TRANSGENRISME ET DÉCADENCE (RD)

Ce texte à la fois triste et plein d’humour nous a été adressé par un lecteur. Il est anonyme, mais il nous a semblé utile de le diffuser. Plus qu’un long plaidoyer, il évoque avec talent la folie décadente,  destructrice et dégénérescente du monde actuel, perdu entre LGBTS, wokisme, apologie et même enseignement à l’école des déviances minoritaires, un un mot la perte de tout repère distinguant l’homme de l’animal…
Courte plongée dans la folie de 2022, vue par un terrien redevenu lui-même – c’est à dire normal (1) – en 2040 (mais ce n’est qu’un espoir, hélas)…

MLS

(1) L’adjectif « normal » étant considéré comme une horrible injure par les déviants de tous ordres… Les thuriféraires de la décadence considèrent en effet que la normalité est une invention perverse du capitalisme masculin blanc et esclavagiste (je dois en oublier).
« Jouissons sans entraves », mes amis, et « Soyons réalistes, demandons l’impossible », comme ils criaient derrière Cohn Bendit en mai 1968, mots d’ordres imbéciles aujourd’hui récupérés par les Nupestiférés.

 

 


En 2040, la mode actuelle du transgenrisme devrait avoir pris fin.

Les jeunes hommes de 20-30 ans qui se sont fait raboter le moineau et pousser des seins commenceront à avoir les cheveux qui tombent. Et l’atroce vérité éclatera alors autour d’eux. Au départ, les voisins diront « tu ne trouves pas qu’elle ressemble à un…. ». Et puis l’évidence…

Le problèmes des jeunes contaminés par le transgenrisme est le faux miroir tendu par les réseaux sociaux. Ces personnes en quête d’identité, mal dans leur peau et dévorés par l’envie d’appartenir à un groupe ne voient, du transgenrisme, que des photos. Ou de courtes vidéos. Où l’illusion est parfois parfaite. Or les gestes, la voix, les mimiques trahissent toujours le sexe d’origine. Mais ça les jeunes post-ados, drogués aux réseaux sociaux, ne les voient pas, ces « expressions de genre » qu’il est impossible de cacher. On peut se faire pousser des seins payés par la Sécu et se faire ravaler la gueule à coup de FFS (Chirurgie de Féminisation Faciale), aucun homme n’arrivera jamais à se mouvoir, à parler, à regarder, à sourire comme une femme.

J’ai d’ailleurs vécu l’expérience il y a quelques temps de cela. « Une » photographe bien connue sur la scène nantaise, était « présente » sur une scène de reportage. Belle plante, magnifique « femme » au corps divinement proportionné ! Nous étions quelques journalistes assis à écouter un compte-rendu d’audience. Celui-ci prend fin, la journaliste se lève et là… l’évidence est apparue aux yeux de tous ! Affublée d’un masque anti-COVID sur le visage, elle se voit contrainte de l’enlever pour poser une question et…

Aïe ! La tronche ! La mâchoire ! Les gestes ! Le façon de se mouvoir ! La voix faussement femme ! Gêne dans la salle, tout le monde avait compris. Lui aussi. Personne n’écoute plus la réponse du procureur. Tout le monde ne regarde que « lui ». Effarés. Le proc’ y compris. Nous nous étions tous fait prendre !

L’illusion était parfaite mais il n’aurait pas fallu que ça bouge et que ça cause, en fait.

Donc en 2040, une bonne partie des transgenres hommes vers femme actuellement dans la magnificence de leur jeunesse, auront déjà une partie du ravalement à refaire. Et puis la mode aura changé 15 fois d’ici là. Ce qui est sur c’est que le féminisme casse-couille et l’androgynisme seront vraiment le signe des années 20, les années bien craignos. On en parlera en se rappelant la dinguerie de cette période et en se foutant de la gueule de ceux qui sont restés scotchés à cette époque. Un peu comme on se marre aujourd’hui en voyant un vieux en santiag et banane avec la tronche à la Dick Rivers.

On rigolera bien fort du vocabulaire employé durant les « années dingues » également. Parce que si l’on se souvient des années 1920 comme des « années folles », on se souviendra des années 2020 comme des « années dingues » ! Hélas !

Les femmes devenues hommes auront, elles, des poils partout. Leur horloge biologique de femme leur aura rappelé qu’il est grand temps de faire des enfants. Parce que ces dames ont beau être de solides et zélées gauchistes, leur horloge biologique sonnera quand même. Hélas, elles se seront tellement abîmé la tuyauterie à coups d’hormones virilisantes et de testostérone puissance poney qu’elles découvriront leur stérilité sur le tard. Et puis, comme les vieux rockeurs à rouflaquettes, personne ne voudra grimper dessus pour leur faire un môme.

Le côté guenon poilu croisé avec un camionneur de chez Norbert Dentressangle, il faudra vraiment avoir faim… Sachant que la GPA et la PMA auront été abolies depuis fort longtemps, ces dames à barbes n’auront que leur psy pour pleurer. Et leur chat.

En 2040 la question du transgenrisme sera d’ailleurs décrétée « grande crise sanitaire nationale ». Car personne ne deviendra plus transgenre, la mode étant passée, mais les naufragés qui avaient 18-30 ans dans les années 20 commenceront à peupler les urgences psychiatriques. Vies gâchées. Erreur de jeunesse aux conséquences terrifiantes. Pire que de se faire tatouer un portrait de Raymond Barre au milieu du front à 18 berges un soir de beuverie !
Même l’arc-en-ciel LGBT sera devenu ringardissime. On verra traîner de vieilles personnes, moitié épaves, à la calvitie bien entamée de psys en cafés. D’associations d’aide en séjour à l’HP. Les femmes devenues hommes cherchant à redevenir femmes pleureront leurs seins mutilés. Elles se raseront quatre fois par jour pour cacher leur barbe et se laisseront pousser les cheveux qui tomberont également du fait des hormones.

« Ielles » seront les laissés-pour-compte de la vague transgenre des années 20.

En 2040, quelqu’un retombera sur ce texte dans les profondeurs du web vintage.

Salut à toi camarade !

RD

12 juin 2022

  

7 Commentaires

  1. J’attends avec une certaine impatience la tenue de la 1 journée des fiertés heterosexuel et + si affinités

  2. Come le disait Hagdik  » aujourd’hui, dans ta télé, si tu n’as pas un noir, un arabe, un gouine ou un pédé, c’est qu’elle est éteinte !  » Je me souviens des films policiers de ma jeunesse avec Pousse, Ventura, Delon ou Gabin, les enquêtes étaient menées avec de la psychologie à cinq doigts et de la persuasion chaussant du 45 qui se résumait à  » pressé de coups et bourré de questions, l’enculé avoue spontanément.  » De nos jour le commissaire est une femme divorcée (d’un salopard de mâle blanc hétéro) qui élève seule son fils non genré et elle vient de virer sa cuti en se mettant en couple avec une noire muzz. Tous les inspecteurs sont des blaireaux FdS qui ne comprennent rien mais se font expliquer les affaires par la stagiaire arabe obèse qui habite en HLM à TRAPPES. La télé, c’est très bien. Quand c’est éteint.

  3. Aïe aïe, dure dure la prédiction! Mais certainement prévisible. Il est vrai que la décadence semble irréversible à moins d’utiliser le karcher !

  4. Je pense que nous sommes tombés sur une génération de décadence, de débiles mentaux et ce n’est pas ça qui va relever la France. Nous ne sommes plus au bord de l’abime nous sommes en plein dedans ! et je me demande jusqu’où notre Patrie va descendre avant de comprendre que ce MAL est voulu , dirigé et accompli par de pauvres types sans cervelle.

  5. Médicalement parlant, ces pauvres gens vivront un désastre.
    Mais il se peut que les islamistes arrangent les choses car s’ils viennent au pouvoir, aidés par les idiots utiles de gauche, il s’occuperont ensuite de l’éradication des gauchiasses avec celle des dégénérés transgenre. Cela promet une belle boucherie comme les silamistes en ont le secret. Et ce sens là, puisque rien n’est complètement négatif à 100%, je vois le côté positif de l’islam…

  6. Effectivement… C’est triste et drôle, beau et horrible… Ce que j’espère par contre, c’est qu’en 2040, cette mode sera en effet passée, bien bien bien dépassée… et le wokisme avec… mais j’ai peur que non, car les gens encore normaux (si tant est qu’on puisse s’exprimer ainsi, mais bon… on me comprendra je pense…), ne se méfient pas assez de ces ravages découlant directement d’une idéologie qui se dit progressiste. C’est tellement dingue que trop de gens « normaux » n’y voient pas toute l’étendue de l’horreur.

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