Avertissement :
Contrairement à ce que certains prétendent pour discréditer les climato-réalistes, dans les rangs desquels nous nous situons, il n’est pas question de nier les variations climatiques, de grande et de petite amplitude, que la planète a subis depuis sa création, mais d’en contester une corrélation directe et totale avec les activités humaines.
Par ailleurs, rester critique vis à vis des théories contestables du GIEC ne supprime pas la nécessité de protéger notre planète des pollutions et dommages qu’elle peut subir du fait de l’activité économique.
Marc Le Stahler
Cet article, signé Michel Janva, est paru sur le Salon Beige le 8 juillet 2020
Les confessions d’un écologiste.
Pourquoi et comment il a menti en plaidant la cause du catastrophisme climatique.
Militant américain de la cause écologiste, Michael Shellenberger publie un livre dans lequel il explique pourquoi et comment il a menti en plaidant la cause du catastrophisme. Ce témoignage a été censuré par la bien-pensance.
Michael Shellenberger dénonce les déclarations apocalyptiques sur le climat qui sont scientifiquement erronées et politiquement contre-productives.
Extraits d’un article censuré par Forbes de sa déclaration publiée sur le site du think tank GWPF, traduit par l’Association des climato-réalistes (révisé par Minurne).
Au nom des écologistes du monde entier, je voudrais m’excuser pour la phobie climatique que nous avons créée au cours des 30 dernières années.
Le changement climatique existe. Ce n’est pas la fin du monde. Ce n’est même pas notre problème environnemental le plus grave. Il peut paraître étrange que je dise tout cela. J’ai milité pour le climat pendant 20 ans et été un écologiste pendant 30 ans. Mais en tant qu’expert en énergie invité par le Congrès à fournir un témoignage objectif, et invité par le Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (GIEC) à être expert examinateur de son prochain rapport d’évaluation, je me sens obligé de formuler des excuses pour la façon dont nous, écologistes, avons trompé le public.
Voici quelques faits que peu de gens savent :
- Les humains ne sont pas à la cause d’une « sixième extinction de masse » ;
- L’Amazonie n’est pas « le poumon du monde » ;
- Le changement climatique n’aggrave pas les catastrophes naturelles ;
- Les incendies ont diminué de 25 % dans le monde depuis 2003 ;
- La superficie des terres que nous utilisons pour la viande (l’élevage est la plus grande utilisatrice de terres) a diminué d’une superficie presque équivalente à celle de l’Alaska ;
- Ce sont l’accumulation de bois et la proximité des habitations des forêts, et non le changement climatique, qui expliquent pourquoi il y a davantage d’incendies et de plus en plus dangereux, en Australie et en Californie ;
- Les émissions de carbone diminuent dans les pays riches depuis des décennies et ont atteint un pic en Grande-Bretagne, en Allemagne et en France au milieu des années 1970 ;
- En s’adaptant à la vie en dessous du niveau de la mer, les Pays-Bas sont devenus plus riches et non pas plus pauvres ;
- Nous produisons 25 % de nourriture en plus de ce dont nous avons besoin et les excédents alimentaires continueront à augmenter à mesure que le monde deviendra plus chaud ;
- La perte d’habitat et l’abattage direct d’animaux sauvages sont des menaces plus grandes pour les espèces que le changement climatique ;
- Le bois est bien plus dangereux pour les hommes et la faune que les combustibles fossiles ;
- La prévention des futures pandémies nécessite plus d’agriculture « industrielle » et non pas l’inverse.
Je sais que les faits ci-dessus apparaîtront comme du « négationnisme climatique » à beaucoup de gens. Mais cela montre simplement la puissance de l’alarmisme climatique. En réalité, les faits ci-dessus proviennent des meilleures études scientifiques disponibles, y compris celles conduites ou acceptées par le GIEC, la FAO (Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture), l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) et d’autres organismes scientifiques de premier plan.
[…]
Jusqu’à l’année dernière, j’ai évité de m’exprimer contre la peur climatique. C’est en partie parce que j’étais embarrassé. Après tout, je suis aussi coupable d’alarmisme que n’importe quel autre écologiste. Pendant des années, j’ai parlé du changement climatique comme d’une menace « existentielle » pour la civilisation humaine, et je le qualifiait de « crise ».
Mais surtout, j’avais peur. Je suis resté silencieux au sujet de la campagne de désinformation climatique parce que je craignais de perdre des amis et des crédits. Les rares fois où j’ai eu le courage de défendre la science du climat contre ceux qui la dénaturent, j’ai subi des conséquences sévères. Et donc je n’ai rien fait alors que mes collègues écologistes terrifiaient le public.
Je n’ai même pas réagi lorsque des gens à la Maison Blanche et beaucoup d’autres dans les médias ont essayé de détruire la réputation et la carrière d’un scientifique exceptionnel, un homme bien, et ami à moi, Roger Pielke, Jr., démocrate progressiste de longue date et écologiste qui militait pour la réglementation du carbone. Pourquoi ont-ils fait ça ? Parce que ses recherches prouvaient que les catastrophes naturelles ne s’aggravaient pas.
Mais l’année dernière, les choses ont basculé.
Alexandrie Ocasio-Cortez a déclaré : « Ce sera la fin du monde dans douze ans si nous ne nous attaquons pas au changement climatique. » Le groupe environnemental le plus en vue de Grande-Bretagne a affirmé que « le changement climatique tue les enfants ».
Le journaliste Vert le plus influent du monde, Bill McKibben, a qualifié le changement climatique de « plus grand défi auquel les humains ont jamais été confrontés » et a déclaré qu’il « anéantirait les civilisations ».
Les journalistes « mainstream » ont rapporté, à plusieurs reprises, que l’Amazonie était le « poumon du monde », et que la déforestation avait les mêmes effets que l’explosion d’une bombe nucléaire.
En conséquence, la moitié des personnes interrogées dans le monde l’année dernière ont déclaré qu’ils pensaient que le changement climatique ferait disparaître l’humanité.
Et en janvier, un enfant britannique sur cinq disait aux sondeurs qu’il faisait des cauchemars à cause du changement climatique.
Que vous ayez ou non des enfants, vous devez voir à quel point ce catastrophisme est mauvais. J’avoue que je devrais être sensibilisé à cette question étant le père d’une fille adolescente. Après que nous en ayons parlé de façon scientifique, elle s’est sentie rassurée. Mais ses amis sont profondément désinformés et donc, naturellement, effrayés.
J’ai donc décidé qu’il était de mon devoir de m’exprimer. Je savais que l’écriture de quelques articles ne suffiraient pas. Il fallait un livre pour exposer toutes les preuves.
Et ainsi mes excuses formelles pour avoir répandu la peur ont pris la forme d’un nouveau livre, « Apocalypse Jamais : pourquoi l’alarmisme environnemental nous fait du mal à tous ».
Il est fondé sur deux décennies de recherche et trois décennies d’activisme environnemental. Avec 400 pages, dont 100 de notes de fin, Apocalypse Never couvre le changement climatique, la déforestation, les déchets plastiques, l’extinction des espèces, l’industrialisation, la viande, l’énergie nucléaire et les énergies renouvelables.
Quelques faits saillants du livre :
- Les usines et l’agriculture moderne sont les clés pour la libération humaine et le progrès environnemental ;
- Le plus important pour sauver l’environnement est de produire plus de nourriture, en particulier de la viande, sur moins de terres ;
- Le plus important pour réduire la pollution atmosphérique et les émissions de carbone est de passer du bois au charbon, puis au pétrole et au gaz naturel et enfin à l’uranium ;
- 100 % d’énergies renouvelables nécessiteraient d’augmenter le nombre de terres utilisées pour l’énergie de 0,5 % à 50 % ;
- Nous devrions avoir des villes, des fermes et les centrales électriques plus denses en énergie, et non pas le contraire ;
- Les végétariens réduisent leur trace carbone de moins de 4% ;
- Greenpeace n’a pas sauvé les baleines ; passer de l’huile de baleine au pétrole et à l’huile de palme en sauve ;
- Le bœuf « en liberté » aurait besoin de 20 fois plus de terres et produirait 300 % plus d’émissions en plus ;
- Le dogmatisme de Greenpeace a aggravé la fragmentation forestière de l’Amazonie ;
- L’approche colonialiste de la conservation des gorilles au Congo a produit un effet pervers qui a pu avoir comme conséquence le meurtre de 250 éléphants.
Pourquoi avons-nous tous été autant induits en erreur ?
Dans les trois derniers chapitres d’Apocalypse Jamais, j’expose les motivations financières, politiques et idéologiques.
Les mouvements environnementaux ont accepté des centaines de millions de dollars provenant de l’industrie des combustibles fossiles. Des groupes motivés par des croyances antihumanistes ont forcé la Banque mondiale à cesser ses efforts pour mettre fin à la pauvreté en tentant de rendre la pauvreté « soutenable ». Et l’anxiété, la dépression, et l’hostilité à la civilisation moderne sont largement à l’origine de l’alarmisme.
[…]
L’idéologie qui est derrière l’alarmisme environnemental, à savoir le malthusianisme, bien que maintes fois dénoncée pendant ces 200 dernières années, est pourtant plus puissante que jamais.
[…]
Michel Janva
Le Salon Beige
11 juillet 2020
Cet article ressemble davantage à une présentation de livre à vendre qu’à une réelle contrition… L’écologie est une nouvelle religion qui permet de cacher les horreurs qui se pratiquent dans notre dos ..et qui sert aussi à culpabiliser les « innocents » de façon à leur extorquer de + en + de taxes qui contribueront, non pas à régler des problèmes, mais à engraisser les riches pour qu’ils puissent continuer à nous balancer du poison sur la tête à coups de « chemtrails » , ou dans les veines avec leurs vaccins bientôt obligatoires qui n’ont d’autres buts que de nous rendre encore plus malades pour enrichir les industries pharmaceutiques … Pour employer un mot à la mode , je dirais que c’est un mouvement « sataniste » …
Si les gaz à effet de serre contribuent à faire monter le niveau des océans ils ne font pas monter le niveau d’intelligence des » escrologistes » . On ne peut pas raisonner un idéologue fanatique d’EELV puisqu’il faut faire appel à une raison qu’il n’a pas. Viendrait-il à tomber un mètre de neige le 15 août dans le midi que les écolos continueraient d’aller à la plage en niant que le temps à fraîchi. Ils sont indécrottables !
exactement il faudra qu’ils m’expliquent en 6000 avant JC les dolmens ont été planté en terre a moins 100m au dessous du niveau actuel et bine parc que depuis l’eau a monté mais pas hier matin puisque jules césar est allé en Angleterre en bateau car en – 6000 et JC le niveau des océans a monté de 150 mètres. rien que cela résume une chose le niveau des mers et le climat n’ont rien a voir avec les humains qui a leur niveau ne peuvent rien surtout que sur 8 milliards ce n’est pas 65 millions de crétins français qui payent un max de taxes qui va changer quoi que c soit . pas besoin d’en rajouter
sauf que les taxes polluent la planète et oui si je paye ht un jean a 100 € et si dessus je rajoute 20% de TVA je pollue la planète de 20% supplémentaire car i aura fallu que j’aille travailler 20% de plus donc déplacement pour aller bosser en voiture et chaque emploi et toute activité humaine pollue donc plus je doit payer cher plus je pollue,
donc plus de taxe = plus de pollution prouvez moi le contraire j’attends !! inutile je sais que j’ai raison !!