Soigneusement orientés de façon à cadrer le COVID et la guerre en Ukraine, après un intermède sur les élections, les projecteurs de l’actualité ont laissé dans l’ombre les choses importantes. On a ressorti de la remise où il avait été entreposé le vieux clivage droite/gauche – législatives obligent – vestige d’un feuilleton politique s’étendant sur trois générations.
Autant de paravents pour masquer ce que nous ne sommes pas censés voir.
UN SUJET INTERDIT ?
Pourtant, le tunnelier du « Great Reset » a continué son avance régulière, forant sans bruit le tunnel de la transition vers le monde qu’on veut nous imposer à notre insu. Nous venons de vivre durant plusieurs mois une campagne électorale sans qu’aucun des douze candidats à l’élection présidentielle n’ait abordé ou simplement évoqué la grande « réinitialisation » décrite par Klaus Schwab et Thierry Mailleret dans leur livre. A leur décharge (relative) aucune question non plus ne leur a été posée à ce sujet, comme si une sorte de « gentlemen agreement » avait été tacitement conclue entre eux et les médias.
UN PROJET ESSENTIEL POUR LE FUTUR
Le sujet abordé est extrêmement important, voire capital pour l’ensemble de la planète, et Klaus Schwab n’est pas n’importe qui.
Fondateur du World Economic Forum, plus connu sous le nom de Davos, il a l’oreille de tout le monde économique et chaque année (ou presque) se réunissent à Davos plus de 1 500 personnes qui, à elles-seules, régissent l’économie mondiale.
Mais Klaus Schwab a également réuni un sérail de personnalités politiques influentes dans le monde occidental et il n’en fait pas mystère.
Celles-ci proviennent de deux filières différentes, le WEF et les YGL, ces derniers étant les Young Global Leaders. On y trouve notamment Emmanuel Macron, Ursula Van der Leyen et Justin Trudeau. Bref, rien que du beau monde…
Il est donc plus qu’étonnant que le Great Reset n’ait pas eu le droit de cité durant ces derniers mois. Ajoutons aussi, mais c’est juste pour la petite histoire, qu’à la réunion de Davos en 2020, on vit apparaître un certain Volodimir Zelenski, qui semblait en particulièrement bons termes avec le maître de céans. Pourtant, certains hommes politiques ont bien essayé d’éveiller l’attention des gens sur les dangers pour nos libertés que contenait ce programme. Philippe de Villiers et François Asselineau furent de ceux-là, et d’autres probablement, mais qui n’ont pas bénéficié de l’éclairage des médias, dont les principaux se targuent notamment de fournir une information complète et objective.
Il y a bien eu quelques séquences télévisées qui sont restées discrètes. On peut se demander pourquoi car il s’agit bien d’une refonte de notre société.
QUELLES MESURES SONT PRÉVUES ?
Elles sont citées dans le livre, mais relativement peu de gens l’ont lu. Il est vrai qu’il est assez « aride » et peut déconcerter rapidement le lecteur. Heureusement, certains sites comme France-soir ou le Courrier des stratèges, ont publié des analyses assez complètes et plus simples à lire.
Pour n’en citer que quelques unes, il s’agit de faire disparaître la monnaie dite « liquide » en la remplaçant par une monnaie électronique dont les banques centrales auront le contrôle.
A terme, l’artisanat et les petites entreprises devraient disparaître, au profit des grandes multinationales.
La propriété privée est également appelée à disparaître et tout appartiendrait à la collectivité.
La 4ème révolution industrielle affectera l’essence même de l’expérience humaine
UN PROGRAMME « COLLECTIVISTE » FONDÉ SUR LA REDISTRIBUTION GLOBALE
Toutefois, cette redistribution ne concernera pas les « hyper-riches » mais se traduira essentiellement par l’appauvrissement des classes moyennes.
Trois passages importants éclairent la réalité du projet qui est un changement complet de notre civilisation, capitaliste et individuelle :
Le premier se trouve page 87 (1.3)
« Avant tout, l’ère post-pandémique inaugurera une période de redistribution massive des richesses, des riches vers les pauvres et du capital vers le travail. Ensuite, la COVID-19 sonnera probablement le glas du néolibéralisme, un corpus d’idées et de politiques que l’on peut librement définir comme privilégiant la concurrence à la solidarité, la destruction créative à l’intervention gouvernementale et la croissance économique au bien-être social. Depuis quelques années, la doctrine néolibérale tend à perdre en puissance, de nombreux commentateurs, chefs d’entreprise et décideurs politiques dénonçant de plus en plus son « fétichisme du marché », mais la COVID-19 lui a porté le coup de grâce. »
Et le second, page 115 :
« L’activisme des jeunes se développe dans le monde entier, révolutionné par les médias sociaux qui augmentent la mobilisation dans une mesure qui aurait été impossible auparavant. Elle prend de nombreuses formes différentes, allant de la participation politique non institutionnalisée aux manifestations et protestations, et aborde des questions aussi diverses que le changement climatique, les réformes économiques, l’égalité des sexes et les droits des LGBTQ. La jeune génération est fermement à l’avant-garde du changement social. Il ne fait guère de doute qu’elle sera le catalyseur du changement et une source d’impulsion critique pour la Grande réinitialisation.»
Enfin, concernant les entreprises (page 219), la cerise sur le gâteau :
« Cela laisse supposer que les grandes entreprises deviendront plus grandes tandis que les plus petites diminueront ou disparaîtront. Une grande chaîne de restaurants, par exemple, a de meilleures chances de rester opérationnelle car elle bénéficie de plus de ressources et, en fin de compte, d’une concurrence moindre à la suite des faillites de plus petits établissements.»
D’une façon plus générale, s’appuyant sur une étude réalisée à l’Université d’Oxford (page 177), les auteurs nous annoncent une diminution radicale des emplois (86% dans les restaurants, 75% dans le commerce, 59% dans le divertissement) vers 2035 et en raison de l’automatisation nécessaire afin d’éviter les contagions.
POURQUOI CE PROJET N’EST-IL PAS ÉVOQUÉ DANS LA VIE PUBLIQUE ?
De deux choses l’une : soit il est complètement loufoque et il ne sera jamais réalisé, soit il rencontre l’assentiment de nos dirigeants (apparents et occultes) et, en vertu des principes démocratiques et des valeurs de la République constamment invoqués, les médias qui se targuent de la liberté de parole devraient, dans tous les cas, nous en informer.
Il s’agit quand-même – excusez du peu – de l’avenir de notre société, voire de notre civilisation et de celui de nos enfants. Devons nous laisser faire ces gens sans même être consultés ?
La campagne présidentielle aurait pu (et aurait dû) être un cadre tout désigné pour parler de ces problèmes. Pourquoi cette mise à l’écart ? Plusieurs centaines d’interviews, de débats, de présentation de programme et… pas un mot n’a été prononcé.
En général, taire certaines choses n’annonce rien de bon, à moins que notre capacité à comprendre ne soit mise en doute, ce qui est probablement le cas.
Sommes-nous arrivés à ce point que toute allusion à des projets non clairement exposés en toute transparence n’entraîne que l’opprobre et l’universelle taxation de complotisme ?
On parle beaucoup de liberté d’expression, du devoir prioritaire d’information, de démocratie…
Ne serait-ce pas le moment idéal de montrer que, derrière ces mots, il existe une réalité ?
Jean Goychman
12 mai 2022
parce que personne ne voudra ne plus être propriétaire
c’est du n’importe quoi.
Mais calorifère ❓ non, je plaisante mais je suis parfaitement consciente de l’horreur rampante, voire galopante à présent, que vous décrivez et analysez très bien. Trop de dupes… Pas assez de courageux (même s’il y en a tout de même quelques uns ).
Ces élucubrations ne sont qu’une utopie de plus.On a vu bien pire après la »Révolutioin » française. On a eu Babeuf, qui n’a pas fait long feu. Mais on a eu mieux avec les Phalanstères de Fourier. Il avait constaté que les femes laides avaientdu mal à trouver des compagnons, et que les hommes mal fichus et malingres avaientdu mal à trouver des femmes covenables sius tousjnrapports. Donc dans les phalanstères, les chambres à coucher dece dames devaient rester ouvertes et un système de tourniquet avait étév mis enplace pour que chaque soir, un homme différent passe la nuit avec un femme donnée. Ainsi était rétablie une »’justice »’ que la Nature seule ne pouvait corriger.donner. Les hommes laids, malades, scrofuleux, bêtes, povaient ainisi cicher avec des femmes normalement jolies, ce qui satisfaisait clairement les égalitaristes forcenés de l’entourage habituel des dingues à la Robespierre. Las ! la Nature se chargea de réamener tpout ce petit monde frelaté aux réalités. Des épidémies pathétiques de syphilis se déclarèrent ra pidement dans les phalanstères, qui décimèrent cruellement le cheptel féminin de qualité.
Cette catastrophe de première grandeur fut évoquée dans la Préface du tome 1 de l’ouvrage de Toussenel (disciple principal de Fourier) intitulé »Les Juifs, rois de l’époque ». Toussenel décrit en effet, dans cette préface, le martyre dune de ces femmes publiques forcées gratuitement en relatant le matyrure de ‘lune d’elles, tombée gravement malade dès ses 35 ans et qui mourut misérablement duns syphilis carabinée, âgée à peine de quarante ans….
Les idées tordues de SCHWAB sont brenneuses, dignes d’un grand malade mental qui fait fi des lois naturelles éternelles qui régissent les sociétés humaines. Ce ne sont pas des bouts de papier où est écrit le mot »dollar » qui pourront arrêter la nature le jour où elle se vengera. Car cette vengeance se produira à une tout autre échelle que l’impression des bouts de papier qualifiés de »dollars ».
Bonsoir.Pige pas les reactions de demence de cette momie juive-kazar qui veut dominer le monde .QUESTION PRIMORDIALE , kennedy l’homme le plus puissant de la planete a son époque fut assassiné par l’etat-profont americain a cause de certains desacords surement sur le fric de l’armement de l’epoque et soit disant par un fou qui fut ensuite assassiné par un autre fou .
Question ?
Un nazi pseudo francais ayant pris le pouvoir avec des complicites du conseil dit d’etat et du ministere de l’interieur truquant les votes , est un grand specialiste du Rivotril ayant ordonne en debut 2020 d’assassiner un nombre parait’il monstrueux de nos ainés dans les hepads de france et de Navarre , pourquoi en toute fraternati d’idées le nazillon elyséen n’enverrait’il pas a la momie nazie allemande SCHWAB un flacon rempli de cet elexir d’amour » abbelé Riboddrrriiilll !!!! » , un petit cadeau entretien l’amitié , le personnage elyséen devrait y reflechir , faudrait guelgun qui sggesdionna la berzonne de l’elysée …..
Bonne idée. Il est une constante dans l’Histoire, tant qu’ils sont encore loin du pouvoir suprême parce que leur projet n’est pas suffisamment avancé, ils s’entendent bien. Dès qu’ils s’en approchent, les couteaux et les poisons (aujourd’hui la délation dans la presse) sortent et le carnage commence jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un (une).
Aucune tentative de création d’un empire mondial n’est jamais arrivée à terme, Chine, islam,Charlemagne, Napoléon, Lénine et Staline, Hitler… Les candidats actuels sont toujours l’islam, Xi Jinping qui veut le monde Han et communiste pour 2049, et les multiples crétins diplômés, les « ânes à mémoire de cheval » de Charles Gave.
Ceux-là, malgré leurs certitudes affichées d’être les plus intelligents du monde, Macron a dit qu’il était mal compris parce que son intelligence est « trop complexe » ! Mais pour qui ? Il y a en France selon une estimation Wessler (spécialiste du QI), environ un millier de personnes avec un QI de 150+ (au delà les évaluations sont aléatoires). Macron avec le même test est à environ 135.
Ces jeunes godelureaux sélectionnés par Klaus Schwab et dont beaucoup marchent à la cocaïne, ont un niveau intellectuel et culturel moyen trop faible, même en meute, pour réussir leur coup d’état qu’ils ont baptisé « agenda 2030 ». Ils provoqueront seulement des révoltes sanglantes dont ils seront les premières victimes. Probablement sur le modèle « convois de la liberté », mais armés.
À leur place, ce n’est pas des plus bruyants et prétentieux d’entre eux que je me méfierais, mais de Jacinda Ardern. Jacinda est comme une chatte sous le fauteuil, allongée, les pattes avant repliées sous sa poitrine, les yeux mi-clos. À un mètre de là, la souris passe la tête hors de son trou pour voir si la voie est libre. En une fraction de seconde une grosse patte griffue est sur sa tête et l’arrache de son trou. C’est ça Jacinda, un fauve, si gentil au repos. Les autres ne sont que des chacals hurleurs qui se sauvent en courant au moindre danger, comme Justin Trudeau quand le convoi de la liberté est entré dans Ottawa. Manu est comme lui, il fuira si ça tourne mal. Pas Jacinda.