FRAUDE ÉLECTORALE DÉMOCRATE : LA JUSTICE AMÉRICAINE ENQUÊTE ENFIN !
(Suricate)

Le comité d’audit des comptes électoraux de la présidentielle américaine en Arizona a annoncé qu’il donnera le 19 juin 2021 les vrais résultats de l’élection de novembre 2020, qui porta Joseph Robinette Biden, dit Joe Biden, à la Maison Blanche.
Le 19 juin, nous y sommes…


Le plus gros travail aura été le tri de centaines de milliers de bulletins pour séparer les vrais des faux.
Les démocrates n’ont pas lésiné pour faire voter leurs électeurs deux, trois, cinq, dix fois et parfois plus ! Mais apparemment tous, ou presque, « à l’insu de leur plein gré » ! Leur bulletin étant tout bêtement dupliqué, les hackers travaillant pour les démocrates ayant effectué quelques petits aménagements discrets dans les logiciels des machines à voter pour qu’elles attribuant plus de bulletins à Biden qu’à Trump, en espérant que l’affaire passerait inaperçue.

Il apparaît qu’une fois le tri effectué, le nombre de bulletins démocrates est étrangement plus faible que celui annoncé en novembre dernier. Nous aurons bientôt les chiffres exacts de l’Arizona, mais soyons patients, il faudra attendre les résultats des audits dans les états ayant décidé de procéder eux aussi à un recomptage : l’Alaska, le Colorado, la Géorgie, le Nevada, la Pennsylvanie et la Virginie. Ils ont envoyé des sénateurs républicains à Phoenix en Arizona pour voir comment procéder.

LES DÉMOCRATES VONT TOUT TENTER POUR NOYER LE POISSON

Il y aura, comme en Arizona, l’obstruction des multiples recours déposés par les Démocrates auprès des tribunaux. L’opinion publique, même chez de nombreux démocrates ayant pourtant soif de vérité, désapprouve de plus en plus ces recours. Et comme aux Etats-Unis les juges sont élus, cela les rend prudents, alors qu’en 2020 ils avaient refusé la plupart des plaintes pour fraude électorale déposées par les Républicains.

Les Républicains auront aussi à s’opposer aux pressions et menaces que les élus démocrates locaux exerceront, comme ils l’ont fait en Arizona, sur le personnel recruté pour procéder au tri des bulletins, tant physiques (les bulletins papier déposés dans les urnes ou arrivés par la poste), que ceux des machines à voter électroniques.

L’important sera les résultats électoraux réels des 7 états réveillés par la pression populaire, convaincue qu’il y a eu des fraudes démocrates massives en 2020.

Il faut que ces contrôles soient connus avant les midterm elections (mi-mandat) du 6 novembre 2022.
Ils pourraient ainsi modifier sérieusement la composition des deux chambres du Congrès, que plusieurs sondages donnent gagnées par les Républicains. Mais la prudence s’impose, on est encore à dix-huit mois de l’échéance.

COMBIEN DE SIÈGES SERAIENT CONCERNÉS ?

Au Sénat, 35 sièges sur 100 seront remis en jeu.
Au sein de la Chambre des Représentants, c’est l’ensemble des 435 sièges qui seront remis en jeu.
Enfin, plusieurs gouverneurs d’Etats doivent être élus.

Tous les citoyens américains, majeurs sont appelés à voter… ou presque. Près de six millions d’Américains ont perdu le droit de glisser un bulletin dans l’urne parce qu’ils sont en prison, en liberté conditionnelle ou parce qu’ils ont été condamnés en justice.

À noter que les règles varient beaucoup d’un Etat à l’autre. Les élections de mi-mandat sont traditionnellement marquées par une forte abstention : presque toujours supérieure à 50 %  depuis la Seconde Guerre  Mondiale.

Il s’est produit aux Etats-Unis ce qui s’est produit en France depuis un demi-siècle : un basculement de la gauche progressiste sur les classes aisées et les milliardaires, pendant que la droite conservatrice récupérait les classes populaires abandonnées par la gauche. Ce qui a donné naissance à des mouvements dits « populistes ».

La gauche (les démocrates, aux USA), s’est entichée de Karl Marx, dont la théorie s’achevant par un gouvernement mondial communiste gérant un peuple soumis et un capitalisme dompté lui plait beaucoup. C’est pourquoi les élucubrations socialistes s’échafaudent à Davos et New York, et plus dans les meetings aux portes des usines.

Les ouvriers, les paysans, les petits fonctionnaires, les retraités aux retraites fondantes, constatant que le bon sens a déserté la gauche, sont passés à droite où l’on parle encore de « plein emploi », de « salaires en hausse » et de « progrès social ». Quant à la Gauche démocrate, elle spécule sur l’Intelligence Artificielle, le transhumanisme, le contrôle social total à la chinoise, et les meilleures combines financières pour rejoindre le club des milliardaires à partir de start-ups qui inventeront le produit génial, ou le vaccin imposable par la menace à huit milliards de terriens, qui rapporteront des centaines de milliards…

Dans ce système, les pauvres conservateurs, attachés aux maigres avantages qu’ils ont encore, se multiplient beaucoup plus vite que les riches progressistes qui fantasment sur de l’intelligence et de la durée de vie « ajoutées » et protégés par des armées « cyborg », autrement dit des soldats transformés en robots insensibles à la douleur par des puces implantées dans leur crâne. Il devient indispensable de priver de parole le peuple des réfractaires au progrès en étouffant lentement mais efficacement les pratiques démocratiques et les libertés.

LE AMÉRICAINS VONT-ILS BRIDER BIDEN POUR REDONNER LA PAROLE À TRUMP ?

En 2020-2021, la cote de popularité de Trump « le populiste » étant bien remontée et celle de Biden « le progressiste » ayant bien baissé, il est fort possible que les Américains jugent intéressant de mettre Biden en difficulté pour montrer leur déception. D’autant plus que la vice-présidente hispano-jamaïcaine Kamala Harris montre son incompétence et un désintérêt évident pour les migrants d’Amérique centrale qu’elle avait pourtant défendus bec et ongles quand Trump construisait le mur à la frontière mexicaine.

Chez les démocrates, on avait imaginé que les migrants seraient utiles pour déstabiliser Trump. C’est fait, merci les migrants. Maintenant débrouillez-vous et, si vous le pouvez (mais ça nous étonnerait), faites comme nous : apprenez à mentir et à voler pour devenir des Soros, des Epstein, des Gates…

Si les prévisions d’un Parlement entièrement acquis à Trump se vérifient, un autre facteur d’indécision interviendra. Il est pour le moment impossible de présumer quelle décision prendra la Cour Suprême des Etats-Unis. Limogera-t-elle Biden en imposant une nouvelle élection, ou le laissera-t-elle aller au bout de son mandat ?

En 2020, on pensait que la Cour Suprême ayant cinq élus républicains pour quatre démocrates aurait autorisé une enquête sur les nombreux cas de fraudes dénoncés dans plusieurs états, ce qui aurait permis d’annuler l’élection de Joe Biden. À la surprise générale ce ne fut pas le cas, la solidarité républicaine de joua pas. 

Ces juges et certains élus qui, dans les états républicains, ont joué contre Trump savent qu’il ne le leur pardonnera pas. Ils ont donc intérêt à ce que Biden reste président le plus longtemps possible. Ce que pourra faire Trump, c’est contrarier la politique voulue par Biden et peut-être imposer la sienne s’il a une majorité nette dans les deux chambres.
L’aura-t-il ? Réponse en novembre.

SURICATE
19 juin 2021

3 Commentaires

  1. Les résultats n’ont pas été promulgués le 19 juin comme annoncé, selon le magazine américain Slate, un juge serait intervenu pour ordonner l’arrêt du décompte tant que la société qui s’en occupe n’aura pas prouvé qu’elle est compétente pour effectuer des décomptes

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