Il est souvent utile, lorsque se pose la question de la validité ou non d’une théorie réputée scientifique, de recourir à la mise en perspective chronologique des événements ou des observations qui sont fournies comme autant de preuves scientifiques démontrant sa validité.
Prenons, par exemple, la théorie du réchauffement climatique lié à l’activité humaine.
Quels furent les premiers signes de ce réchauffement ?
Est-il localisé ou s’étend-il à l’ensemble de la planète ?
Y-a-t-il eu des signes avant-coureurs ?
Toutes ces questions semblent légitimes de la part de qui ceux qui, pour une raison ou une autre, doutent de la réalité du phénomène. Et ce doute peut ne pas concerner le phénomène en lui-même, mais plutôt l’activité humaine qui serait seule responsable de ce « dérèglement », qui, en toute logique, ne serait pas survenu en son absence.
Si nous poursuivons dans cette logique, la seule façon, d’après cette théorie, d’obtenir un climat sans variation serait de mettre fin à l’activité humaine.
Or, et c’est où « le bât blesse », il y a des preuves irréfutables de la variation du climat avant l’apparition de l’Homme sur la Terre. En l’état, cela devrait ruiner cette théorie.
Mais la logique, aussi implacable soit-elle, ne gagne pas toujours car la pensée humaine rechigne, dans certains cas, à s’y conformer.
LA NAISSANCE DE GAÏA, RELIGION DE LA TERRE
Après l’épisode dramatique des « fusées de Cuba », le « deep state », plus communément désigné par « le complexe militaro-industriel », craignant de voir se profiler une longue période de paix, préjudiciable à ses activités, avait chargé une quinzaine de personnes de se livrer à une réflexion commune afin de proposer d’éventuels substituts à la guerre militaire.
Un rapport fut établi en 1967. Il aurait dû rester confidentiel, mais quelqu’un l’a publié sous un pseudonyme. Même si une campagne de presse menée par l’establishment a tenté de discréditer ce rapport, il existe bel et bien et contient notamment plusieurs suggestions répondant à la question posée (*).
Parmi celles-ci, il en est une qui a prospéré au-delà de tout espoir : faire croire à l’humanité que l’Homme est un danger pour sa propre planète. Il devenait alors essentiel de protéger la planète des activités humaines destructrices par nature. Cette affirmation ne pouvait naturellement pas faire l’objet d’une théorie scientifique, la Terre existant depuis quelques milliards d’années et ayant connu de multiples vicissitudes d’origine naturelle.
Songez que, toutes proportions gardées, si la Terre existait depuis un an, l’homme y serait apparu il y a deux heures et le Christianisme sept secondes seulement. Le dogme religieux était alors le seul vecteur possible pour propager cette croyance et l’effet grégaire, associé à un contrôle étendu des médias, ferait le reste.
Voici ce qu’écrit Hong BingSong, dans son livre « La guerre des monnaies » (p 287) :
« Finalement, tout le monde songea à la pollution de l’environnement. Dans une certaine mesure, c’était une menace crédible et réelle. En redoublant d’efforts de propagande sur les méfaits de la pollution, on pourrait atteindre un effet psychologique aussi effroyable que celui de la fin du monde après une guerre nucléaire. La logique était imparable : la pollution de l’environnement est un véritable gaspillage économique. Pour y répondre, les gens tolèrent les impôts et une qualité de vie réduite ; ils acceptent aussi plus facilement l’immixtion du gouvernement dans leur vie privée, tout cela sous prétexte de sauver notre terre nourricière. C’était vraiment un bon choix !
Pour que le problème de la pollution de l’environnement colonise tous les esprits et suscite une grave grise à l’échelle planétaire, les scientifiques de la Montagne de Fer estimèrent que cela prendrait une génération et demie »
(rappelons que nous étions en 1967)
LE 4ème WORLD WILDERNESS CONGRESS : DE L’ÉCOLOGIE A LA FINANCE
C’est en 1977 que fut créé le World Wilderness Congress. Cependant, les choses n’évoluèrent vraiment que durant le 4ème congrès qui se tint à Denver en septembre 1987. Cette réunion dura pratiquement une semaine et de nombreux intervenants prirent la parole devant un auditoire de plus de deux mille personnes représentant environ soixante pays.
1500 d’entre eux reçurent un document intitulé « Déclaration de Denver pour la préservation mondiale ». Hong Bing Song donne le contenu du cinquième point :
« Parce que de nouvelles sources de financement doivent être mobilisées, en vue d’accroître l’expansion des activités de conservation, un nouveau programme bancaire international de conservation devrait être créé pour intégrer l’aide internationale à la gestion environnementale dans des programmes communs cohérents pour les pays bénéficiaires, en se basant sur une évaluation objective des ressources et des besoins de chaque pays ».
Cette phrase très absconse, peut-être à dessein, demande à être explicitée. Dans une vidéo de l’époque, Georges Hunt, qui a assisté à ce congrès, clarifie les choses. Il décrit le processus de la création de la World Conservation Bank, qui serait une banque d’un type nouveau.
Cette banque mondiale de conservation de la nature serait en quelque sorte un second « plan Marshall » qui permettrait de sauver les pays du tiers-monde qui croulent sous un monceau de dettes, tout en protégeant l’environnement. Elle proposerait des emprunts pour la nature ou la conservation de la planète en vertu du nouveau culte à Gaïa.
La World Conservation Bank prêtera aux banques qui émettront des prêts. Ces emprunts généreront des revenus financiers et peu importe la validité des projets ou leur rentabilité. (On retrouve ici une des recommandations du rapport de la Montagne de Fer qui conseille de multiplier les dépenses inutiles pour faire fonctionner l’économie).
Evidemment, la WCB continuera de s’enrichir au détriment des peuples et des nations toujours plus endettés. Cette banque aura son siège au Canada, en vertu du traité de libre-échange signé entre le Canada et les Etats-Unis. Elle concentrera toutes les richesses mondiales et sera appelée à exercer un contrôle financier planétaire.
Toujours dans cette vidéo, autour de la 28ème minute, Georges Hunt nous dit qu’Harry Schultz décrit dans son « bulletin international » que ses recherches montrent que le Japon allait subir une terrible crise financière qui pourrait entraîner le monde dans une panique financière. (La crise arrivera bien un an plus tard).
Pour Georges Hunt, de nombreuses banques feront faillite et se retrouveront directement sous la coupe de la WCB, par le simple jeu du droit financier international. Il s’agit d’une situation frauduleuse, pour créer de la monnaie afin que les pays développés semblent rembourser leurs dettes afin que leur revenu en monnaie locale à partir de leur base en capital puisse être utilisé sans toucher au capital.
Ainsi, l’élite financière du monde aura échangé les « mauvais dollars » venant de la Conservation mondiale contre des revendications sur la richesse réelle des nations et le « sale tour » est joué.
Il cite ensuite David Lang, qui est un ami de Michael Sweetman :
« La chair à canon n’a pas besoin de s’impliquer dans cette banque. Quand l’auditeur aura enfin ses mains dans le bilan, je suggère que cela ne soit pas vendu par un processus démocratique qui prendrait trop de temps et mobiliserait beaucoup trop de fonds pour éduquer cette chair à canon (il s’agit de vous et moi NDR) qui peuple la Terre. Il faut donc prendre un programme presqu’élitiste et regarder plus loin avec des délais et des résultats qui ne sont pas perceptibles et qui peuvent, en toute honnêteté intellectuelle, être réduits à une sorte de définition simpliste qui convient. Ce sont des idéaux très élevés qui peuvent ne pas être réalisables, mais si on ne le tente pas, tout ce qui a été fait sera perdu »
Il s’agit de la mise en place d’un dollar « mondial » destiné, à terme, à asservir tous les peuples, situation préalable nécessaire à la mise en place d’un pouvoir mondial et Georges Hunt a le sentiment que très peu des congressistes l’ont compris.
APRÈS LA FINANCE, LA CRÉATION DE LA RELIGION
Il y a, dans le Colorado, un immense ranch qui appartient à Maurice Strong et à sa femme. Il fait environ 70 000 hectares et est situé sur les montagnes du « Sang du Christ » Un certain nombre d’ashrams y sont situés ainsi que lieux de culte, ce qui en fait un endroit de rapprochement de toutes les religions. Or, il s’y trouve également un temple qui a été construit par les « boursiers »conformément aux systèmes de numérologie Babyloniques. Il y a, par exemple, 72 sièges doubles (6x6x2) où les représentants des différentes religions sont assis autour d’une croix rose (Rosecroix) et le signe du Saint Graal est au milieu de la voûte du bâtiment. Cette symbolique Rosicrucienne figure l’union sexuelle du Père (Dieu) et de la mère (Terre). Ce n’est pas une coïncidence si, dans les anciennes cérémonie du feu, il y a un système de culte de la Terre-mère qui va ensuite être lié aux lois écologiques et environnementales. William Ruckelshals (nommé par Reagan président de la commission de l’environnement) figure sur une photo officielle du Congrès à côté du quatrième drapeau mondial de la nature sauvage. Juste derrière, on trouve David Rockefeller, président de la Chase Manhattan Bank.
Ces deux personnages sont antinomiques : l’un veut la croissance (développement) et l’autre la protection de l’environnement (décroissance).
Il est curieux de constater que Maurice Strong et David Rockefeller, côte à côte à ce congrès de préservation de l’environnement, ont un projet commun qui consiste à assécher la vallée fertile de San Luis (Colorado) et la réduire à l’état de friche. Georges Hunt parle même de « Gouvernement mondial satanique »
La dernière partie de cette vidéo (minute 52) est une courte présentation de Maurice Strong dans laquelle il introduit une séance de travail consacrée au fonctionnement de la World Conservation Bank et de son programme, avant de passer la parole à celui qu’il considère comme étant réellement la « cheville ouvrière » de ce projet, celui qui s’est investi depuis longtemps dans les sources d’énergie qui respectent l’environnement : Edmond de Rothschild.
LE CONCEPT MONDIAL DE LA NATURE SAUVAGE
Edmond de Rothschild le définit comme un idéal jusqu’à présent insurpassable, mais auquel il faut maintenant donner les moyens de s’ancrer dans la réalité. Ces moyens existent et ils permettent d’apporter des solutions aux problèmes soulevés par les intervenants de ce congrès. Les principaux sont la lutte contre la pollution et l’élimination des déchets comme les « pluies acides ». Il existe des méthodes alternatives inoffensives pour produire de l’énergie et elles sont disponibles. On peut utiliser l’eau sans pour autant inonder les terres et sans déplacer les populations ni la faune. On peut exploiter l’énergie des vagues et du Soleil, ainsi que l’énergie du vent, pour ne citer que celles-là.
Ceci permettra de déjouer les pronostics effrayants de l’effet de serre du Dr Irving et peut-être serait-il possible d’utiliser le CO2 – une de ses principales causes – pour fabriquer de la neige carbonique afin de maintenir l’état des calottes glaciaires et des glaciers. Une technologie innovante permettra de brûler les déchets dans les zones volcaniques ou de les enfouir très profondément dans les zones désertiques sauvages dans lesquelles personne ne va. Mais tout ceci nécessite de l’argent.
A ce sujet, Michael Sweetman vous a exprimé ses idées « du bout des lèvres ».
Le programme bancaire international de conservation doit impliquer toute la communauté mondiale. Les gouvernements, les agences gouvernementales et inter-gouvernementales, les agences publiques et privées, les grandes fondations caritatives et la population du monde entier, doivent se mobiliser.
Michael Sweetman en a défini la forme et celle-ci ne sera ni modifiée, ni élargie et cette Convention doit proposer une charte, qui, espérons-le, emportera l’adhésion de tous les représentants présents. Il faut réfléchir à la façon d’impliquer le grand public, ainsi que toutes les personnes morales afin qu’ils contribuent – si possible avec une exonération d’impôts – à ce projet en y mettant une partie de leurs économies et de leurs bénéfices afin de financer notre protection écologique et environnementale. Chaque pays a ses propres contraintes, son propre peuple et ses particularités, mais la Banque de Conservation Mondiale ne doit connaître ni limites, ni frontières.
Ses fonds doivent être utilisés de manière constructive et non par des mains avides ou servir à financer des armes de destruction. J’hésite à lier cette banque à la nature sauvage du Monde, mais je voudrais la lier à la survie de la race humaine. Notre génération ne doit pas être maudite par nos descendants comme étant celle qui a le plus gaspillé et détruit les richesses. Teilhard de Chardin a dit : « l’homme peut exploiter les vents, les vagues et les marées, le spirituel peut exploiter l’énergie de l’Amour, et c’est ainsi que sera découvert le feu une seconde fois ».
DERRIÈRE TOUS CES BEAUX SENTIMENTS : LA FINANCE MONDIALE
Il s’agit essentiellement d’échapper à la dette non maîtrisée des pays du Tiers-monde qui risque d’anéantir l’ensemble du système monétaire. La WCB va reprendre la totalité de ces dettes en prenant en garantie l’ensemble des ressources actuelles et futures de ces pays, y compris celles qui sont les plus indispensables à leur survie.
Pour imposer cela au monde entier, il faut générer des peurs indicibles afin que tout le monde se sente concerné et que ceux qui douteraient ou résisteraient soient contraints par les autres à suivre le mouvement.
Tout s’est aujourd’hui concentré sur le « dérèglement climatique » qui ne peut qu’être d’origine humaine, condition sine qua non pour justifier les mesures prises car on ne voit pas comment on pourrait s’opposer à des phénomènes naturels.
Nous sommes, au moment de ce congrès, en 1987. Plusieurs sujets de craintes futures sont évoquées, comme les pluies acides, après avoir connu dans les années 70 le trou de la couche d’ozone (origine humaine), mais l’effet de serre dû au CO2 n’en est qu’à ses premiers balbutiements.
Le résultat de ce programme de la WCB fut que nombre de pays perdirent toutes leurs ressources car ils étaient dans l’incapacité de rembourser leurs dettes, et la WCB en devenait alors le propriétaire, C’est ainsi qu’aujourd’hui plus du tiers des terres agricoles de la planète sont aux mains des banquiers internationaux.
Voici ce qu’écrit Hong BingSong à ce sujet : (page 289)
« Avec de tels avantages, il n’est pas étonnant que les Rothschild et les Rockefeller aient pris la peine de se déplacer pendant six jours à cette réunion sur la protection de l’environnement. José Pedro de Oliveira , un haut fonctionnaire du Ministère des Finances brésilien, passa une nuit blanche après avoir entendu les propositions d’Edmond de Rothschild sur la Word Conservation Bank. Il pensait que si cette banque accordait des prêts aux devises faibles, cela aiderait l’économie brésilienne à court-terme, à redémarrer son moteur économique. Mais,à long terme, si le Brésil se trouvait dans l’incapacité de rembourser, le trésor que représente la forêt amazoniene du Brésil ne lui appartiendrait plus. Les ressources mises en gage n’étaient pas seulement les sols, mais également l’eau et les autres ressources présentes dans le sol et le sous-sol.Le nom de World Conservation Bank sonnait probablement trop « capitaliste » Elle fut rebaptisée Global Environment Facility en 1991.
Elle est gérée par la Banque Mondiale et le Trésor des Etats-Unis est son principal actionnaire. Le plan à long terme des banquiers se mettait progressivement en place ».
OU EN SOMMES NOUS AUJOURD’HUI EN 2022 ?
Après des décennies de propagande, le dogme du dérèglement climatique s’est infiltré dans la population mondiale. Le consensus scientifique est devenu l’argument principal et évite tout débat qui aurait pourtant dû se tenir depuis longtemps. Le talon d’Achille de ce dogme est justement le but financier qui impose l’activité humaine comme unique responsable, déniant ainsi tous les effets, pourtant prépondérants, de la Nature, à commencer par les cycles de l’activité solaire et de l’évolution de l’orbite terrestre.
Connaissant la fragilité de l’argumentation et son manque de rigueur scientifique, les promoteurs de l’idée ont utilisé leur influence afin de la rendre légale, à défaut de réelle.
C’est probablement de là que s’est fait le choix religieux, le dogme étant plus facile à imposer que la conviction basée sur l’étude scientifique.
Mais la médaille possède son revers.
Comment ne pas relier les événements qui se déroulent aujourd’hui aux conséquences des décisions prises lors de la fondation de la WCB ? Ce sont elles qui poussent aujourd’hui un nombre de pays de plus en plus grand vers ce qui s’appelle aujourd’hui un nouvel ordre mondial, basé non plus sur l’hégémonie du dollar, symbole de la toute-puissance de la finance mondialisée, mais sur une régionalisation autour des continents qui respecterait à la fois l’indépendance et la souveraineté des nations.
Trop de pays ont été victimes de la cupidité de cette élite mondiale qui a cru pouvoir s’enrichir d’une manière démesurée en utilisant la peur et l’intimidation, qui sont davantage des moyens mis en œuvre par des maffieux plutôt que par des gens qui se disent soucieux du bien-être de l’Humanité. Cela ne se fera certes pas en un jour, mais la machine est lancée…
(*) Les lecteurs qui souhaiteraient approfondir ces informations, et en particulier le rapport de la Montagne de Fer, peuvent se référer notamment à la série des 5 articles publiés en juillet 2020 par Jean Goychman sur ce sujet majeur.
En voici le lien (préface de l’Imprécateur) : https://www.minurne.org/billets/24393
Jean Goychman
8/11/2022
Ce n’est pas Macron qui va se mettre en travers des 4 volontés de Rothschild . Il lui doit trop .
Ce qui,me choque c’est surtout la volonté délibérée de partialité de certains scientifiques:
Certes nos modes de vie qui ont d’ailleurs été induits par des industriels sinon on était hors circuit , n’aident pas à ce que la terre aille bien : surtout les ARBRES qu’on coupe ,LES AVIONS PRIVES et commerciaux ,les fusees , les grosses bagnoles,les OBJETS à durée programmée,les deplacements privés ou soit disant professionnels de ces leaders inconscients, égoistes et machiaveliques Mais nous, faut qu’on crêve de froid et soit disant
se protéger du COVID en attrapant froid et recevoir des vaccins douteux.C’est un comble!!
La concentration de populations sur des zones déja en surchauffe et polluées:C’est humain parait il Depuis quand ?
Quand ces leaders arreterons t’ils de se comporter comme des crétins : Ils ignorent aussi que la grande question éternelle est liée à l’axe de rotation oscillant de la terre et que la question a toujours été et le reste :Est ce que la terre est entrain de se réchauffer ou de se refroidir:Même si elle varie sur quelques années de quelques degrés en plus ou en moins il sera interressant de noter la moyenne au moins sur 500 ans .Evidemment je e serai plus là pour avoir la reponse.MAIS Le problême essentiel est l’oxygénation car plus on construit moins on facilite l’OXYGENATION et la pollution or tous ces pauvres types obsédes par le fric construisent à tout va.L’électrique est une bonne solution,certes mais si on fabrique à tout va les usines ,ON polluera autant et plus:Je n’ai jamais vu une société aussi CONNE/ On ne peut pas aller plus vite que la musique :tout est question de sagesse , de patience et d’équilibre avec plusieurs sources d’énergie interchangeables: RIEN ne se perd ,rien ne se crée , tout se transformeTolérer les migrations de ce niveau va à l’encontre dU CONTROLE de la densité de la population : Le comportement des hommes certes est responsable car d’une seule bombe ,ils peuvent detruire la terre mais hormis les horreurs que peuvent produire certains scientifiques fous,La terre elle aussi vit , modifie sa vitesse change d’axe,se rapproche du soleil ,s’en éloigne selon sa recherche d’équilibre, mais elle est plus raisonnable que nous les ROIS DES CONS .La terre est comme une TOUPIE mue par une énergie.Non mais peut être que certains scientifiques prétentieux mais demeurés car trop confiants pensent qu’ils auront raison de la,terre: OUI mais pas comme ils pensent .
Sans compter la pollution par tout ce kérosène brûlé par des millions d’avions qui épandent tous les jours. Et on nous parle de réduire nos émissions ce Co2. Foutage de gueule
Vous avez raison et cher mouton noir, en 94 quand on a manifesté contre le plan JUPPE on s’appelait
CASSANDRE et on avait bien prédit ce qui allait arrivé 30 à 40 ans plus tard.
Peut-être qu’en arrêtant de jouer sur la météo avec HAARP et les CHEMTRAILS le climat se porterait normalement !
http://sboisse.free.fr/technique/haarp.php
https://lautjournal.info/articles-mensuels/206/les-armes-du-nouvel-ordre-mondial-de-washington-sont-meme-de-declencher
https://odysee.com/@PrinceActarus74:a/CHEMTRAILS-4:e
https://odysee.com/@JEANPAUL:9/chemtrails-_:a
J’oubliai !
A l’époque des Viking, ceux-ci cultivaient sur la Terre verte, plus communément connue aujourd’hui sous l’appellation de « GROENLAND »; terre aujourd’hui entièrement gelée…
MM les escrolocs, un peu de raison et de jugeote s’il-vous-plaît !
Veuillez aussi noter, c’est extrêmement important, qu’à l’époque des dinosaures, la température moyenne globale était de 30° et le taux de CO² DIX FOIS SUPERIEUR AU TAUX ACTUEL. C’est ce qui a permis à la végétation une extension puissante et rapide, ainsi qu’une grande production d’oxygène résultant de l’absorption du CO² par les plantes…
Or, à l’époque des dinosaures, Pas de cheminée polluante car l’Homme n’existait même pas…
MM les escrolocs, un peu de raison et de jugeote s’il-vous-plaît !
Bonjour,
On ne peut nier le dérèglement climatique mais le faire porter uniquement par l’humanité c’est nier les « périodes chaudes » qui jalonnent notre passé.
Toutefois nous sommes 8 milliards, notre nombre engendre indiscutablement par ses besoins divers une perte de la biodiversité planétaire.
Ci dessous un article intéressant sur les canicules historiques
[Mise à jour du 7 août 2018 : en 2003, à l’occasion de l’épisode caniculaire, Libération avait interviewé Emmanuel Le Roy Ladurie.
Emmanuel Le Roy Ladurie, 74 ans, professeur au Collège de France, a écrit une Histoire du climat depuis l’an mil (Flammarion, 1967), maintes fois rééditée,
qui reste le livre de référence sur le sujet.
Que faut-il penser de la canicule actuelle ?
J’aurais plutôt tendance à la relativiser ; même si l’aggravation du phénomène d’effet de serre est une rupture dans l’histoire du climat qui peut ouvrir une nouvelle ère climatique avec un ou deux degrés de différence. Ce qui aurait des conséquences incalculables. Mais l’actualité d’un été chaud, c’est autre chose :
Ce genre de grande sécheresse n’a pas manqué dans l’histoire française. En 1168, la Sarthe a séché. De même, l’été magnifique de 1351, où le prix du froment a été multiplié par trois à cause de sa rareté, avec «échaudage», comme l’on disait, ce qui entraînait des moissons et des vendanges très précoces, un vin en faible quantité mais excellent. Vous avez aussi des séries d’étés caniculaires consécutifs, des microères climatiques :
1331-1334, quatre étés de suite, 1383-1385, trois étés, ou encore la première moitié du XVIe siècle, particulièrement douce, où l’on peut parler d’un petit âge du réchauffement. L’été, les glaciers reculent beaucoup, la neige fond très haut. En 1540, beaucoup de témoins habitant les Alpes l’ont noté.
A partir de 1560, on entre dans une autre période climatique, le «petit âge glaciaire», les étés caniculaires se font plus rares. Il y en a cependant encore, par exemple en 1636,
l’été du Cid, où les témoins évoquent «un effroyable harassement de chaleur» pendant plusieurs semaines à Paris.
En cas de forte chaleur, quel est l’ennemi principal des Français ?
D’une part, la précocité et le faible rendement des récoltes, donc la rareté du grain, son prix qui flambe. D’où des phénomènes de disette, voire de famine.
Mais la pluie est l’ennemi numéro 1, davantage que la chaleur : l’été pourri est plus redouté que l’été trop chaud. En revanche, la mortalité grimpe lors des étés trop chauds à cause de la dysenterie. Le niveau des fleuves et des cours d’eau baisse, l’eau puisée pour vivre et boire est plus vaseuse, infectée, polluée, et la mortalité est spectaculaire. 500 000 morts lors de l’été 1636 ou de l’été 1705, 700 000 lors des étés caniculaires de 1718-1719, avec même l’apparition de nuées de sauterelles et une forme de climat saharien sur l’Ile-de-France. Ces morts, ce sont surtout les bébés et les petits de l’année. Il y a, régulièrement, des générations décimées en France par la chaleur. Actuellement, les principales victimes, dans une proportion moindre, ce sont les vieux.
L’autre conjoncture catastrophique était ce que l’on peut appeler le «modèle profiterole», c’est-à-dire une accumulation rapprochée de catastrophes climatiques. C’est le cas du
contexte prérévolutionnaire : en 1787-1789 se succèdent de fortes pluies à l’automne, la grêle au printemps 1788 et un été suivant caniculaire. Ce fut explosif : échaudage, disette, cherté du grain. C’est à partir de ce moment que la chaleur a mis les gens dans la rue, et n’a plus été acceptée comme une simple fatalité.
C’est-à-dire que les Français, en période de chaleur, commencent à se tourner vers les pouvoirs publics ?
Moins les étés deviennent meurtriers, plus les gens se tournent vers l’Etat, et ce n’est pas un paradoxe : à partir du moment où l’Etat se mêle de plus près de la vie des gens, ceux-ci sont plus exigeants et plus enclins à dénoncer les incuries du pouvoir central. Ce processus historique accompagne la baisse de la violence, confisquée par l’Etat, ou la chute de la mortalité. Les interventions de l’Etat en période de canicule visent essentiellement à conjurer ou à limiter les effets de la famine. Dès la fin du XVe siècle, Louis XI tente d’instaurer un «maximum» (un contrôle des prix) en période de canicule. L’intervention massive vient avec Louis XIV et Colbert, très typique de la monarchie absolue : importations de blé, interdiction d’exporter, instauration de réserves dans les greniers d’abondance.
Cela vise aussi à répondre aux deux principales accusations des Français en période de canicule : l’Etat ne fait rien ou, au contraire, ferait tout pour spéculer sur la cherté du blé, c’est ce qu’on appelle au XVIIIe siècle le «complot de famine».
Comment les gens ou les autorités anticipaient-ils les étés trop chauds ?
Plus encore qu’aujourd’hui, les Français ne parlaient que de cela : le climat était le sujet principal de conversation. Les marchés, par exemple, étaient suspendus aux nouvelles. On trouve aussi des théories, assez tôt, non pas sur les prévisions, impossibles, mais sur les tendances. Les fontes de glaciers ou les séries
étaient interprétées : Mme de Sévigné évoque le fait que «le procédé du soleil et des saisons a changé» pour expliquer une série d’étés caniculaires successifs.
Les curés jouaient aussi un rôle spécifique, ils étaient les baromètres de l’époque, prédisant plus ou moins le climat à venir. Si bien que les autorités,souvent sous la pression des Français, pouvaient anticiper. Arrachage de vignes, par exemple (entre 1587 et 1600), ou même constitution de réserves d’eau potable,
qui commencent dès le début du XIXe siècle dans certaines municipalités.
Merci pour ce billet auquel j’adhère depuis qu’on nous effraie avec le réchauffement climatique. Je peux y rajouter : « l y a, d’un côté, la parole sacro-sainte du GIEC, les affirmations répétées tant de fois qu’elles en sont devenues des vérités incontestées et non contestables, peu importe leur véracité scientifique, les mantras des ONG environnementales qui ont tout à y gagner et le lavage de cerveau constant de la population depuis la plus tendre enfance. De l’autre, il y a quelques scientifiques, de plus en plus nombreux faut-il le dire, qui essayent de faire entendre leurs voix, qui apportent des arguments scientifiques contradictoires de plus en plus gênants pour les ténors du barbecue mondial. David contre Goliath. Mais la science n’est plus la partie importante de l’équation. Aujourd’hui, le rationnel scientifique et l’argumentation solide, basés sur des faits établis et non des calculs théoriques simplistes et des prédictions plus erronées les unes que les autres, ont laissé la place à l’idéologie, à l’émotionnel, au quasi-religieux. Difficile de dialoguer dans de telles circonstances. (István Markó, 05/06/2017, Contrepoints)’
Le pari de Chacal, en quelque sorte
Comme le réchauffement climatique est une croyance, il y a aucune chance qu’on puisse raisonner les » réchauffistes » de même qu’on ne saurait convaincre un prêtre que dieu n’existe pas. Une liste de scientifiques sceptiques sur le réchauffement climatique est consultable sur Internet : https://www.wikiberal.org/wiki/Liste_de_scientifiques_sceptiques_sur_le_r%C3%A9chauffement_climatique
Aucun de ces scientifiques ne sera jamais invité sur un plateau télé pour parler de cette grande manipulation mondiale
Les financiers qui dirigent le monde en sous-main, après avoir constaté avec quelle facilité ils ont pu manipuler l’humanité avec la grande peur du Covid, ont trouvé la technique de remplacement avec la grande trouille du Réchauffement Climatique. Et ça va fonctionner encore plus fort, hélas !