Environ 10 000 policiers et gendarmes ont été blessés « en mission » en 2018. Il y en a eu à peu près autant en 2019 et en 2020. Sincèrement, croyez-vous qu’il y a d’autres professions qui puissent se prévaloir de compter autant de victimes dans l’exercice de leurs fonctions ?
441 gendarmes et policiers blessés rien que dans la journée de jeudi 23 mars 2023 par l’extrême gauche et surtout des blacks blocs venus d’un peu partout, y compris d’Angleterre, d’Allemagne et de Belgique.
Les black blocs se moquent éperdument de la réforme de la retraite !
Propulsés par un trop plein de testostérone qui les rend incontrôlables, ils sont là pour casser tout ce qui passe devant leur nez (car ils ne voient rarement plus loin que le bout de celui-ci). A croire qu’ils sont shootés au captagon qui, chez eux se transforme en captaCon.
Ces « Black Bourges », comme les nomme assez justement Darmanin, occultent le vrai sens des manifestations dont une large majorité de la population Française partage les revendications.
Autre phénomène inquiétant, dans cette période plus que trouble, c’est le fait que beaucoup de nos compatriotes ne sont pas choqués – y compris chez les électeurs de droite – en voyant un policier se prendre un pavé en pleine tête, comme c’est arrivé jeudi !
On peut même s’entendre dire que, « pendant le mouvement des gilets jaunes, il y eut de nombreux blessés côté manifestants causés par les forces de l’ordre »…
C’est oublier que, sur les 4400 blessés de toute cette période, près de la moitié le furent du côté des forces de l’ordre !
Et il faut noter que l’extrême gauche, au début, n’intervenait pas dans les manifestations.
Non seulement Macron et le gouvernement vacillaient, mais une unité nationale incroyable – dépassant largement les clivages traditionnels gauche-droite – apparaissait en fonction de l’occupation des ronds-points.
Dès que l’extrême gauche a récupéré le mouvement des GG, ce fût le début de la fin et le gouvernement s’en est réjoui.
La même chose se passe aujourd’hui…
Tant que les nervis gauchistes se tiennent à l’écart, les manifestants pacifiques inquiètent nos dirigeants…
Mais dès que le bras armé de la gauche (dont un certain nombre de ses représentants siège à l’Assemblée Nationale) commence à avoir des fourmis dans les mains et s’octroie le droit d’aller se défouler sans aucune limite sur le terrain des vrais manifestants, c’est clairement le début de la fin qui s’annonce.
Autre point révélateur, tout aussi inquiétant, c’est le fait qu’il soit conseillé aux participants sympathisants et/ou adhérents Reconquête! ou RN de ne pas dénoncer ces manoeuvres gauchistes pendant le défilé, sous peine d’être fortement vilipendés par ceux qui se considèrent comme seuls détenteurs du droit à manifester et qui se disent « de gauche » (donc démocrates et ouverts d’esprits…).
La droite n’aurait elle pas le droit de s’exprimer ?
Il faut d’urgence neutraliser ces fascistes, habillés comme les chemises noires de Mussolini, pour ne pas offrir à Macron le pourrissement qu’il attend.
C’est un cadeau que « la gauche la plus bête du monde » est capable de faire au gouvernement.
Les milices de la NUPES, « idiots utiles » de Macron, dépassent décidément les Bornes !
Xavier Jésu
26/3/2023
