Gérard Klein Julio Cortazar
Je sais que les regrets, fussent-ils éternels, ne servent à rien. Cependant, il m’arrive souvent, je l’avoue, de regretter l’ancienne France ; celle qui dura vingt siècles malgré des soubresauts, des guerres – étrangères ou civiles – et une funeste révolution ; en gros jusqu’au Seigneur Pompidou de Montboudif, lequel succédait à Charles de Colombey qui brada son Empire colonial. Ensuite ce pays partit en vrille, envahi par toutes sortes d’allogènes plus ou moins bigarrés, arrivés là avec leurs femmes et leurs marmots grâce à un édit honteux promulgué par Giscard de Chamalières et son féal ministre Jacques Chiraclure, appelé le « regroupement familial » mais qui, si l’on savait encore dire les choses, se nommerait « invasion légalisée ». L’histoire retiendra sans doute que le point de non retour a été atteint lors du règne calamiteux du marquis Emmanuel de Morveux d’Enarque, quand la France est devenue la « start-up nation », le pays des « Cellezéceux », totalement livré aux minorités – raciales, religieuses ou sexuelles – et inféodé à Ursula von der La Hyène, la toute puissante reine de l’Europe décadente, elle-même soumise aux diktats et oukases imposés par les Américons.
Le marquis de Morveux d’Enarque, il est vrai, avait succédé à toute une lignée de bons à rien, aigrefins, brigands et autres gibiers de potence. Les plus connus, parce que les pires, furent le comte Giscard de Chamalières, un individu totalement dépravé qui jouait de d’accordéon pour faire populo; François le Florentin, baron de Latché, aussi machiavélique que manipulateur ; Jacques Chiraclure, seigneur d’Ussel et d’Upoivre, fainéant comme une couleuvre et menteur comme un arracheur de dents ; Nicolas Sarkozizi, un bouffon qui parlait couramment le « Kasstoipovkon » ; François le Mou, seigneur de Tulle, un porcelet sudoripare, obsédé par son bas-ventre au point de sortir nuitamment de son palais pour aller saillir quelques ribaudes et autres gourgandines.
Le pays, mal gouverné par des dirigeants incompétents et corrompus, se laissa berner par le jeune Emmanuel, toujours accompagné de son épouse (née Trognon du Touké) qui était à la fois sa duègne, sa mère, sa maîtresse et sa femme. On expliqua au bon peuple, assoiffé de changement et trop naïf, qu’on allait « faire de la politique autrement…casser les codes…renverser la table » ; mais en réalité, le petit marquis poudré, entouré de veillasses, d’allogènes et d’invertis, se moquait comme d’une guigne d’un peuple qu’il détestait ; il ne rendait de comptes qu’à celle qu’il aimait et à laquelle il était totalement dévoué, Ursula von der La Hyène. Or cette dernière voulait une Europe qui ne fut plus blanche et, pour elle, le pays des « Cellezéceux » était une sorte de laboratoire expérimental.
Au fil des années, on y fit donc venir – officiellement ou clandestinement – une partie non négligeable des populaces crevant de faim du continent africain. Ces gens, qui refusaient les lois de leur pays d’accueil, entendaient lui imposer les leurs, régies par leur croyance religieuse : la Charia.
Le pays devint très vite un coupe-gorge ; émeutes, attentats, égorgements, tueries sur fond de trafics de substances hallucinogènes, devinrent le lot quotidien des « Cellezéceux » de souche que le marquis, arrogant et méprisant, se plaisait à traiter – on ne sait trop pourquoi ? – de « Gaulois réfractaires ». Les choses auraient pu s’arranger si le marquis, aussi fourbe et menteur que certains de ses prédécesseurs, n’avait pas pratiqué le « et en même temps » qui consistait, parfois dans la même journée, à dire tout et son contraire : il prêchait l’union, condamnait le « séparatisme », tout en mettant de l’huile sur le feu pour entretenir les divisions. Il était en cela bien aidé par un fort-en-gueule, un faux dur, qui éructait plutôt qu’il ne parlait, Rachid Méchantcon, qui dirigeait un parti totalement acquis aux allogènes. Méchantcon entendait « créoliser » le pays, ce qui, en fait, était très exactement ce que souhaitaient Ursula von der La Hyène, Morveux d’Enarque, l’imam Bergoglio (qui siégeait au Vatican), le séfarade Attali, l’ashkénaze Soros et quelques autres gredins moins connus mais tous opposés aux États-nations et à la liberté de leurs peuples.
Au pays des « Cellezéceux », on se mit à tabasser le sexe faible : les instituts de sondage, pourtant acquis au pouvoir, comptabilisèrent 220 000 actes de violences envers ces dames, dont 115 furent mortels, en une seule année. On se garda bien de pointer du doigt les agresseurs.
Nous arrivions au chiffre – faramineux ! – de 120 agressions au couteau par jour, mais rien ne semblait émouvoir le marquis, ses ministres et ses affidés.
Puis, tout récemment, une bande de « jeunes » attaqua au couteau des « Cellezéceux » de souche, lors d’un bal, dans une petite bourgade de campagne, tuant un adolescent de seize ans et en blessant neuf autres dont deux grièvement. Aussitôt les ministres, les journaux vendus au système, les médias radiophoniques (ta mère !) et télévisuels, parlèrent d’une « rixe ».
Sans doute conditionné par les rodomontades de Dard-malin, ministre des basses polices, j’ai pensé que le coup venait de « supporters anglais » comme au Stade de France l’an dernier. En effet, que peut-on attendre de bon de la « perfide Albion » ? Ces gens qui ont brûlé Jeanne d’Arc, détruit notre flotte à Aboukir et à Trafalgar, humilié nos troupes à Fachoda, puis traitreusement massacré nos marins à Mers-El-kébir, sont des gens aussi fielleux que fourbes. D’ailleurs, un peuple capable de faire bouillir une bonne côte de bœuf dans une sauce à la menthe est forcément barbare.
Les premiers renseignements donnés par le pouvoir et les gazettes nous apprenaient que les agresseurs étaient des « Cellezéceux ». J’ai pensé derechef que c’était encore un coup de « Mattéo » et de « Kévin », car je n’ai aucune confiance dans les « Cellezéceux » qui portent des prénoms italiens ou irlandais, comme s’ils avaient honte des prénoms de nos saints.
Et puis hier, il m’a bien fallu me rendre à l’évidence : l’agresseur se prénommait Chaïd ; ses complices Yasir, Nasir, Fayçal etc…etc…Il ne fait donc plus aucun doute, le méfait – pardon, le fait divers – a été commis par des Auvergnats mais peut-être y a-t-il un Breton ou un Savoyard dans le lot. Nous savons que les rixes entre jeunes dans les bals populaires ont toujours existé mais aussitôt l’extrême-droite, fasciste, raciste et xénophobe, a tenté de récupérer ce qui n’est, au final, qu’un jeu d’adolescents qui aurait mal tourné. On ne devrait pas laisser les jeunes jouer avec des couteaux ; ils risquent de se blesser ou de blesser leurs camarades de jeu.
Oublions ces gamineries pour traiter un sujet beaucoup plus inquiétant : notre pays devient barbare. Il ne respecte plus les lois de la guerre, les conventions internationales – qu’elles fussent de Genève ou de La Haye -, les traités de désarmement, les valeurs d’humanisme héritées des Lumières (et des Logs maçonniques), le vrai danger pour la « démo-crassie » est là. Il ne sert à rien de tenter de nous faire croire qu’il y aurait une corrélation entre immigration et délinquance puisque le fait divers récent que je viens de citer nous prouve le contraire. En revanche, j’observe une dérive de la riposte qui me fait craindre le pire. Cette dégradation remonte en gros à mai 1968. Avant, quand une foule se rebellait, on la calmait en faisant tirer la troupe. Le 13 vendémiaire an IV, (4 octobre 1795) le général Bonaparte fit tirer au canon sur une foule de royalistes. Le 26 mars 1962, rue d’Isly à Alger, le pouvoir fit ouvrir le feu à l’arme automatique sur une foule – avec femmes, enfants, vieillards – qui venait pacifiquement manifester son attachement à l’Algérie française. En mai 68, des étudiants, certes un peu turbulents, brûlaient des voitures et lançaient des pavés sur les forces de l’ordre. Ces dernières ripostèrent en lançant des grenades lacrymogènes et on vit ces fils de bourgeois, ces gosses de riches trop gâtés, pleurer comme des madeleines en bramant « CRS = SS ».
Depuis ce temps, on désarme les argousins à chaque manifestation, occasionnant un mort ou un blessé grave. De nos jours, les flics et pandores n’ont plus le droit de se défendre. Ceci est assez logique ; nous ne sommes pas une dictature et les violences policières ne sont pas admissibles au pays des « droits de l’homme et des libertés », ce pays parangon de la « démo-crassie » qui s’autorise à donner des leçons au monde entier. D’ailleurs, Emmanuel de Morveux d’Enarque et son (faux) opposant Rachid Méchantcon ont fait des violences policières un cheval de bataille.
On ne peut que leur donner raison, « et en même temps » le pouvoir a laissé le bas peuple pratiquer une autodéfense que je trouve dangereuse, avec l’usage d’armes non reconnues par les traités qui régissent la guerre. Certes il s’agit d’armes non létales mais elles ne répondent pas à la notion de « riposte proportionnée à l’attaque », voire de légitime défense. Aussi, je m’autorise aujourd’hui à interpeller le marquis de Morveux d’Enarque afin qu’il impose à Sébastien le Cornecul, ministre des Armées, à Moussa Dard-Malin, ministre des basses-polices, de proscrire l’utilisation d’armes non conventionnelles et de faire interdire toutes les manifestations de patriotes.
Je lui demande également de charger Eric Dupont-Le-Yéti, Garde des Sots, d’imposer à ses chats-fourrés une application sévère, stricte et rigoureuse de la loi en matière de sanctions pénales.
En effet, il n’est plus admissible, par exemple, qu’un voleur multirécidiviste se voit condamné à un simple « rappel à la loi » alors qu’il mériterait au moins deux ou trois jours de « travaux d’intérêt général » avec sursis. Mais, pour les fascistes, il faudrait réactiver la « loi des suspects » datant de la Révolution, ce qui permettrait d’embastiller les gens d’extrême-droite sur une simple présomption.
Afin que l’on comprenne bien mes craintes, je crois utile d’énumérer ici quelques unes des armes dont je conteste l’usage. La liste ne saurait en aucun cas être limitative car il ne faut jamais sous-estimer la créativité des peuples occidentaux en matière de méchanceté à l’égard de gens plus pauvres qu’eux et qu’ils ont, pour certains, exploités et réduits en esclavage durant des siècles.
– Il faut, en premier lieu, interdire les « marches blanches » car leur intitulé est une offense aux populations basanées (et une façon arrogante d’affirmer notre suprématisme blanc).
– Interdire également les roses blanches qui, en dehors même de leur couleur provocatrice, rappellent la rengaine de 1920 chantée par Berthe Silva, triste symbole d’un pays « ranci » dénoncé par BHL et Laurent Mouchard dit « Joffrin ».
– Bannir les slogans agressifs comme « vous n’aurez pas ma haine » qui laissent supposer que ceux d’en face seraient haineux alors qu’ils ont simplement une revanche à prendre.
– Bannir aussi, bien sûr, les post-its avec des messages pour la victime car ils ne respectent pas la présomption d’innocence que l’ont doit à l’agresseur présumé.
– Il faudrait aussi interdire les bougies sur les lieux d’un drame. En effet, ces bougies éclairent un endroit qui est parfois un point de « deal ». Il n’est pas utile de perturber le trafic de substances hallucinogènes qui garantit le calme des cités et permet aux bobos branchés de se procurer leur dose de cocaïne. La solution serait de légaliser les drogues mais les « Cellezéceux » de souche, qui sont des imbéciles, ne l’ont pas compris. Soyons indulgents avec ces gens qui préfèrent le pinard à la came !
– Interdire aussi, de la même façon, les nounours, poupées, peluches qui s’apparentent aux rites vaudou et pourraient offenser des populations qui n’ont pas forcément nos coutumes. De plus, cette pratique n’est pas écologique puisqu’elle ne respecte pas le tri sélectif.
– Enfin, car il me faut conclure, ne pas permettre – comme cela vient de se faire – les lâchers de ballons bleus et blancs. C’est une arme nouvelle dont je ne connais ni la portée ni la signification mais cette surenchère aux armes non conventionnelles ne me dit rien qui vaille.
Mais sont-ce pour autant des armes de destruction massive ?
Assurément, car c’est avec de telles ripostes, de tels procédés lénifiants, qu’on a détruit massivement, et hélas durablement, notre dignité, notre fierté, notre combativité, nos valeurs, notre liberté et, disons-le, notre honneur.
En matière d’armes non létales, bénissons le Ciel que le ridicule ne tue pas !
Cédric de Valfrancisque
14/11/2023
Génial !!!
Plus jamais je ne placerai mon Bulletin dans les urnes. Car les députés sont des GAMELLARDS qui se font élire avec des fausses promesses uniquement pour la BONNE SOUPE.
le peuple?…. il n’en n’a rien à foutre! Ce qui compte pour lui est que chaque mois le prix de sa tahison soit versé dans ses banques aux îles caïman ou au Lichtenstein….. pour le reste: c’est VIVE LA BRINGUE, LES P’TITES FEMMES et la SHNOUFF
Certains sont disposés à accepter ça.
https://www.3ilmchar3i.net/
Excellente prose. L’arme de destruction massive, c’est le socialisme.
J’invite tous ceux qui lisent, de lire « Le livre noir du socialisme » de Xavier Moreau qui expose bien l’origine de cette arme et l’étendue des dégâts progressant d’années en années et trouvant une apogée (je l’espère) en Micron, le pire président de l’histoire de la ripoublique française.
Ce livre est un excellent rappel pour les Français à la mémoire courte, atavisme Ô combien destructeur ce ce peuple individualiste et égoïste pour la plupart, c’est à dire ceux qui votent socialiste.
Avec un humour exemplaire toujours aussi génial et tellement vrai.
J’adore tout ce Cédric de Valfrancisque écrit.
Pas de fausses notes.
Vive les Français, les vrais ceux qui aiment la FRANCE
LE PEUPLE des débiles qui les ont fait élire, n’ont qu’à se faire égorger…..IL N’EN N’A RIEN A FOUTRE. il a déjà fait construire son Riad au Qatar ou à Marrakesch.
Il y a bien plus grave :
Sur BFMWC une merdeuse mahométane témoigne avoir reçu des tranches de jambon sur la tête durant un cours de physique.
Vous vous rendez compte ?
Attention, si darmanin le sinistre des FDO s’en mêle, vous ne pourrez plus aller acheter de jambon en charcuterie sans un port d’arme en bonne et due forme.
Pour éviter les débordements islamophobes, le lancer de tranches de jambon sera retiré des jeux olympiques à venir.
On s’attend à un contrôle serré sur la circulation des tanches de saucisson et des pots de Beaujolais.
Armes de destruction massives !
Bravo à vous dit : « six dents » ce qui ne peut garnir deux mâchoires …Mais cela ne vous empêche par contre pas d’avoir un mordant humoristique sympa et bien de chez nous !
Fraternité Patriote et Vive le jambon cru régional et de Paris ! »
Et beurk pour le couscous et cornes de gazelle !
Amitiés