ÉPIDÉMIE NATURELLE, VRAIMENT ? (Jean Goychman)

Depuis deux ans, une bonne partie de la planète vit au rythme du COVID et de ses rebondissements successifs. Le vaccin, apparaissant comme la solution définitive à cette épidémie, ne semble pas avoir rempli les espoirs qui étaient mis en lui.

De plus en plus de gens commencent à se poser des questions sur son efficacité réelle et, plus grave encore, sur sa finalité. Une vidéo récente, Hold On, suite réactualisée de « Hold Up » montre un certain nombres d’effets secondaires liés à cette vaccination.

Pour le commun des mortels, dont je pense faire partie, se pose alors la question lancinante :

« A qui devons-nous, et surtout, pouvons-nous, faire confiance ? »

Une nouvelle approche parait indispensable.

 

 

 

L’approche officielle est celle du « tout vaccin ». L’humanité toute entière doit être vaccinée et ce n’est qu’à ce prix que le virus sera terrassé. Dans cette conception, les « effets secondaires », même s’ils ne sont pas niés, deviennent une sorte de contrepartie assez modeste dont nous devons nous acquitter.

La seconde approche, qualifiée par les premiers de « complotisme », considère que le Covid fait partie d’un plan plus général appelé « great reset » et que la pandémie n’est là que pour servir à injecter dans les populations des produits expérimentaux dont la teneur n’est pas divulguée et baptisés « vaccins » pour faciliter leur acceptation.

Médiatiquement, la première l’emporte sur la seconde, mais le temps travaille plutôt pour la seconde. Le vaccin, malgré les discours louangeurs, n’a pas tenu ses promesses en matière d’innocuité et de transmission, et la perspective de doses récurrentes à intervalles réduits pour continuer à bénéficier du passe sanitaire commence à « refroidir » beaucoup de gens qui aimeraient connaître leur dosage en anti-corps avant de subir une nouvelle injection.

L’apparition d’un nouveau variant venu d’Afrique du Sud participe aussi de ce doute dans l’efficacité du vaccin dont nul ne peut dire aujourd’hui quelle est sa capacité à traiter ce nouveau-venu.

QUE PENSER ?

Le cas idéal serait de tomber sur une impossibilité matérielle. Par exemple, si on pouvait démontrer qu’en l’état, il est totalement impossible de « fabriquer » un virus et que seule la nature dispose de ce pouvoir. On serait alors bien obligé d’admettre que cette pandémie ne doit rien à l’Homme et la théorie du complot serait ruinée.

Que disent les virologues ?

Le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine pour ses travaux sur le SIDA, apporte une réponse :

« Avec son ami de trente ans, le mathématicien Jean-Claude Perez, il affirme que le virus Sars-CoV-2 (responsable de l’épidémie de Covid-19) a été fabriqué artificiellement en injectant des fragments du virus VIH dans un coronavirus dans un laboratoire de Wuhan, et pourquoi pas dans le fameux P4 qui fait tant couler d’encre. »

On ne peut donc pas écarter cette hypothèse. Si on l’admet, se pose alors le problème de la contamination.
Elle peut résulter d’un « accident de laboratoire » qui laisse échapper le virus qui va se répandre dans la population avoisinante.
Elle peut aussi résulter d’un acte volontaire que rien aujourd’hui ne permet d’exclure.

QUE DISENT LES SPECIALISTES ?

Pour Peter Embarek, cette hypothèse de la fuite semble probable. Toutefois, il ne peut évidemment pas se prononcer sur le coté « intentionnel » de celle-ci :

« Dans un documentaire intitulé « Le mystère du virus », un Danois à la recherche de la vérité en Chine » diffusé jeudi sur la chaîne danoise, le scientifique s’est montré très critique envers Pékin. Selon lui, il a été difficile pour son équipe de discuter de cette théorie avec les scientifiques chinois. »

Or, le laboratoire de Wuhan est classé P4, en ce qui concerne son niveau de sécurité.

Qu’en est-il de ces laboratoires ?

« Les laboratoires P4 de sécurité maximale présentent deux grandes spécificités : ils sont totalement hermétiques et constitués de plusieurs sas de décontaminations et de portes étanches et disposent aussi de sécurités anti-incendie (on prive l’incendie de son comburant oxygène en injectant un gaz inerte) couplées à des détecteurs de fumées.
Ces laboratoires assurent une protection optimale des chercheurs travaillant dans leurs enceintes. Pour y pénétrer, il faut montrer carte blanche, prendre une douche, revêtir un scaphandre (sous pression positive de telle sorte qu’en cas de déchirure accidentelle de la combinaison scaphandre, l’air sortira du scaphandre, plutôt que d’y rentrer, évitant ainsi toute contamination) relié à l’une des prises fournissant de l’air dont le renouvellement est totalement indépendant de l’atmosphère du laboratoire ; quand elles sortent du laboratoire, elles prennent une douche au phénol revêtues de leurs scaphandres. Des caméras surveillent continuellement l’activité du laboratoire ; le personnel ne rentre jamais seul à l’intérieur du laboratoire. » (Midi libre avril 2020)

Ces précautions semblent peu compatibles avec un simple accident de labo et ne permettent pas d’écarter l’intention volontaire.

ORIGINE DES VACCINS

Là encore, tout dépend de l’hypothèse de départ retenue. Il paraît impensable que, dans le cadre d’une recherche sur un virus aussi hautement pathogène, il n’y ait pas eu une recherche simultanée de l’antidote. Cela pourrait expliquer la raison de la rapidité d’apparition des vaccins sur les marchés.

UNE HYPOTHÈSE INTERDITE ?

Supposons que cette pandémie, dont la létalité n’est pas des plus farouches – comparée à certaines précédentes – ait permis, par calcul ou par opportunisme, après avoir écarté tout traitement possible, d’imposer un vaccin créé pour la circonstance. On ne connaît, du reste, pas grand-chose de ces vaccins, si ce n’est que leurs résultats ont été inférieurs à ceux annoncés.

Rappelons que ces médicaments sont toujours en phase expérimentale et qu’ils ne peuvent être administrés qu’en l’absence de tout traitement.

En tous cas, on sait aujourd’hui que les doses vont être récurrentes, et cela peut ressembler à une sorte de rente pour ceux qui les fabriquent. Retrouverait-on le vieil adage policier : « A qui le crime profite-t-il ? ».

Naturellement, ceci relève de la pure fiction car personne, au nom de la morale élémentaire, n’oserait se risquer dans une telle entreprise, même si techniquement, rien ne semble s’y opposer.

Jean Goychman

2/12/2021

NB : En avril 2020, le docteur Alain Blatt, l’un des premiers, exprimait, dans une lettre ouverte publiée sur Minurne, de sérieux doutes sur l’origine naturelle de la pandémie. Ce qui pouvait alors apparaitre comme une supposition gratuite – voire « complotiste » comme le régime nomme désormais tout ce qui le gêne – semble désormais de plus en plus vraisemblable.
Nous souhaitions donc rendre ici hommage au Docteur Alain Blatt pour sa clairvoyance, sa liberté d’expression et son courage.
Cet article est visible ICI 

 

 

 

 

10 Commentaires

  1. Oui, on peut modifier un virus en laboratoire et les P4 servent entre autre à ça. Ces laboratoires sont tellement sur protégés que dans celui de Lyon, on a trouvé un beau matin, un SDF qui s’y était réfugier pour passer la nuit au chaud. Alors la haute sécurité… Mais faire fuiter volontairement un virus manipulé est un pari à très haut risque puisque, une fois dans la nature, personne, ni l’inventeur, ni le  » fuiteur  » ne maitrise plus rien, ni l’expansion ni les mutations spontanées, la virulence, etc. Je pencherais donc plutôt pour un accident du à une négligence dans les procédures de sécurité.
    Quand aux traitements, contrairement à ce que prétendent l’ordre des médecins, les professeurs télévisuels rémunérés grassement par les labos et l’innombrable foule des épidémiologistes de télé, les traitements efficaces existent et font l’objet de nombreuses publications (New England Journal off medicine, British medical journal, etc.) l’ivermectine, l’hydroxy chloroquine associée à un antibiotique, le zinc, certains anti inflammatoires, etc. qui, administrés dès les premiers symptômes, rendent la maladie bénigne. Mais nos dirigeants préfèrent blâmer les professeurs Raoult, Perrone, Fourtillant…, et distribuer des millions d’euros d’argent public à des labo américains dont les cotes boursières flambent ! C’est leur conception de la santé publique.

  2. Ce n’est pas un hasard si la pandémie de la Covid 19 est apparue en novembre 2019 à Wuhan et que quelques mois après, en mai 2020, le Great Reset a été dévoilé !
    Après deux ans d’un intense lavage de cerveau et d’une ingénierie sociale médiatiques en parfaite synchronisation avec les gouvernants de la planète, les pièces du puzzle mondialiste commencent à s’assembler. De plus en plus de monde commence à comprendre la supercherie du pseudo vaccin, derrière lequel se cache le marquage de l’identité numérique.
    A telle enseigne que les futurs maîtres du monde s’en inquiètent.
    On comprend qu’ Ursula van der Leyen, Présidente de la Commission européenne aurait déclaré à la presse le 01/12/2021 qu’elle était favorable à l’abandon du Code de Nuremberg en vue de généraliser, en toute impunité, l’obligation vaccinale dans toute la Communauté européenne. Ce code stipule en effet : » Nul ne peut être soumis sans son consentement à une expérience médicale ou scientifique. »

  3. Je suis convaincu depuis le départ que toute cette histoire ressemble à une machination.
    Souvent je me pose la question du pourquoi. J’ai peut être une réponse, tout cela a été créé à mon sens pour étouffer la montée des nationalismes partout dans le monde. Trump
    en a été la première victime. Ils veulent à tout prix maintenir le mondialisme et il n’est pas
    question de revenir à des pays souverains. Maintenant ce coronacircus est un moyen
    de soumettre les peuples à la peur et la peur est ce qu’il y a de plus facile à inoculer à
    une population. Pfizer avec l’aide et la connivence d’un nombre incroyable d’individus,
    a réussi à créer la Piquouze aux oeufs d’or. Mais cette entreprise qui a déjà été
    condamné pour plus de 8 milliards de dollars, devrait se méfier de l’adage  » bien mal acquis ne profite jamais « .

  4. Merci Monsieur BLATT, pour ce commentaire venant d’un praticien. Votre analyse, qui procède de la constatation de faits, vient confirmer ce qui n’était, en ce qui me concerne, qu’une analyse de « faisabilité ». Je viens de l’aéronautique, secteur dans lequel la « loi de Murphy » est souvent évoquée. Cette loi, (qui n’en pas une au sens scientifique du terme) dit simplement que « toute erreur qui peut être faite sera faite un jour » et ne fait pas de différence entre l’involontaire et l’intentionnel. Elle ne prend en compte que la possibilité technique ou technologique de la réaliser.
    On a longtemps écarté l’hypothèse du pilote suicidaire, mais l’avion de la German Wing montre (entre autres) que c’était une erreur. Il faut reconnaître notre impuissance à déjouer les catastrophes « intentionnelles »

  5. Bonjour, le 6 avril 2020 vous avez publié la première de mes lettres ouvertes :
    https://www.minurne.org/billets/23499
    tout était évoqué, merci Monsieur Goychmann de l’avoir confirmé. Dans mes courriers successifs j’insistais sur le fait que toute thérapeutique alternative avait été systématiquement combattue : hydroxychloroquine, azitromycine, ivermectine, zinc, vitamine D, et bien d’autres : herbe à pic aux Antilles (étude du CNRS de Montpellier), l’artémisine à Madagascar. Peut-on poser la question des faibles taux de contamination en Afrique très peu « vaccinée » et innondée de chloroquine en prophylaxie anti-paludéenne ? La même politique bien orchestrée avait soigneusement occulté toute étude sur les vrais vaccins (au sens pasteurien du terme, comme Sinovac, Covivac, Novavac et bien d’autres) aux profits des injections géniques, dénommées à tord vaccins, avec des effets secondaires … eux aussi soigneusement occultés.Questions essentielles à poser aux candidats du grand cirque qui se profile pour avril 2022. « La politique est décidément une chose trop sérieuse pour être confiée à des politiciens ! » . Excusez la longueur du commentaire. Bien cordialement Dr. A. Blatt
    Je tiens tous mes courriers à disposition de la rédaction.

    • Cher Monsieur, je me joins à Jean Goychman pour reconnaître volontiers que vous avez été l’un des premiers, à avoir des doutes sérieux sur l’origine de cette pandémie et de pressentir une origine accidentelle, voire criminelle.
      Nous aurions d’ailleurs dû ajouter dans l’article un lien vers votre lettre ouverte d’avril 2020. Ce que nous allons faire immédiatement.
      Par ailleurs, vous évoquez d’autres « lettres ouvertes »… que nous n’avons pas reçues. N’hésitez pas, désormais, à nous contacter directement à l’adresse minurne@gmail.com si vous avez d’autres articles à nous proposer.
      Amicalement et encore merci de votre clairvoyance.
      MLS

    • Je suis totalement de votre avis; j’ajoute que en Inde; un produit très efficace et aussi très peu cher a été mis sur le marché, mais comme là il n’y a rien à gagner, il n’intéresse pas les gens de big pharma. Pour finir, il est de plus en plus question d’un procès (Nuremberg 2 ??) destiné à traduire en justice les responsables ayant trompés les populations pour augmenter leurs profit mais aussi soumettre ces populations

  6. La vaccination est la solution final, avec la 5G, les compteurs Linky et les portables, une onde électromagnétique sur la fréquence 666 provoquera l’unification de tous les humains au même instant, c’est-à-dire la perte du libre arbitre.

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