« L’étude de la philosophie a plus de chances de changer l’homme en phylloxera qu’en vrai philosophe. »
(Jacques Sternberg)
À « Boboland », qui, comme vous le savez, est la capitale de la « Cellezécie, vit une caste de privilégiés, riche voire très riche, qui se dit « de gauche » mais soutient sans le moindre état d’âme la politique suicidaire du Marquis de Morveux d’Enarque, entre autres en matière d’immigration. Il est vrai que ces gens-là, qu’on appelle la « gauche-caviar », se targuent d’aimer les pauvres mais pas au point de vivre comme eux. Ils veulent bien, à la rigueur, avoir une boniche noire ou un chauffeur maghrébin, surtout s’ils sont clandestins (car on peut les payer au noir), mais ils aiment autant que les immigrés pauvres vivent ailleurs que dans le XVI° arrondissement ou dans le triangle doré Neuilly-Auteuil-Passy.
Ils préfèrent les voir cantonnés dans un territoire appelé « 9-3 » et qui doit son nom au fait que, sur 9 habitants, 3 sont des « Cellezéceux » de souche (ceux qu’on nomme « Souchiens »).
Un couple insupportable est l’archétype de cette « gauche-caviar ». On les voit partout, au théâtre pour les premières, dans les expositions d’art contemporain, dans les dîners en ville, sur les plateaux-télé, bref ils sont là où il faut être vu pour exister socialement.
Le Marquis Emmanuel de Morveux d’Enarque aime, à sa Cour, être entouré de bouffons, de précieux ridicules, de lèches-fion, de larbins, ainsi que d’invertis, de basanés et de vieilles haridelles.
Je suis bien incapable de vous expliquer cette attirance du Marquis pour les vieillardes, les sodomites et les allogènes bigarrés. D’aucuns disent qu’il porterait la jaquette très flottante, et que sa vieille épouse ne serait point une femme. Il s’agit sans doute de médisances ou de calomnies ?
Mais revenons au couple dont je souhaite vous entretenir. Commençons par elle, galanterie oblige ! Elle s’appelle Aridelle Tombale. Elle est née aux USA, dans la grande bourgeoisie. Durant son enfance, elle vit au Mexique ou dans le château de ses grands-parents près de Macon.
Comme elle n’est pas bonne à grand-chose et dotée d’un physique ingrat – filiforme et plate comme une limande – elle va s’essayer à la danse, au chant et au théâtre. Puis, grâce à ses relations, elle fera du cinéma et deviendra l’égérie d’Érik Ahmer, le metteur en scène le plus soporifique de toute l’histoire du 7ème art. Femme insipide jouant des rôles insipides d’une voix insipide, on la verra dans tous les navets de ce cinéma dit « d’auteur » que personne ne va voir. Elle s’essaiera même au film érotique dans un autre navet franco-japonais qui fera, lui aussi, un flop.
Au fil des ans, comme elle est riche, elle se fait intégralement refaire et finit par ressembler à une femme. On lui fabrique des seins, des fesses, des lèvres…et elle devient de plus en plus maniérée et cabotine. En 1996, son époux, dont je vous parlerai plus tard, lui offre le principal rôle féminin de son premier film, aux côtés d’Alain Delong et Lauren Bancale. Qualifié par Claude Chabrol de « film le plus con de l’année », ce navet sera un échec commercial retentissant, le début d’une longue série.
Actuellement, Aridelle Tombale est chroniqueuse dans une émission de l’inverti Laurent Roquet « Les grosses têtes (vides) ». Elle peut y étaler son inculture crasse, en minaudant. Elle est dans son élément, celui des jacasseries insignifiantes énoncées de sa voix idiote de snobinarde.
Parlons maintenant de son époux ou, plus exactement du vieux foutriquet dépoitraillé qui lui sert de mari et qui voudrait bien qu’on le prenne pour un homme, un vrai, un dur.
Il se fait appeler Bernard de Haute-Lignée. Ne vous fiez point à sa particule qui n’a rien de nobiliaire, ce type est un Séfarade d’Afrique du Nord. Son arrière-grand-père maternel était le rabbin de la ville de Tlemcen, en Algérie. D’ailleurs personne ne prend ce nom au sérieux, on l’appelle par ses initiales – BHL – comme on dit PMU, RAB, RSA, SUV, BHV ou…WC.
Son père fait fortune dans les bois précieux. Lui gère ensuite cette fortune et, comme il faut bien faire quelque chose dans la vie, il étudie la philosophie. Avec quelques camarades issus de la « gauche-caviar », il crée le courant des « nouveaux philosophes » qui consiste à enfiler encore plus de lieux communs et de fadaises que les anciens philosophes. L’historien Gérard Noiriel voit en eux :
« des philosophes…mais (qui sont) davantage attirés par le journalisme que par la recherche, (qui) se lancent dans la publication d’essais grand public… Ce n’est pas la profondeur de leur pensée qui explique (leur) succès médiatique (mais le) fait que les thèses anticommunistes qu’ils défendent sont en phase avec les discours dominants ».
Bruno Jeanmart et Richard Labévière ont écrit en 2007 « BHL ou la règle du Je », un ouvrage destiné à justifier, auprès des étudiants, l’absence de BHL dans le programme de l’agrégation de philosophie. Ils y dénoncent l’absence de concepts, outils de base dans la démarche philosophique, et affirment qu’« il n’y a pas de pensée chez ce penseur ». En fait, ce type brasse de l’air !
Dès ses débuts médiatiques, BHL va peaufiner son image : Une crinière de lion (ou de chef d’orchestre) et une chemise blanche ouverte sur une pâle poitrine de souffreteux. Mais sa marque de fabrique, c’est surtout sa capacité à l’indignation feinte, cet art de parler pour ne rien dire et qui ne supporte aucune contradiction. Il est le Messie, celui qui dit le vrai, le bon, le beau, le juste !
Mais, sous son air maladif de gringalet, se cache aussi un chaud lapin. Il épouse tout d’abord un mannequin. Avoir beaucoup d’argent donne toujours un certain charme aux hommes, fussent-ils laids ou mal finis. Le couple fait une fille puis divorce. Le mannequin aurait commis des cambriolages pour payer sa cocaïne (car dans ce monde là, on raffole de la « coke »).
Ensuite, il épouse une éditrice car, quand on veut publier des livres mal écrits, autant savoir à qui s’adresser. Comme témoin de Mariage, il aura François de Jarnac, Seigneur de Latché, dit « le Florentin ». De cette union naîtra un fils puis le couple divorcera quelques années plus tard.
Enfin, en juin 1993, il épouse Aridelle Tombale à Saint-Paul-de-Vence où vit une colonie des plus beaux spécimens de parvenus de la « gauche-caviar ».
On ne sait pas si ce faux-dur a seulement fait son Service Militaire, mais au fil des années il finira par se prendre pour un expert en géopolitique, un stratège et un chef de guerre, alors qu’il n’est qu’un paltoquet narcissique, imbu de lui-même et vaniteux comme un paon.
Il se fait photographier, la plupart du temps en studio, en faisant croire qu’il arpente des zones de guerre, puis il deviendra le bouffon des puissants en leur disant où il faut aller guerroyer.
En 1992, il suggère à François de Jarnac de soutenir le président de la République de Bosnie-Herzégovine, isolé dans Sarajevo assiégé. Et en 1994, il présente au festival de Cannes « Bosna ! », le film qu’il a tourné dans les tranchées tenues par l’armée bosniaque et dans les combats que celle-ci mène contre les milices serbes. Jean Daniel consacre au film un éditorial élogieux sous le titre ridicule « Malraux ou rien ». Il osera écrire
« Bosna, le film que BHL présente cette semaine au festival de Cannes, est une œuvre forte, très forte, efficace, bien conduite, avec un souffle épique. C’est sans doute le réquisitoire le plus implacable contre la politique de non-intervention européenne dans la tragédie bosniaque. On est constamment saisi au collet, pressé de rejoindre le narrateur, entraîné par sa pugnace ferveur et même son lyrisme débridé ».
Mais ce navet, dans lequel BHL se met en scène pour sa seule gloriole, fera un bide. Ce précieux ridicule n’en est pas à son premier bide. Il est même un habitué des flops. Son tout premier film, qui mettait en scène Aridelle Tombale n’enregistrait que 73 147 entrées dans le pays, alors qu’il était soutenu par toute la presse de gauche.
Plus tard, BHL demandait à Sarkizizi, Seigneur de Neuilly, de prendre position contre Kadhafi qui « massacrait son peuple » en Libye. Puis, en 2012, il réalisait encore un film sur son engagement en Libye « Le serment de Tobrouk », à ne pas confondre avec l’excellent film « Un taxi pour Tobrouk » de Denys de La Patellière servi par des dialogues de Michel Audiard. Le film est présenté en sélection officielle au festival de Cannes, mais il est nullissime et fera… 2450 entrées, un naufrage!
Dans un autre registre, l’épouvantable pièce de théâtre de BHL « Hôtel Europe », en 2015, a dû être déprogrammée faute de public, encore un flop !
Comme il fallait s’y attendre, dès février 2022, BHL demandait au Marquis de Morveux d’Enarque de prendre position pour l’Ukraine de Dingomyr Zobensky attaquée par les Cosaques.
Puis il allait se faire photographier sur le terrain (ou en studio ?)…et puis…et puis, il sortait un film « Slava Ukraini » (qui veut dire « Gloire à l’Ukraine »), qu’il présentait comme « un carnet de bord qui consigne les petits et grands événements du pays en guerre » et dans lequel ce vaniteux narcissique se met en scène. Le film est sorti en salle mercredi 22 février.
Dire que ce n’est pas un succès commercial est un doux euphémisme.
Il n’a enregistré que… 208 entrées le jour de sa sortie, et ce malgré le battage d’une presse complaisante. Ce documentaire « très engagé » suit BHL « dans son périple auprès des militaires qui combattent sur les fronts est et sud et de la population ukrainienne. En casque et gilet pare-balles ou en chemise blanche au col ouvert, le philosophe obtient des témoignages poignants ou dresse des portraits plutôt bien ciselés… » Mais les journaux ou sites plus honnêtes ne sont pas tendres avec ce navet : « Trop loin des lieux de combats », « une voix off lente, mal interprétée », « un documentaire ridicule », un « mauvais reportage sans nuance et partisan »…Encore un flop !
Depuis le début des années 70, nous subissons les certitudes et les fausses indignations de ce freluquet pontifiant (et depuis les années 90, les niaiseries de sa femme). J’ai donc une suggestion à lui faire, pour son bien comme pour celui des « Cellezéceux » de souche (qui n’en peuvent plus des attaques contre leurs racines et leur patrie proférées par ce vieux cabot). Que BHL se retire dans une de ses propriétés à la campagne ; surtout qu’il arrête d’écrire, de faire des films, et de jacasser sur les plateaux-télé ; qu’il se consacre à la culture du navet « bio », car là, assurément, il a un vrai talent.
Cédric de Valfrancisque
27 février 2023
Quel beau costume vous avez fait à BHL / il y en a qui porte du yves st laurent , mais là c’est du BHL
pur jus du Nec plus ultra fait par notre tailleur vénéré Cédric de valfrancisque..C’est de la taille sur mesure qui ne va qu’au trou du cul BHL et donc chers sympathisants de minurne , n’essayez pas de le porter, il ne vous ira pas …. et tant mieux ouf
Il était temps de lui régler son compte , à cet insuportable prétentieux ! merci de l’avoir fait
Justine LEVY c’est qui ? La fille de BHL, complètement détruite par la drogue. L’avais suivie quelques minutes lors d’une émission littéraire, sa folie avait de quoi vous glacer. Quant à la frangine de BHL, elle s’est tournée vers le catholicisme en entrant dans les ordres. Elle peut prier pour son frère possédé par le démon !!!
Je pense que tout est dit sur BH dans ce billet. Merci de n’avoir rien oublié concernant ce suppôt de Satan, ami des ennemis de la France.
Béchamel et Aridelle Troud’balle, la démonstration incontestable que 0 + 0 = 0voire même -0…
Je lis vos chroniques à haute voix, à mon épouse, en m’arrêtant sur les passages les plus désopilants. Ainsi nous en apprécions tous les deux, en même temps, tout l’humour. Ce dernier sur le couple cornichon vaut le détour. Une chose manque à ce portrait au vitriol : Le canular monté par Frédéric Pagès qui a donné vie à un philosophe fictif Jean Baptiste Botul, et dans lequel BHL s’est engouffré comme un grand andouille, en montant (encore une fois) à l’assaut de Kant, le prétendu sage de Königsberg. La fatuité de ce loustic est d’autant plus méprisable qu’il est encensé par la clique bien pensante des crétins incultes.
Bravo, Cédric de Valfrancisque, magnifique texte de vérité; Ô combien illustré de caricatures plus belles et drôles, les unes que les autres qui rivalisent de talent avec votre texte, merci à vous et merci aux dessinateurs !…
De plus, j’ai appris que notre Super-Narcissique et tête de Turc commun, était le fils d’un richissime mâle qui avait réussi dans les bois précieux, alors que j’avais lu, je ne sais plus trop dans quel magazine,il y a plusieurs décades en arrière, que ce papa au séant cousu d’or possédait la plus importante entreprise française de « Déménagements » de l’après-guerre ,et en même temps que son rejeton n’avait jamais terminé le parcours d’études qui lui aurait permis de passer avec succès les examens affairant à l’obtention officielle du titre envié de Philosophe. Ce que les Médias adeptes de la Moraline pro-immigration, etc..ont largement compensé en lui décernant ce titre valorisant sans aucune vergogne…
Ce qui m’avait bien rasséréné, car au par-avant, je m’inquiétais de n’avoir jamais été en capacité de lire plus loin que la page 3 ou 4 les deux seuls livres – qui peut-être ont dû se voir repris par la Maison d’Edition qui les proposait en rayonnages des librairies où je les ai consultés. Craignant alors de mourir idiot un jour, pour n’avoir jamais était capable de comprendre la prose de ce grand philosophe essayiste et polémiste, me laissant, face au questionnements et étonnement de mon cognitif, sa porte bien close !
Dans votre article, ce qui m’a bien fait plaisir également, c’est bien que vous signalez que ce pitre
séfarade a un parcours similaire d’idiotie suicidaire que nos profs de l’après 68, qui ne voyait danger qu’en J.M Le ¨Pen, levant leur troupes de lycéens braillards manipulés, y compris parfois de sixième, durant le duel Présidentiel de 2002 et qui aujourd’hui font dans leur culotte face à bien de nos chers jeunes français issus de l’immigration sévère, experte du couteau, qui torpillent notre culture, notre existence et tue notre avenir dans l’œuf, crachant sur nos valeurs et génie et de par leur religion, faisant profiter en priorité les juifs d’être les premières victimes de la criminalité intrinsèque des adeptes de la razzia et de l’asservissement de qui refuse de révérer Mohammad…
Ah, j’oubliais, en petit rappel : le surnom donné à BHL par les casques bleus français intervenus dans le conflit intérieur entre les serbes de Yougoslavie et les séparatistes musulmans :
« Monsieur 1 heure pas plus ! »Comme je cite de mémoire, il se peut qu’au pire la formule ait une formulation légèrement différente sans que pour autant elle n’en n’est pas identique signification…
Soit que : BHL se rendait sur les lieux de conflits sans prendre le moindre risque d’être blessé, restait pendant une heure pas plus, juste le temps de quelques clichés photographiques de sa personne admirable et brillante et ensuite retour immédiat à l’avion …
Avouons qu’il faut quand même oser le faire..Quoi qu’il faisait bien rigoler les Casques Bleus, ce qui est très généreux de soutenir le moral des troupes par les vents mauvais des conflits armés, comme le faisaient devant nos soldats, nos belles vedettes qui venaient chanter, danser lors des deux guerres mondiales,le Vietnam, etc…
Ce qui me ferait conclure si j’étais « un Homme de Dieu » comme le curé « des Misérables » de Victor Hugo protégeant Jean Valjean de son arrestation par les deux Gendarmes, qu’en un humain quel que soit ses pêchés et ses faiblesses coupables, la Lumière Divine est toujours prête à se manifester…
Bonne soirée à tous.
J’ai retenu Monsieur « une heure pas plus: D’ailleurs dans ce gouvernement et leurs amis ,
il y a de quoi faire un bon dessin animé caustique : Cette appellation s’ajoute à
le morveux d’énarque ou fidel castré et dernierement mr bras d’honneur, sandrine ruisseau de conneries (titre de noblesse ) etc .
Merci monsieur « le réfractaire pour vos réponses instructives.
C’est un bide, c’est un flop, c’est un prout ! Que dis-je c’est un prout, c’est jute une diarrhée.
Ca j’adore : c’est vraiment chiadé .mais bon heureusement que je n’approche pas BHL
Il sentirait trop mauvais./J’aurai peur de m’évanouir.
Excellent texte. Tout est élégamment dit.
Je n’espère qu’une chose, c’est que là où il ose s’aventurer sur les théâtres de guerre, un sniper se paye ce sioniste mondialiste khazar enragé, faisant ainsi oeuvre sanitaire pour le bien du monde et de la France. C’est tout ce que ce fou pédant mérite.
Hélas Claude Roland, cette ordure ne risque pas grand chose, ses virées risquées, sur les champs de bataille, cheveux en bataille, chemise débraillée dans un costard Yves St Laurent, les bras levés de conquérant, se tournant dans des studios tout près de Paris.
Entièrement d’accord avec vous ce type est un grand malade, sauf qu’il est le seul à l’ignorer…
Excellente description de ce couple de prétentieux. Visiblement, il beaucoup d’argent et bien peu d’amour-propre pour produire ainsi navet après navet.
Bravo Cédric….joli texte bien écrit, avec vérité et humour !
Je rigole en pensant aux nombreux entartages que le damoiseau a subis !
Mer.e à ce c.n !
OUI celui la il est des combats qui ne nous concernent pas Mais il fait des livres que je ne lirai jamais.
Il a un certain voyeurisme malsain : il aime la guerre : qu’il y aille non pas pour la raconter et se faire du fric mais y foutre le nez dedans : qu’il se mouille vraiment et non pas qu’il allume les meches.
C’est un intello nocif.Evidemment pour lui le peuple ne pense pas,le peuple est dans l’ignorance/
Dommage car , il ne comprend pas même le peu de mots qu’on pourrait dire : il doit être limité !!