« Je n’ai pas voulu ça » : c’est ainsi que l’Empereur Guillaume II d’Allemagne s’exprime le 9 novembre 1918 ; il abdique et se réfugie aux Pays-Bas.
La marche vers l’enfer du conflit de la Première Guerre mondiale s’inscrit dans des dates clés d’événements qui se sont enchainés inexorablement comme à la parade, provoquant un effet de dominos qui conduisit à la guerre sans possibilité d’arrêter le sinistre engrenage :
- 28 juin 1914 : assassinat de l’Archiduc François-Ferdinand à Sarajevo
- 28 juillet : l’Autriche-Hongrie déclare la guerre à la Serbie
- 29 juillet : la Russie soutient la Serbie et mobilise
- 31 juillet : l’Allemagne déclare la guerre à la Russie
- 3 août : l’Allemagne déclare la guerre à la France
- 4 août : l’Angleterre déclare la guerre à l’Allemagne
- 6 août : l’Autriche-Hongrie déclare la guerre à la Russie
Alors comme l’écrivit Lucain, l’auteur de Pharsale : « je chante des guerres plus que civiles… le crime prenant force de loi… toutes les forces du monde ébranlé servant un crime commun ».
La guerre russo-américaine en Ukraine nous rappelle en mémoire avec force les événements de 1914 : tout y est : les escalades verbales, la volonté de part et d’autre d’obtenir la victoire militaire, l’assurance d’être dans son bon droit.
La Russie, en annexant Zaporijjia, Kherson, Donetsk et Louhansk, a en effet violé le droit international, c’est indubitable, mais l’ « Occident » a bien vite oublié l’indépendance du Kosovo séparé de la Serbie avec leur bénédiction en 2008, mais au grand dam de la Russie et de… l’Espagne qui craignait, à juste titre, le précédent pour les visées centrifuges de ses provinces.
De plus, la Russie clame le droit à l’auto-détermination, et salue le retour à la mère patrie des peuples annexés.
La réplique de l’Ukraine qui veut rejoindre l’OTAN à marche forcée traduit une escalade certaine face à l’annexion russe ; c’est tout autant indubitable et surtout irréaliste, mais la demande de Zelenski fait monter les tensions et les enchères pour contrer les Russes.
L’analyse des prétendues raisons des protagonistes relève davantage d’arguties politiques que d’analyses juridiques emportant le bien-fondé des revendications de l’une ou l’autre partie :
- La Russie ne peut affirmer que les referenda se soient déroulés avec toutes les garanties qui siéent au vote dans des régions en guerre, sans la présence d’observateurs internationaux…
- L’Ukraine porte la responsabilité de l’échec des Accords de Minsk qui garantissaient à Kiev son intégrité territoriale tout en accordant aux populations russophones une autonomie…
Toujours est-il que les deux protagonistes haussent le ton.
- La Russie mobilise et affirme que le nucléaire n’est pas du bluff ;
- l’Ukraine contre-attaque et reprend la ville de Lyman aux Russes dans la région de Donetsk récemment annexée par Moscou ;
- le tchétchène Kadyrov critique la conduite de la guerre par Vladimir Poutine et demande d’utiliser des armes nucléaires de faible puissance…
La situation est-elle toujours maîtrisée ou est-elle à la merci d’une nouvelle provocation qui nourrira l’engrenage de la guerre ?
Si, ce que disent les Américains : « nous ne sommes pas en guerre contre la Russie » est toujours le fondement de l’aide massive en armes à l’Ukraine, alors il est urgent de calmer le jeu avant d’atteindre le point de non-retour précédent l’inéluctable…
Ne laissons pas l’Histoire repasser les plats de 1914 !
Jacques MYARD
Membre Honoraire du Parlement
Maire de Maisons-Laffitte
Président du Cercle Nation et République
Président de l’Académie du Gaullisme
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3 novembre 2022
Vous oubliez que l’Ukraine d’aujourd’hui est une fabrication des bolcheviques qui ont trafiqué des nationalités jusqu’à ‘donner’ la Crimée aux ukrainiens. Les régions annexées par les russes étaient russes depuis des siècles (Catherine la grande): la Novorossia jusqu’à Odessa. Sous le mot Oukraina (frontière, marche en russe) se cachent de multiples réalités historiques. De plus si l’Ukraine (La France et l’Allemagne) avait respecté les accords de Minsk rien ne se serait déclenché…Ne parlons pas de l’OTAN et des USA pourrissant le pays qu’ils convoitent et veulent utiliser pour détruire la Russie.
Chers amis, à tous ceux qui ont repéré la grossière erreur, mille excuses.
Ce n’est absolument pas Jacques Myard qui en est l’auteur, c’est bien nous, Minurne, et plus précisément moi, lors de la mise en ligne !
Il est clair que l’empereur d’Allemagne a bien dit « je n’ai pas VOULU ça » (gewollt) et non « je ne SAVAIS pas » (gewusst) !
Pan sur le bec, comme on disait au Canard ! Et bravo aux historiens et/ou linguistes qui ont repéré la coquille !
« d
Cher M. Marc Le Stahler ;
J’espère que vous me pardonnerez de revenir sur le débat qui est survenu au sujet du choix de « gewolt » ou de « gewust » dans la phrase prêtée au Kaiser au cours de la tragédie de 14/18, et qui sert d’accroche à l’article de « Herr Jacques Myard « …
Simplement, ce débat n’aurait pas du naître, car il s’apparente à celui que pratiquèrent au Vatican,les exégètes du christianisme durant bien des années au sujet, peut-être supposé primordial pour certains, mais toujours pas résolu en ce jour, malgré les progrès de la Science depuis le 12ème siècle…soit :
« Le sexe des Anges ! »
Car, les deux verbes peuvent s’employer dans cette phrase , le choix fait résultant du style parlé ou/et rédigé par celui qui s’exprime ; bref les deux emplois sont aussi corrects l’un que l’autre et pourraient juste être plus ou moins révélateurs de la culture, l’inclinaison, la psychologie qui se révèle dans l’expression d’un individu, si l’on est psychologue, psychiatre ou plus simplement un érudit très consistant en linguistique …
Pour rappel à l’infinitif « wollen » soit en français vouloir; » wünschen » soit en français souhaiter ou désirer » et au mode du participe , comme cela est le cas ici : « gewollt » pour le premier et gewust pour le second.
Convenons en donc : tout est bien dans la subtilité…
Petit commentaire en prime : l’Allemand que j’ai un peu étudié, non sans une certaine passion, est une langue gluturale en temps de guerre, conséquemment lorsqu’ employée par des militaires,or personnellement je ne connais pas de militaires investis de grades divers, qui ne crient pas (pour parler poliment) leurs ordres à leurs troupes, ou qui pratiquent des circonvolutions verbales à l’égard de leurs prisonniers de guerre….surtout s’ ils ne souhaitent pas la perdre, cette guerre…(thèse dont j’ai plusieurs fois débattue avec ma prof. d’Allemand, qui était une catholique, native de la grande ville de Köln nommée Cologne en français, et d’une gentillesse fantastique).
Quant à la langue Allemande elle a ceci en commun avec la Française une part de latinisme beaucoup plus important que l’on le croit au départ, et une subtilité et un grand champ de nuances comme la langue de Molière, ce qui en mon modeste avis, relègue l’Anglais – pardon pour feu sa Majesté Elisabeth II, que j’admire au demeurant – ainsi que le « Yankee », bien plus encore, au rang des langues dont les syntaxes jumelles sont assez primaires …
Et, vous confierai-je : avoir en mes aïeux des allemands et des français, tandis que la France est bien ma Patrie, mais que mon Père très patriote français, lui aussi, était natif de Lorraine. Qu’il m’a éduqué, sans même s’en rendre compte à l’époque, qu’il le faisait, si j’ose dire, quelque peu à « la Prussienne ! » Cela, expliquant ceci ! Korrekt oder nicht ?..
Grand merci pour votre patiente lecture et bienveillante publication …
Pardon encore et merci, de lire en ligne 2 du premier paragraphe gewüncht au lieu de gewust ; de même qu’en ligne 8 du second paragraphe; puisque « gewust » est le participe de « wissen » qui signifie « voir » en français. Mais quoiqu’il en soit, wollen dont le participe est gewollt ou wünschen dont le participe est gewüncht, ou bien encore wissen dont le participe est gewust, on se trouve toujours au sens de la logique d’interprétation et de compréhension, au sein d’un débat qui s’apparente, à celui qui traite du « sexe des anges », puisque les trois participes ont pratiquement des significations frappées du coin d’une proche similitude en l’espèce …
« Entschuldigungen » …mais comme l’a si bien dit quelqu’un dont je ne me souviens plus présentement de son nom : « La culture est ce qui nous reste lorsque l’on a tout oublié… »
« La culture est ce qui nous reste lorsque l’on a tout oublié… »
On en donne la paternité à Édouard HERRIOT
Guten Tag, sybil , und danke schön !
Nos racines linguistiques sont latines dans toute l’Europe… Mais ces raines là font parties des matières occultées et bannies par les gueux « inclusifs » avec la langue, les ouvrages et les statues. Comme bien éternel et racinaire qu’il fallait entretenir et protégé. Notre culture est ostracisée par des gens ignorants et avachis, corticalement amoindris par le mélange des peuples à tous crins…
Oui je souscris à votre constat. La culture française est en danger d’appauvrissement irréversible et suis atterré à l’écoute de bien des journalistes et à la lecture de la rédaction des bandes annonces défilantes au bas des écrans…
Tandis que le numérique prétend s’adresser à l’intuitivité de l’internaute. Or, on est en droit de penser que c’est sans doute par manque de linguistes, de rédacteurs et d’interprètes dotés du sens de la pédagogie …Ce qui n’est pas à mon sens la meilleure façon de développer la fonction d’un raisonnement cartésien, qui au cours des siècles a placé notre civilisation et particulièrement la France, au sommet du progrès (1)…
(1) Flemme intellectuelle, qui permet à l’occasion, au motif incontournable légalité du droit, d’objectivement dissuader, décourager autant de consommateurs du numérique…Si peu lisent et assimilent, ne serait-ce que l’ essentiel – par manque de temps, les fameuses Conditions Générales relatives aux services proposés par les sites internet :. C.Q.F.D.au risque d’être considéré complotiste..
Jacques MYARD, un des députés que j’ai applaudi, lorsqu’il s’est armé de courage en allant à la rencontre de Bachar EL ASSAD, et qui a démenti sa complicité avec l’état islamique présent dans son Pays. Donc, MERCI à lui aujourd’hui pour sa vision éclairante sur un sujet brûlant.
Si je peux me permettre, la phrase du Kaiser Wilhelm II était :
« Das habe ich nicht gewollt. »
(Phrase gravée au fronton de la cheminée du château du Haut-Koenigsbourg).
Le titre de cet article veut dire :
« Je n’ai pas SU cela. »
Ce qui n’est pas tout à fait la même chose…
”das habe ich nicht gewusst” la traduction est plutôt ”je ne le savais pas ”
Mr Myard, désolé, mais pour moi, vous êtes beaucoup trop mou, inexistant…..je m’arrête là…….alors que l’heure est très grave ! Vous faites partie de ces gens qui ont amené la france dans la situation actuelle, de par votre mollesse, manque de c….lle !
Mais vous, vous saviez, non ?
Ich wunche Ihnen einen guten Tag, aber ich denke dass zu schreiben : « das habe ich nicht gewust », ist nicht ein Fehler… » (1) Et me permets donc de vous trouver, à tord bien dur, avec notre ami -« Freund oder Kamerad »- Jacques Myard, qui a eu le mérite de nous offrir une synthèse historique brillante du déclenchement de « la Grande Guerre », comme me la nommait lorsque j’avais 7/8 ans,un certain vieillard rescapé de la Bataille de Verdun, aujourd’hui malheureusement disparu, bien sûr…
J’ajouterai la précision suivante que le Tsar Nicolas II avait volontairement déclenché la catastrophe mondiale de cette « Grande Guerre » pour tenter de rassembler, ressouder autour de sa personne, une Union Patriotique Nationale, digne de celle qui avait combattu l’Empereur Napoléon Ier ; étant donné les mouvements terroristes anarchistes et agitations politiques qui frappaient la Russie depuis la deuxième moitié du XIX ème siècle. Ainsi, il avait sonné la Mobilisation Générale et ordonné de nombreux mouvements de troupes en direction de l’Ouest et l’Empire Austro-hongrois qu’ inquiétèrent et irritèrent le Kaiser, qui au départ et au regard de l’Amitié et Alliance Franco-Russe et Britannique ne jugeait pas opportun pour l’Allemagne d’entamer les hostilités…
Je fais ici référence à un article paru avec preuves à l’appui des photos des télégrammes échangés entre le Quai d’Orsay et le Palais Impérial Russe exposées et commentées par le magazine Historia, il y a plus de 50 ans déjà…
Article qui fait connaître la pression que la France fit en vain sur le Tsar, pour qu’il fasse faire demi-tour à ses armées…et qui permet, à mon avis, de supposer qu’il y a matière à penser et expliquer la non-intervention immédiate de l’Angleterre dans le conflit…
Quant à votre dépit qui sous-tend votre colère, j »en partage la somme avec vous, vu la situation quasi-désespérante où notre Patrie se retrouve après 40 ans de gouvernances diverses mais toutes délétères et aussi lâches les unes et les autres !
Et,la comédie que nous jouent envers le R.N, la N.U.P.E.S au Parlement, avec la complicité déclarée du gamin Président gérontophile » Emmanuel, » ainsi que de son Ministre de l’Intérieur, sans omettre le panel de moutons bêlants de sa majorité, depuis 2 jours, ils m’horripilent, comme il doit en être, pour vous …
Je vous remercie de bien vouloir ne pas considérer mon premier paragraphe comme une hostilité à votre égard, puisque mous pouvons nous retrouver très probablement sur le fond politique, ce qui n’est pas inutile présentement.
(1) Goethe disait à l’encan et le coucha dans ses écrits, qu’apprendre une langue étrangère permettait d’améliorer involontairement mais très profitablement la connaissance de sa langue maternelle … Ceci, venant concorder avec le fait que la traduction littérale d’un texte dans une langue étrangère et vice-versa est passionnante mais ardue…Et que je ne suis pas persuadé de n’avoir commis moi-même aucune faute dans ma coute rédaction présente avec ce qui me reste de mes études du Langage Germanique…
(2)Source : Revue Historia lue il y a 50 ans et dont je ne me souviens plus du numéro, ni la date mais pars contre que ce fut au cours d’un déplacement par la SNCF (ligne banlieusarde, wagon de 2ème classe, près de la vitre, sens de la marche…). Article qui révélait motifs et photos d’ envois de Télégrammes entre le Quai d’Orsay et le Palais Impérial de Nicolas II, durant les tout derniers jours précédents les hostilités d’août 1914. – Doit pouvoir se retrouver en la bibliothèque du Centre Pompidou-Paris 75003.
Afin d’éviter toute confusion, j’aurais dû préciser, dernière ligne du premier paragraphe de ma réponse à Phil2 : « ..penser et expliquer la non-intervention immédiate et effective sur le continent européen de l’Angleterre dans le conflit. L’Angleterre avait en effet une maîtrise totale et mondiale du domaine maritime que redoutait économiquement et militairement l’Allemagne…
Bonjour Mr le Réfractaire,
C’est très sympa à vous de m’avoir répondu sympathiquement, sans animosité. Je suis un vieil alsacien qui a, malheureusement, ou par long éloignement de sa région, perdu sa langue maternelle (bon, lors de mes retours périodiques en france, je constate que les mots sont bien enfouis, mais qu’ils reviennent à la surface avec de nombreuses discussions en compagnie de ce qui reste de famille ! )
Je me suis permis d’écrire mon p’tit commentaire, parce que la traduction, pour moi, n’était pas tout à fait correcte, mais j’avoue humblement que je me suis mis la pression moi-même en sachant que c’était signé de Mr Myard !
La situation actuelle de notre pays est tellement dramatique, terrible, que, oui, j’ai la colère pour ne pas dire pire, envers ces politiques qu’on connaît depuis tant d’années, qui ont depuis toujours accès aux médias (merdias), et qui ont été d’accord finalement avec toutes les mauvaises et criminelles décisions qui nous ont amenés au bord du gouffre !
Des gens comme lui, en apparence de droite, comme beaucoup d’autres, suivent docilement ou résistent tellement mollement, que ça donne envie de hurler, de fracasser la télé, des envies de les ….(censuré)…et pourtant je suis un ”gentil ” !
L’heure est à : DIRE LES VERITES comme elles sont, plus de langue de bois, il faut des c….lles !
Que fait le LR, où sont-ils pour avoir une position tranchée et VRAIE ?
J’aurais pu y ajouter la blonde marine, qui, quand on l’écoute et surtout la regarde, manque cruellement de conviction (l’a-t-on entendu crier à la fraude, lors de l’épisode qui nous a montré le rn en tête ? ) en résumé, après tous ces essais, j’en suis arrivé à la conclusion qu’elle ne voudrait surtout pas être élue !
Une autre remarque : y a-t-il encore des français, parmi les jeunes ? A la tv, je n’en vois plus !
Je m’arrête là…j’ai été très bavard !
Merci et bravo à vous pour le courage de continuer à nous informer .
Bien cordialement à vous !
Aimable dialogue d’érudit comme on les aimerait à l’A.N. Mais pour cela il serait céans de pouvoir espérer nos représentants plus instruits. Ce qui n’est plus le cas puisqu’une grosse partie de ceux là sont inaptes à la maîtrise du langage, du respect, du civisme… Et il ne faut pas en espérer l’humilité qui est l’apanage des Grands…
Analyse en raccourci et à l’emporte pièce qui occulte le non respect des accords de Minsk par l’absence d’honorer les obligations faites aux signataires parties prenantes France Allemagne de veiller à leurs applications, de 2014 à 2022 combien de milliers de morts dues aux violations quasi unilatérales des ukronazis des dits accords dont la bien-pensance occy dentée s’est contre foutue et à cautionné tacitement par un silence abyssal. Ce n’est pas faute de s’être employée à faire valoir ses droits que la Russie a tenté avec une immense patience et diplomatie de négocier son intégrité territoriale, face à tous les refus d’un mépris et d’une arrogance ignominieux de l’otan, VVP avait il d’autre choix que d’intervenir préventivement par son OMS vu l’expansionnisme otanesque et l’accroissement des agressions ukronazies des populations de donesk et du donbas. Il faut toujours contextualiser les faits pour une intelligibilité plus objective.merci
J’ai, « Martel », grosso-modo la même optique que la vôtre à l’égard de la guerre Ukro-Russe et ne cache jamais ma sympathie envers le Président Vladimir Poutine pour son amour de la Russie et sa bravoure et virilité incontestables.
La nuit du 9 novembre 1989 où les postes de gardes frontières du mur de Berlin furent submergés par la foule d’ Allemands voulant se rendre en zone Ouest, suite à la diffusion télévisée de la Conférence de Presse du Président du S.E.D , Günter Schabowski (1), de la décision d’autorisation à ce faire…
A la survenue de cet évènement, Vladimir Poutine, officier du KGB attaché auprès de la Stasi, se rendit, seul, en les locaux de la Direction de cet administration pour y détruire un lot de documents classés pour éviter qu’ils ne tombent entre les mains d’Allemands anti-communistes. Ceci, l’amena à devoir prouver son courage face à plus d’une, voire deux centaines de manifestants, dont il tint en respect les plus rapprochés de sa personne, muni de son seul révolver de service..
.Chapeau bas, à lui ! (2)
(1) S.E.D : Parti Socialiste Unifié d’Allemagne d’obédience communiste qui eut un rôle primordial dans le gouvernement de la RDA, jusque 1989.
(2) A l’époque, le Président Poutine, Officier du KGB, était âgé de 37 ans et, je crois comprendre pourquoi, celui-ci semble mépriser un certain Président Gaulois vantard et bourré de prétention dédaigneuse, et qui selon les propres dires de ce dernier, aurait pratiqué dans sa jeunesse un certain apprentissage des rudiments du « noble art » – probablement peut-on, les amis ; entre deux câlins adultérins avec Brigitte…
Merci et avec mes excuses , chers amis de bien vouloir lire, dernière ligne du Nota Bene (2) de mon commentaire :
» probablement peut-on supposer, les amis ; entre deux… etc …. »
Révérence Monsieur le réfractaire.