AFRIQUE ADIEU ! (Éric de Verdelhan)

« J’ai condamné toujours la colonisation comme un acte de barbarie. La colonisation fait partie de l’histoire française.
C’est un crime contre l’humanité. Ça fait partie de ce passé que nous devons regarder en face en présentant aussi nos excuses à l’égard de celles et ceux envers lesquels nous avons commis ces gestes…»                                                    

(Emmanuel Macron, 14 février 2017)

             

 

Emmanuel Macron aura réussi, en quelques années, à se mettre à dos presque la totalité des États africains de notre ex-Empire colonial, d’Afrique du Nord ou d’Afrique Noire. Les raisons de ce rejet, voire de cette haine à notre égard, ne lui sont pas toutes imputables mais reconnaissons à cet avorton narcissique un art consommé à jouer les pompiers-pyromanes.  

Sa manie de la repentance, son auto-flagellation et sa culpabilisation permanentes, ne font qu’attiser les rancœurs de populations qui devraient, au contraire, remercier la France de ce qu’elle a accompli en Afrique, car tout ce qui tient (encore !) debout sur le continent africain a été bâti par nos colons ou nos soldats. Beaucoup d’entre eux ont sacrifié leur vie au service de l’Afrique.  

Depuis quelques mois, tout s’accélère : l’Algérie, malgré les salamalecs du tandem Macron-Stora, affirme chaque jour un peu plus sa détestation de notre pays ; au Maroc, Mohammed VI nous bat froid (1) ; en Tunisie, le vieux Kaïs Saïed vient d’envoyer promener l’Europe – donc la France – car il n’entend pas gérer les flux migratoires comme le faisait jadis en Libye Mouammar Kadhafi.

Notre ancienne colonie algérienne et nos ex-protectorats de Tunisie et du Maroc ne veulent plus entendre parler de nous mais la France – « C’est grand, c’est généreux la France ! » disait de Gaulle – continue à délivrer massivement  des visas à des gens qui nous détestent.

Comprenne qui pourra ? En dehors d’une volonté, qui me semble évidente, d’accélérer le « remplacement de population », comment expliquer  notre démarche masochiste (et suicidaire) ?

Et en  Afrique noire, ça ne va pas mieux ! Nous sommes humiliés et chassés de partout !

Après le putsch au Soudan en 2021, Antonio Guterres, secrétaire général de l’ONU, déplorait  « une épidémie de coups d’État » et « un environnement dans lequel des militaires ont le sentiment de bénéficier d’une impunité totale et peuvent faire ce qu’ils veulent car rien ne leur arrivera ».

Rappelons que, depuis les vagues de décolonisation des années 1950-1960, le continent africain a connu… 214 coups d’État – dont 106 réussis –  ce qui démontre que l’adage stupide qui prône « le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes » est une ineptie qui ne peut satisfaire que les imbéciles qui n’ont pas compris que la démocratie est incompatible avec l’Afrique.

Avant d’aller plus loin, je dois avouer que je ne connais que quelques pays africains où je me suis rendu en simple touriste, contrairement à beaucoup de mes amis qui y ont travaillé, ou fait la guerre, ou rempli parfois quelques missions « barbouzardes » pour se débarrasser d’un tyran.  Mais je suis passionné par la géopolitique et je lis « l’Afrique réelle » de Bernard Lugan (2).

Pour ceux qui ne connaissent pas Bernard Lugan, il faut savoir qu’en 1968, il était membre de « l’Action Française ». Depuis il est resté proche de l’AF. En 1988, il intégrait le Conseil scientifique du Front National. En 2018, il participait au « Conseil National de la Résistance Européenne », collectif qui regroupait des partisans de la théorie du « grand remplacement » soutenue par Renaud Camus.

Lors de l’élection présidentielle de 2022, il conseillait Éric Zemmour sur l’Afrique.

Bernard Lugan est un de nos rares vrais spécialistes de l’Afrique ce qui lui vaut la sympathie des cercles militaires, notamment des officiers, car il a enseigné à Saint-Cyr-Coëtquidan et a donné des conférences à l’Institut des Hautes Etudes de Défense Nationale (IHEDN). Comme il n’adhérait pas à la doxa officielle qui voudrait que les idéaux des Lumières soient applicables aux États africains, l’Armée l’a déclaré « persona non grata » en 2015. On l’accusait d’avoir une mauvaise influence sur les cadres de l’opération Barkhane : « Qui veut tuer son chien l’accuse de la rage ».

Bref, Bernard Lugan est un type remarquable, un homme aux convictions fortes et une belle intelligence doublée d’une culture générale impressionnante. Je vous invite à le lire.

Mais, après cette digression, revenons à l’Afrique qui  a connu une forte augmentation des coups d’État ces derniers temps.  

En quatre ans, ce sont six pays africains qui ont vu leurs leaders renversés (dont certains à plusieurs reprises). Plusieurs pays du Sahel, déstabilisés par l’insurrection djihadiste dans la région, ont connu des putschs et l’instauration de juntes militaires : c’est le cas du Niger, du Burkina Faso (deux en 2022), de la Guinée (2021) et du Mali (2020 et 2021). En près d’un mois, cet été, deux coups d’Etat ont eu lieu. Au Niger, le 26 juillet, le général Abdourahamane Tiani renversait le président Mohamed Bazoum, élu deux ans plus tôt. Le 30 août, même scénario au Gabon : Ali Bongo, dont la famille régnait sur le pays depuis cinquante-cinq ans, a été destitué par un coup d’Etat et contraint de laisser sa place au général Brice Oligui Nguema.

Et le sentiment anti-français fait tâche d’huile. Un ami – parfaitement fiable – me dit que même au Sénégal on commence à critiquer la France et son néocolonialisme.

Nous assistons à l’implosion de ce qui restait de notre influence en Afrique.

J’ai commis de nombreux articles (et quelques chapitres de mes livres) sur l’Empire colonial français du temps de sa grandeur. Sans remonter à ses origines, évoquons l’Exposition Universelle de 1895. Notre pays, pourtant sévèrement battu en 1870, pouvait légitimement s’enorgueillir de son Empire.

En Afrique: l’Algérie, le protectorat de Tunisie, le Sénégal, le Soudan, la Guinée, la Côte-d’Ivoire, le Dahomey (dont la conquête s’achevait), le Congo, la Côte des Somalis, la Réunion, Nossi-Bé, les Comores et un vague protectorat sur Madagascar.
En Asie: les cinq comptoirs de l’Inde et l’Union Indochinoise (la colonie de Cochinchine, avec Saïgon, les protectorats d’Annam, du Tonkin, du Cambodge et des principautés laotiennes).
En Océanie: la Nouvelle-Calédonie, les Îles Loyauté, Wallis, les Îles de la Société, les Marquises, Tuamotu, et un protectorat partagé avec l’Angleterre sur les Nouvelles-Hébrides.
En Amérique: la Guyane, la Martinique, la Guadeloupe, un droit d’établissement à Terre-Neuve et Saint-Pierre-et-Miquelon. Cette même année, notre Corps expéditionnaire de 20 000 hommes annexait, pour de bon, l’île de Madagascar.

Faisons un bond cinq ans plus tard : le 14 avril 1900, sous des trombes d’eau, le président de la République Emile Loubet, surnommé  « Mimile », ou « le président à l’Ail » car son accent fleurait bon la Provence, inaugurait une autre Exposition Universelle. La France coloniale y était encore plus grande que lors de l’Exposition de 1895. Éprise de progrès et de modernisme, elle avait inventé l’automobile, la motocyclette, la bicyclette et se préparait à faire voler un « plus lourd que l’air ».

Cette Exposition Universelle fut, selon les témoins de l’époque, grandiose. On rendit un hommage au commandant Marchand, humilié par les Anglais à Fachoda.

Ce bel  Empire français allait atteindre son apogée après la Première Guerre Mondiale, lorsque la France reçut de la Société des Nations un mandat sur la Syrie et le Liban.

Pendant la Seconde Guerre Mondiale, les territoires français d’outre-mer sont un enjeu central. Et, à la fin, c’est l’Armée d’Afrique qui viendra au secours de la métropole en débarquant en Provence le 15 août 1944.

Mais l’Empire, gangréné et noyauté par les Soviétiques d’un côté et les Américains de l’autre – et ce pour la même raison : nous chasser de nos colonies – n’oublie pas notre humiliante défaite de juin 1940. La France a été faible, elle a subi une défaite mémorable, elle le paiera très cher !

Malgré des tentatives d’intégration (l’Union Française en 1946), le ver est dans le fruit ; le détricotage de notre Empire va commencer. La décolonisation de l’Afrique occidentale et de l’Asie diminue drastiquement l’Empire, entre 1954 (Accords de Genève) et 1962 (Accords d’Évian).

Emmanuel Macron, qui ne connaît RIEN (ou ne comprend RIEN ?) à notre histoire, accuse la colonisation de tous les maux alors que la situation de l’Afrique est due… à notre décolonisation à la hussarde. Pour complaire aux grandes puissances mais aussi, hélas, par effet de mode, nous avons détruit nous-mêmes notre Empire colonial. Notons, au passage, que les pays de l’ex Bloc de l’Est sous la botte soviétique, soumis – contraints et forcés – au « Pacte de Varsovie », n’ont retrouvé leur indépendance qu’une trentaine d’années après notre décolonisation.

Nous avons, nous, volontairement détruit notre Empire, et abandonné les populations amies qui le peuplaient et nous faisaient confiance.  Un tel gâchis donne le tournis !

1960 sera une dramatique année charnière dans cette grande braderie. Après la Guinée rebelle – indépendante par vote majoritaire de ses habitants depuis le 2 octobre 1958 – ce sera le tour du Cameroun (1er janvier 1960), puis c’est tout notre Empire africain qui allait suivre.

Indépendance :

du Togo (27 avril),
du Dahomey (l’actuel Bénin, 1er août),
de la Haute-Volta  (l’actuel Burkina-Faso, 5 août)
du Niger (5 août également),
de la Côte d’Ivoire (7 août)
du Tchad (11 août),
de l’Oubangui-Chari (République Centre-Africaine, 13 août),
du Moyen-Congo (Congo-Brazzaville, 15 août),
du Gabon (17 août),
du Sénégal (20 août),
du Soudan français (Le Mali, 22 septembre),
de la Mauritanie (28 novembre),
de Madagascar enfin (14 décembre).

Deux ans plus tard, ce sera le tour de l’Algérie… avant même que nous ayons rentabilisé notre découverte des immenses gisements de gaz et de pétrole sahariens.

« L’Empire français n’existe plus… Entre-temps, la « communauté franco- africaine » a été officiellement créée le 28 septembre 1958, avec l’adoption de la Constitution de la V° République… » dira un gaulliste historique. C’est le début des « réseaux Foccart » et de la « Françafrique »

Je n’entends pas philosopher sur la nécessité – qui reste à prouver – de la décolonisation et du « droit des peuples à disposer d’eux-mêmes ». Économiquement autant qu’au plan humain et moral, ce bradage a été un désastre. Nous avons perdu, entre autres, le titane malgache, le pétrole et le gaz sahariens, le riche sous-sol des grands lacs tchadiens… et j’en passe.

Nous avons livré des peuplades amies à des tyrans, à des roitelets cupides, à des guerres tribales sans fin. Depuis, l’Afrique crève à petit feu, de la désertification, de la Malaria, du SIDA, de conflits ethniques et/ou religieux permanents. Certes, économiquement, elle décolle. Depuis dix ou quinze ans, le revenu par Africain a doublé. En 2050, la population de l’Afrique aura, elle aussi doublé (1,8 milliard d’habitants). Mais ce décollage se fait au profit des évangélistes américains, des Chinois, des Russes de « Wagner » mais hélas… sans nous ! 

Alors, tant pis si je froisse les falsificateurs de l’histoire : au temps de  l’Afrique française – équatoriale ou occidentale -, les populations ne mouraient pas de faim. Les peuplades ne s’entre-tuaient pas à la machette, au coupe-coupe ou à la Kalachnikov (AK 47 pour les puristes). Les hôpitaux et les dispensaires de brousse, généralement tenus par des catholiques, soignaient gratuitement les plus pauvres sans coûter un centime au contribuable français. On était bien loin de ces ONG de luxe, de leurs gros 4×4, de ces jeunes toubibs payés à prix d’or (contrairement à une légende bien établie, la plupart des médecins qui exercent pour une ONG le font pour « la gamelle » car ils sont mieux payés que dans un hôpital en métropole). Il est tout aussi choquant de voir des médecins africains venir exercer dans nos hôpitaux alors que « nos » médecins soignent… les populations africaines. C’est ridicule! Nous échangeons des « médecins sans frontières » contre des médecins sans diplômes (reconnus par nos facultés) et c’est toujours la France  qui paie l’addition…

Loin de moi l’idée d’idéaliser « le temps béni des colonies » mais en décolonisant à la va-vite, nous avons livré nos anciennes colonies à des dictateurs sanguinaires (3).  

On peut m’objecter qu’Emmanuel Macron condamne la colonisation « et en même temps » la « Françafrique » ; certes mais c’est un peu facile de se dédouaner du passé du pays dont il est le président. Je rappelle que les raisons invoquées, à l’époque, pour justifier notre décolonisation, étaient :

  • a) « le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes ». Une tarte-à-la-crème répandue par les communistes après la Seconde Guerre Mondiale. 
  • b)- le coût exorbitant  de certaines colonies  qui ne rapportaient absolument rien, ce qui était en effet le cas.
    Non, nos colons n’ont pas pillé l’Afrique !
    Non, la France ne s’est pas enrichie sur le dos des Africains !
    Non, la colonisation n’a pas retardé le développement du continent africain !
    Rappelons aussi que l’acte même de colonisation n’est pas un concept de droite…
    Après la cuisante défaite de 1870, la droite française rêvait de reprendre l’Alsace et la Lorraine ; la gauche « humaniste », elle, voulait absolument colporter l’esprit des Lumières et le progrès auprès des peuplades de contrées sous-développées. 

Oublions, volontairement, la politique de déstabilisation des Soviétiques ET des Américains pour nous chasser de nos colonies et protectorats, car ceci serait trop long  à développer ici.

La « Françafrique » est une idée discutable qui consistait à financer grassement des « Rois nègres » (4), lesquels, en échange, laissaient  quelques affairistes s’enrichir en Afrique. Tout ceci n’est pas très moral, j’en conviens, mais c’est sous l’ère socialiste, à partir de 1981, que la « Françafrique » va  tourner à plein régime  et atteindre, si je puis dire, son apogée.

Les Francs-maçons du Grand Orient, ces « humanistes » de gauche,  étaient à la manœuvre.

Le frère Guy Penne et son complice Jean-Christophe Mitterrand – celui que les Africains surnommaient  « Papamadit »  – s’engraissaient  gaillardement, et ils n’étaient pas les seuls ! A-t-on oublié les scandales africains de l’ère Mitterrand ? L’affaire Elf, le rôle du couple infernal Roland Dumas et la « putain de la République » Deviers-Joncourt, les combines maçonniques  de Le Floch-Prigent  etc… ?
Le Floch, Alfred Sirven et « Papamadit » ont connu la paille humide des cachots.

La « Françafrique » pour tous ces FM corrompus, c’était surtout la « France à fric ».

Elle se justifiait pleinement pendant la « guerre froide », ensuite, c’est devenu une véritable association de malfaiteurs ; un très mauvais film « en noir et blanc » car, d’un côté comme de l’autre, les Frères-maçons, français comme africains, ont  tapé  allégrement dans le pot de manioc.

Pour conclure sur notre décolonisation, je voudrais citer  Alexandre de Marenches, directeur du SDECE, de 1970 à 1981, qui disait fort justement : « Si l’on veut qu’un dirigeant africain soit un peu démocrate, il faut qu’il aille étudier à l’université Patrice Lumumba à Moscou. Si on l’envoie dans une de nos facultés, il  revient marxiste… ».  C’était parfaitement exact !  

Quand  Macron voit dans la colonisation un « crime contre l’humanité », il dit n’importe quoi, comme d’habitude. En revanche, quand, par ses mea culpa, sa repentance alternant avec ses propos condescendants vis-à-vis des Africains, il se met à dos tous nos anciens colonisés, on pourrait croire qu’il fait n’importe quoi, mais je pense qu’il agit  sur ordre de ses mentors mondialistes. Quand tout va mal dans un pays africain, c’est nous qui récupérons les demandeurs d’asile : CQFD !

Eric de Verdelhan

11 octobre 2023

1)- Tout en continuant à se faire soigner chez nous.

2)- « L’Afrique réelle » est le blog officiel de Bernard Lugan.

3)- Souvent  intronisés en Loge par  les « frères maçons » de la « Françafrique ». Qu’on se souvienne, par exemple, de l’affaire ELF ou de l’Angolagate. Il faudrait consacrer un long développement  au rôle de la Franc-maçonnerie en Afrique. Ce sera pour une autre fois. 

4)- L’appellation est de Charles de Gaulle lui-même.

6 Commentaires

  1. La France a construit l’Afrique, parce qu’on y a apporté l’Evangile. Pourquoi ne pas le dire. Le Coran la détruit et les Islamistes effectuent le travail des états profonds donc de la franc-maçonnerie qui les utilise comme idiots utiles… Pourquoi ne pas le dire en conclusion de ces analyses précises et utiles pour compléter nos informations. Pourquoi la dimension verticale de toutes ces considérations fait-elle si peur? Dieu ne peut faire peur. La Vérité vous rendra libres… Essayez Minurge qui s’insurge sans rien pouvoir solutionner. Un geste tout simple: faites un signe de Croix… et la relation est rétablie, la courant peut passer à nouveau, la lumière intérieure pâle d’abord, quoique, peut devenir éblouissante. Essayez, essayez, même et surtout si quelqu’un vous voit… COURAGE.

  2. Une pépite ! Que du pur « jus de vérité »..! Et bravo à EDV de rendre un hommage appuyé au grand Bernard Lugan, LE spécialiste incontesté de l’Afrique dont le seul tort est de ne pas être de gauche pour être reconnu comme tel par la« bien pensance » !

  3. Carrément je me suis régalé : une vue que j’estime totalement sans faille
    En afrique par contre certains pays n’ont pas peur d’être pris comme des colonisateurs Ils s’en balancent bien :ils construisent ,font des voies de chemin de fer et investissent etc .Tout cela la france l’a fait .et MACRON lui fait de la repentance : le problême est que ce truc ne rapporte rien ni d’un coté ni de l’autre Car c’est stérile pour leur pays (on voit le resultat en algérie) et pour nous ou l’on récolte toute la  » merde ».en termes divers (mélange culturels religieux économiques inadequat).On ne sait pas ce que cherche ce type: IL se croit habile mais est excessivement maladroit aux yeux
    d’autres pays.et pour nous il recolte un mépris bien mérité..En tous les cas : belle anlyse

    • Bonjour,
      Au final il ne fallait pas réélire macron, la France a ce qu’elle mérite faute d’ouvrir grand les yeux.
      On efface tout et on recommence, les futures élections nous le confirmerons si les français préfèrent baisser la tête plutôt que de dire baisser leur froc…

      Le monde est au final un nid de vipère et le petit orvet que je suis ne peut que subir. Aucune destitution du présent macron ne se fera tant la France sera par personne interposée dans la repentance et les militaires bien au chand dans leurs casernes…

      • MAINTENANT s’ils n’ouvrent pas les yeux C’est q’ils sont definitivement aveugles.car quand même, même s’ils n’ont pas lu TREVIDIC ,ils ont devant leurs yeux tous les modes opératoires annoncés par ce juge: un des rares qui a su se sortir du système ideologique criminel et lache.: Bravo MR trevidic : Lui a vu tres clair Par contre à l’époque MR BADINTER n’a pas été trés prevoyant pour ses congénères (je crois) en étant trop naivement pacifique ou humain en supprimant la peine de mort. Certes la guillotine c’etait barbare ou d’une autre ère et personnelleemnt j’aurais pour la conserver plutôt opté pour la chimie même si le résultat est le même.Par contre pour ces BARBARES j’opterai encore pour une guillotine même encore couverte de sang du précédent car parait il ils n’ont pas peur de la mort et veulent être des martyrs; QUAND ils se seront payé une belle trouille de la barbarie et vu des spectacles horrifiants ,ils sauront que n’importe qui peut faire toujours pire :il n’y a pas de limite à l’obscénite,à la cruauté,au sadisme de certains crime : Il faut montrer qu’on est capable.ne serait que leur montrer la degueulasserie de leurs mefaits.

      • Pour faire suite à mon laius
        je dirai, plutôt l’ignominie et l’horreur :en bref ,il n’y pas de mot assez fort
        pour qualifier ces actes.qui n’ont rien à voir avec des actes guerriers.

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