« Nahel, jeune homme de 17 ans, est mort dans la matinée du 27 juin à Nanterre… Il faisait l’objet de douze mentions au fichier des antécédents judiciaires pour refus d’obtempérer, stupéfiants et conduite sans permis. Le 24 juin notamment, il avait déjà commis un refus d’obtempérer et devait comparaître au mois de septembre devant le juge des enfants. Le 27 juin, pourtant, il en renouvelait un dans les circonstances que l’on sait alors qu’il se trouvait, sans permis, au volant d’une Mercedes orange avec une plaque polonaise… »
(Philippe Bilger, ancien procureur de la République).
(N.B : Mes lecteurs voudront bien me pardonner de m’être inspiré, pour l’intitulé de cet article, du titre d’un film de Farid Hamidou – dit Dany Boon – « Bienvenue chez les Ch’tis ».)
Mardi 27 juin, j’étais encore en voyage, sur le chemin du retour. Après un périple d’un mois en Europe, je me trouvais… quelque part, en direction de la Corrèze, en « zone nono » (1).
Dans mon van, une radio du service public, qui n’annonce jamais une fête chrétienne, nous informait du début de l’Aïd al-Adha ( عيد الأضحى, « fête du sacrifice ») ou Aïd el-Kebir (عيد الكبير, « grande fête ») (2). L’Aïd al-Kébir 2023 commençait le mercredi 28 juin pour trois jours. C’est une fête importante du calendrier musulman donc nos médias se font un devoir d’en parler.
Et puis, le 27, un fait divers que je me refuse à qualifier de « bavure policière » a enflammé les banlieues de non-droit avant de s’étendre au centre de plusieurs villes, moyennes ou grandes.
Un certain nombre de journaux et de sites amis ont raconté cette affaire ; tout ou presque a été dit. A gauche (et au gouvernement) on condamne sans nuance le flic qui n’a fait que son devoir, et à droite on dénonce tièdement le manque de moyens des policiers et le laxisme des juges.
Quant à Macron, il a fait, comme d’habitude, du « et en même temps ». Lors de sa première intervention, il nous a servi un « gnangnan » compassionnel, sans montrer l’autorité qu’on aurait pu attendre de lui. Et dès le 28, il dénonçait des « violences injustifiables » qu’il ne pressentait pas la veille. Il usait aussi de deux adjectifs : « inexplicable » et « inexcusable », qui s’accordaient mal avec la situation du 27 juin. Depuis son élection en 2017, l’avorton présidentiel ne se comporte pas en chef d’État mais en simple observateur (ou en commentateur) du délitement du pays. Vous me direz – et vous aurez raison – que la « Start-up France » n’est pas SON pays car, en larbin de la finance apatride, il rêve d’en faire un « land » européen, préalable à une future gouvernance mondiale.
Passons sur les commentaires aussi stupides que fielleux des Kylian Mbappé, Omar Sy ou de l’ineffable Assa Traoré. Nous constatons, une fois de plus, que leur France n’est pas la nôtre et que, pour eux, la couleur de peau est LE critère exclusif de leurs indignations partisanes. Et ce sont les mêmes qui osent nous traiter de racistes alors qu’ils distillent en permanence la haine du Blanc !
Passons aussi sur les vociférations des leaders de LFI, à commencer par Jean-Luc Mélenchon, David Guiraud, Louis Boyard, etc… qui clament leur haine des flics, soufflent sur les braises pour attiser l’incendie et aspirent à ce que le pays soit à feu et à sang. Ils rêvent d’une révolution et n’ont pas compris qu’ils en seraient les premières victimes car – primo – leur dépravation progressiste est incompatible avec le Coran et – secundo – l’Islam a horreur des traîtres et des renégats.
Depuis le 27, la France subit des incendies, des violences, des destructions de voitures et de bus, d’une médiathèque, d’une banque, de tout ce qui représente la richesse, le commerce et la convivialité d’une ville et de ses quartiers. Les vandales, les hordes barbares, saccagent aussi les biens des plus modestes. En fait ce n’est pas à l’État qu’ils en veulent mais à notre civilisation. La mort du prénommé Nahel n’est qu’un (faux) prétexte pour casser du Blanc et piller ses avoirs.
Les chaînes de télé ont diffusé en boucle cette « marche blanche » (3) qui ressemblait plutôt à une marche triomphale. 6 000 manifestants environ, braillant leur soutien à la mère de Nahel. Cette dernière était instrumentalisée par Assa Traoré, qu’on avait un peu oubliée, et qui lui avait glissé la « marche de la révolte ». La mort de son chérubin de 17 ans, ce jeune si prometteur, semblait oubliée. D’ailleurs qui, dans cette foule vociférante, éprouvait vraiment du chagrin ?
Si cette situation n’était pas dramatique pour les victimes de ces émeutes, je souhaiterais qu’elle perdure pour créer un électrochoc, un traumatisme, une prise de conscience.
Pour que les Français, que de Gaulle traitait de veaux, comprennent, comprennent ENFIN, que nous vivons l’une des étapes du « grand remplacement ». Depuis les années 60, et depuis les émeutes de 2005, notre pays n’a pas cessé de voir arriver un flot massif (et incontrôlé) de migrants majoritairement musulmans. Avec le « Jus Solis » et le « regroupement familial » la France compte maintenant 19% de sa population issue de l’immigration (4).
Certains commentateurs parlent aujourd’hui de guerre civile ce qui est une ineptie. La guerre civile irlandaise, par exemple, ou la guerre d’Espagne de 1936 à 1939, justifiaient cette appellation car des gens issus d’un même peuple se battaient entre eux, entre gens de même origine, de même culture, dans des combats fratricides. Or chez nous, des étrangers ou des « Français de papiers » qui détestent leur pays d’adoption, attaquent les occupants historiques de ce pays et détruisent tout ce qui symbolise sa richesse, sa culture et son passé. J’ajoute également qu’on ne peut parler de guerre civile que quand elle oppose deux belligérants or, à l’évidence, le camp des Français de souche n’a aucune envie de se défendre. Il fait confiance à un pouvoir, pourtant totalement défaillant, pour rétablir l’ordre. Souvenez-vous qu’il y a quelques mois à peine, des tas de lopes émasculées – par lâcheté ou inconscience ? – se sont débarrassées du fusil de chasse de leur grand-père auprès des gendarmeries ou des commissariats de police. Je doute que les caïds de banlieues soient allés rendre leurs kalachnikovs (AK 47 pour les puristes) aux autorités.
L’oukase de Moussa Darmanin n’est pas anodin pour qui connaît un peu notre histoire. Il n’est pas sans rappeler l’ordonnance du 4 juillet 1940, lors de l’entrée des Boches sur notre territoire.
Toutes les armes devaient être remises aux autorités dans les 24 heures après la publication de l’ordonnance. Les maires (préposés de communes) étaient tenus pour responsables de sa mise en exécution. Un premier texte s’adressait aux habitants de la « zone occupée » le 20 juin 1940. Il stipulait entre autres : « L’armée allemande garantit aux habitants pleine sécurité personnelle et sauvegarde de leurs biens. Ceux qui se comporteront paisiblement et tranquillement n’ont rien à craindre… Les armes de chasse devront être remises en indiquant le nom, la profession et le domicile du propriétaire au maire responsable, qui prendra soin de ce dépôt… ». A la fin de l’année 1941 une estimation partielle faisait état de 700 000 armes remises (dont 100 000 avaient été envoyées en Allemagne). Plus tard, l’ordonnance du 5 mars 1942 viendra préciser l’interdiction édictée par celle de 1940. Seront notamment et explicitement interdites à la détention : « les armes de chasse et les pièces détachées des armes précédemment prohibées ». Puis, le 18 décembre 1942, une autre ordonnance « concernant la sauvegarde de l’autorité occupante », prise après l’invasion de la « zone libre », reprendra les interdictions précédemment édictées par le gouvernement de Vichy.
Désarmer un peuple, n’est-ce pas le moyen de lui ôter toutes velléités de résistance ?
Ce que nous vivons aujourd’hui, « Ordre Nouveau » le dénonçait déjà en… 1973. Ensuite le FN de Jean-Marie Le Pen, François Brigneau et consorts, ont pris le relais pour prévenir du danger. Je me souviens d’un article – dont je tairai le nom de l’auteur – publié dans une feuille de choux nationaliste, intitulé « Arrêtons la « bougnoulisation » rampante de la France ». Je conviens que ce titre était assez provocateur. De nos jours il vaudrait à son auteur une lourde condamnation, mais à cette époque les nationalistes se battaient aussi pour qu’on fasse des efforts d’intégration des Harkis – qui avaient choisi le camp de la France – plutôt que de dérouler le tapis rouge aux anciens Fellaghas et aux « porteurs de valises » du FLN (5). La France a volontairement raté l’assimilation des Harkis. On a préféré les parquer dans des camps car ils rappelaient au pays une tâche de son histoire, un abandon honteux qu’on peut qualifier de crime d’État. Par NOTRE faute, ou plus exactement par la faute du pouvoir en place à l’époque, les fils et petits-fils de Harkis ont appris à détester la France.
Quand nous dénoncions ce qui se tramait, quand nous prévenions du danger à venir, on nous traitait de « fachos » voire de « nazis ». A titre personnel, pendant en gros un demi-siècle, on m’a jugé excessif, extrémiste, fasciste, réactionnaire et j’en passe…je me suis fait insulter, parfois par des gens que je prenais pour des amis. Les « mondains » m’ont souvent jugé infréquentable (ce dont je les remercie car les côtoyer m’est très vite devenu insupportable !). Combien de fois m’a-t-on servi, en guise de moraline à deux balles, la citation du « diable boiteux » Charles-Maurice de Talleyrand–Périgord, évêque défroqué : « Ce qui est excessif est insignifiant » ?
Notre pauvre France, « terre des arts, des armes et des lois » chère à Joachim du Bellay, est tombée bien bas ! Les pays « civilisés » demandent fermement à leurs ressortissants de ne pas aller visiter notre pays jugé très dangereux ; des médias d’outre-Atlantique insistent lourdement sur le nombre de crimes et délits commis sur notre sol et nous rangent, de surcroît, parmi les narco- États ; l’Angleterre, dont la plupart des grandes villes sont gérés par des maires musulmans, dénonce l’échec de notre politique d’intégration ; et voilà que le président Abdelmadjid Tebboune ( عبد المجيد تبون), celui dont Macron et Stora lèchent les babouches (6), nous sommes vertement sommés de « protéger ses ressortissants ». Si Macron « en avait » il rappellerait à ce triste sire que la France n’a pas de leçons à recevoir d’un pays qui a massacré 150 000 Harkis et leurs familles ; qui n’a pas su (ou pas voulu ?) protéger les « Pieds noirs » et leurs biens malgré les engagements des accords d’Evian ; qui a connu une décennie noire (également appelée « années de plomb ») entre 1991 et 2002. En dix ans, les violences ont fait 150 000 morts, des milliers de disparus, un million de personnes déplacées, des dizaines de milliers d’exilés. A cette époque, les Algériens se ruaient en France, pays pourtant honni.
Il pourrait lui dire également que si les Algériens viennent massivement chez nous c’est pour ne pas crever de faim dans leur pays gangréné par la corruption d’État instaurée par le FLN. Et puis il pourrait inviter Tebboune à faire « rerentrer » au bled ses « ressortissants » ainsi que les binationaux qui crachent sur la France et nous trouvent trop racistes. Je rappelle, juste pour mémoire, que c’est le même Abdelmadjid Tebboune qui refuse qu’on lui renvoie les Algériens frappés d’« Obligation de Quitter le Territoire Français » (OQTF). Rappelons aussi que presque tous les chefs d’État algériens sont venus se faire soigner en France (en oubliant de payer leurs factures de soins).
Mais revenons à nos moutons, pas ceux de l’Aïd el-Kebir, mais ceux qui bêlent, victimes d’un panurgisme moutonnier, tout en se laissant conduire à l’abattoir.
Actuellement, les Bobos serrent les fesses. Tant que les règlements de compte et les scènes de pillages se passaient dans les « territoires perdus de la République » ils n’étaient pas concernés (ou s’ils l’étaient c’est parce que leur fournisseur de « coke » s’était fait serrer par les flics). Dorénavant, ils savent que les barbares pillent aussi les quartiers bourgeois. Du coup, ils pètent de trouille et constatent avec amertume que le « vivre ensemble », la « diversité » et le multiculturalisme étaient une vue de l’esprit, un concept d’intellos au rabais, dont il était agréable de parler, entre soi, autour d’un « brunch » (servi si possible par une bonniche immigrée payée au noir).
Je ne sais pas de quoi demain sera fait ? Après tout, « Inch’Allah, mektoub ! »
Mais je pressens que les choses ne vont pas tarder à rentrer dans l’ordre. Il est probable que les caïds de banlieues, les trafiquants et dealers, siffleront la fin de la partie car la chienlit actuelle compromet grandement leur juteux business. D’ailleurs certains signes ne trompent pas : Il suffit que la pression baisse pour voir surgir des « défilés pacifiques » d’élus et de personnalités de tous bords.
A coup de jérémiades pleurnichardes, d’appels au « vivre ensemble » et à « pas d’amalgame », ou de rodomontades de faux-durs, ils viennent soutenir la « Ripoux-blique », ou la « Raie-publique » (celle qui se fait… mettre par n’importe qui), mais jamais la France. Les plus anciens – dont je suis, hélas ! – ont connu ça le 30 mai 1968, avec André Malraux et Michel Debré en tête de cortège.
Quand tout sera enfin calmé, Emmanuel Macron regagnera peut-être quelques points dans les sondages, surtout s’il a la bonne idée de virer la vieille Borne et de la remplacer par un matamore, un fort en gueule ou un faux dur ; le pays n’en manque pas ! Puis tout redeviendra comme avant.
Jusqu’à la prochaine étincelle, le pays continuera lentement (ou rapidement ?), sûrement, inexorablement, sa marche suicidaire vers la « Dhimmitude ».
Et le pouvoir et les médias à sa botte continueront à expliquer au bon peuple que le danger pour la survie et la cohésion de la Nation vient uniquement de l’extrême-droite : CQFD !
En attendant, mon soutien total va à Fabien, ce flic que ses collègues décrivent comme un agent « aguerri », « un fonctionnaire exemplaire » et qui, au long de sa carrière, a reçu huit lettres de félicitations, une médaille de la Sécurité Intérieure et deux médailles de bronze pour « actes de courage et de dévouement ». Et par extension, mon soutien va aussi aux forces de l’ordre qui sont chargées de faire respecter la loi.
Une loi bafouée en permanence par une faune allogène qui, forte du laxisme d’une justice politisée et partisane, ne respecte que sa propre loi et insulte les représentants de l’autorité.
Selon le ministère de l’Intérieur, on compterait en France un refus d’obtempérer toutes les 30 minutes. Cet ordre de grandeur englobe 29845 infractions, dont la conduite sous l’effet de l’alcool ou de stupéfiants. Les refus d’obtempérer de gens « lucides » est d’environ 17 000 par an.
Depuis une loi de février 2017, les forces de l’ordre sont autorisées à utiliser leurs armes, en état de légitime défense, pour protéger d’autres personnes ou défendre un lieu menacé.
On leur demande d’apprécier la situation, en quelques secondes, et ceux qui se permettent ensuite de les juger n’ont jamais entendu siffler que des balles de tennis (ou de golf !).
Fabien n’a fait que son métier et son devoir. Durant sa carrière de soldat ou de flic, il a servi son pays quand tant d’autres – donneurs de leçons – préfèrent SE servir.
A l’heure où j’écris ces lignes, la cagnotte lancée sur le site « Go Fund Me » par Jean Messiha, pour soutenir Fabien aurait largement dépassé le million d’euros.
C’est une très bonne chose car sa famille en aura bien besoin !
Éric de Verdelhan
5 juillet 2023
1)- Durant la Seconde Guerre Mondiale, « zone nono » était le surnom de la « zone non-occupée » dont la capitale était Vichy.
2)- Par opposition à l’Aïd el-Fitr appelée Aïd-as-Seghir, ou « petite fête ».
3)- Terme bien mal choisi si l’on observe la composition des cortèges !
4)- A savoir 10% de Français issus de l’immigration (sur 2 ou 3 générations) et 9% d’immigrés, sans compter les clandestins, et pour cause !
5)- Surnom donné aux européens « collabos » qui, entre autres, portaient des valises de billets de banque (ou bien des armes) au profit de la rébellion algérienne. Plusieurs ministres de François Mitterrand ont été « porteurs de valises » du FLN.
6)- Et qui vient de faire réintroduire un couplet antifrançais dans l’hymne national algérien, c’est dire s’il nous aime !
lu et approuvé
En partageant sans aucune réserve cette analyse, je me pose la question suivante : à la lecture des commentaires, il apparaît que nombre d’auteurs sont des séniors (je vais moi-même sur mes 80 printemps), mais y-a-t-il aussi des plus jeunes qui se situent sur des positions identiques ?
Parce que nous, dans la pratique, on a plus que la gu…., les regrets et la nostalgie. Sauf autres évolutions plus sévères.
je dois vous dire que ce qui m’a le plus choqué :ce sont deux choses bien inappropriées pour la
circonstance:: c’est la marche blanche et le pire: la minute de silence à l’assemblée natioanle : rien que ça !!
Je me demande si les voyous de ce type à marseille qui se sont fait tuer par leurs homologues professionnels (ce sont les risques du metier) délibérément et avec préméditation ont bénéficiés de marches blanches blanches et de minutes de silence? : Je n’en n’ai pas entendu parler .
Mais comme il s’est fait tuer par un représentant de l’ordre avec d’ailleurs des règles d’intervention
immédiate à ne pas méconnaitre, là c’est forcément intolérable : J’ai cru marcher sur la tête:
Je me suis tourné vers le ciel en disant t’y va fort quand même !!
C’est vrai que l’ordre et la justice en ce moment ne semblent pas faire tres bon ménage.:Il me semble que l’état y est peut être pour quelque chose?.
Le prénommé Nahel devait comparaître au mois de septembre devant le juge des enfants.
Il serait temps de faire une mise à jour car ces petites frappes sont tout sauf des enfants et pourraient d’ailleurs en remontrer à bien des adultes.
On peut constater que Darmanin, tout comme son chef, n’a, une fois de plus pas vu les mêmes choses que nous. Le déni, toujours le déni.
En tout cas, il y en a un qui parle d’or : c’est Jack-la-vieille-loque. Dans une vidéo il déclare, entre autres, que « sans les musulmans la France ne serait pas la France ». Et ça c’est bien vrai.
Merci pour cet écrit, Mr de VERDEILHAN. Il correspond exactement à ce que je ressens, moi un ancien de la guerre d’Algérie. Si je ne me trompe pas, c’est aujourd’hui que les émeutiers passent devant le tribunal de Nanterre. Le procureur et les juges auront-ils le courage de mettre tous ces gens-là en prison , ou mieux dans un avion direction le Maghreb ? J’en doute fortement. Quant à la cagnotte du policier, l’Etat , par respect pour lui et sa famille, ne DEVRAIT PAS Y TOUCHER …… Quant on s’attaque aux femmes et aux enfants, c’est que la guerre civile n’est pas loin. Et il est grand temps que le peuple de France se réveille ! avant d’être complètement soumis. Le Président lui l’est depuis longtemps ! et se faire insulter par l’ONU, le Maroc, l’Iran ou la Turqui eméritait au mooins le rappel des ambassadeurs de ces différents oays pout un teemps plus ou moins long en France. Nous voilà bien avec un chef des Armées pédé ! AUX ARMES CITOYENS !
Je crois que le malheureux Policier se prénomme Florian (je lui ai adressé un courriel de soutien).
Et la « cagnotte de la honte » a été close à 1.646.200€ sur décision de son initiateur, Jean Messiha. Il ne faut pas oublier que l’État glouton va en prélever 60% qui ne seront pas perdus pour tout le monde.
Erratum : 1.636.200€. Mon doigt a glissé sur la touche voisine.
Très bonne analyse, ce que je ne supporte plus ce sont leurs mots, leur vocabulaire :
Un ange…
Des jeunes en manque de repères …
L’intégration…
Le plan banlieue..
Le racisme.. et bien d’autres.
Sauf que leur maître mot et leur ciment est la haine.
ce genre d’écrit me rassure, j’en fait aussitôt profiter tous les amis qui ne lisent pas Minurne Résistance. Un grand MERCI pour m’avoir un jour fait découvrir votre publication!
Ça correspond bien à tout ce que je ressens jusqu’au fond de moi-même! Merci pour cette liberté d’expression qui ne doit pas disparaître, pour que la France vive de nouveau.
Merci cher lecteur…ça m’encourage à continuer
Merci pour vos écrits… Et celui-ci est particulièrement édifiant !
Si je suis fière d’avoir participé à cette « cagnotte », je crains encore que les pourris n’aient gain de cause en tentant de la voler, ainsi qu’ils le font… Greffier retraitée, je n’ai aucune confiance en la justice tenue par les rouges et je crains qu’ils ne tordent les textes pour réussir à les adapter à leur idéologie et voler ainsi la famille de ce valeureux policier.
La cagnotte est déjà fermée. Les ordures ont encore sevi