Washington Post » : le journal a fait une comptabilité des victimes de la police qui remonte à 2015.
Or, depuis 2015, la police a tué 1 262 Noirs afro-américains et… 2 412 Blancs. Les tués hispano-américains sont au nombre de 887.
On ne sait pas combien de tués sont à mettre au compte de policiers noirs. On sait, en revanche, que 50 à 60 policiers sont tués chaque année en service et qu’ils le sont à plus de 80% par des Noirs.
La mort de George Floyd (4), le 25 mai à Minneapolis, est une « bavure » policière aussi lamentable qu’inexcusable ; personne ne saurait le contester, mais est-ce une raison pour mettre toutes les grandes villes des USA à feu et à sang ?
En fait-on autant quand un policier noir tue un Blanc, un autre Noir, ou un Hispano ?
b)- Le second constat, c’est que pour la puissante Amérique, il n’y a que deux sortes d’êtres humains : l’Américain pur sucre, dont la vie est sacrée, et… tous les autres : Indiens, « Bougnouls », Blacks, « Niakoués », Latinos etc…etc…qu’on peut bombarder, gazer, mitrailler et même affamer.
On pourrait, sans exagérer, y rajouter l’Européen qui n’a d’intérêt que pour le business.
Le Patriotisme américain est bien réel mais il n’a rien de commun avec le Nationalisme de Barrès. L’Amérique moderne ne connaît que la force et n’adule que le dieu-dollar ; c’est pour ça – entre autres – qu’elle perd toutes ses guerres. Et, sans s’en rendre compte, elle est en train de perdre la guerre raciale. Habituée à semer la zizanie chez les autres, elle a laissé les lobbies (LGBT, blacks, féministes etc…), tous de gauche, faire la pluie et le beau temps sur son sol.
Une simple « bavure » policière – certes regrettable – suffit à enflammer tout le pays.
Il est pathétique, grotesque, pitoyable, de voir des flics (ou pire, des militaires) obèses et armés comme des cuirassés, mettre un genou à terre pour faire allégeance et (tenter de) calmer des casseurs noirs – souvent aussi obèses qu’eux – alors que dans n’importe quelle démocratie digne de ce nom, il appartient aux Forces de police de rétablir l’ordre, par la force si nécessaire.
Ce genou à terre, c’est une capitulation, une reddition sans honneur, une soumission aux minorités agressives et au « politiquement correct ». Quand on accepte de passer sous les fourches caudines de l’adversaire, il ne reste plus qu’une étape plus humiliante à franchir : le pantalon sur les talons (et le tube de Vaseline à la main, pour les plus douillets).
Un imbécile auquel je tenais ce raisonnement m’a répondu : « Il vaut toujours mieux essayer les solutions pacifiques, comme l’a fait Luther King autrefois ». Cette déclaration stupide me donne l’occasion de « dézinguer » une icône, devenue un monument, une référence mondiale ; le chantre du pacifisme et de l’antiracisme : le Révérend Martin King.
« I have a dream », ainsi commence le discours prononcé le 28 août 1963 par le pasteur King (qui se faisait appeler Luther King), à Washington, devant 250 000 manifestants.
Il réclamait la fin du racisme aux États-Unis et revendiquait l’égalité des droits civiques entre Noirs et Blancs. Le pasteur King est mort assassiné le 4 avril 1968 à Memphis (Tennessee). Les pacifistes, les antiracistes et les gauches en général en ont fait un martyr opposé à toutes formes de violences.
Mais la réalité historique a démontré que, derrière cette icône de l’antiracisme se cachait un dépravé, alcoolique, amateur de prostituées blanches – qu’il battait régulièrement – en plus d’être sous la tutelle de communistes (contrôlés directement par Moscou).
C’est précisément en raison de tous ses vices que l’URSS s’appuyait sur lui pour agiter les minorités noires et déstabiliser, par la même occasion, le gouvernement américain.
A des années-lumière des préceptes qu’il prêchait, ses activités et fréquentations louches allaient écailler son aura et titiller la curiosité du FBI, dont l’un des chefs était alors un certain William C. Sullivan. Il avouait « avoir une certaine sympathie pour King, qu’il voyait comme parfait leader des Noirs en quête de droits civiques ». Il découvrit que le charismatique prêcheur détournait sans vergogne de fortes sommes destinées à la communauté noire, les utilisant de surcroît, à des fins peu honorables.
William C. Sullivan devait déclarer : « King est l’une des rares personnes complètement dégénérées que j’ai rencontrées… Il s’est aliéné l’affection de nombreuses femmes mariées et en a séduit d’autres, faisant aussi conduire à son hôtel nombre de prostituées, souvent deux à la fois, pour des parties qui pouvaient durer plusieurs jours… King passa sa dernière nuit avec deux prostituées blanches, battues et abusées, dans une chambre du motel Lorraine, à Memphis (Tennessee)… ».
King a également été l’« idiot utile » de l’URSS : dès les années 20, les intellectuels engagés auprès du Parti Communiste des États-Unis, appuyèrent les revendications des minorités raciales.
Pour être exact, ils les organisèrent. Luther King était entouré de conseillers membres du Parti Communiste. C’était le cas de son secrétaire, Stanley Levinson, qui recevait des fonds d’URSS via un autre Communiste, Isidore Needleman. Ce dernier était un agent du KGB qui travaillait pour une compagnie achetant des biens de production américains pour l’exportation vers la Russie soviétique.
Luther King, totalement corrompu et amateur de prostituées blanches, accepta de nommer à de nombreux postes de son organisation des membres du PC – moyennant finances bien sûr !
Bref, Martin Luther King n’était qu’un pantin aux mains de l’URSS…
Pornocrate et agitateur procommuniste : deux bonnes raisons pour que la gauche en fasse une icône. De surcroît, il était Noir et luttait contre le pouvoir blanc.
Quand on connait les vices de Luther King, on reste perplexe quand il dit, par exemple :
« Je rêve qu’un jour, même en Alabama, avec ses abominables racistes…, un jour, les petits garçons noirs et les petites filles blanches pourront se donner la main, comme frères et sœurs… ».
Ce prédicateur vicieux aimait s’enfermer avec des putains blanches et les violenter pendant des heures : on est loin des relations qu’il prônait entre « petits garçons noirs » et « petites filles blanches ». Mais ce n’était absolument pas du racisme puisque, c’est bien connu, le racisme du Noir à l’égard du Blanc n’existe pas, c’est, tout au plus, une légitime revanche.
Luther King, Malcom X, Angela Davis, Théo Luhaka, Adama Traoré…
Que ce soit aux Etats-Unis ou en France, la gauche, moralisatrice, parangon de vertu et donneuse de leçons, a toujours eu le chic pour porter aux nues, aduler, et glorifier des tordus, des vicelards ou des repris de justice.
On s’ingénie à nous dire que les émeutes contre le racisme, en France, n’ont rien à voir avec ce qui se passe aux USA. On nous prend pour des demeurés. Contrairement aux USA, la France n’est pas un pays raciste, mais le processus de déstabilisation en cours est le même et il ne vise qu’un but : la culpabilisation du « petit Blanc », bouc émissaire de la « diversité » et des minorités.
D’ailleurs, chez nous, on atteint des sommets : Mélenchon, Jadot et Faure ont mis un genou à terre pendant de longues minutes, en hommage à Adama Traoré. Castaner a refusé de sanctionner les organisateurs de manifestations interdites et Nicole Belloubet, toute honte bue, a proposé de recevoir la sympathique famille Traoré (5), laquelle l’a invitée à aller se faire foutre.
Sous Hollande, avec Léonarda et Théo, nous pensions avoir touché le fond. Que nenni !
Nous boirons la coupe jusqu’à la lie, puis jusqu’à l’hallali puis, sans doute, jusqu’au Halal tout court. Et nous aurons fait notre mal nous même, par veulerie, par lâcheté, par couardise…
Le Français adule les flics… quand il a la trouille, comme lors des attentats islamistes. Quand, shooté au « Padamalgam » il défile en troupeau sous des banderoles « je suis Charlie » ou quand, atteint de servilité moutonnière, il participe, une rose blanche ou une bougie à la main, à une « marche blanche » en scandant « Même pas peur » ou « Vous n’aurez pas ma haine ».
Même cette vieille épave gauchiste de Renaud a osé avouer « J’ai embrassé un flic ». Mais dès que le danger s’éloigne, la haine du flic, du gendarme, de l’ordre en général, reprend le dessus. Et l’ex-joueur de Poker qui fait fonction de ministre de l’intérieur joue les gros bras en déclarant que « le racisme n’a pas sa place dans la police » ; le genre de rodomontade qui plait tant à la gauche.
Heureusement que deux « personnalités préférées des Français », Omar Sy et Yannick Noah –deux richissimes exilés fiscaux – sont montés au créneau pour défendre les victimes du racisme.
Il reste au moins des gens honnêtes intellectuellement dans ce pays pourri par les Blancs !
Pour ma part, je ne suis absolument pas raciste mais je préférerai toujours les défenseurs de l’ordre – policiers, gendarmes, militaires – aux racailles, aux voleurs, aux dealers et aux voyous. Et ce n’est pas de ma faute si – bien que les statistiques ethniques soient interdites en France – on trouve beaucoup de ces malfaisants au sein de la faune allogène issue de certaines banlieues de non-droit.
Cédric de Valfrancisque
13 juin 2020
1)- Le fameux « agent orange » utilisé massivement au Vietnam et qui faisait encore des ravages 50 ans plus tard.
2)- Hiroshima et Nagasaki : avec les « dommages collatéraux » on estime les dégâts humains à plus de 300 000 morts. Et à combien de malformations congénitales ? Je n’en sais rien !
3)- On voulait détruire l’important nœud ferroviaire de…Saintes.
4)- George Floyd avait eu des problèmes de drogue et, à Houston, en 2009, il avait été condamné à cinq ans de prison pour un braquage à main armée.
5)- « États de service » du clan Traoré : Adama: 17 procédures pour vol, stupéfiants et viol de son codétenu. Yacouba : 18 mois fermes pour avoir tabassé celui qui a accusé son frère de viol, et 3 ans fermes pour avoir tabassé un chauffeur de bus et mis le feu au véhicule. Samba : 4 ans, dont 18 mois avec sursis, pour violence avec arme. Bagui : 18 mois fermes pour violences et extorsions sur femmes vulnérables. Serene: 4 mois fermes pour outrages envers le maire de Beaumont sur Oise. Youssouf : 6 mois dont 3 avec sursis pour outrages et menaces de morts envers des policiers. Assa, elle n’est sous le coup que de 4 plaintes pour diffamation… Il faut ajouter à cela des instructions judiciaires en cours de plusieurs des frères Traoré pour détournements de fond et escroqueries par le biais d’associations subventionnées par NOS impôts.
Pour ce qui me concerne, les Japonais ayant semé la mort dans tout le Pacifique, ils n’ont pas volé les 2 bombes, ne se sont rendus que par la menace d’une 3ème sur Tokyo et aujourd’hui encore, ils honorent la mémoire du » boucher de Nankin » . Donc, même avec l’aide des oignons, j’aurai du mal à verser une larme. Idem pour DRESDE : ce sont les boches qui ont foutu le feu au monde et ça leur est revenu naturellement dans la gueule. De même, le cambrioleur qui va attaquer des petits vieux et qui prend une cartouche de chasse dans le cul n’a que ce qu’il mérite et c’est ce qui devrait arriver à toutes ces racailles qui sont en train de mettre notre pays en coupe réglée. QUAND TU CHERCHES, TU FINIS TOUJOURS PAR TROUVER. Quelques fois plus que tu ne pensais.
C’est une erreur fatale d’entrer en guerre sans la volonté de gagner. La victoire est à ceux qui savent où et quand il faut la cueillir rapidement…………….
Mais une fois que nous sommes forcés de faire la guerre, il n’y a pas d’autre possibilité que d’utiliser tous les moyens disponibles pour la terminer rapidement.
L’objet même de la guerre est la victoire, et non pas l’indécision prolongée. À la guerre, il n’y a pas de substitut à la victoire. (Général Douglas Mac Arthur 19 avril 1951).
Peut-être devrions-nous comprendre que nous y sommes…
Une autre vision :
Si des minorités préfèrent la charria, nous leur recommandons d’aller vers les pays ou la charria est la loi d’État. La Russie n’a pas besoin de minorités. Ce sont les minorités qui ont besoin de la Russie et nous ne leur accorderons aucun privilège particulier, nous ne changerons pas nos lois pour les satisfaire, peu importe le son de leurs voix à hurler à la discrimination. (Vladimir Poutine).
Peut-on dire quelle est la « vision » du freluquet poudré de l’Élysée ?
Ma famille est originaire de Normandie (Avranches détruite par les bombardements et Montebourg effacée de la carte au débarquement). Jamais je n’ai entendu une seule personne de mes anciens, parents, oncles et tantes, etc, dire un seul mot contre les alliés en général et les Américains en particulier.