« Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis…ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire… »
(Houari Boumediene).
Emmanuel Macron aura décidément TOUT raté. Plus les jours passent et plus cet avorton semble ne rien maitriser. Il est devenu une sorte de François Hollande, certes plus présentable et moins risible. Et, comme son prédécesseur, il passe son temps à lécher les babouches des Algériens.
Abdelmadjid Tebboune, le président algérien, l’humilie et le roule dans le couscous mais il en redemande. Une feuille de choux à la solde du régime, nous affirmait récemment que « malgré les obstacles, Macron et Tebboune travaillent au rapprochement franco-algérien ». Il parait que Paris et Alger retravaillent à la programmation de la visite d’État du président algérien en France (qui pourrait avoir lieu au premier trimestre 2024). Mais, alors que la visite en France d’Abdelmadjid Tebboune ne cesse d’être reportée, ce dernier s’est rendu chez Poutine pour signer – en grande pompe – plusieurs accords de « partenariats stratégiques ». En choisissant d’aller en visite d’État à Moscou plutôt qu’à Paris, Abdelmadjid Tebboune a rappelé combien le pari d’Emmanuel Macron d’un rapprochement avec Alger restait pour le moins incertain, pour ne pas dire totalement utopique.
La visite en France de Tebboune, programmée d’abord début mai 2023, a été repoussée à juin. On nous raconte que les Algériens craignaient les manifestations contre la réforme des retraites. Mais Tebboune n’a jamais confirmé sa venue, qui devait consacrer l’embellie entre les deux pays.
À Alger, le sentiment antifrançais remonte régulièrement à la surface au gré des tensions. Le débat sur une éventuelle remise en cause de l’accord conclu en 1968 avec l’Algérie n’a rien arrangé non plus. De plus, l’Algérie, candidate à l’entrée dans le club des « BRICS » (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud), préfère éviter toute fausse note avec une visite à Paris.
Les « BRICS » veulent devenir une alternative à l’ordre mondial dirigé par l’Occident. Puissance régionale rivale du Maroc, Alger ambitionne ainsi de jouer dans la cour des grands.
En redoublant d’attention pour Alger, Emmanuel Macron a plombé une relation déjà difficile avec le Maroc. Rabat et Paris sont en froid depuis de longs mois, un gel des relations qui s’ancre et perdure (il n’y a toujours pas d’ambassadeur du Maroc en France). À l’origine de cette grave brouille, les restrictions d’octroi des visas visant les Marocains, une mesure pourtant levée en décembre.
Mais au-delà, le Maroc reproche à la France de ne pas s’aligner sur les États-Unis et l’Espagne qui ont reconnu la « marocanité » du territoire disputé du Sahara occidental, considérée comme cause nationale à Rabat. La visite d’État de Macron au Maroc ne cesse aussi d’être reportée.
Malgré le honteux « Rapport Stora », Macron reste loin de son objectif de « réconciliation des mémoires » et de relance des relations franco-algériennes, notamment au plan économique. Il contribue même à nous mettre à dos tout le Maghreb, or nous avons chez nous une importante « cinquième colonne » maghrébine qui a appris, depuis son plus jeune âge, à détester la France.
Pour ma part, j’ai tiré un trait définitif sur l’Algérie. J’ai écrit plusieurs livres (1) et des dizaines d’articles qui traitaient de l’Algérie française ; c’est fini, je n’en écrirai plus car j’estime avoir épuisé le sujet. J’en ai marre de voir la France se coucher devant un pays auquel elle a pourtant tout donné !
Comme chaque année, le 19 mars et le 5 juillet, nous aurons droit à des démonstrations de repentance honteuse de la part de toute notre classe politique ; des articles tendancieux d’une presse (majoritairement de gauche) culpabilisant la France ; des films et documentaires à la gloire du FLN ; et, je suppose, des manifestations de liesse qui se transformeront immanquablement en émeutes et en actes de vandalisme de la part des Franco-algériens – « Français de papiers » par le Jus Solis – ou Algériens résidant chez l’ancien colonisateur honni (dont ils ne dédaignent pas les aides sociales, aussi diverses que généreuses, qu’il leur verse sans compter).
Sur la colonisation et la guerre d’Algérie, nous aurions pu, nous aurions dû, laisser le temps faire son ouvrage. Il cicatrise les plaies, favorise l’oubli et parfois même, le pardon (2). Mais Hollande, sur les conseils de Stora, a préféré jeter du sel sur des plaies encore à vif : il s’est rendu à Alger en décembre 2012 et, sur place, il a condamné la France pour les massacres de Sétif en mai 1945.
Ensuite, il a accusé la police française d’avoir commis une tuerie d’Algériens, le 17 octobre 1961, en plein Paris. Croyant s’attirer les suffrages des Franco-algériens, il n’a fait qu’attiser la haine des jeunes issus de l’immigration maghrébine envers la France.
Mais, hélas, trois fois hélas, nous n’avions pas encore touché le fond !
En février 2017, Macron qualifiait l’œuvre française en Algérie, le travail remarquable des colons français sur une terre aride et inhospitalière durant 132 ans, de « crime contre l’humanité ».
Puis, en octobre 2018, il allait salir l’Armée française en faisant repentance, pour la France, au domicile de la veuve de Maurice Audin, cet enseignant qui trahissait son pays au profit du FLN.
Macron, qui est nul en histoire, ignore ce que fut la « Bataille d’Alger » : une période trouble durant laquelle Alger, deuxième ville de France à l’époque, aura connu 112 attentats dans le seul mois de janvier (1957). Le commissaire Benhamou n’arrivant à rien avec 1500 policiers, le socialiste Robert Lacoste donna les pleins pouvoirs (y compris ceux de police) au général Massu qui rentrait de Suez. Massu, qui étrennait ses étoiles, commandait la 10ème DP : une division parachutiste. Ses régiments étaient des unités éprouvées et remarquablement commandées ; quatre régiments paras et le 9ème régiment de zouaves, seule unité non parachutiste.
Pendant la bataille d’Alger, Maurice Audin est arrêté par des Légionnaires-parachutistes de la section du lieutenant Erulin(3), du 1er REP, puis remis pour interrogatoire aux paras du commandant Aussarresses. Il disparait le 11 juin 1957 et on ne saura jamais, de façon formelle, s’il a été tué par les gens chargés de l’interroger ou par ses amis du FLN après s’être évadé. Mais après tout, Maurice Audin était un traître à sa patrie : la façon dont il est mort n’a pas grande importance !
La « Bataille d’Alger » aura été, indéniablement, une affaire de parachutistes. Des paras qui, avec abnégation et courage, ont fait un travail remarquable et ont éradiqué le terrorisme à Alger.
Ensuite, Macron, en pompier-pyromane, n’a cessé de souffler sur la braise. C’est sciemment que je parle de braise, en pensant à deux films « engagés » (toujours contre la France) : « Chronique des années de braise » ( وقائع سنين الجمر,) de Lakhdar-Hamina (4) sorti en 1975, et « Des feux mal éteints » de Serge Moati (5), sorti en 1994.
En juillet 2020, Emmanuel Macron chargeait Benjamin Stora de « dresser un état des lieux juste et précis » sur la mémoire de la colonisation et de la guerre d’Algérie.
Rappelons, brièvement, certaines propositions du fameux « Rapport Stora » qui est une invitation à la repentance aussi unilatérale que l’étaient les funestes Accords d’Evian. Il propose notamment ; de constituer en France une commission « Mémoire et Vérité » chargée d’impulser des initiatives communes entre la France et l’Algérie ; de commémorer les dates symboliques du conflit (le 19 mars 1962, le 25 septembre, et le 17 octobre 1961) ; de restituer à l’Algérie l’épée de l’émir Abdelkader, « héros de la résistance à la colonisation française »; de reconnaître l’assassinat de l’avocat et militant politique Ali Boumendjel, pendant la bataille d’Alger ; de poursuivre les travaux sur les essais nucléaires français dans le Sahara et leurs conséquences (ainsi que celles de la pose de mines antipersonnel durant la guerre); de faciliter les déplacements des Harkis et de leurs enfants entre la France et Algérie (6); de réactiver le projet d’un « Musée de l’histoire de la France et de l’Algérie », prévu à Montpellier et abandonné en 2014; de faire entrer au Panthéon l’avocate pro-FLN Gisèle Halimi (7); d’ériger des « lieux de mémoire » sur quatre camps d’internement d’Algériens en métropole …etc…Bref, dans tous les domaines la France se couche devant l’Algérie et s’humilie.
Dans la foulée, Macron, comme Hollande, condamnait le soi-disant massacre du 17 octobre 1961 (8), puis, la ministre Roselyne Bachelot annonçait que la France allait ouvrir « avec quinze ans d’avance » les dossiers concernant la guerre d’Algérie.
Du côté algérien, le président Tebboune se moque des gesticulations françaises comme de sa première djellaba. Ce qu’il attend, c’est un acte de contrition en bonne et due forme, avec, à la clé, des indemnisations pour les crimes que nous aurions commis en Algérie. Devant une France veule, une France à plat ventre, il ne faut pas s’étonner de voir des Algériens (ou des Franco-algériens) manifester et saccager les vitrines de nos grandes villes, en brandissant des drapeaux algériens, lors de la victoire de leur pays (car pour eux la France n’est pas leur pays) à la coupe d’Afrique de football. Il est dit que nous boirons la coupe jusqu’à la lie, jusqu’à l’hallali, puis juste qu’au Halal tout court.
Dans mes écrits sur l’Algérie, je me suis intéressé à l’histoire, au contexte géopolitique qui a entrainé ce drame, à la realpolitik, au démarrage économique créé par la France et aussi au côté sentimental de cet abandon tragique : la perte, pour les « Pieds noirs » et les Harkis, d’un pays de cocagne où il faisait bon vivre. Mais jamais je n’ai évoqué la guerre entre la chrétienté et l’islam.
D’autres l’ont fait avant moi, et sans doute mieux que je ne l’aurais fait moi-même (9).
Je vais cependant en dire un mot, pour ne plus avoir à y revenir ensuite.
Arrêtons de raconter que c’est le monde chrétien qui colonisa le Maghreb. Ce sont les Arabo-musulmans, en l’an 630, qui colonisèrent des peuples chrétiens (et romains) depuis des siècles ; peuples auxquels ils imposèrent leur religion par la force. Ces peuples étaient chrétiens et ils ont donné trois papes et cinq empereurs romains. Les papes furent Victor (de 189 à 199), Melchiade (de 311 à 314), et Gélase (de 492 à 496). En Occident, les amoureux fêtent la Saint Valentin sans savoir que cette fête a été instaurée par Gélase 1er, pape berbère. Et bien peu de gens savent qu’un évêque berbère, Saint Augustin d’Hippone, est considéré comme l’un des quatre « Pères de l’Église ».
Ce n’est qu’en l’an 250 que la Gaule fut évangélisée ; ce n’est qu’en 392 que le Christianisme devint religion d’Etat sous l’empereur Théodose, alors qu’il était implanté chez les Berbères depuis l’an 150. Qui, chez nous, a entendu parler de Dihya ( ديهيا), connue sous le nom de « la Kahina » (ou la Kahena) ? Une princesse berbère qui a combattu les Omeyyades, lors de la conquête musulmane du Maghreb au VII° siècle. Après plusieurs succès contre les envahisseurs musulmans, Dihya a été tuée au combat, dans les Aurès, en 703. Elle est une figure historique et identitaire des Chaouis et des Berbères en général. Selon Zineb Ali-Benali (10), Dihya réussit à unifier tout le Maghreb.
Au début de la conquête musulmane, l’unité du Maghreb centrale (l’actuelle Algérie) est réalisée par Koceïla. Ce chef berbère prend la tête de la résistance, de 680 à 688.
Le Maghreb était chrétien avant d’être musulman. Charles de Foucault était parfaitement lucide quand, le 29 juillet 1916, il écrivait à René Bazin :
« Les Musulmans peuvent-ils être vraiment français ? D’une manière générale, non : plusieurs de leurs dogmes fondamentaux s’y opposent. Le seul moyen pour qu’ils deviennent français est qu’ils deviennent chrétiens ».
Un retour à la religion de leurs ancêtres qui eut été assez logique mais l’anticléricalisme maçonnique de la III° République ne pouvait l’accepter. Mais revenons à nos moutons, à savoir, l’Algérie française :
D’une colonisation, exemplaire à plus d’un titre, nous avons fait un motif de culpabilité et de contrition ; nous avons transformé une guerre indéniablement gagnée militairement en défaite ; en perdant les hydrocarbures sahariens nous avons bradé notre autosuffisance énergétique ; nous avons parqué dans des camps insalubres les Harkis fidèles à la France (quand nous ne les avons pas livrés désarmés aux égorgeurs du FLN) tandis que nous déroulions le tapis rouge aux Fellaghas.
Donc, si nous devons faire repentance, c’est d’avoir abandonné l’Algérie française.
Ferhat Abbas a déclaré :
« L’œuvre de la France est admirable ! Si la France était restée vingt ans de plus elle aurait fait de l’Algérie l’équivalent d’un pays européen. ».
Il devait ajouter sur le tard :
« La France a commis un crime : elle a livré le peuple algérien aux tueurs et aux assassins. »
Je rappelle que Ferhat Abbas était un homme d’État algérien, rallié au FLN durant la Guerre d’Algérie, président du Gouvernement Provisoire de la République Algérienne de 1958 à 1961.
Albert Camus a dit :
« L’Algérie, on n’en guérit jamais ».
Pour ma part, je ne suis pas guéri de l’Algérie, mais je n’ai plus envie d’en parler, ça ne sert plus à rien… hélas !
Éric de Verdelhan
16 décembre 2023
1) « Oran le 5 juillet 1962 (et quelques massacres oubliés) » (Edilivre ; 2017) ; « Hommage à NOTRE Algérie française » (Dualpha ; 2020). « Requiem pour l’Algérie française » (2012) est épuisé.
2) Il va sans dire que, dans mon esprit, le pardon est dû aux « Pieds noirs » et aux Harkis abandonnés par la France. Nous ne devons RIEN à l’Algérie qui, elle, nous doit son existence, son industrialisation, ses infrastructures, la découverte de ses hydrocarbures…etc…
3) Philippe Erulin, né à Dole le 5 juillet 1932 et mort à Paris le 26 septembre 1979. Il était chef de Corps du 2ème REP lors de l’opération de Kolwezi en mai 1978.
4) « Chronique des années de braise », film algérien réalisé par Mohammed Lakhdar-Hamina, sorti en 1975 et qui, comme par hasard, remporta la Palme d’or au Festival de Cannes.
5) « Des feux mal éteints », film français de Serge Moati, sorti en 1994, sur la guerre d’Algérie.
6) Les Algériens considèrent nos Harkis comme des traîtres et n’en veulent pas chez eux.
7) Rappelons que Gisèle Halimi, proche du FLN, œuvrait contre la France.
8) Le professeur Bernard Lugan et moi-même avons rédigé suffisamment d’articles sur le sujet pour qu’il ne soit pas utile d’y revenir ici.
9) Merci à l’ADIMAD-MARF d’avoir traité ce sujet dans un de ses bulletins.
10) Contentons-nous des écrits de Zineb Ali-Benali. Dans un (mauvais) livre, Gisèle Halimi en fait une ancêtre du…combat féministe.
Tout à fait d’accord , mais personne ne cite le plus grand traitre et froussard que la France est connue , le petit pervers pédophilisé actuel , est un novice à coté de 2gol , je n’arrive même plus à écrire son nom , tellement je suis choqué , lisait » j’accuse de gaulle » de Manuel Gomez !!!!!
J’ai bu votre article et fortement apprécié une logique historique et exactitude des faits .Par contre même si albert camus a dit cette phrase tres juste ‘l’algérie on en guerit jamais,je l’ai toujours considéré ambigu dans ses positions à tel point que l’ai considéré longtemps de par son talent et son influence comme paradoxalement proche du FLN bien qu’il détestait « les terrorismes ».Il est parfois tres delicat de ménager la chevre et le chou.
Quand j’ai vu le film » L’ennemi intime » de Florent-Emilio Siri (2007), j’ai été stupéfait car le scénario et les évènement relatés étaient exactement ce que m’avait raconté mon père, à l’époque sous-lieutenant au 92ème RI sur ce qu’il avait vécu là-bas. J’en ai tiré une peine immense d’autant qu’il est décédé en 1995 et c’est seulement en voyant ce film que j’ai pu mesurer son vécu d’une telle guerre dans ces conditions. Il n’aimait pas en parler et maudissait Mitterrand de l’y avoir envoyé. Il y a perdu des hommes et vu pas mal d’horreurs dans des opérations difficiles et me disait toujours que cette guerre n’était pas finie et qu’elle allait se répandre en France. Il a préparé mon esprit à cela.
En effet le père a bien préparé le fils mais le fils ,j’espère , se mettra du bon côté et votera notamment RN.
L’Algérie nous doit surtout de lui avoir constitué une nation « clef en mains » … un patrimoine immatériel supérieur encore à l’immense patrimoine matériel !
Bonjour Moi aussi depuis très fort longtemps je n’en parle plus de mon Algérie car elle n’existe plus. La seule présence des Maghrébins en France me laisse à penser que la France est devenue l’Algérie,On disait autrefois : » la Méditerranée traverse la France comme la Seine traverse Paris ». C’est fini. Ce sont les immigrés qui la traverse.Sur la jetée d’Oran était écrit « Iici la France ».C’est fini.La France n’existera plus.Arrivé à mes 80 ans,sans chercher d’excuses,je dis Inch allah à la France de souche qui n’a jamais aimé les Pieds Noirs..
Je suis comme vous et je pense comme vous.
Il faut faire un geste de bonne volonté et leur renvoyer tous les traites algériens qui ont abandonné un si beau pays Ils nous manquerons mais il faut faire se sacrifice, avec leurs compétences ils seront tellement utile pour enrichir l’algérie En enrichissant l’algérie elle pourra enfin financer toutes les aides inexistantes, comme ils en ont trouvé chez nous
Nous sommes des ABRUTIS (enfin, disons par la voix de ce vendu de Macron).
Nous sommes la honte de nos ancêtres, oui, de ceux de Clovis en passant par nos poilus et nos résistants. La Lâcheté à contaminé les Français qui ne bouge pas de peur de perdre leur petite pension, leur petite maison, leur petit confort, leur petit…rien du tout. Mais il n’ont pas compris que tout cela leur sera arraché !
Malheur aux vaincus !
Bonjour Éric. Ce n’est pas la première fois que j’écris dans Minurne et je suis complètement d’accord avec vous … surtout quand vous citez Saint Augustin. Lors d’un voyage (pèlerinage ?) en Algérie en 1986, j’avais même visité les lieux de sa naissance , un petit village appelé Madaure où il restait, à l’époque, quelques riines romaines. Mais vous le dites : bien peu savent que c’est un des Quatre Pères de l’Eglise.
Hier j’ai vu une vidéo en provenance de Lybie ; des soldats y détruisaient un cimetière chrétien où dormaient tranquillement les soldats anglais qui avaient combattu Rommel et son Afrika Corps. Mais le pire de cette vidéo a été le moment où ils ont découvert au milieu des tombes chrétiennes la tombe d’un soldat juif. Ces gens-là ne sont rien d’autre que des animaux et nous devrions les traiter comme tels. Bravo aussi pour le rappel de Boumedienne mis en exergue de votre texte. Combien de Gaulois s’en souviennent …. à part les Pieds Noirs et ceux qui sont arrivés tout petits (comme moi, à l’âge de 3 ans, en suivant mon père officier) ? Bref, j’abonde en tous points à votre texte. Et la France pli, et la France continue de se soumettre à tout ce que demandent ces gens-là ! Jusqu’à quand ? AUX ARMES CITOYENS ! Un Papy de 87 ans.
Bravo. Entièrement det vrai à 100%.
Dr AB
PIEDNOIR DEPUIS 1848 trésorier de l’ASCA