SOMMES-NOUS EN MARCHE VERS UN REGIME TOTALITAIRE ? (par l’Imprécateur)

C’est officiel, il n’y pas de KGB en France, pas de censure, pas de dictateur.

Seulement une odeur de pourriture politique ; une police politique et une seconde police, religieuse celle-là ; des Torquemada de la pensée et un semblant de chef qui se mêle de tout, parle de tout, interdit que l’on annonce quoi que ce soit car lui seul est habilité à le faire, place ses copains à des postes juteux, entretient ses maîtresses aux frais des contribuables, bafoue les lois sur le financement de ses campagnes électorales et truque ses déclarations fiscales sans que les autorités à ses ordres osent lui en faire la remarque ; utilisant Justice, Police, Armée et Presse au service de ses réélections à venir.

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Commençons par le plus surprenant : ces deux polices, la politique et la religieuse. Aucune des deux n’existe officiellement, cela va de soi. Pourtant c’est bien une forme de police politique qui se met en place avec la multiplication des lois sanctionnant la parole et l’écrit, permettant à l’État par ses relais associatifs subventionnés ou, plus rarement, officiels de tenter de mettre hors du jeu social et médiatique ses opposants, alors que les amis supposés de l’État socialiste peuvent dire ou écrire les pires horreurs sur les membres de l’opposition sans risquer autre chose qu’une réprimande ou 1 € symbolique d’amende.

Les activités de ces services de police non-officiels, comme le « cabinet noir de l’Elysée » (qui n’existe pas, comme chacun le sait), sont en charge de la répression de toute expression révélant ce qui pourrait nuire aux actes et prises de position du prince, justifiant ce faisant l’affirmation selon laquelle « La liberté d’expression est bien souvent la première des libertés éliminées dans les régimes totalitaires » (L’incitation à la haine – Caroline Scagliola-Laverdet et Anne-Gaëlle Lefebvre).

Cette police politique est particulièrement perverse dans sa forme ordinaire, Tocqueville en avait décrit les effets dès 1835 : « Avant de publier ses opinions, il croyait avoir des partisans ; il lui semble qu’il n’en a plus, maintenant qu’il s’est découvert à tous ; car ceux qui le blâment s’expriment hautement, et ceux qui pensent comme lui, sans avoir son courage, se taisent et s’éloignent. Il cède, il plie enfin sous l’effort de chaque jour, et rentre dans le silence, comme s’il éprouvait des remords d’avoir dit vrai. » (De la démocratie en Amérique).

La police religieuse se manifeste de deux manières. La première par la présence dans de nombreuses villes de petits groupes d’islamistes qui circulent et notent tout ce qui leur paraît contrevenir aux principes et lois de la charia. Ils pensent que ces notes leur serviront à n’oublier personne le jour où, la charia ayant été instaurée en France, ils auront à soumettre ou égorger tous les mécréants. Pour le moment, elle intervient rarement directement, au moins en France. Mais ce n’est pas le cas en Belgique, notamment à Anvers où elle patrouille quasi officiellement dans les rues des quartiers les plus islamisés, réprimandant les filles trop peu couvertes à ses yeux et les ivrognes. De même à Wuppertal en Allemagne ou devant le tollé, les autorités ont fini par l’interdire.

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Police salafiste à Wuppertal

Il y a cependant, en France même, quelques cas d’interventions immédiates, comme cette agression dans un TER d’un homme qui mangeait son sandwich au jambon et fut accusé « d’offenser les autres passagers de religion musulmane » avant d’être copieusement passé à tabac.

La seconde, c’est l’utilisation abusive du droit, comme l’article 24 alinéa 8 de la loi de 1881 qui condamne « l’incitation à la haine raciale« , étrange formule dans une société qui nie l’existence des races, et qui, telle qu’elle est mise en application par certains membres de la justice française, ne vise en fait à protéger que la seule religion musulmane de toute critique, alors que la base de la laïcité française depuis la Révolution a été de critiquer sans limites la religion catholique, toujours dominante dans le pays, et de mettre le judaïsme dans les clous.

Il n’en est apparemment pas question quand il s’agit de l’islam, sous le prétexte, très raciste ouvertement déclaré et pratiqué par de nombreuses associations, que cette religion est, en France, majoritairement portée par des Africains. Si bien que les citoyens français ont le sentiment que ce ne sont pas l’article 19 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, l’article 11 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, et l’article 10 de la Convention européenne des droits de l’Homme qui sont appliqués par une certaine justice, mais l’article 22 de la déclaration des Droits de l’Homme en Islam, votée au Caire en 1990 par les 57 pays membres de l’Organisation de la Coopération Islamique : « Tout homme a le droit d’exprimer librement son opinion, pourvu qu’elle ne soit pas en contradiction avec les principes de la Charia ». Nous en connaissons quelques victimes qui heureusement ne cèdent pas à cette forme d’oppression totalitaire : Eric Zemmour, Christine Tasin (Résistance Républicaine), Pierre Sautarel (Français de Souche), Pierre Cassen (Ripose Laïque), Maurice D. (Minurne), Xavier Raufer (criminologue), voire Dieudonné ou Brigitte Bardot, Radio Courtoisie, RCJ (radio juive), C dans l’air et quelques autres (1) !

Ces deux polices sont l’expression active du totalitarisme rampant qui menace la société française et dont certains Torquemada de la pensée se font les chantres. Ceux-là consacrent une partie de leur temps et de leurs journaux à justifier et innocenter des criminels, l’autre à poursuivre de leur mépris et de leur haine tous ceux qui ne pensent pas comme eux. Rien de plus médiocre que ces Mouchard pour qui le socialisme est devenu une mangeoire et le règne de Hollande un bureau de placement. Ils appliquent à la lettre le principe révolutionnaire « Pas de liberté pour les ennemis des libertés » (Louis-Antoine-Léon Saint-Just), mais ne supportent pas que l’on retourne contre eux la formule quand ils se comportent quotidiennement en ennemis des libertés fondamentales que sont la liberté de penser, de critiquer et de s’exprimer. Dans son arrêt Cohen v. California de 1971, la Cour suprême des Etats-Unis a affirmé que « de la liberté de parole et d’expression dérive celle de la dignité et de la liberté de choix« , mais ces ilotes l’ignorent.

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C’est là la question : A-t-on encore le droit en France de penser librement et de choisir librement ses options politiques ou religieuses (ce qui est interdit si l’on est musulman), de faire valoir sa dignité de citoyen français quand le pouvoir politique en place et sa presse subventionnée nous intiment l’ordre de ne critiquer ni l’idéologie socialise qui a produit Robespierre, Staline, Mao, Honecker, Ceausescu, Milosevic, Pol Pot et quelques autres, ni une religion au nom de laquelle des jeunes gens tous décrits comme « gentils, serviables, souriants, « normaux » (sic) » (2) ont sorti subitement kalachnikovs et poignards à égorger pour tuer au nom d’Allah des dizaines de citoyens qui avaient pour seul tort d’être juifs, militaires, chrétiens ou « blancs ». Sans oublier les dizaines de milliers qui sont dans les États où la charia est la constitution, qui au nom de cette même religion sont arrêtés, torturés, crucifiés, pendus, égorgés, brûlés à l’acide, fouettés, brûlés vifs, lapidés, amputés, jetés vivants du haut d’immeubles ou de falaises, décapités. Une religion dont la loi suprême donne un statut juridique et civil inférieur aux femmes et aux non-musulmans, et condamne à mort les apostats et les homosexuels. Une religion dont les autorités religieuses de l’une des sectes, le sunnisme salafiste et wahabite, nous affirment qu’il est impossible de changer un seul mot de sa loi fondamentale, parce que ce serait la parole immuable de son dieu.

Source juridique : http://www.e-juristes.org/wp-content/uploads/2010/02/incitation-à-la-haine-Laverdet-Lefebvre.pdf

(1) Brigitte Bardot réclamant que les animaux tués par les musulmans soient étourdis avant d’être égorgés pour avoir écrit dans une lettre au gouvernement au sujet de l’Aïd el- Kebir musulman : « Il y en a marre d’être mené par le bout du nez par toute cette population » : 15.000 euros « pour incitation à la haine envers la communauté musulmane » ; C dans l’air (TV5) pour le titre de l’émission « Délinquance : la route des Roms » : une lettre de réprimande du CSA.

(2) – Merah : « C’était quelqu’un de généreux, calme, très gentil. » Bilan : 7 morts, 6 blessés.
Nemmouche : « Quelqu’un de gentil, d’intelligent, serviable, poli. » Bilan : 4 morts.
Les 2 frères Kouachi : « Des gamins inoffensifs », selon l’éducateur Patrick Fournier, qui a « du mal à imaginer que ces gamins, qui ont été parfaitement intégrés, puissent comme ça délibérément tuer ». Bilan : 12 morts, 11 blessés.
Coulibaly : « Un homme gentil », disent les anciennes clientes de son club de fitness, « en qui elles avaient confiance ». Bilan : 5 morts, 10 blessés.
Sid Ahmed Ghlam : « « Il est serviable, il est gentil. » Bilan : 1 mort.
Yassin Salhi : son épouse, au micro de RTL, l’assure : « Nous sommes des musulmans normaux. » Bilan : 1 mort, premier égorgé-décapité sur le territoire français. (Déclarations recueillies dans la presse par Jean Aubanel)

L’Imprécateur

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