COMMENT LE MONDIALISME SIGNE LE RETOUR DU FASCISME (L’Imprécateur)

Un article du site Yogaesoteric a attiré mon attention il y a quelques jours sur la remontée actuelle du fascisme, voire du nazisme, dans le monde occidental. L’accusation est grave, aussi ai-je pris le temps de relire les définitions officielles de nazisme et fascisme, et divers événements historiques. Plus je lisais, plus il m’est paru évident que Yogaesoteric a vu juste, mais aussi que ce retour est porté, en France, par la gauche et le mondialisme. J’ai donc repris les thèmes développés et les ai étoffés.

 

Le nazisme est un régime d’État policier, en France fondé sur la peur (ex. covid) et la violence (vaccination obligtoire), sur le lavage de cerveau par la propagande et le mensonge (presse aux mains de milliardaires amis du président), sur le contrôle des citoyens (développement des caméras dans Paris), sur l’eugénisme, sur la déshumanisation et la « désinfection » (élimination par divers moyens des réfractaires) et sur une vision d’un « nouvel ordre mondial qui durerait mille ans.

Klaus Schwab

Klaus Schwab semble avoir consacré sa vie à réinventer ce cauchemar et à essayer de le transformer en réalité, non seulement pour l’Allemagne mais pour le monde entier. Son outil : le Forum de Davos.

Pire encore, comme ses propres déclarations le confirment à de nombreuses reprises, sa vision technocratique fasciste est aussi une vision transhumaniste, elle fusionnerait les humains et les machines dans « de curieux mélanges de vie numérique et analogique », qui infectera nos corps avec de la « Smart Dust »(1) grâce à laquelle la police serait apparemment capable de lire ce qu’il y a dans nos cerveaux. Et Schwab et ses complices, les Young global leaders, utilisent la crise covid-19 pour contourner la responsabilité démocratique du peuple et des gouvernants, pour passer outre l’opposition, pour accélérer leur programme et l’imposer plus tard au reste de l’humanité contre notre volonté dans ce qu’il appelle la « Grande Réinitialisation » ou le « Great Reset ».

 KLAUS SCHWAB EST PLUS FASCISTE QUE NAZI

Schwab n’est bien sûr pas un nazi au sens classique du terme, n’étant ni nationaliste ni antisémite, comme en témoigne le prix Dan David d’un million de dollars qui lui a été décerné par Israël en 2004 (bien qu’étrangement en octobre 2021 toute référence à Schwab semble avoir été retirée du site Web de ce  prix  David dont le Conseil a pris conscience de son fascisme  !).

LE FASCISME EST AU SERVICE DE L’ÉLITE FORTUNÉE

Le fascisme du 21e siècle a trouvé différentes formes politiques à travers lesquelles il peut poursuivre son projet de base qui consiste à remodeler l’humanité en se servant du capitalisme, par ses milliardaires qui ont pris le contrôle de la presse, et par des moyens ouvertement autoritaires, comme la vaccination obligatoire. Ce nouveau fascisme est aujourd’hui mis en avant sous le couvert de la gouvernance mondiale, de la biosécurité, de la « nouvelle normalité », du « New Deal pour la forte nature » qui se traduit par cette pression très forte qu’exercent les écologistes politiques sur les peuples et leurs gouvernants, sous prétexte de sauver la Planète qui n’en a nul besoin et de la « quatrième révolution industrielle ».

Le projet fasciste initial, en Italie et en Allemagne, consistait en une fusion de l’État et des entreprises. Alors que le communisme envisage la prise de contrôle des entreprises et de l’industrie par le gouvernement, qui – en théorie seulement ! – « agit dans l’intérêt du peuple ». Le fascisme se sert de l’État pour protéger et promouvoir les intérêts de l’élite fortunée. Schwab poursuivait cette approche dans un contexte d’après-guerre dénazifié, lorsqu’il a fondé en 1971 le « European Management Forum », qui tient des réunions annuelles à Davos en Suisse, maintenant sous le nom de Forum de Davos où tous les Young global leaders  se précipitent pour recevoir leurs instruction de leur grand maître, K.Schwab.Kilian

Il n’y a aucun lien de parenté entre Klaus Schwab et Marianne Schwab (née Rothschild), sauf le nom de famille. C’est un racontar de l’extrême gauche pour impliquer les Rothschild dans la catastrophe économique actuelle.

Selon Ancestry.com, les parents de Klaus Schwab sont Eugen Wilhelm Schwab (industriel) (né le 27 avril 1899 – décédé en 1982) et la Suisse d’origine juive Emma Gisela Tekelius Kilian (épouse Schwab) mariés à Karlsruhe en Allemagne le 2 octobre 1926. 

Des détails sur la famille paternelle de Klaus Schwab sont également donnés dans un arrêt du Tribunal fédéral suisse de 1950, consultable à l’Université de Berne. 

 Le nom de famille Schwab a une origine allemande et juive, c’est-à-dire ashkénaze. Cette ascendance est confirmée par le site « Jewish Genealogy in Argentina » (Il y a beaucoup de Schwab émigrés en Argentine).

Donc il n’y a pas d’antisémitisme à la mode Hitler chez nos mondialistes sous tutelle de K Schwab, mais tous les autres composants du fascisme-nazi son bien présents dans la plupart des pays occidentaux aux ordres de Schwab,  puisque dirigés par ses « poulains », des Young global leaders : Ursule von der Leyen, Macron, Trudeau, etc. mais aussi d’organismes internationaux comme l’OMS qui en raison de son échec partiel dans l’opération covid-19 a eu son président remplacé  par le young global leader Tedros Adanom Ghebreyesus, éthiopien et membre du parti communiste maoïste d’Ethiopie. Parce qu’on est familiers du marxisme chez les young global leaders.

Marxisme et nazisme (ou fascisme) son idéologiquement très proches, ils l’ont été politiquement en France dans les années 30 et ce sont les excès d’Hitler (notamment la chasse aux Juifs) qui ont provoqué leur séparation politique mais sur l’idéologie, ils restent très voisins.

L’Imprécateur

30 janvier 2023

1 = La poussière intelligente (« smart dust » en anglais) est un réseau sans fil de minuscules microsystèmes électromécaniques (MEMS), de capteurs, de robots ou de dispositifs, qui, officiellement, permet de mesurer par exemple la lumière, la température ou des vibrations.

Mais de tels systèmes peuvent être mis en communication avec un serveur ou avec des systèmes d’analyse via un réseau informatique sans fil. 

Cette poussière intelligente peut être dispersée dans un environnement donné (air, eau…) pour y effectuer certaines tâches simples, et renvoyer des informations par radiofréquence.