Le « polémiste d’extrême droite » , comme le nomment sans vergogne les médias aboyeurs (bien qu’il ne soit plus « polémiste », et ne fut jamais « d’extrême droite »), fait l’objet d’une plainte de l’association SOS Racisme (dont le président, Dominique Sopo, est lui-même mis en examen pour injures publiques envers Jean Messiha – voir le lien en fin d’article)
Cette officine d’extrême gauche, créée en 1984 au début des années Mitterrand par Harlem Désir et Julien Dray, symbolisée par son slogan-logo accrocheur « Touche pas à mon pote », était supposée « combattre le racisme sous toutes ses formes ». Belle promesse. Mais qui a très vite dévié de son objet pour traquer tout ce qui n’entrait pas dans l’idéologie post soixante-huitarde du gauchisme politiquement correct.
Elle sert aujourd’hui d’arme médiatico-judiciaire pour tenter de déstabiliser ceux qui dérangent, comme Eric Zemmour qui, quoi qu’on prétende, n’a jamais fait commerce d’une idéologie raciste mais n’hésite pas à combattre les faits, les idées et les hommes qui s’acharnent objectivement à détruire la France.
Le peuple français, un temps trompé par ces inqualifiables tentatives de déstabilisation destinées à faire taire et à tuer médiatiquement ceux qui gênent les traitres dans leur sinistre projet de destruction de la France, n’est aujourd’hui plus dupe.
Le réalisateur Gérard Boyadjian vient de réagir pour analyser froidement les raisons profondes de cette plainte, qui n’a qu’une seule vocation : tenter de faire trébucher Eric Zemmour dans le dessein anti-démocratique, totalitaire et subversif de le disqualifier pour la campagne présidentielle.
Vous trouverez en fin d’article l’excellent documentaire (interdit à la distribution) de Gérard Boyadjian « Djihad Judiciaire »
Marc Le Stahler
27 janvier 2022
Réaction de Gérard Boyadjian, diffusée sur les réseaux sociaux, suite à la plainte déposée contre Eric Zemmour pour avoir fait le lien entre immigration et délinquance.
Si le président de l’association SOS-Racisme dépose plainte contre Eric Zemmour (en raison de ses déclarations liées à l’immigration et la délinquance), ce n’est nullement pour les raisons lucratives invoquées.
Le combat est ni d’intérêt pécuniaire, ni d’objet moral.
Le candidat Zemmour a largement les moyens de payer ses innombrables amendes insignifiantes. Par ailleurs, S.O.S Racisme ne vit QUE sur les deniers de l’ETAT. C’est à dire nos impôts !
Encore moins moral, le candidat Zemmour n’est pas dans un propos dit moral, S.O.S Racisme n’a que faire du « racisme ». Hors sujet !
LE SUJET PRINCIPAL, MAJEUR, FONDAMENTAL est : comment déplacer institutionnellement le combat politique sur le terrain judiciaire.
Les Français, dans leur immense majorité, savent désormais que ces officines communautaires ne luttent pas contre le racisme. Il s’avère même qu’elles sont devenues, en réalité, l’un des premiers vecteurs de ce qu’elles prétendent combattre.
Quel paradoxe. Quelle déroute. Quelle imposture.
Ces officines sont gavées de subventions (S.O.S RACISME, LICRA, etc…). Parfois jusqu’à un demi-million d’euros. Autant dire que leurs fonctions premières ne consistent pas « à saupoudrer » davantage les privilèges de leurs cadres déjà bien engraissés.
Elles sont d’une part « le bras gauche » (dit « culturel et humaniste ») du pouvoir en place, qui les rémunère grassement. D’autre part, ce bras gauche s’appuie sur le bras droit (dit répressif et légaliste) : la justice française, dont l’inclinaison manifeste et assumée de la magistrature ne fait pas de doute.
Le rôle réel, primordial, de ces officines consiste dans un premier temps à harceler judiciairement tous ceux qui oseront formuler ou soutenir un propos contraire à ce que l’idéologie dominante détermine comme acceptable ou inacceptable (Zemmour, Houellebecq, Cassen, Camus, Bensoussan, etc…). Ce sont en quelque sorte, « les nouvelles milices » du politiquement correct.
Dans un deuxième temps, lorsqu’elles arrivent à obtenir des condamnations judiciaires (complaisantes pour ne pas dire en collusion frauduleuse), elles permettent de créer ces antécédents juridiques suffisamment préjudiciables en amont, pour que, le cas échéant, elles puissent servir de levier, de censure, d’exclusion, d’interdiction…
En aval…
On le voit aujourd’hui parfaitement avec le cas Zemmour : (comment pourrait-on porter au suffrage universel quelqu’un qui a été condamné pour incitation à la haine ?)
Evidemment, parallèlement, tous les rappeurs qui incitent le plus explicitement possible à la violence, tous ces pseudos artistes vraiment injurieux mais faussement transgressifs (étrangement financés par les pouvoirs qu’ils dénoncent), n’ont jamais aucun problème avec notre justice.
Eux bénéficient systématiquement des largesses de la sainte liberté d’expression !
Zemmour (et d’autres) ne mène pas seulement ce combat politique crucial, déterminant, que les autorités veulent réduire au silence, sans oser directement le lui confisquer. Il met en exergue la réinstauration du délit d’opinion.
Les officines sont là pour le sale boulot. Le candidat Z a le mérite, parfois malgré lui, d’imposer les thèmes les plus controversés, de poser sur la table ces sujets brulants que ses contradicteurs mettent volontairement sous le tapis depuis des décennies.
Il confronte frontalement cette magistrature dévoyée qui, dans une acrobatie mortifère, en est piteusement arrivée jusqu’à protéger les voyous, les violents, les vermines, les bourreaux… Pour mieux abandonner les victimes.
Les autorités françaises auront réussi la prouesse inimaginable de trouver des circonstances atténuantes à Abdeslam (auteur des attentats du Bataclan) mais n’ont jamais montré aucune empathie pour Patrick Jardin (dont la fille fut assassinée par ces même terroristes).
OUI, nous vivons un moment historique ! Un moment où les artistes soumis, les pouvoirs politiques vendus et les juges rouges s’associent et se concertent, à l’abri et contre tous les principes démocratiques et républicains, pour condamner la pensée et réduire la parole en silence.
Le tout, LÉGALEMENT.
Si vous voulez savoir qui est subversif, qui bouleverse l’échiquier, qui fait preuve d’audace, demandez-vous toujours et d’abord qui est l’accusé ? Ensuite, cherchez qui l’accuse !
Vive la République, comme dirait l’autre, mais surtout, surtout… VIVE LA FRANCE !
Gérard Boyadjian
27 janvier 2022
Nous n avons plus droit a la parole tout est permis pour eux les Français sont trop gentil sa commence a être lourd.vive MARINE VIVE ZEMMOUR
Le film, chiant et ne sert pas vraiment la cause de la lute contre l’Islam. Il aime un peu trop se voir dans le miroir et s’ecouter parler …. dommage !
Il est certain qu’ils ne peuvent pas abattre Éric ZEMMOUR avec les idées : ils n’en ont pas à part Pécresse et le » NutriScore sur le fromage en portions pour dissuader les Français de manger du fromage » . UN VRAI PROGRAMME PRÉSIDENTIEL ! Alors, pour éliminer le candidat de RECONQUÊTE il ne reste que les procès staliniens et ça, nos juges, ils connaissent parfaitement !
J’apprécie votre article,il est le reflet de mes pensées.
J’adhère complètement au constat de Gérard Boyadjian il dénonce avec clairvoyance et courage l’enfumage dans lequel nous baignons .Une remarque au passage sur les esbroufeurs que sont les derniers pacsés Aymeric Caron et Mohamed Mélanchon .Ils se rejoignent pour une noble cause ,lutter contre la cruauté faite aux animaux ,j’aimerai qu’ils nous expliquent comment ils vont faire pour expliquer et interdire à leurs électeurs musulmans qu’ils doivent cesser l’abattage halal,
« la Dhabiha » dicte que l’animal doit être conscient et égorgé vivant la tête tournée vers la Mecque?
Je souscris sans retenu à vos propos mais les musulmans sont couverts et continuerons à pratiquer les obligation rituel islamiques pour une raison simple, que d’ailleurs Caron et Mélenchon ne soulèveront jamais, la raison est qu’il faudrait interdire tous les abattages rituels et cela concernerait aussi les juifs religieux….Vous imaginez ? L’abattage rituel a été autorisé et c’est dans la constitution de la 5ème République dès 1958, alors il y avait très peu de musulmans en France, cette entorse aux principes les juifs religieux la devait à Michel Debré « le père de la constitution gaullienne » ors Michel Debré converti au Catholicisme avait un grand Père Rabbin qui avait été en son temps grand Rabbin d’Alger…On comprendra pourquoi les musulmans rigolent car on ne peut toucher à l’abattage rituel Halal que si l’on touche à l’abattage rituel Cacher !
Evidemment les juges s’en donnent à cœur joie avec Eric Zemmour. Lui même, de son côté, ne se prive pas de dénoncer dans les médias la dictature des juges. Provocation insensée ? Ou calcul délibéré ? Si le Parquet essaie de lui refaire le coup de Fillon, il aura beau jeu de dire que cette tentative de l’éliminer de la course à l’Elysée est la preuve de de ce comportement dictatorial. Espérons le du moins…