GARE À L’ANGUILLE ! (Cédric de Valfrancisque)

Poème vaguement inspiré par la chanson « Le Gorille » de Georges Brassens.
En hommage au grand Georges, qui aurait eu 100 ans le 29 octobre
et ne désavouerait sans doute pas ce texte.

Bande-son (artisanale !) ci-dessous

 

 

 


C’est sans doute par lâcheté
Qu’un peuple peureux et poltron,
Immature autant qu’assisté,
A élu le jeune Macron.

Et  ce garnement vaniteux,
Adepte du « en même temps »
Les traita bien pis que des gueux,
Avec un mépris arrogant.

Gare à l’anguille !

Il eut fallu se renseigner,
Avant d’en faire un président.
Car il est sans moralité,
Et peut aussi être méchant.

Il aime à s’écouter parler,
Et dire tout et son contraire,
Il se fout de la vérité ;
En fait il ne cherche qu’à plaire.

Gare à l’anguille !

Ses parents le croyaient bien sage,
Alors qu’il était au lycée,
Lorsqu’il perdit son pucelage
Avec sa prof de Français.

Et c’est bien des années plus tard,
Que ce parvenu ambitieux,
Epousa  sa vielle « couguar »
Et fit semblant d’être amoureux.

Gare à l’anguille !   

Nous apprîmes à nos dépens
Que ce prétentieux avorton
Avait la haine du « mâle blanc »
Et détestait le mot « Nation ».

Dès qu’il était à l’étranger
Il dénigrait son beau pays.
Seul l’allogène bigarré
Avait droit à  sa sympathie.

Gare à l’anguille !

Il sut s’entourer d’incapables,
Et de ministres bons à rien,
De députés irresponsables,
Prompts à lui lécher l’arrière-train.

C’est en effet une évidence
Que ce Narcisse n’aime que lui,
Qu’il se moque bien de la France,
Et du passé de son pays.

Gare à l’anguille ! 

Et le bon peuple qui, naguère
A eu le tort de mal voter
Peut, du moins je l’espère,
Faire preuve de lucidité.

Car il serait détestable
De voir réélire ce Macron,
Et son ramassis d’incapables,
Qui ont affaibli la Nation.

Chassons l’anguille !

Cédric de Valfrancisque

16 novembre 2021.

 

 

 

 

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