Le monde commence à se réveiller pour condamner la pratique chinoise du prélèvement d’organes sur des personnes, hommes et femmes, bien vivantes et en bonne santé sans leur accord et sans les endormir.
L’Espagne a récemment voté la loi qui autorise la même chose sur des bébés et la France s’apprête à faire de même si le Sénat n’arrête pas cette dérive vers des pratiques nazies qui furent unanimement condamnées dès 1945 à Nuremberg quand elles furent connues.
L’ESPAGNE ET LA FRANCE ADOPTENT LES PRATIQUES INHUMAINES DE LA CHINE
La valeur commerciale de l’organe acheté est jugée sur sa qualité qui est celle du donneur. La Chine sacrifie des musulmans pour satisfaire la clientèle arabe et elle sacrifie des membres de la société Falun Gong parce qu’ils ne boivent pas d’alcool, ne fument pas et évitent les médicaments dont – étant généralement en excellente santé – ils n’ont pas besoin.
Mais si leur organisme est de plus non infecté par l’anesthésique, leurs organes valent plus cher sur le marché international : on effectue des prélèvements sans les endormir, mais cette pratique se raréfie parce que la terreur de la victime qui se voit éventrée provoque une émission de toxines dans l’organisme.
Les Chinois ont donc mis au point une machine dans laquelle on introduit la tête et qui par un choc violent sur la tempe provoque une hémorragie cérébrale qui anesthésie la victime mécaniquement.
Ainsi, les organes restent bien irrigués par du sang exempt de produits chimiques jusqu’à la dernière seconde où le « docteur » (?) coupe les liens avec le système sanguin et nerveux.
Quand une commande arrive (foie, reins, poumon, cœur, peau…), elle est honorée en moins de deux semaines. Le donneur est choisi sur fiche informatique dans un camp de prisonniers politiques ou « de convictions » (religieuses). Il est emmené dans un hôpital spécialisé ou jusqu’à un camion équipé médicalement qui fait la tournée des camps.
Deux arguments sont avancés par la Chine :
=> Nos affaires intérieures ne regardent pas le reste du monde
=> De toutes façons, le prisonnier aurait été condamné à mort, alors qu’il meure comme ça ou autrement…
Le premier rapport sur cette forme de génocide médical date de 2005. Le monde ne peut pas dire qu’il n’est pas au courant, mais seuls quelques pays anglo-saxons et européens ont réagi. La France, elle, ne veut pas compromettre ses bonnes relations industrielles et diplomatiques avec la Chine.
Depuis Jiang Zemin, Hu Jintao et maintenant Xi Jinping, la Chine c’est ça : une boucherie humaine pour les prisonniers croyants.
L’AVORTEMENT POURRAIT ÊTRE ÉVITÉ AVEC UN PEU PLUS DE CONSCIENCE
La loi française autorisait l’avortement jusqu’à 12 semaines. On peut s’étonner de la nécessité de cette opération, hormis les cas de force majeure, état de santé, viol… alors que plusieurs moyens contraceptifs sont en prescription et en vente libre : pilule quotidienne, pilule « du lendemain », stérilet, préservatif, sans oublier une méthode tombée en désuétude, mais la seule qui soit écolo, la bonne connaissance de son cycle menstruel. Ce dernier, il est vrai, impose une contrainte d’abstinence pendant quelques jours. Cela évite aux femmes les inévitables douleurs physiques de l’avortement que nient certains avorteurs, mais alors pourquoi endormir les patientes ? Et, pour beaucoup d’entre elles, les douleurs morales qui suivent.
AVORTEMENT À 12 SEMAINES, DEUX MÉTHODES
Jusqu’à 5 semaines, c’est le plus souvent la méthode médicamenteuse : deux comprimés pris en présence (en principe) d’un médecin, à deux jours d’intervalle. Le premier interrompt la grossesse en tuant l’œuf, c’est le Mifépristone ; le second provoque des contractions qui l’expulsent, c’est Misoprostol. L’oeuf étant déchiqueté dans l’opération, des morceaux peuvent rester dans l’utérus ; il faut alors procéder à un curetage. Il n’est pas sans risques : perforation de la membrane utérine ou une « synéchie » adhérence cicatricielle provoquée par un grattage excessif.
De 5 à 12 semaines, c’est la méthode par aspiration et sous anesthésie. Un tube est introduit dans l’utérus et une pompe aspirante en extrait le liquide amniotique (couleur jaune pâle), puis l’œuf qui est là encore déchiqueté, et vivant s’il n’a pas été abîmé et tué préalablement par médicament.
24 SEMAINES EN ESPAGNE, 36 SEMAINES EN FRANCE : C’EST UN MEURTRE
L’opération s’appelle « IVG par démembrement« . Rien ne vaut un dessin :
On voit ici un bébé de 23 semaines. Il ne mesure que quelques centimètres sans les jambes. Celles-ci, les bras, la tête, les poumons, le cœur, les muscles, sont encore embryonnaires, mais déjà formés et le bébé commence à bouger dans le ventre de sa mère, il suce son pouce. Le docteur (serial killer des « temps modernes ») introduit une longue pince à la mâchoire équipée de dents et, à l’aveuglette, essaie d’attraper quelques chose, puis il tire. C’est un bras, une jambe, le ventre, la tête, seulement le visage aux yeux ouverts, peu importe, il l’arrache du tronc du bébé. Et recommence.
Le bébé ne sent rien, disent certains avorteurs, mais selon une infirmière canadienne il semble que si. « J’ai vu la peau du ventre de la mère se soulever sous des petits coups, le bébé se débattait« .
Il sort tout. Morceau après morceau. Jambes, bras, ventre, poumons… la tête s’écrase sous la pression de la pince, les os du crâne sont encore trop fins, c’est une bouillie de cerveau qui est sortie. Donc il y a déjà un système nerveux et affirmer que le bébé n’a ressenti aucune douleur n’est qu’une supposition moralement confortable pour les avorteurs et les féministes extrémistes.
https://www.facebook.com/lilagracerose/videos/10153690040428000/
Dans le projet de Loi voté par l’Assemblée Nationale (mais pas encore par le Sénat), les socialistes ont introduit in extremis, vers 3 heures du matin, un amendement qui autoriserait l’avortement jusqu’à la veille de l’accouchement.
Ce sont donc des petits hommes et des petites femmes de 3 à 4 kilos en moyenne, en devenir, qui vont être assassinés froidement.
Les socialistes et les tueurs objectent que ce n’est pas un crime « puisque le bébé n’a pas encore d’existence légale ».
C’est ce que disait Himmler des Juifs : ils n’ont pas d’existence légale.
Et aussi le régime de Vichy « Les tuer ce n’est pas grand chose » (J. Barthélémy, Garde de sceaux 1941-1943).
C’est donc ainsi que les socialistes conçoivent un bébé ?
Un petit homme (ou femme) parfaitement viable et vivant n’aurait aucun droit alors qu’on en donne aux animaux ?
C’est une étrange façon d’interpréter les Droits de l’Homme pour des gens qui ont exigé la suppression de la peine de mort pour les assassins.
Mais on peut s’attendre à tout de la part de gens qui n’ont aucune éthique, bafouent les droits de l’Homme et du Citoyen, ont autorisé récemment par décrets l’euthanasie et la mort des handicapés lourds et des plus de 75 ans auxquels l’accès aux hôpitaux a été refusé, ainsi que la mort par Rivotril des vieux dans les Ehpad sans même que les familles soient prévenues.
Certains socialistes ont même osé demander que la mort du bébé soit autorisée après la naissance si la mère le demande. Jusqu’à quel âge ?
QU’ONT PRÉVU LES SOCIALISTES POUR EMPÊCHER LE TRAFIC DES FŒTUS, DE LEURS ORGANES ET DE LEURS TISSUS ?
RIEN !
Il n’y a pas qu’en Chine, pays d’esclavage et de camps de concentration que le trafic d’organes existe. Partout où l’avortement à plus de 12 semaines est autorisé, il se développe automatiquement. La plus grande usine américaine d’avorteurs industriels, Planned Parenthood, fait l’objet d’enquêtes : elle pratique ce trafic d’organes, de peau et de foetus entiers depuis des années.
En Chine où se sont des médecins écoeurés et révoltés parce que l’on exigeait d’eux qui ont dénoncé, (souvent par vidéos) le prélèvement sans anesthésie d’organes sur des prisonniers en pleine forme, et l’écorchement d’enfants, sans anesthésie, pour prendre leur jeune peau dont la greffe durera longtemps.
Aux États-Unis ce sont des administrateurs, des médecins et des soignants de Planned Parenthood qui ont dénoncé les pratiques mafieuses des avorteurs.
L’essentiel de ce commerce de corps de bébés fraîchement tués a pour objectif d’en tirer des cellules souches.
Mais pour avoir des morceaux en bon état, il faut éviter de les écraser ou de les déchirer avec les pinces. Il est parfois nécessaire de retourner le petit corps dans l’utérus pour pouvoir obtenir la partie recherchée sans l’abîmer. La mère endormie ne se rend compte de rien. L’avorteur provoque alors un accouchement prématuré pour que ce soit le ventre de la femme qui procède lui-même à l’expulsion. Parfois le bébé est tué aussitôt sorti, souvent la partie recherchée est prélevée sur le fœtus remuant, elle est de meilleure qualité, ce qui le tue aussi, mais comme dit Xi Jinping, « peu importe, puisqu’il est condamné de toute façon ».
AMÉRICAINS, ESPAGNOLS, BIENTÔT FRANÇAIS REJOIGNENT LA CHINE DANS L’HORREUR.
LE NUREMBERG DES MÉDECINS EN 1945 N’AURA SERVI À RIEN.
Il y a 75 ans, au Tribunal de Nuremberg, émergeaient les premiers critères de la bioéthique moderne avec notamment la notion de consentement du patient.
À l’issue du procès des médecins nazis fut rédigé le « Code de Nuremberg » publié le 21 août 1947. Il reste une référence pour la pratique des médecins aujourd’hui.
Excepté en Chine où les médecins copient dans les camps de concentration les méthodes mises au point par le Dr Mengele.
Le gouvernement communiste applique aussi de nombreuses méthodes de soumission du peuple inspirées du NSDAP (le parti national-socialiste hitlérien).
Xi Jinping devra rendre compte de tous ces crimes un jour.
Nos avorteurs appliquant les lois socialistes et LREM sur l’avortement disent qu’ils n’ont rien à se reprocher puisque les bébés n’ayant pas de reconnaissance légale, ne sont pas des humains. C’est exact sur le plan légal, mais sur le plan moral ?
Et de toutes façons ils enfreignent l’une des lois édictées à Nuremberg après la condamnation des médecins-bourreaux nazis : l’obligation d’informer clairement et entièrement le patient sur tout ce qui va lui être fait.
Les mères ne sont pas informées de ce que le bébé dans leur ventre, élément faisant partie de leur corps, va subir comme torture avant d’être tué.
En France rien dans le projet de loi déjà partiellement voté ne parle d’informer complètement les femmes de ce que le bébé va supporter avant de mourir. Surtout ceux dont la naissance est imminente. Les féministes en parlent et objectent que si l’on informe honnêtement les mères en puissance, beaucoup renonceront à avorter.
En quoi serait-ce mal qu’il y ait un peu plus de bébés blancs alors que la France est en déficit démographique ? Et bien c’est que, apprend-t-on des écolos, le bébé blanc pollue plus que le bébé africain. Ah bon !? Le bébé africain ne boit pas, ne mange pas, n’a pas de couches, de vêtements ? Où ont-ils pêché cette stupidité ? Donc, disent LREM et les socialistes, mieux vaut tuer les bébés blancs et faire venir de migrants.
Quoi qu’il en soit, si la droite revient au pouvoir en 2022, il serait bon qu’elle reprenne la législation sur l’avortement à zéro et judiciarise raisonnablement l’industrie de l’avortement, en interdisant notamment l’IVG par démembrement.
Elle rappelle fâcheusement cette expérience ordonnée par le Dr Mengele : quelle est la force à déployer pour arracher le bras d’un homme ? Un colosse SS avait réussi le test.
L’expérience consistait à attacher un juif couché sur le côté sur une table (surélevée), un bras pendant dans le vide. Une batterie était attachée à son poignet et lâchée. Le bras résiste à une batterie de voiture, mais pas à une batterie de camion. Ligaments et muscles sont arrachés, le système sanguin, artères et veines, ainsi que la peau et le gros nerf qui irrigue le bras s’étirent jusqu’à une dizaine de centimètres puis se déchirent.
C’est ce que l’avorteur inflige au bébé avec sa pince.
Et ça pourquoi ? Pour le confort psychologique d’une femme qui, si elle ne voulait pas de bébé, a commis la bêtise de ne pas avoir utilisé de contraceptif, ne pense égoïstement qu’à son confort social, et à son « droit de disposer de son corps » comme elle en a envie, ou bien obéit stupidement à son homme qui n’en veut pas, sans penser une seconde au droit à vivre de son bébé.
POURQUOI LA SEXUALITÉ SERAIT-ELLE LA SEULE ACTIVITÉ SANS LIMITATION ?
Et pourquoi les femmes seraient-elles les seules à ne pas subir de contraintes sexuelles ?
Les hommes qui demandent le service d’une prostituée sont verbalisés ; la pédophilie est interdite (mais des socialistes réclament sa libéralisation) ; il est interdit de tuer, mais les femmes peuvent sans risque déniaiser un jeune ado (je ne citerai personne), se payer des jeunes amants (147 films depuis Le Diable au corps), et décider de la mort du bébé qu’elles auront conçu par inconscience.
On peut décider de pardonner une erreur de jeunesse à l’adolescente qui, saoule comme une grive au sortir d’une boite de nuit, se laisse sauter par le premier venu sur le capot ou la banquette d’une voiture. Mais aux femmes adultes ? Ne doivent-elles pas apprendre à être responsables de leurs choix et payer le prix de leurs erreurs ?
L’élite politique qui a pris le pouvoir il y a un demi siècle ressemble d’ailleurs étrangement à ces femmes légères dans leurs comportements : refaire sans cesse les mêmes erreurs, se coopter alors qu’ils sont incompétents dans presque tous les domaines en empêchant les gens professionnellement compétents de progresser, endetter le pays en disant que ça n’a aucune importance, refuser de revenir sur les privilèges indûment acquis par leur caste, laisser la racaille jouer à la roulette russe dans les rues avec la vie des citoyens et ne pas comprendre qu’ils devraient retourner à la place que Charles de Gaulle et Michel Debré avaient prévue pour eux en créant l’ENA : « des grands commis de l’État, les meilleurs aux secondes places » sous l’autorité de politiques intelligents, imaginatifs, mus par l’amour de leur pays et compétents, qualités qui leur manquent dramatiquement.
L’Imprécateur
30 août 2020
Dès sa conception l’enfant a une âme, ce qui rend ce crime encore plus atroce. Ceux qui s’amusent avec les droits de Dieu auront donc de lourds comptes à lui rendre, merde pour eux qui se sont vendus à Satan.
Je dis qu’il faut éradiquer tous les socialopes et coco de la surface de la terre , et bien sur l’islam ces trois choses sont les tares de l’humanité , mais il y en a d’autres que je nommerai pas ici pour ne pas me retrouver devant la 17 ème chambre .
Cet article est cauchemardesque, terrifiant.
Je ne comprends pas que tout cela se fasse dans un immense silence.
Où sont les élus de droite, où sont les élus catholiques, protestants et juifs qui ont foi en la vie et l’humain ?
Comment est-ce possible aujourd’hui de mettre en œuvre une telle machine de destruction abjecte sans qu’aucun bruit ne sorte ?
Et le silence coupable des médias mainstream…
Où est la droite ?
Justement parlons en.
De plus en plus il est question qu’ils soutiennent la candidature du Talleyrand de l’Elysée pour les représenter!!!
Le dernier en date étant l’autre m…e d’Estrosi !
N’attendez rien d’eux est le plus sur moyen de ne pas être déçu.
On ne peut que combattre tout ceci mais n’exagérons en rien l’effet NUREMBERG car bon nombre et non des moindres y ont échappés dont justement Mengele, le responsable du camp de Mauthausen Heim ou bien encore celui qui était à la tête du camp de Drancy pour la solution finale Brunner.
Certains se sont réfugiés aux USA certains en Argentine, certains en Syrie etc…
je pense que sur Nuremberg il y a à boire et à manger !
Mengele a été récupéré par les services secrets britanniques (opération paperclip) et a travaillé pour eux pendant plusieurs années ainsi qu’au Canada. Il a travaillé ensuite pour la CIA. Il était le plus grand spécialiste du conditionnement mental et les connaissances actuelles dans ce domaine très poussées lui doivent beaucoup. Beaucoup d’Etats utilisent ses pratiques. Ce salopard est mort paisiblement dans les années 60 ou 70 je crois.
Je serais curieux de connaître les noms de ceux qui défendent de telles lois (en principe, ils sont nommés sur le document officiel), et de connaître les noms de ceux qui appellent à la libéralisation de la pédophilie.
Le peuple a plus de bon sens et de valeurs morales que ces élites corrompues et veules qui dominent la planète…. On croyait aller vers le progrès , on s’enfonce vers l’horreur, espérons que le peuple y mettra un terme.
Oui, mais le peuple est, pour la plupart, lâche et soumis… Qui ne dit mot consent. Et le peuple revote pour les mêmes clowns.
Oui laissons de coté les légendes autour de Mengele. Quand on voit le nombre de jumeaux rescapés qui ont témoigné, on est en droit de se poser des questions…
Pour ce qui est des lois Bio Ethique la question est grave et mérite discussions et débats publics.
En résumé le mariage pour tous a été étalé voire imposé devant tout le monde pendant des mois pour le bénéfice d’une minuscule minorité alors que la loi Bio Ethique (qui n’est ni l’une ni l’autre) passe comme une lettre à la poste… Honte à ceux qui ont permis d’enterrer le genre humain et créer un vrai génocide. Ce sont eux qui méritent un Nuremberg avec force preuves et écrits…
Tous les jumeaux expérimentaux de Mengele n’étaient pas destinés à mourir. Donc ça ne prouve rien en sa faveur.
Penchez-vous sur l’histoire du camp japonais 631 en Chine qui fit les expériences les plus abominables de l’histoire de l’humanité. Personne n’a été jugé ni puni (10.000 médecins impliqués)
Et songez au futurs vaccins Covid que prône Bill Gates, une véritable arme génocidaire.
Le diable règne bien sur l’humanité.
De mes nombreuses lectures, je garde un souvenir de ce sinistre camp 631.
Curieusement oublié.
La plupart des victimes étaient asiatiques, Il y a aussi quelques soldats de l’Armée Rouge.
Les rares bourreaux capturés par les Soviets ont été jugé-condamnés-exécutés.
Je crois me souvenir que le chef du camp a été récupéré par les amerloques intéressés par ses expériences sur les limites de la résistance humaine….
Effectivement. Les Américains ont même dit qu’ils n’auraient pas osé aller jusque là. C’est dire ! Ils ont raflé toutes les archives médicales.