LA RETRAITE ? PARLONS-EN ! (Eric de Verdelhan)

 

 

Avant-hier, les syndicats ont mobilisé leurs troupes, c’est indéniable, mais nous n’en sommes pas encore au blocage total du pays (et de son outil industriel déjà bien malade !) souhaité par Jean-Luc Mélenchon et certains caciques catégoriels de la CGT. Le pire est peut-être à venir ?

Sur les projets de refonte des différents régimes de retraite – comme sur le reste d’ailleurs ! –  Emmanuel  Macron  aura tout raté. En 2017, durant sa campagne pour l’élection présidentielle, il nous annonçait une retraite juste et équitable ; une retraite par points, la même pour tous, avec un « élément de langage » créé par un de ses nombreux conseillers en communication : « Chaque euro cotisé donnera un euro de retraite », et il nous promettait de réunir tous les régimes de retraites en un seul (1). Cette promesse était totalement utopique, irréaliste voire carrément mensongère.

Ensuite, nous eûmes droit au résultat – fumeux ! – de la Commission Delevoye avec son « âge pivot » auquel on ne comprenait rien. On se demandait ce que ce type, payé au tarif d’un ministre régalien, avait fichu durant deux longues années. L’ « âge-pivot » nous aura valu un excellent sketch d’Anne Roumanoff, quant à Delevoye, qui cumulait… treize mandats, il est passé aux oubliettes de l’histoire. Le 2 décembre 2021, il a été condamné par le tribunal correctionnel de Paris à quatre mois de prison avec sursis et 15 000 euros d’amende pour ses omissions dans sa déclaration d’intérêts.

Le 20 décembre 2021, « Le Média » révélait  que l’association « la Chartreuse de Neuville », présidée par Jean-Paul Delevoye, avait  obtenu des promesses de financement à hauteur d’un million d’euros de la part d’« AG2R La Mondiale », assureur très intéressé par la future réforme des retraites.

Nous vivons la troisième étape, aussi confuse et mal ficelée que les deux précédentes, ce qui démontre, une fois de plus, que Macron est entouré d’amateurs et/ou d’incapables.

Si nous étions encore en démocratie, un projet aussi mauvais, rejeté par 75% des Français, serait définitivement enterré. Je ne saurais dire, à l’heure où j’écris, si le gouvernement arrivera à obtenir une majorité pour nous faire avaler sa réforme, s’il utilisera une fois de plus le « 49,3 », ou s’il finira par « rétropédaler » devant les mouvements de rue.  Nous verrons bien !

En attendant, la « France-qui-râle » va empoisonner la vie de la « France-qui-bosse ».

Dans certaines régions le carburant commence à manquer et les transports en commun sont à l’arrêt. Au nom de notre sacro-saint droit de grève, des manifestants prennent en otages ceux qui aimeraient bien qu’on respecte aussi le droit au travail. Je reconnais à Emmanuel Macron un art, un talent, que dis-je, un vrai génie pour faire descendre les gens dans la rue, entretenir un climat de guerre civile larvée, diviser pour régner, souffler sur les braises, rallumer « des feux mal éteints » (2) avec nos anciens colonisés, et encourager – bien qu’il s’en défende – le « séparatisme ».

En fait, l’avorton présidentiel  est un pompier-pyromane qui ne maitrise absolument RIEN, un pantin de l’UE, une marionnette des mondialistes et… une calamité pour notre pauvre pays.

Je suis en retraite depuis déjà quelques années, mais, à 73 ans, je continue à travailler à mon rythme. Quand je suis entré dans la vie active, l’âge de départ à la retraite était fixé à 65 ans dans le privé. Mon seul désir était de travailler car pour moi, la « valeur-travail » est d’abord une richesse et un gage de liberté. Très tôt j’ai voulu voler de mes propres ailes, sortir du cocon familial, gagner ma vie. Je pensais – et je pense encore – que travailler est une chose normale et que le « droit à la paresse »  prôné par Sandrine Rousseau et d’autres illuminés de son acabit, est la suite hélas logique de mai 68, du « ministère du temps libre » des socialistes, du rallongement des congés payés, de la semaine de 35 heures, des RTT, etc… Toutes ces mesures démagogiques et racoleuses ont contribué à détricoter toute notre industrie (3).

Qui se souvient que sous Georges Pompidou la France était la deuxième puissance économique mondiale, derrière les États-Unis ?

Nous étions à la pointe de toutes les technologies, avec notre nucléaire (civil et militaire), notre TGV, nos paquebots, nos sous-marins nucléaires, nos avions de chasse, et j’en passe.

Avec une croissance de 5 à 6 % pendant trente ans – les fameuses « trente glorieuses » –  la France  ne connaissait ni chômage, ni insécurité. Et jamais on n’avait connu une telle amélioration du niveau de vie des Français, toutes classes sociales confondues (4).

L’immigration, à cette époque, ne demandait qu’à s’intégrer, à l’image des Polonais, Italiens, Portugais, Espagnols. Les gens venus d’Afrique – Noire ou du Nord – donnaient des prénoms français à leurs enfants puisque la loi leur imposait de le faire s’ils voulaient devenir français.  

Jusqu’en 1980 en gros, nous bénéficions du cinquième niveau de vie au monde, derrière les USA, la Suède, le Luxembourg et la Suisse. Bref, inconsciemment nous vivions dans un eldorado que les héritiers de mai 68, ces enfants trop gâtés, se sont faits un malin plaisir à détruire ou, si vous préférez, à « déconstruire » pour parler comme les cuistres, les imbéciles (et Sandrine Rousseau).  

Mais en quelques décennies, tout ça a été démoli, balayé, par des incapables de gauche comme de droite, qui ont été les fossoyeurs de la nation, bien aidés, il faut le dire, par les institutions européennes. Et, depuis l’arrivée au pouvoir de Macron, la dégringolade s’aggrave. Notre pays est désindustrialisé, ruiné, envahi par une immigration incontrôlée (car incontrôlable), soumis au diktat des minorités et à l’Islam. Ajoutons que nous sommes devenus une république bananière et l’un des pays les plus dangereux du monde occidental.      

Notre école – qu’elle soit laïque ou privée – n’enseigne plus rien en dehors de l’écologie, du wokisme, de la théorie du genre, de la propagande LGBT, de l’antiracisme et, bien sûr, de la place de l’Islam dans notre société. Il y règne l’insécurité et on y propage la haine de la France.

Au classement « Pisa », nous reculons de façon dramatique d’année en année.

Classement PISA (évolution entre 2000 et 2018)

L’Éducation nationale est devenue la « fabrique des crétins » (5), une usine à formater des cancres qui ne maîtrisent même plus les rudiments de leur propre langue.

Notre industrie est moribonde, elle a perdu 3,5 millions d’emplois en quelques décennies. Et la part de l’industrie dans notre PIB a chuté de 25 % à 10 %. La France est devenue la lanterne rouge de l’Union Européenne. Nous avons tout vendu, tout bradé, tout délocalisé. La pandémie de Covid 19 a été un révélateur de notre incapacité à fournir des lits, des respirateurs, des masques, du gel mais aussi du personnel soignant, médecins ou infirmières. 

Notre agriculture est malade elle aussi. Troisième exportateur mondial en 2005, la France a rétrogradé au sixième rang, derrière les États-Unis, les Pays-Bas, l’Allemagne, le Brésil et la Chine. La part de l’agriculture dans notre PIB est passée de 6 % à 3 % en quelques années.

Bruxelles et les incompétents qui nous gouvernent  ont écrasé notre paysannerie  de charges, taxes, règlements, normes – environnementales et sanitaires – qui l’ont littéralement tuée.  

Notre agriculture n’est plus compétitive. Nos agriculteurs survivent avec 350 euros par mois quand un mineur isolé (ou supposé tel ?) coûte 50 000 euros par an au contribuable.

Nous avions jadis la meilleure médecine du monde. Encore un modèle qui s’est effondré !

Fermetures  de services hospitaliers « non rentables », suppressions de lits, baisse des effectifs, etc…

C’est une catastrophe ! Aujourd’hui, dans presque tout le pays, il devient impossible de trouver un médecin – généraliste ou spécialiste – un dentiste, un kinésithérapeute. Obtenir un rendez-vous à trois mois devient un exploit ou un coup de poker.

La SNCF est en lambeaux, EDF aussi, et j’éviterai de vous parler de notre armée, réduite à une peau de chagrin par des imbéciles qui nous disaient il y a vingt ans qu’avec l’Europe (et l’Otan) nous n’avions plus besoin de la conscription puisque nous étions à l’abri d’un conflit « de haute intensité ». Nous n’étions engagés que dans des conflits « du fort au faible ». Que n’ai-je entendu ce discours lénifiant émanant, la plupart du temps, de généraux pontifiants qui n’ont jamais fait la guerre, sinon autour d’un bac à sable (et qui doivent souvent leur légion d’honneur à la souplesse de leur échine ou leur appartenance à une Loge maçonnique.)

Croyez bien que je ne fais pas de catastrophisme, c’est un simple constat, une triste réalité. Et que dire de l’insécurité qui ronge le pays ? En trois décennies elle a été multipliée par cinq.

Il est mal vu, et même interdit, de faire une corrélation entre immigration et insécurité mais ne nous voilons pas la face : chaque semaine ou presque, un crime plus ou moins sordide est à mettre au compte d’un « OQTF » qu’on n’a d’ailleurs aucun moyen d’expulser.

Cette  insécurité est entretenue, encouragée, par le laxisme de magistrats engagés à gauche ou à l’extrême-gauche. Nous sommes le seul pays au monde où les commissariats sont attaqués et où les policiers ont peur de tirer pour sauver leur peau. En fait, un flic agressé par une bande de racailles a le droit de sortir son arme de service quand… il est mort.

Il y a chez nous, chaque jour, 120 agressions au couteau. Je ne sais pas si j’ai le droit de dire que certaines communautés « surinent » plus que d’autres ? Pour rassurer le bourgeois, une presse aux ordres lui parle de « blessure au cou » plutôt que d’égorgement, ou bien elle évite d’en parler.

Nous sommes devenus un drôle de pays ou le Garde-des-Sceaux se permet de faire un doigt d’honneur (pardon : deux) à un représentant élu du peuple, c’est LAMENTABLE !

Ce triste constat nous éloigne-t-il des problèmes de retraite ? Non, j’y reviens :

Je n’entends pas donner des leçons à qui que ce soit car je suis aussi cossard qu’un autre et j’aime aussi les vacances mais, qu’on le veuille ou non, c’est le travail qui crée de la richesse.

Quand l’état-providence entretient des feignasses à ne rien faire, c’est aux actifs qu’on demande de financer tout ça et c’est parfaitement immoral et amoral. Voilà pourquoi toutes ces palabres stériles sur la retraite me tapent sur le système ; j’aimerais qu’on élève le débat et qu’on se pose enfin les bonnes questions. C’est sous Giscard d’Estaing que le nombre des chômeurs a passé allégrement la barre du million. A cette époque, François Brigneau, qui avait un bon sens de provincial enraciné, écrivait :

« Ce n’est pas la perte des emplois qui est grave, c’est la disparition des métiers ».

Il avait tout compris ! Mais la gauche utopiste ou faussement naïve rêvait – déjà ! –  à 80% de bacheliers.

En 2021, le taux de réussite au bac a été de 97,5%. Je pense que ceux qui l’auront raté l’ont fait exprès. Mais beaucoup de ces bacheliers au rabais, qui n’ont rien appris et qui ne savent rien faire, iront grossir les rangs de « Pôle-Emploi » ; ils sont les fruits secs, les laissés-pour-compte, les victimes d’une idéologie née avec la Révolution française, laquelle a adopté la devise du Grand Orient : « Liberté. Egalité. Fraternité ». La liberté n’existe que si l’on a les moyens financiers de vivre décemment, or en dehors de quelques rentiers, c’est le travail qui procure des revenus. L’égalité est un leurre. On peut toujours seriner que « les hommes naissent libres et égaux en droits… », tout le monde sait que c’est faux. Je n’ouvrirai pas ici le débat sur l’inné et l’acquis, je me contenterai de citer Georges Brassens :

« le temps ne fait rien à l’affaire/Quand on est con, on est con ».

Des gens naissent avec un potentiel intellectuel important (ou un physique avantageux) ; d’autres arrivent au monde avec le QI d’un bulot (et un physique ingrat voire difforme), c’est injuste mais c’est la vie !        

Quant à la fraternité, elle existe en effet, mais uniquement dans …les Loges maçonniques.

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Je préfère la devise des « Croix-de-Feu » du colonel François de La Rocque : « Travail, famille, patrie» (6) car elle illustre bien tout ce que Macron et ses amis mondialistes détestent. Ils ont tué le travail en détruisant l’enseignement classique, en détricotant le tissu industriel du pays, mais aussi en saignant la paysannerie ; ils ont tué la famille avec l’IVG, le PACS, le mariage gay, la théorie du genre, l’importance accordée au lobby LGBT, etc… ; ils sont en train de tuer la patrie, en détruisant sa langue au profit d’un langage franglais et « inclusif », en cédant aux oukases de Bruxelles et en laissant envahir le pays par une faune allogène qui refuse nos lois et entend nous imposer les siennes. Il me semble – mais peut-être que je me trompe ? – que tout ceci est plus grave, plus inquiétant, plus préoccupant  pour notre avenir, que de savoir s’il faudra que le Français travaille quelques mois de plus pour toucher une retraite à taux plein.              

Éric de Verdelhan

9 mars 2023

 

1)- régimes au nombre de… 44, sauf erreur.

2)- « Des feux mal éteints » est un (mauvais) film engagé de Serge Moati, sorti en 1994, sur la guerre d’Algérie.

3)- Pour être honnête, je dois dire que les institutions européennes ont bien contribué à tuer nos industries et notre économie.

4)- Ceci est à nuancer pour les agriculteurs.

5)- Titre de l’excellent livre de Jean-Paul Brighelli.

6)- Reprise plus tard par le gouvernement de Vichy, autant dire qu’elle sent le soufre ! 

9 Commentaires

  1. Comme d’habitude, bravo à M.De Verdelhan, dont je partage les idées et les réflexions à 100%. Tous ces crétins détruisent notre pays de toutes les façons possibles! Tout y passe, de la suggestion à l’avortement, les nombreux vaccins aux bébés, les idées « woke » débiles pour encore une fois suggérer aux femmes que la maternité ne leur apporte rien, sinon un manque de liberté, quand ce n’est pas pour un minimum de pollution, les vaccins tueurs, la paresse, le genre, et j’en passe!! La liste est très longue et si tout cela ne suffit pas, on chatouillera l’ours russe jusqu’à ce qu’il nous flanque un petite bombinette sur le museau!! Ha, là au moins, on aura éradiquer un max de fachos, de complotistes etc. Et si nos concitoyens ne voient rein venir, il est à désespérer de l’être humain!!!

    • Vous connaissez le mal ô combien. Maintenant attelez-vous à trouver le remède. Ça prendra un peu de temps car là il ne s’agit pas d’armes. A l’étranger on se rit de certains travers bien français mais dans l’ensemble on voudrait pouvoir vous mettre sous perfusion afin de vous guérir.

  2. Tout cela est bien triste et bien vrai à la fois. Il faut cependant reconnaître que les divers commandants de notre  » Titanic  » FRANCE ont été élus par les passagers du bateau et que le commandant Z qui proposait d’éviter l’iceberg a été conspué par la majorité des passagers et de l’équipage qui maintenant pataugent. Les survivants feront leur prochain voyage, dans les mêmes conditions, sur le Costa Concordia…

      • Le Costa Concordia est le paquebot qui s’est fracassé sur la roche de l’île de Giglio entrainant la mort de 32 passagers…

  3. Vous avez pris les bons exemples : il y a un gros problême dans la chaine du systeme économique
    et moral.
    Exemples :il y a du chomage et on veut allonger l de façon systématique sans finesse l’age de la retraite: alors qu’on robotise un Max.alors que c’est un outil compliqué cher et difficile à regler. : Les robots ça ne côtise pas pour la retraite mais ça rapporte un max sans qualité aux sociétés internationales:car des patrons il y en a de moins en moins.
    ON veut prolonger la retraite ,mais les vieux c’est souvent malade et ça tient moins le coup alors que avons un service de santé ou il faut attendre tres longtemps pour se soigner et quand on veut se soigner rapidement, on tombe sur des nases qui sont souvent dans les usines à fric.:Soit vous crevez dans les couloirs , soit si vous voulez des lunettes rapidement vous aurez vos lunettes mais vous y verrez peut être moins qu’avec les précedentes.:INternet quel pied !! mais au téléphone ,plus personne au bout du fil, un con ou une conne.3 fois sur 4..Attention le ministre a dit qu’il allait donner du temps médical aux medecins : Phrase typique d’un enarque formaté qui n’a jamais rien compris à rien.
    Vous voulez vous detendre devant la télé:Vous aurez droit ,dans de nombreuses sequences de films :policiersà des scenes style transgenre lgbt et compagnie :OUI je sais l’homme ne se contente pas de sa
    vraie nature à n’importe quel age d’ailleurs , et il faut dépasser sa vraie nature parait il : la seule nature qu’il n’arrive pas à surpasser c’est la mort: ou la maladie ou la fin de vie : C’est con tout de même .
    Des exemples de la connerie des hommes et surtout des elites j’en ai plein.Pourquoi j’implique les .
    elites: Parce que parait il ils sont en charge de donner la bonne direction.en de bonnes manières:On le voit à l’assemblée nationale ou ils ne savent plus se tenir.
    C’est facile de se moquer du peuple en disant ironiquement le peuple est bon.Non le peuple n’est plus bon quand il est mal dirigé , mal sanctionné ,mal expliqué , perverti et découragé..

    • Complétement d’accord avec votre constat  » jéanmi de corse » et bien sûr avec l’article d’Eric de Verdehlan, qui est extraordinairement documenté, étayé et avec lequel je partage les idées et son mépris, pour ne pas dire plus, de la Franc-Maçonnerie à qui nous devons tant de malheurs, à commencer par 1789, dont la fumeuse devise « Liberté, Égalité, Fraternité » et toutes les défaites morales, et par conséquence objective, militaires, reniements de l’intelligence et du simple bon sens commun .Sans omettre non plus le sens de la Transcendance , chère à Kant et au génial Albert Einstein (E=MC2) qui regretta tout le reste de sa vie d’avoir engendré la fission atomique pour le malheur de l’Humanité, mais qui s’inclinait devant l ‘Esprit Suprême et Éternel, le Divin de toute choses et Êtres des multi-univers du Cosmos, dont il ne doutait pas un seul instant de sa réalité..

      Vive Minurne et ses formidables polémistes chroniqueurs éditoriaux,

      Vivement le Saint Retour de la Couronne Royale ! .

      • Je me régale tous les soirs :et des articles de styles variés mais toujours instructifs et des réponses avec toujours du respect sans toutefois macher leurs mots avec des appellations « imagées » et des termes plus grossiers
        lorsque les personnes visées sont à la cotation la plus basse qui soit::
        Parfois j’ai des hésitations entre nul et con :Il y a en a une :le nul ne fait pas expres d’^êre nul même s’il n’a pas assez travaillé son sujet: : Le con fait exprés d’être nul.

  4. Tout bien dit, et dramatiquement juste !
    Personnellement, j’ai la haine au cœur depuis un bon moment !
    Plus rien n’est à sa place….on dirait que le mal a pris le dessus !
    Faut une étincelle pour que ça pète, et je la souhaite !

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