Le « coup de gueule » d’Eric de Verdelhan est totalement justifié et personnellement, je le soutiens sans réserve. Dans la période pour le moins instable (c’est un euphémisme) que nous vivons, il s’agit de protéger les Forces de l’Ordre et non, à la moindre occasion, de les dénoncer, de les « stigmatiser », pour reprendre un terme à la mode, et encore moins de les punir.
Jusqu’à plus ample informé, ce sont eux qui nous défendent et il faut cesser de faire planer sur leurs têtes des menaces de représailles en tous genres (administratives et judiciaires) en cas de « bavure ».
Le jour où les Forces de l’Ordre ne protègeront plus le peuple, qui le fera ?Dans notre « Projet pour la France« , nous allons même plus loin en proposant de mettre en place, au bénéfice de ceux qui sont « au contact » – c’est à dire au combat, car il s’agit bien de cela – une présomption de légitime défense. Black Blocs et autres délinquants et manifestants violents doivent savoir les risques qu’ils prennent en détruisant volontairement des édifices privés ou publics et en attaquant les forces de l’ordre. Pour l’instant, ils se sentent protégés, non seulement par les juges, qui les considèrent avec bienveillance, mais aussi (et c’est nouveau) par le gouvernement et le Chef de l’Etat lui-même.
On marche sur la tête…Marc Le Stahler
9 décembre 2020
« Moins un culte est raisonnable, plus on cherche à l’établir par la force ».
(Jean-Jacques Rousseau).
« La nature a fait une race d’ouvriers ; c’est la race chinoise… une race de travailleurs de la terre ; c’est le nègre…une race de maîtres et de soldats ; c’est la race européenne… »
(Ernest Renan).
Manifestation de policiers
L’arrestation, certes « musclée », d’un producteur de musique noir a relancé une nouvelle affaire Georges Floyd. Les antiracistes, le clan Traoré, les racialistes, les « décoloniaux », sont ressortis du bois ; ils n’attendaient d’ailleurs que ça ! Et, une fois de plus, on a accusé nos policiers – les mêmes qu’on applaudissait en 2015, lors des attentats de « Charlie-Hebdo » et de l’ « Hyper-casher » – de racisme et de violence systématique à l’égard des « minorités » afro-maghrébines.
Emmanuel Macron, qui ne recule jamais devant la démagogie la plus racoleuse, a condamné les violences policières lors d’un interminable prêche sur un média nommé « Brut » (dont j’ignorais totalement l’existence). Mais, d’après lui, 95% des flics feraient bien leur travail. Diantre, à la louche, selon que l’on englobe ou non les gendarmes mobiles, il y aurait donc 10 à 15 000 odieux racistes dans nos forces de l’ordre. Et Macron a des solutions pour remédier à cette propension qu’ont les Gaulois – et pas seulement les flics – à discriminer, voire à violenter, tout ce qui n’est pas bien blanc.
- D’abord, débaptiser des rues, des avenues, des places, des squares, pour leur donner le nom de citoyens noirs ou arabes méritants (1). On parle de 300 ou 500, excusez du peu ! C’est, une fois de plus, une repentance indigne et un racolage honteux !
- Ensuite, créer dans l’urgence, une plateforme sur laquelle les victimes (ou présumées telles) pourront dénoncer les violences policières. C’est étrange, chez nous, ce goût pour la délation et les méthodes de corbeau. Cette manie – ô combien détestable – est née sous la Révolution, quand quelques bons républicains signalaient les gens qui cachaient chez eux des curés réfractaires ou des « ci-devant » nobles. Sous Vichy, des salopards dénonçaient les Juifs ou les Résistants à la Kommandantur. Pendant la guerre d’Algérie, d’autres balançaient les combattants de l’OAS ou de simples sympathisants de l’Algérie française (2) aux barbouzes gaullistes.
Après « balance ton porc », voici « balance ton flic ». C’est lamentable ! C’est scandaleux !
L’avorton présidentiel joue les pompiers-pyromanes, et, comme il n’est pas complètement stupide – quoique ? – je pense qu’il le fait exprès : braquer un peu plus la « diversité » contre les forces de l’ordre, c’est accélérer le délitement de la nation.
Or, que je sache, dans un état de droit, force doit TOUJOURS rester à la loi !
NON, monsieur Macron, nos flics ne sont pas racistes, pas plus que les Gaulois – ces Français de souche que vous détestez – qui ont intégré des milliers de gens venus d’ailleurs. Et le Gaulois que je suis ne supporte plus qu’on le traite de xénophobe, de raciste, d’islamophobe, de machiste, d’homophobe etc… dès qu’il ose critiquer les comportements, souvent critiquables, des minorités.
Cette année, dans un article, j’ai fait l’apologie de Charles Maurras. Je suis, depuis toujours, un défenseur de la liberté d’expression, de la pluralité des opinions politiques, et aussi – c’est mon droit – un admirateur de Maurice Barrès et de Charles Maurras. Je n’hésite pas à l’écrire !
Mais, c’était sans compter sur les ayatollahs de la « bien-pensance », les gourous du « vivre ensemble », les gardiens de la doxa multiculturaliste. Ces gens-là ont une conception très particulière de la liberté d’expression. Ils me font penser à la publicité Ford, au début du 20° siècle : « Le client peut choisir la couleur de sa voiture à condition qu’elle soit noire ».
A la suite de mon article, j’ai reçu quelques volées de bois vert car j’avais osé dire du bien de Maurras, qui était « antisémite et xénophobe » (3). Du coup, j’ai choisi, en entête de cet article, deux citations de représentants incontestables des idéaux « ripoux-blicains » (et maçonniques).
Eh bien oui, Maurras était antisémite, comme… plus de la moitié de la France à son époque.
Rappelons aux ignares que, de 1894 à 1906, la France, qui rêvait d’une revanche contre l’Allemagne, s’est déchirée autour des procès d’Alfred Dreyfus, officier français de confession juive, qu’on accusait d’avoir fourni des renseignements secrets à l’ennemi prussien honni.
La France comptait alors autant de « dreyfusards » que d’« antidreyfusards » et si l’histoire – simplifiée à l’extrême – n’a retenu que le titre « J’accuse » d’Emile Zola, cette belle conscience de gauche, la vérité m’oblige à rappeler qu’il y avait plutôt plus d’ « antidreyfusards » à gauche qu’à droite.
Quand arrêtera-t-on, dans notre pays, de juger (de critiquer ?) notre passé, notre histoire, avec les mentalités affadies, édulcorées, manipulées, culpabilisées, bref formatées par des « élites » pensantes, elles mêmes nourries aux « droits-de-l’homme » et au mondialisme apatride ?
Il faut savoir, de temps en temps, revenir aux origines des choses.
Prenons l’exemple du mot « racisme ». Selon l’ancien « Larousse », c’était « une idéologie fondée sur la croyance qu’il existe une hiérarchie entre les groupes humains, les « races ». Attitude d’hostilité à l’égard d’une catégorie déterminée de personnes : (racisme anti jeunes)… ».
Cette définition, d’une simplicité biblique, avait le mérite de la clarté : le racisme implique une hiérarchisation des races et une hostilité à l’égard de l’autre, parce qu’il est différent.
Mais, depuis que notre pays est entré en repentance, les dictionnaires et encyclopédies ont revu leur copie : « Le racisme est une idéologie qui, partant du postulat de l’existence de races, considère que certaines catégories de personnes sont intrinsèquement supérieures à d’autres. Cette idéologie peut entraîner une attitude d’hostilité à l’égard d’une catégorie déterminée de personnes. L’hostilité peut générer chez la victime de la stigmatisation et de la discrimination qui, à son tour, va entraîner une auto-stigmatisation et une auto-discrimination proportionnelle… Les idéologies racistes ont servi de fondement à des doctrines politiques conduisant à pratiquer des discriminations raciales et à commettre des violences, allant jusqu’au génocide… ».
A la lecture de ce pathos verbeux, on pourrait en conclure que quiconque ne se croit pas d’une race supérieure à l’autre, ne lui veut aucun mal et ne se moque pas de lui, n’est absolument pas raciste. C’est ainsi que je perçois la chose : n’étant nullement raciste, rien ne m’oblige à aimer l’autre, à me sentir proche de lui, à rechercher sa compagnie, et surtout pas à m’imposer des devoirs ou des obligations à son égard. Que je sache, on a également le droit de préférer une blonde à une Sénégalaise, aussi jolie soit-elle. On a le droit de côtoyer qui on veut, d’être individualiste, solitaire ou misanthrope sans qu’il soit question de race, de croyance ou de couleur de peau !
« Le pluriel ne vaut rien à l’homme et sitôt qu’on est plus de quatre on est une bande de cons » chantait Georges Brassens. Dans un pays démocratique, on devrait pouvoir vivre comme un ours, sans participer à la « fête des voisins » et sans se trémousser à la « fête de la musique » (ou à la « Gay-pride »). On n’est pas obligé d’aimer la foule bigarrée et les chiens qui aboient en meute.
Personnellement, je déteste le Rap – cette musique de sauvages sur des paroles haineuses – et l’humour de Jamel Debbouze ; ceci ne fait pas de moi un raciste. Je préférais la finesse d’esprit de Raymond Devos, Robert Lamoureux, Pierre Desproges, Michel Audiard, et quelques autres…
Je voudrais que le Gaulois soit autorisé à appliquer, chez lui, ce que j’appelle « le théorème de Nanard » : à la grande époque de l’« O.M. », Bernard Tapie, qui avait engueulé un de ses joueurs, s’était fait traiter de raciste, et il avait eu cette réponse, que je trouve magnifique : « Je ne dis pas qu’il est con parce qu’il est noir, je dis qu’il est con parce qu’il est con ! ».
J’ai donc le droit de dire que Christiane Taubira aura été l’un(e) des pires Gardes des Sceaux de notre histoire, pas parce qu’elle est noire mais parce qu’elle est nullissime et nocive. D’ailleurs Belloubet et Dupont-Moretti ne valent guère mieux ! J’ai le droit de refuser les leçons de morale d’Omar Sy ou de Yannick Noah, non pas parce qu’ils sont noirs mais parce que ces millionnaires, exilés fiscaux aux USA, feraient mieux de la fermer.
Mais revenons aux définitions ; celle de la xénophobie : c’est un mot formé de deux racines grecques (xénos, « étranger », et phobos, « rejet, peur »). « Le mot xénophobie est un néologisme apparu dans la langue française au début du XXe siècle, c’est un substantif dérivé du néologisme « xénophobe » dont l’invention est imputée à Anatole France, en 1901. « Xénophobe » apparaît pour la première fois dans un dictionnaire, le « Nouveau Larousse Illustré », en 1906. Vingt ans plus tard, dans son pamphlet « La trahison des clercs » (1927), Julien Benda parle de xénophobie comme l’un des aspects du patriotisme : « Un autre trait du patriotisme: la xénophobie… son mépris pour ce qui n’est pas « de chez lui »… ».
La xénophobie est donc de création récente (le mot, pas le sentiment !) mais, qu’on le veuille ou non, elle est naturelle : le xénophobe se méfie parfois de l’autre parce qu’il en a peur. Depuis la plus haute antiquité, les rapports humains sont souvent conditionnés par la peur. Dans notre pays, qui aura connu dans son histoire, des guerres, des invasions plus ou moins barbares, et des vagues migratoires, la peur de l’arrivée massive de gens « différents » est un sentiment naturel, un réflexe d’autodéfense. Comme disait Rocard : « La France ne peut pas accueillir toute la misère du monde ! ». Il avait compris ce qui semble une évidence.
Alors, mettons encore les pieds dans le plat !
L’inventeur de la « préférence nationale » ce n’est pas Le Pen, mais… Léon Blum, président du Conseil sous le « Front Populaire ». Dès l’été 1936, Roger Salengro, Ministre de l’Intérieur, s’écrie : « le gouvernement ne saurait tolérer que des étrangers abusent de l’asile qui leur est offert » et Maurice Thorez, premier secrétaire du Parti Communiste, clame, le 28 septembre 1938 : « La France aux Français ! ». Le bon radical-socialiste Edouard Herriot, lui, invite la France à mettre dehors les « indésirables ». En 1938, Daladier promulgue une loi permettant d’emprisonner les Français qui aideront des clandestins. De nos jours, pour avoir aidé des migrants à passer la frontière italienne, le pseudo-berger Cédric Herrou a été… ovationné au Festival de Cannes.
On marche sur la tête !
Le 12 novembre 1938, une loi donnait l’autorisation de « dénaturaliser » (sans intervention d’un juge) tout citoyen d’origine étrangère. L’article 22 stipule que « pour des actes contraires à l’ordre public… les étrangers perdront leur nationalité ». Retrait qui pourra s’étendre « à la femme et aux enfants mineurs » (4). Citons encore le décret-loi du 3 mai 1938, qui autorisait les préfets à expulser les étrangers, même ayant un permis de séjour.
Donc, les « chances pour la France », qui s’estiment discriminés, stigmatisés, ostracisés, feraient mieux d’arrêter leurs pleurnichailleries victimaires et d’apprendre NOTRE histoire.
NON, NON et NON, la France d’avant-guerre n’a pas été plus tendre avec les « Ruskoffs » blancs, les « Polaks », les « Macaronis » (ou « Ritals ») ou les « Espingouins » qu’avec les Musulmans, mais, à l’époque, les « hussards noirs de la République » comme les curés délivraient aux nouveaux entrants le même message : l’intégration devait passer par l’apprentissage de la langue, le respect des lois, us et coutumes, et l’amour de leur nouvelle patrie. Même pour les gens de gauche, la France avait des racines chrétiennes et n’entendait pas se voir imposer la Sharia.
Non, monsieur Macron, les Gaulois ne sont absolument pas racistes mais ils veulent défendre leurs valeurs, leurs traditions, leur histoire, bref, ce qui a fait la nation-France : LEUR pays !
Non, nos forces de police ne sont ni racistes ni xénophobes mais elles en ont marre d’être caillassées, attaquées au mortier, brulées au cocktail Molotov dans des banlieues de non-droit livrées à des dealers allogènes. Est-ce de leur faute si elles sont rarement agressées par des Auvergnats, des Basques ou des Bretons de souche ? Peut-on leur reprocher des « contrôles au faciès » de gens qui, camouflés sous des bonnets et capuches, les insultent et leur crachent dessus quand ils ne leur jettent pas des pierres ? Arrêtons de dire que « l’habit ne fait pas le moine » ; le meilleur moyen d’éviter d’être arrêté pour « délit de sale gueule » – qu’on appelle pudiquement « contrôle au faciès » – c’est d’adopter les comportements et les mœurs vestimentaires du pays qui vous accueille (5).
Depuis des décennies – depuis l’affaire Malik Oussekine – tout est bon pour retirer à la police ses moyens de défense (qui sont aussi les moyens de nous protéger). Alors, de grâce, ne jouons pas les vierges effarouchées s’il y a, de temps en temps, une « bavure ». Quand l’Etat ne contrôle plus rien, quand on parle de « territoires perdus de la République », quand on est incapable d’arrêter des bandes de Black-blocs, il serait malvenu de reprocher à quelques flics courageux d’avoir parfois la main un peu lourde. On nous serine à longueur d’année que « le racisme n’est pas une opinion, c’est un délit ». Il y a des délits, autrement plus graves, qui se soldent en général par un simple « rappel à la loi » pour peu que leurs auteurs appartiennent à la « diversité ».
Alors OUI, aujourd’hui, mon soutien à la police est total !
Éric de Verdelhan
9 décembre 2020
1)- Vous noterez qu’on ne cite jamais les Asiatiques qui, eux, aiment la France et savent se faire oublier, comme des citoyens… normaux.
2)- Un de mes vieux amis, aujourd’hui décédé, a fait 9 mois de prison préventive sans raison. En dehors d’un tract antigaulliste, on n’avait rien à lui reprocher.
3)- Le comble c’est que j’aime bien Louis-Ferdinand Céline – le bon docteur Destouches – qui était autrement plus antisémite que Maurras.
4)- Texte découvert dans « Ca suffit ! 80 ans de mensonges et de calomnies » de Roger Holeindre ; Holigoland ; 2015.
5)- Au début du mouvement des « Gilets jaunes », j’ai été contrôlé une fois en moto et une fois en voiture dans la même semaine. Et j’ai râlé, comme tout bon Français, mais je n’ai pas poussé des cris d’orfraie en dénonçant un « délit de sale gueule ». Il est vrai que, dans notre pays, un hétérosexuel blanc a forcément une sale gueule.
En effet, la police et les gendarmes sont caillassés, attaquées au mortier, brûlées au cocktail molotov, tirés comme des pigeons parfois (et ça s’aggravera) par les racailles et les black-blocs (idem les pompiers). Ils sont aussi insultés par Macron avec ses « 95% », méprisés au profit des migrants et autres racailles qui pourraient voter pour lui, ils sont lâchés par leur hierarchie et méprisés par les juges qui font libérer les délinquants qu’ils ont eu du mal à « serrer ». OK
Mais en tous cas, ils restent là à obéir à leur hiérarchie égoïste et ripoux qui ne pense qu’à la carrière. Ils restent donc légalistes.
Mais otez-moi d’un doute : les policiers et gendarmes prettent serment de protéger le peuple et la nation française ou seulement ses dirigeants du moment ?
Il ne reste qu’eux entre Macron et le peuple en colère qui ne le supporte plus, lui et sa clique de clowns et pieds nickelés.
Si les forces de l’ordre avaient un tant soit peu de fierté et de loyauté envers le peuple, ils sauraient ce qu’il leur reste à faire. Nous glissons inexorablement et indéniablement vers une dictature et s’il ne bougent pas, c’est qu’ils y voient avantage… Allez savoir.
« Vivrensemble », intégration, assimilation, blablabla, CA SUFFIT !
On en a ras la France de tout ces allogènes qui font régner leur ordre chez nous avec l’aide des collabos de la pire espèce !
Le moment approche où il va falloir nettoyer à grande échelle.
Nos (vos) coups de gueule ne servent à rien, nous sommes les fascistes, l’extrême droite, les méchants, les complotistes, les infréquentables.
Regardez ce qui se passe dans le camp ennemi : ils sont rodés, organisés, prèts à dégainer au moindre prétexte comme dans le coup du foot ou du marchand de merde rapoïde. Leur machine médiatique fonctionne au quart de tour.
En face, les politiciens de la « droiche » sont tétanisés, prêts à demander pardon, à mettre le genou à terre. La pauvre courageuse NAdine Morano monte au créneau mais elle est seule et tous ces « meilleurs amis » la descendront en flamme à la moindre remarque venue de gauche ou de µcron et sa bande.
La question n’est pas « est-ce que les indigénistes, ou la gauche, ou les musulmans (liste ouverte) vont nous faire un nouveau coup pourri , » mais QUAND ?
Demain, la semaine prochaine, mais à coup sûr dans pas longtemps.