« Dites-moi où, n’en quel pays
Est Flora la belle Romaine
Archipiada, ne Thaïs
Qui fut sa cousine germaine
Echo, parlant quant bruit on mène
Dessus rivière ou sur étang
Qui beauté eut trop plus qu’humaine ?
Mais où sont les neiges d’antan ? … »
(François Villon : « Balade des Dames du temps jadis »)
L’été touche à sa fin, les jours raccourcissent et la température devient plus clémente. C’est toujours avec un brin de tristesse que je vois disparaitre les beaux jours mais ceci a quand même un avantage : les médias nous bassinent un peu moins avec le « réchauffement climatique » qui, par un coup de baguette magique des communicants, spécialistes en « éléments de langage », est devenu le « dérèglement climatique » ce qui permet d’expliquer aussi pourquoi la côte atlantique a connu un mois de juillet pour le moins maussade. D’ailleurs, soyez-en convaincus, tout de qui nous arrive est dû au dérèglement climatique, lequel est dû à l’Occident blanc coupable de tous les maux de la terre.
Ceci explique pourquoi il serait de notre devoir d’accepter sans moufter l’écologie punitive, les écotaxes, et les vagues migratoires qui débarquent massivement sur nos côtes.
Si vous n’êtes pas d’accord, c’est que vous êtes climato-sceptiques (donc complotistes), et je gage qu’avant longtemps le climato-scepticisme tombera sous le coup de la loi.
Il m’arrive assez régulièrement de comparer notre pays à la Corée du Nord ou à l’ex-URSS.
En fait, je n’exagère pas : nous y sommes. L’écologie est LA nouvelle religion de l’Occident. Elle a ses gourous, ses grands prêtres, ses vestales et… ses disciples, conditionnés, formatés, instruits pour bien penser. Même Bergoglio, qu’on croyait converti à l’islamo-gauchisme, est devenu écolo.
Il existe bien quelques personnes – dont je fais partie – qui doutent, mais elles se taisent, rasent les murs, acceptent les poncifs du genre « On n’a pas LE DROIT d’être climato-sceptique ! », car elles ont très peur de finir sur les buchers de la nouvelle inquisition. Après cet été injustement qualifié de « caniculaire », Je vois poindre le retour – massif et douloureux – de l’écologie punitive : de nouveaux impôts, contributions et taxes pour aider à la « transition énergétique » soi-disant dans le but, ô combien louable, de sauver la planète. Je vois poindre aussi la justification de l’accueil de toujours plus de migrants qui sont un avant-goût de l’arrivée massive, demain, de « réfugiés climatiques ».
En effet, il ne se passe pas un jour sans que la télé ne nous démontre combien la terre allait mieux quand nous étions confinés. Les avions ne volaient plus, du coup les petits oiseaux revenaient. Les bateaux ne naviguaient plus, pour le plus grand bonheur des poissons. Nos villes n’étaient plus polluées, puisque nos voitures, nos ateliers et nos usines étaient à l’arrêt. A la télé ou sur Internet, quelques crétins voyaient dans la pandémie de Covid 19 une sorte de bénédiction, un retour aux vraies valeurs, à la terre, qui « ne ment pas » comme disait Emmanuel Berl (2).
Je ne nie pas que le climat change ; il change, à la hausse ou à la baisse, depuis des millions d’années. Je suis, depuis ma plus tendre enfance, un amoureux de la nature et je n’ai pas attendu que l’écologie soit devenue un dogme sectaire pour la respecter, mais je dis à ces donneurs de leçons qu’ils devraient avoir le courage de mettre leurs actes en conformité avec leur idéologie de bobos trop riches et trop gâtés. Qu’ils vivent comme les Amish de Pennsylvanie : sans eau courante, sans électricité, sans textiles synthétiques. Qu’ils se déplacent en calèche, cultivent la terre avec un cheval, s’éclairent à la lampe à huile, en faisant des gosses et en priant le Seigneur. Mais je sais que c’est idiot, l’écolo-bobo ne cultive que son hédonisme narcissique, son confort bourgeois, acquis avec de l’argent (mal) gagné dans des métiers dans lesquels on ne transpire pas beaucoup : la « pub », la « com », la presse ou le « showbiz ». L’écologie actuelle est un luxe de citadins ; les provinciaux, les culs-terreux, appauvris par le pouvoir depuis quarante ans, ne peuvent pas se permettre ce luxe.
Pour ma part, je ne suis pas scientifique mais j’ai le droit de douter de la responsabilité de l’homme dans le réchauffement climatique. En disant ça, je sais que je frise l’anathème.
Très récemment, une harpie écolo-gauchiste m’a dit que je n’avais « aucune compétence en climatologie » ce qui devrait, je présume, m’interdire d’avoir un simple avis sur la question.
Qu’on me permette de faire remarquer que, chez nous, les gens qui pérorent sur l’écologie et/ou la climatologie sont aussi incompétents que moi, sinon plus. Nicolas Hulot n’a pas le moindre titre universitaire, il a commencé sa carrière comme paparazzi. Ségolène Royal est sortie de l’ENA en 1980, à une époque où personne ne parlait d’écologie. François de Rugy a terminé Sciences-Po (en 1994) dans la section « communications et ressources humaines ». Cécile Duflot a obtenu un DEA de …géographie en 1997, ce qui l’a autorisé à déclarer, devant un Jean-Jacques Bourdin médusé : « Nous Français, on a la chance de vivre dans l’hémisphère sud », ce qui en dit long sur ses compétences ! Barbara Pompili sort de l’IEP de Lille et n’a pas la moindre formation en écologie. Terminons par l’inusable Evelyne Dhéliat qui, à 75 ans, se cramponne à son poste comme la moule à son rocher et qui, sous la protection de Saint Plagiat, est l’auteur d’un très mauvais livre intitulé « C’est bon pour la planète » (3). Elle a arrêté ses études en première année de licence… d’Anglais. On le voit, ces nullités sont assez mal placées pour nous donner des leçons d’écologie ou de climatologie.
À mon modeste niveau, j’ai tenté d’expliquer pourquoi j’étais climato-sceptique dans divers articles, tout simplement parce qu’on a le droit, et même le devoir, de douter de la doxa officielle, surtout quand elle émane de gens qui n’ont pas cessé de nous mentir sur tous les sujets. D’autant plus que, même en acceptant l’idée que l’homme civilisé soit responsable des évolutions du climat, je ne manque pas de faire remarquer que nous, Français, nous représentons… 1% de la population mondiale et 0,8% des émissions de gaz à effet de serre, autant dire peanuts !
OUI, LE CLIMAT EST CHANGEANT ET CHAOTIQUE ET CELA, DEPUIS TOUJOURS.
Depuis presque 600 millions d’années, la température moyenne de la terre a été comprise entre 12 °C et 23 °C. Nous sommes actuellement à 15 °C. Le niveau de C02 se situait entre 0,03 % et 1 %. Nous sommes à 0,04 %. Alors, me direz-vous, pourquoi NOUS faire peur ?
On est consterné par la politique calamiteuse et suicidaire de nos dirigeants en matière de stratégie énergétique. Ils vont tuer l’automobile, un des rares secteurs qui fonctionnait encore bien chez nous (4). Je finis par penser que la destruction de toutes nos industries est voulue et qu’elle nous est imposée par ceux qui rêvent d’une gouvernance mondiale.
Les ayatollahs de l’écologie ne cessent de nous alarmer sur la disparition inéluctable de certaines espèces ; on craint, par exemple, de voir disparaitre les abeilles, le thon rouge ou l’ours polaire, etc…Et, assez régulièrement, Bruxelles nous impose une directive destinée à « préserver la ressource », dont la mise en œuvre contribue généralement à faire disparaître (ou à mettre en péril) un corps de métier au profit de pays qui se moquent des normes environnementales.
Parfois nous allons plus loin que les oukases de l’UE. Actuellement, en France, deux poulets consommés sur trois viennent…d’Ukraine et notre filière avicole est aux abois car ce pays mafieux ne subit pas les mêmes contraintes règlementaires – fiscales et environnementales – et produit un poulet quatre fois moins cher que le nôtre. Nous sommes dirigés par des malades mentaux !
Pourtant mes pérégrinations estivales m’amènent, pour une fois, à partager les inquiétudes des écolos sur la (quasi) disparition d’une espèce pourtant indispensable au bonheur de l’homme ; je veux parler de la jolie femme. Le laideron, en revanche, survit plutôt bien !
A vrai dire, j’ai pris conscience de cet état de fait en 2019, en visitant l’Ouest américain. En sillonnant plusieurs états, en trois semaines (et 7 000 km) je n’ai vu qu’UNE seule belle nana, le jour de mon départ, à l’aéroport de Denver (Colorado). Les playmates siliconées que l’on voit dans les séries américaines doivent vivre dans des réserves, loin, très loin, du Far-West.
Cet été, en visitant plusieurs pays européens, j’ai pu constater que chez nous aussi la belle plante disparait. Elle est peu à peu remplacée, soit par le standard américano-mondialiste : vulgaire, obèse, mal habillé, tatoué, soit par la moukère en niqab. Fin août, aux Saintes Maries de la Mer, j’ai eu un choc : j’ai cru qu’un pétrolier avait dégazé en mer car je croyais voir, de loin, une colonie de mouettes mazoutées. En m’approchant j’ai réalisé qu’il s’agissait de fatmas en burkini, burqa, abaya, djellaba, bref en tenues peu propices à s’ébattre et à barboter dans la mer.
Autrefois, sur ces plages, on voyait des minettes en bikini et, sans être un porc libidineux, je trouvais ça plus agréable aux yeux. C’est une simple question d’esthétisme !
Mais toutes les donzelles n’ont pas la (fausse) pudeur des Musulmanes. Jadis le mâle normal fantasmait sur la vision d’un porte-jarretelles ; maintenant on lui offre des cuissots peu appétissants sur lesquels le tatouage voisine avec les vergetures et les varices. On aime l’étalage de viande !
Les Hindous ont leurs vaches sacrées, nous, dorénavant, nous avons nos vaches tatouées.
Les nanas ne veulent plus être des femmes-objets, dont acte ! Du coup, elles se laissent aller physiquement, mentalement et moralement, s’abandonnent à la laideur et reviennent au tribalisme à coups de piercings et de tatouages. L’Homo mondialus s’apparente au porc. Il en a la goinfrerie et le mental. Sa femelle, elle, vire à la truie, ce qui est assez logique dans un monde qui rêve à l’égalité homme/femme. Autrefois on aimait les hommes forts et les femmes belles, maintenant on prône la lope « non genrée ». Et pourtant, qui n’était pas sensible au charme de nos belles actrices d’antan ? Martine Carol, Michèle Mercier, notre « BB », Marie Laforêt, qui jouait si bien les garces distinguées, Caroline Cellier ou Pauline Lafont, les garces tout court, sans oublier Laura Antonelli, Monica Bellucci et autres canons de la beauté transalpine ? Qui n’appréciait pas la classe de Sophie Desmarets ou de Michèle Morgan à 80 ans ? Qui était insensible à une femme élégante en tailleur Chanel ?
Macron colle bien à son époque quand, par provocation, il choisit comme « marraine de la Francophonie » la chanteuse Yseult. Rappelons au passage que cette grosse Noire, née en France où elle a gagné beaucoup d’argent, est allée vivre en Belgique en prétextant que la France serait un pays odieusement raciste (5). J’ai failli intituler cet article « Tiens voilà du boudin !» mais qu’on ne vienne pas pour autant me traiter de raciste, de machiste ou de « grossophobe », j’ai le droit de penser que Brigitte Lahaie, ex reine du porno, avait une autre allure qu’Yseult ! Et puis, comme le chantait Georges Brassens, qu’on le veuille ou non : « La bandaison papa / ça n’se commande pas ».
Delphine Ernotte, en charge du service public, trouve qu’il y a trop de Blancs de plus de 50 ans sur les écrans télé et pas assez de femmes, de Blacks ou d’Arabes : mais où va-t-elle chercher de telles inepties ? Des femelles noires et maghrébines, on ne voit plus que ça dans la publicité (mais il est vrai que la pub sur le service public a été supprimée par Sarkozy en 2008).
Au fil des ans, les femmes ont envahi les téléfilms : toujours gradées -magistrates ou commissaires -, et toujours intelligentes. Il y a quelques années, on les voulait jolies et elles étaient déjà secondées par des adjoints du genre machos ou bourrins au front bas. Tout a commencé, en gros, avec « Julie Lescaut » à une époque où Véronique Genest n’avait pas encore adopté la silhouette d’un culbuto. Elle était affublée – diversité oblige ! – d’adjoints noir, juif et arabe. La série se passait dans une banlieue où « tout le monde il était beau, tout le monde il était gentil » sauf quelques voyous et dealers bien blancs et souvent issus de familles bourgeoises. Ensuite nous eûmes « Une femme d’honneur » : l’héroïne, l’adjudant-chef (puis lieutenant), Isabelle Florent était incarnée par Corinne Touzet qui « en avait tellement gros sur le cœur » qu’on avait l’impression qu’elle ne quittait jamais son gilet pare-balle. Elle parlait d’une voie mièvre à des adjoints un peu bornés, à l’exception d’un blondinet qui était amoureux d’elle. A la même période – mais je n’entends pas énumérer ici toutes les séries télé – nous eûmes « Quai numéro un », série dans laquelle la belle Astrid Veillon jouait une commissaire dynamique qui en avait autant dans la cervelle que dans le soutien-gorge. Citons encore « Alice Nevers » : Marine Delterme y jouait une juge d’instruction à la vie sentimentale compliquée, affublée d’un enquêteur bourru et… amoureux d’elle. Pour rester dans l’air du temps, la juge s’était fait engrosser par un taulard (c’est peu courant ?) et cherchait à adopter une migrante mineure. Autre série qu’il est difficile de qualifier de machiste : « Femmes de loi ». La pulpeuse Natacha Amal, dentition et nichons en avant, y incarnait une magistrate secondée par une jeune policière, Ingrid Chauvin : un joli minois qui parlait le charabia couramment : on ne comprenait pas un traitre mot de ce qu’elle dégoisait en minaudant. A cette époque, on aimait encore les jolies femmes, puis tout a basculé car il fallait nous imposer les nouveaux standards à la mode.
Maintenant nous avons droit à « Capitaine Marleau ». Le laideron d’extrême-gauche qui tient le rôle principal – rôle qui consiste à ridiculiser la gendarmerie – donne envie d’éteindre sa télé. Ou encore « La stagiaire » avec Michèle Bernier, une actrice qui « occupe l’écran » par sa présence.
Autrefois une marque de déodorant corporel nous montrait une belle blonde avec un balcon qui aurait pu remplir les mains d’un honnête homme. Elle a été remplacée par un Noir efféminé.
Et que dire de cette publicité pour des serviettes hygiéniques qui nous impose une grosse dondon basanée, boudinée dans une culotte tâchée : ce n’est pas inélégant, moche ou disgracieux, c’est répugnant pour ne pas dire carrément dégueulasse !
Il reste encore des jolies femmes, mais elles sont, hélas, de moins en moins nombreuses. Or notre pays, comme le reste du monde, compte plus de femmes que d’hommes. Certaines femmes ne manquent pas une occasion de dire qu’elles se passent très bien des hommes, ces porcs, ces obsédés sexuels, ces machos. Les harpies féministes – Sardine Rousseau, Marine Thon-Delié, Yseult, Corinne Masiero, Caroline De Haas et consorts – détestent les vraies femmes autant qu’elles détestent les mâles blancs. Ces folledingues ne réalisent pas qu’elles sont, elles aussi, une espèce menacée de disparition à plus ou moins long terme. Au train où vont les choses en matière de génétique et de « théorie du genre », elles finiront par être supplantées par des êtres mal définis (et/ou mal finis), qui auront une paire de seins, « et en même temps » un service trois pièces dans le pantalon.
Bon, celles-là, pour être tout à fait franc, on ne les regrettera pas !
N.B. : Il va sans dire – mais tellement mieux en le disant – que je déteste les attaques portant sur le physique. N’étant pas moi-même un playboy, un bellâtre ou un adonis, je suis mal placé pour me moquer d’autrui. Ce que je conteste, en revanche, c’est ce besoin malsain qu’a notre époque de vouloir nous imposer la laideur dans tous les domaines : la mode, l’art contemporain, l’architecture, etc…Jadis les femmes, même quand elles n’étaient pas des canons de beautés, cherchaient à plaire et à se faire belles. De nos jours on a l’impression que tout est bon pour s’enlaidir ou pour s’avilir.
Il leur faut, pour être tendance, être vulgaires, débraillées, ébouriffées, crados.
Vouloir combattre la beauté est l’un des symptômes de notre dégénérescence.
Éric de Verdelhan
20/09/2023
1)- Ce titre s’inspire d’un des premiers San-Antonio de Frédéric Dard « Sérénade pour une souris défunte », publié en 1954.
2)- Magnifique citation reprise plus tard par le maréchal Pétain, ce qui la rend forcément suspecte aux yeux de la bienpensance.
3)- « C’est bon pour la planète », Editions Calmann-Lévy ; 2007. Avec ce livre, elle s’est fait épingler pour avoir simplement …recopié les recommandations du GIEC.
4)- la mort programmée du moteur atmosphérique au profit du moteur électrique mérite un long développement ; j’ai écrit par le passé plusieurs articles à ce sujet.
5)- Elle aurait pu s’exiler au Cameroun d’où sa famille est originaire mais elle a préféré la Belgique.
excellent comme d’hab…
Doux Jésus à vous lire je me rends compte que:
– je suis climato-sceptique pensant bêtement que la nature faisant les choses elle même n’avait nul besoin que l’humain s’en mêle. De quoi parlerions-nous si nous n’avons plus la météo comme sujet quand nous échangeons avec tout un chacun.
– n’ayant plus vingt ans je ne rentre plus dans les canons de beauté sur lesquels les hommes aiment aimaient se retourner. Il n’empêche que j’ai gardé ces soins même si l’âge aidant mon physique a changé, on ne peut être et avoir été, les années m’ont enrichi pas que par le tour de taille.
– qu’importe nous, femmes, sommes belles dans les yeux de celui qui vit à nos côtés.
– que les BB, Maryline Monroe, Ava Gardner et celles que vous citez ne sont plus celles que nous prenions comme modèles (y compris dans La Choucroute savamment crêpée) qu’il n’y a hélas plus aucune pseudo Star actuelle qui motiverait les jeunes à les imiter
– oui tout change, hélas, et c’est normal. Mais rien ne justifie ce relâchement chez ces femmes qui ne rentrent dans les canons de beauté que pour certains et encore ils ne les emmènent pas au restaurant. Cette mode du tatouage sur tout le corps est exécrable et laide à mes yeux même si certains sont très beaux. N’étant pas une « bad girl » non merci
Je refuse d’être dans ces tendances avilissantes, non merci.
À vous lire, moi qui n’ai pas la télé, je m’aperçois que je ne manque pas grand chose.
Je suis suffisamment affligée par le spectacle de la rue. Être bien habillé ne relève pas que de l’argent mais plutôt du respect de soi et d’autrui.
Vu récemment : des ongles hyper longs, des tatouages et… de la corne aux talons. Le grand chic !
La photo en fin d’article représente-t-elle une clocharde arrêtée par deux militaires de la Gendarmerie ? Si le thon est en voie de disparition en mer, l’espèce n’est pas menacée dans nos rues depuis les callipyges ont été remplacées par les stéatopyges MacDo…
Je suis au regret de vous préciser que cette personne est une élue parlementaire de notre république « genre LFI » et qu’elle a donc un salaire lui permettant d’investir.
Voila voila.
Merci, Monsieur… c’est un plaisir pur que de vous lire, et vos descriptions de ces femelles obèses tatouées est tristement exactes. Monstrueux…
Monsieur de Verdelhan, vous m’avez fait éclater de rire avec « les vaches sacrées et les vaches tatouées ». Quelle pertinence !
Tout ce que vous dites est exactement ce que je pense. Et je fais le même constat. Les belles femmes élégantes disparaissent ou s’habillent comme des sacs. J’ai vu aux USA, dans les aéroports des femmes noires élancées, remarquablement habillées avec goût et leur mari idem. Cela tranchait avec l’environnement ! En France, à Paris, les femmes ne s’habillent plus, et il reste encore un peu l’Italie car les Italiens sont les meilleurs sur ce point. Toujours la touche élégante, même habillés décontracté.
J’ai la grande chance d’avoir une jolie épouse élégante, une jolie fille de 23 ans et un beau gosse de 21 ans grands, minces, habillés avec goût même s’ils sont en tenue décontractée comme beaucoup de jeunes.
Et leur vue me soigne des laideurs que je vois à l’extérieur : boudins habillés en collants, truies en forme de bouteille de Perrier, gros lard éternellement enceint de 9 mois en baril de bière, et fiottes en tout genre tatoués, piercés, déguisés pour des films d’horreur. Le nombre des diabétiques gros et gras explose. Les Français auraient pu se méfier vu l’état des Américains mais noooon, ils ont fait de même tout en les critiquant. Résultat, de plus en plus de gens difformes, même chez des jeunes filles qui ont la bouée intégrée au corps empêchant ainsi la noyade.
Les troubles de santé n ‘ont pas fini de se répandre dans la population.
Quant au climat pour finir, il suffit de considérer les cycles d’Hallstatt et ceux de Milankovitch pour comprendre que les variations climatiques viennent du soleil et de la terre et non du fait de l’humain. C’est déja une bonne base de réflexion au départ.
Voilà bien le texte qui me met en rogne pour la journée !
Tiens, à propos du refroichauffement, il a neigé précocement en Suède et beaucoup, presque 40 cm ce qui ne s’était pas vu depuis des lustres.
Est-ce que la nature ne serait pas climatosceptiques des fois ?
Vous noterez également que les scenarii de ces feuilletions policiers sont presque tous identiques :outre le fait de ridiculiser les institutions policières ou gendarmesques, les « héros » ont des états d’âme pas possible, agissent parfois en famille dans une même enquête dont l’un des membres est partie prenante comme suspect !.C’est à vomir mais…ca marche ! Quant à Marleau, le summum de l’ineptie, mais c’est voulu aussi !
2)- Magnifique citation reprise plus tard par le maréchal Pétain, ce qui la rend forcément suspecte aux yeux de la bienpensance. En effet d’autant que BERL sauf erreur de ma part était juif !
Exact…