Chanson pour la paix des races (1)
(Chanson librement inspirée des « Trompettes de la renommée » de Georges Brassens)
Je vivais à l’écart de la place publique,
Serein, contemplatif, franchouillard bucolique…
Refusant de céder à la modernité,
Demandant simplement qu’on me fiche la paix.
Oui mais c’est très tendance, surtout chez les « bobos »,
Que de vilipender ces pauvres hétéros.
Ils me conseillèrent donc, en opinant du chef,
Que mon « coming out » je fasse derechef.
Refrain :
Lobby des LGBT,
Cessez donc de nous bassiner !
Il eut alors fallu, pour complaire à ces « tantes »
Que j’adopte aussitôt la jaquette flottante,
Délaissant la femelle, au profit des gitons,
Et autres sodomites, qui deviennent légion.
Il y en a partout et dans tous les médias,
Ils sont incontournables, aussi, au cinéma.
Or, j’en ai plus qu’assez du « gay » omniprésent,
Bien triste illustration d’un monde décadent.
Refrain :
Lobby des LGBT,
Faites-vous donc un peu discret !
Que ça leur plaise ou non, je n’ai nulle intention,
D’adopter les manières de ces nouveaux « mignons »
Et de me déhancher comme une jouvencelle
Et prenant tout à coup des allures de gazelle ?
Ne soyons pas naïfs, ça profite à ces drôles
De jouer le jeu d’l’amour en inversant les rôles.
Ça confère à leur gloire une once de plus-value :
Certains gagnent leur vie juste en prêtant leur cul.
Refrain :
Lobby des LGBT,
Arrêtez-donc vos simagrées.
L’exemple vient de haut : on sait qu’à l’Elysée,
L’inverti frétillant peut y venir danser.
L’avorton et sa duègne tolèrent ces singeries
Qui discrédite encore un peu plus le pays.
Mais Macron est content de choquer le bourgeois :
Il déteste la France, méprise les « Gaulois ».
Ces Franchouillards honnis, patriotes et cathos,
Qui ont le mauvais goût d’être aussi… hétéros.
Cédric de Valfrancisque
19 février 2022
1)- Veuillez excuser cet humour de garçon de bains mais l’auteur, que je connais bien et depuis longtemps, n’a pas une once d’homophobie. Il n’a rien contre les LGBT tant que ces dernier(e)s ne font pas de prosélytisme et ne deviennent pas trop envahissant(e)s ; en clair, point trop n’en faut !
(Note de l’éditeur).
Si à la télévision tu ne vois pas une gouine, un pédé, un noir ou un arabe, c’est qu’elle est éteinte.
Me revoilà.
Quelle belle chanson, Cédric ! Puis-je vous répondre par un poème écrit d’après une autre chanson ? Celui-ci s’appelle « Résistance » et j’en ai d’autres sur le même thème :
Un grand soulèvement souffle sur toute la France
Le peuple est en colère et envahit les rues
Depuis le pays basque jusqu’en Haut-de-la-France
Par dizaines de milliers, oh ! oui ils sont venus
Puisque les députés ne veulent rien entendre
Martel réveille-toi, la France n’est pas à vendre.
Toi, petit Charles, t’as raison tu rigoles
Depuis la basilique cathédrale Saint Denis
Quand tu vois ce vieil homme bien venu du Chili
Une famille musulmane abritée dans ses plis
Toi, petit Charles est-ce qu’au moins tu frissonnes
En voyant ce que peut faire toute la macronie
En confinant le peuple au sein de l’hexagone
Pour une pandémie qui frise la tyrannie.
Où sont passés les chemins de Saint Jacques
Ceux que parcourent les pèlerins bien chrétiens
Tout a changé, et la France tout entière
Se transforme peu à peu en véritable enfer
Ô petit Charles, toi le maire du Palais
Qui fut homme d’État et puis duc des Francs
Fais que la France soit de nouveau étoilée
Et que nous puissions vivre libres et conquérants
Ô petit Charles, toi qui fus un prophète
Combattant la racaille du côté de Poitiers
Apprends donc aux Gaulois à relever la tête
Là-haut, dans l’Élysée, il est devenu fou.
Eric a décidé avec sa « Reconquête »
Comme l’ont fait dans le temps les Ibères
Son élection verra une grande fête
Les migrants n’auront plus qu’à se taire
Alors, élisons-le ! Et levons nos drapeaux
Défilons dans nos rues au pas de nos chants
Et s’ils ne veulent pas y laisser leurs peaux
Les Africains repartiront sur le champ.
Où sont passés les chemins de Saint Jacques
Ceux que parcourent les pèlerins bien chrétiens
Tout a changé, et la France tout entière
Se transforme peu à peu en véritable enfer
Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaine
Ami, entends-tu les cris sourds du pays qu’on enchaîne