Poème musical librement inspiré par la chanson « Le Métèque » de Georges Moustaki.
Bande-son (artisanale !) ci-dessous
Avec sa gueule de faux-cul,
Son arrogance de parvenu,
Et son mépris pour les « sans dents » ;
Son regard noir d’halluciné,
Et sa logorrhée en diarrhée
Débitant du « en même temps ».
Avec ce don des beaux parleurs,
Des aigrefins et des menteurs
Et des joueurs de bonneteau.
Avec ce sourire carnassier,
Qui est prêt à tout dévorer
Et qui plait tant aux vieilles peaux.
Avec son goût pour les harpies,
Les basanés, les mal-blanchis,
Son allergie aux mâles blancs.
Ou bien cette velléité
A dénigrer, de l’étranger,
Le peuple dont il est président.
Il veut jouer les princes de sang
Alors qu’il n’est qu’un garnement,
Que ses parents ont trop gâté.
Et qui couche avec la maman
Qui le déniaisa à 16 ans
Et dont il fit sa dulcinée.
Ce type est un irresponsable
Qui vit entouré d’incapables
Qui lui lèchent le fignedé.
Et s’il est bien propre sur lui
Il a ainsi, je vous le dis,
Le fondement bien lubrifié.
Ce gamin ne sait que mentir.
Mais devrons-nous longtemps subir
Cet avant-goût du purgatoire ?
S’il gagne sa réélection,
Les Français l’auront dans le fion,
En guise de suppositoire.
Aussi je me prends à rêver,
A souhaiter, à espérer
Que ce pays en léthargie
Saura chasser cet avorton,
Ce triste sire, ce bouffon,
Car il en va de sa survie.
Cédric de Valfrancisque
16 novembre 2021.
Belle réussite artistique Cédric !
Très bon (et vrai)
C’est presque du Pierre-Jean VAILLARD !
Du vrai bonheur !
excellent!