J’AI FAIT UN RÊVE (Cédric de Valfrancisque)

« La droite française est la plus bête du monde… »

MIA - Section française : Guy Mollet (Biographie)

(Guy Mollet, président du conseil sous la IV° République).

Guy Mollet est un homme politique oublié. Membre de la SFIO(1), franc-maçon de la « Loge Conscience » du « Grand Orient de France », à Arras, ce type, encensé  par la gauche, aura été une véritable calamité pour le pays. C’est à lui qu’on doit, entre autres, l’envoi du contingent en Algérie, l’expédition de Suez en 1956, la vignette automobile (pour financer la retraite des vieux), mais aussi, l’indépendance de la Tunisie et du Maroc. Il a également fait voter la loi-cadre Defferre, qui accordait l’autonomie à l’Afrique subsaharienne et annonçait l’indépendance. Et, cerise sur le gâteau, en mars 1957, ce sont des ministres de son gouvernement, Christian Pineau et Maurice Faure, qui signaient les traités instituant la Communauté Economique Européenne (CEE) ; le début de nos malheurs.

Vice-président du Conseil dans le cabinet Pflimlin en mai 1958, Guy Mollet s’est rallié à De Gaulle car, disait-il, il voulait « éviter une guerre civile sans armée républicaine ». Il a donc voté les pleins pouvoirs à De Gaulle. En guise de remerciements, il est nommé ministre d’État en juin 1958, et participe à la rédaction de la nouvelle Constitution. Puis il  quitte le gouvernement en janvier 1959.

Selon lui, la Constitution – dont il avait pourtant été l’un des rédacteurs – restreignait  les libertés publiques et les droits du Parlement. Peut-être fallait-il y penser plus tôt ?

En 1963, au congrès d’Issy-les-Moulineaux, il ouvrait les instances dirigeantes de la SFIO à des jeunes. Pierre Mauroy, alias « Rougeaud de Lille », alors âgé de 35 ans, entrait au Comité Directeur, puis devenait secrétaire général adjoint en 1966.  En 1965, Guy Mollet participait à la constitution de la « Fédération de la Gauche Démocrate et Socialiste », mouvement qui soutiendra la candidature de François Mitterrand à l’élection présidentielle.

27 idées de Caricature hommes politiques | caricature, hommes politiques, caricatures politiquesVous vous demandez sans doute pourquoi je consacre quelques lignes à ce personnage nocif pour notre pays ? Pour une raison toute simple : il a fort bien résumé, en son temps, ce qu’était la droite française en la qualifiant de « la plus bête du monde ». Pour une fois, il avait raison ! Et si je vous parle de lui aujourd’hui, c’est parce que récemment  j’ai fait un rêve…amusant.

Je cauchemarde rarement, il fait croire que je dors « du sommeil du juste », et mes rêves sont  souvent plus gais, plus plaisants, moins stressants, plus drôles, que la vraie vie.

Figurez-vous que j’ai rêvé que la droite nationaliste, patriote, conservatrice, souverainiste, bref la vraie droite revenait au pouvoir en France. Rien à voir, vous l’aurez compris, avec cet ersatz de droite libérale, permissive, européiste, dépravée, corrompue et qui n’émet des idées de droite que lorsqu’elle est dans l’opposition ; ce ramassis de bobos qui sont les frères, presque jumeaux,  de la « gauche-caviar » ; cette « droite-cachemire » qui vote pour Macron par peur des extrêmes, alors qu’elle incarne l’extrême-centre, ce ventre mou, sans valeurs morales et qui n’adule que le fric.

Je ne saurais vous dire qui, dans mon rêve, était le leader de cette droite qui accédait enfin aux affaires? Etait-ce un homme ou une femme ? Je ne m’en souviens plus. En revanche, il (ou elle) était une sorte de Mitterrand de droite. Il (ou elle) en avait le machiavélisme, la ruse et le cynisme.

A ce stade de mon récit, chers lecteurs, vous pensez peut-être que j’ai fumé la moquette ou que, à l’approche des fêtes, j’ai trop forcé sur le « single malt » dont je suis amateur. Que nenni ! Je suis intimement convaincu qu’il nous faudrait un Mitterrand de droite pour accéder au pouvoir.

Après son élection, cet homme (ou cette femme) pourrait tomber le masque et faire une politique droitière puisqu’il (ou elle) aurait été élu(e) démocratiquement et, tel Mitterrand en 1981, il (ou elle) pourrait nettoyer les écuries d’Augias journalistiques et faire « la chasse aux sorcières » au sein des chaines de radio et de télé. L’information cesserait d’être gauchiste ou gauchisante à 95% ; le pays respirerait enfin autre chose que des relents nauséabonds de fosse d’aisance, des odeurs  pourriture ou des remugles de fumier. L’une des premières mesures salutaires du nouveau président serait de privatiser l’audiovisuel public et d’en chasser tous les pourris, vaste programme !

Mitterrand a couillonné son monde, et pourtant,  pour les vieux soixante-huitards, devenus les bobos de la « gauche-caviar », les « éléphants » d’un Parti Socialiste moribond, l’élection du 10 mai 1981 a été un évènement important puisqu’il les a sortis de leur médiocrité.

Beaucoup étaient enseignants, instituteurs, profs de techno, petits fonctionnaires, anciens de l’UNEF ou de groupuscules gauchistes. Mitterrand en a fait ses barons ; des députés, des ministres, des grands commis de l’État. Il les a embourgeoisés, gavés et enrichis.

Mitterrand, à peine élu – après trois échecs – aurait pu prendre à son compte la citation de Napoléon : « Quel roman que ma vie ! ». Quel roman en effet, et quelle entourloupe ! Son règne, ce sont 14 années de gestion calamiteuse mais, en fait, ni plus ni moins que la présidence de Giscard d’Estaing avant lui, et de Chirac, Sarkozy, Hollande et Macron depuis. Il aura été plus long, et même si je déteste le personnage, son machiavélisme et son parcours sinueux méritent qu’on s’y attarde.

Mitterrand a été élevé dans un milieu bourgeois, proche de « l’Action Française » de Charles Maurras, il avait de bonnes bases idéologiques. À partir de novembre 1934, il milite aux « Volontaires nationaux », mouvement issu des « Croix-de-Feu » du colonel François de La Rocque. Il est de toutes les manifestations « contre l’invasion des métèques » (2). Il cultive ensuite des amitiés au sein de « la Cagoule ». A l’époque, il écrit de nombreux articles dans « L’Écho de Paris » d’Henri de Kérillis, proche du « Parti Social Français » de Marcel Déat ; des articles plutôt bien rédigés. Il y écrit, par exemple :

« Désormais, le Quartier latin est ce complexe de couleurs et de sons si désaccordés qu’on a l’impression de retrouver cette tour de Babel à laquelle nous ne voulions pas croire ».

Voilà un jeune homme dont la lucidité était précoce et, disons-le, bien sympathique !

En septembre 1939, la « drôle de guerre » débute et Mitterrand, qui a terminé ses études d’avocat,  est envoyé sur la ligne Maginot, à proximité de Montmédy, au 23ème Régiment d’Infanterie Coloniale. Quand la guerre cesse d’être drôle, en juin 1940, il est fait prisonnier, comme 1,8 million de soldats français. Il est, à l’époque, sergent-chef (3). Dans le train qui le conduit en Allemagne, il médite sur les causes du désastre, qu’en lecteur de Jacques Bainville, il attribue à la Révolution:

«Je pensais que nous, les héritiers de 150 années d’erreurs, nous n’étions guère responsables ».

Encore un bel exemple de lucidité chez ce garçon de la bonne bourgeoisie catholique. Après 18 mois de captivité, il s’évade en décembre 1941. Son évasion est controversée, lui-même est assez peu loquace sur le sujet. On suppose que ses appuis à Vichy ont obtenu sa libération.

En janvier 1942, bien que « recherché par les Allemands » (qui  ne mettent pas beaucoup de zèle à le retrouver), il travaille à la « Légion Française des Combattants et des Volontaires », puis, à partir de juin, au « Commissariat au Reclassement des Prisonniers » du gouvernement de Vichy.

En mars 1943, parrainé par deux anciens « cagoulards » (Gabriel Jeantet et Simon Arbellot),  il est décoré de la Francisque Gallique par le maréchal Pétain : il est le récipiendaire N° 2 202.  Pour obtenir cette décoration, attribuée parcimonieusement, il a dû en faire la demande en déclarant :

« Je fais don de ma personne au maréchal Pétain, comme il a fait don de la sienne à la France. Je m’engage à rester fidèle à sa personne et à son œuvre ».

Au printemps 1943, il se rapproche de « l’Organisation de Résistance de l’Armée » (ORA), et devient, pour l’histoire, le résistant Morland. Précisons que ce décoré de la Francisque a fait valider ses titres de Résistance en…1983, deux ans après son élection à la fonction suprême. Bizarre, non ?

 Le 28 octobre 1944, il épouse Danielle Gouze dont il va aussi épouser les idées de gauche. Ceci lui servira plus tard, car dans la France libérée, il faut afficher des opinions de gauche si l’on veut faire carrière en politique.  Or il a vite compris que la politique allait devenir la poule aux œufs d’or pour les aigrefins et les beaux parleurs, trop cossards pour vivre d’un véritable travail.

Le 6 juin 1946, il se présente aux législatives dans la 5ème circonscription de la Seine. Il prend une cuisante veste : 6 % des voix. Par la suite, il ambitionne de s’implanter en province. Le cagoulard Eugène Schueller le convainc de se présenter dans la Nièvre sous l’étiquette du « Rassemblement des Gauches Républicaines ». Pour sa campagne, il va bénéficier de financements du Marquis de Roualle, le patron du jambon Olida. Avec l’aide du clergé et des notables francs-maçons nivernais, il est élu, le 10 novembre 1946, député de la Nièvre. Arriver à se faire élire grâce à l’aristocratie, la calotte et les frères-maçons ; en matière d’union, ça  mérite un coup de chapeau, quoi qu’on pense de l’individu !  

Sa carrière politique commence. Il sera député de 1946 à 1958, puis sénateur de 1959 à 1962 et à nouveau député de 1962 à 1981. Il est onze fois ministre sous la IV° République.

En février 1956, il est nommé « Garde des Sceaux » dans le gouvernement Guy Mollet.

C’est lui qui est chargé de défendre le projet de loi remettant les pouvoirs spéciaux à l’Armée.

Il donne systématiquement son aval aux nombreuses sentences de mort prononcées par les tribunaux d’Alger contre des terroristes du FLN ou les militants du Parti Communiste Algérien,  dont Fernand Iveton, guillotiné à Alger le 11 février 1957. Sous son ministère, 45 militants algériens sont condamnés à mort. Voilà un Garde des Sceaux efficace et dont la main ne tremble pas! Mais c’est le même qui déclarera, en 1981, avoir toujours été hostile à la peine de mort. Etonnant  non ?

Dans la 3ème circonscription de la Nièvre, Mitterrand est battu aux législatives de 1958.  En mars 1959, il est élu maire de Château-Chinon (il le sera jusqu’à mai 1981) et, un mois plus tard, sénateur de la Nièvre. Il s’inscrit au groupe de la « Gauche démocratique ». Mais l’homme est très ambitieux et ne veut pas qu’on l’oublie: en octobre 1959, il organise, avec Robert Pesquet, un faux attentat contre sa personne dans les jardins de l’Observatoire. Après la levée de son immunité parlementaire, il est inculpé, le 9 décembre,  pour outrage à magistrat. Dans n’importe quel autre pays, sa carrière politique aurait été compromise, mais miraculeusement, la loi d’amnistie de 1966 met fin à une interminable procédure (4). Encore une énigme entourant sa carrière !

En 1964, il prend la tête de la Convention des Institutions Républicaines (CIR) et publie « Le Coup d’État permanent », un bon livre, bien écrit, qui renforce sa position d’opposant à De Gaulle.

En 1965, il est le candidat unique de la gauche à l’élection présidentielle. Il axe sa campagne sur le slogan: « Un président jeune pour une France moderne ». Il récolte 31,78 % des suffrages.  Au soir du second tour, il  est battu : 44,80 % des suffrages contre 55,20 % pour De Gaulle.

Le 28 mai 1968, il déclare :

« il convient de constater la vacance du pouvoir et d’organiser la succession. »

Ces propos sont tenus la veille de la fuite de De Gaulle à Baden-Baden. Les élections législatives de juin 1968 se soldent par un raz-de-marée gaulliste (293 sièges pour la seule UNR et 61 sièges aux Républicains Indépendants), mais Mitterrand sauve son siège de député.

Lors du congrès d’Épinay en 1971, la Convention des Institutions Républicaines se fond dans le Parti Socialiste (créé en 1969 en remplacement de la SFIO). Mitterrand est élu premier secrétaire du PS. En juin 1972, il signe le « Programme commun de gouvernement » avec le PCF de Marchais et le MRG(5) de Robert Fabre. Le 2 avril 1974, Pompidou meurt. Mitterrand est désigné comme le candidat unique de la gauche. Le 19 mai 1974, lors du second tour de l’élection présidentielle, il est encore battu (49,19% des voix) ; Giscard d’Estaing devient président de la République.  

En janvier 1981, il est à nouveau désigné comme le candidat du PS avec 83,64 % des voix.

Il adopte les « 110 propositions pour la France » comme programme, recyclant bon nombre de propositions du Programme commun de 1972. Au soir du 10 mai 1981, il est élu président de la République avec 51,76 % des suffrages exprimés. Ce score et le résultat d’une sordide magouille : dès 1980, un accord secret avait été trouvé, au domicile d’Édith Cresson, entre Mitterrand et Chirac. Ce dernier avait promis d’œuvrer pour que son électorat se porte au second tour sur le candidat du PS.

Plusieurs personnalités politiques, dont Édith Cresson, ont confirmé l’existence  de ce coup tordu.

La France élisait un ancien  « Camelot du Roi », décoré de la Francisque sous Vichy (N° 2202), impliqué dans le faux attentat de l’Observatoire ; celui que les médias surnommaient « Le Florentin » en référence à son art de l’esquive, illustré par des natifs de Florence dont Nicolas Machiavel. Un personnage ambitieux, rusé, madré, franc « comme un âne qui recule », prêt à toutes les intrigues et tous les coups bas pour arriver à ses fins. Sa longue marche vers le pouvoir avait réussi…

Ensuite, la France a connu 14 années délirantes: les nationalisations ; trois dévaluations ; les scandales « Urba-Graco » ; le « Carrefour du Développement » ; les faux certificats médicaux sur la prostate présidentielle ; la nomination de Bernard Tapie comme ministre « des vils » ; les suicides (ou assassinats ?) de Pierre Bérégovoy et de François de Grossouvre (qui préparait un livre sur lui) ; le décès assez étrange de son ami Patrick Pelat (mouillé dans l’affaire « Péchiney-Triangle »), et dont l’entreprise « Vibrachoc » avait été acheté par une Louis Aliot on X: "Dédicace à Cambadelis.le repas festif entre le PS Mitterrand et René Bousquet SG de la police sous Vichy #coucoucamba http://t.co/BQvaz4QUnn" / Xsociété d’État pour cinq fois sa valeur réelle ; le sabordage du « Rainbow Warrior »; le faux attentat des « Irlandais de Vincennes » ; la protection de René Bousquet.  Et que dire des frasques privées du monarque élyséen ? Sa maîtresse, Anne Pingeot et sa fille adultérine, Mazarine, logées (aux frais du contribuable) et gardées par les hommes de commandant Prouteau, devenu lui aussi mitterrandolâtre…/…

Son amie Françoise Sagan ramenée d’Amérique latine dans un avion du GLAM, victime… d’une overdose de cocaïne ; les écoutes téléphoniques de Jean-Edern Hallier, Carole Bouquet et tant d’autres. N’oublions pas non plus les subventions colossales allouées aux associations gauchistes de « Tatie Danielle », à son ami Guy Ligier, à « SOS-Racisme » ; le train de vie et les frasques africaines de son fils Jean-Christophe, surnommé « Papamadit » …etc…etc…

J’arrête là cet inventaire à la Prévert, une encyclopédie en 10 volumes n’y suffirait pas.

En fait, le règne de François Mitterrand se résume surtout en une augmentation de 250% de la dette française ; encore et toujours plus d’Europe avec les Accords de Schengen (1985) etPlantu - Illustrateur PLANTU Europe 1992 Francois Mitterrand fait ratifier le Traite de Maastricht le Traité de Maastricht (1992) ; une immigration massive et incontrôlée ; la régularisation de milliers de sans-papiers ; une montée en puissance des minorités, qu’elles soient religieuses, raciales (avec « SOS-Racisme ») ou sexuelles (encouragées et grassement financées par son ami, l’inverti Pierre Bergé)…

Et pourtant, je l’avoue, j’ai rêvé d’un Mitterrand de droite, mais qu’on me comprenne bien :

Je pensais à un personnage formé aux valeurs de droite, comme Mitterrand ; intellectuel non formaté par l’ENA (et sachant écrire en français) comme Mitterrand ; en capacité de  fédérer les français de divers milieux et diverses mouvances pour se faire élire, comme Mitterrand ; capable de laminer l’extrême-gauche comme Mitterrand l’a fait avec le Parti Communiste; prêt à chasser de l’audiovisuel public tous les charognards de gauche comme Mitterrand l’a fait, sans états d’âme, avec les journalistes de droite ; et qui, arrivé aux affaires, se comporterait  en monarque absolu, comme Mitterrand. Vous me direz qu’il n’y a pas, dans la mouvance nationaliste, patriote, conservatrice, souverainiste, des gens suffisamment machiavéliques, pourris, arrivistes, carriéristes, madrés, pour se comporter comme Mitterrand. Peut-être que nous manquons également de gens intelligents, de stratèges habiles et qui raisonnent en termes d’efficacité ?

Quand je vois les chicayas – totalement stériles –  entre Marine Le Pen, Eric Zemmour, Robert Ménardier, Nicolas Dupont-Geignant et quelques autres seconds couteaux, je me dis que l’union des droites n’est pas pour demain. Et ceci me ramène à la vraie vie ; j’arrête de rêver, dommage !   

Cédric de Valfrancisque

19/12/2023

1) SFIO : Section Française de l’Internationale Ouvrière, ancêtre du Parti Socialiste. 

2- Il y a quelques années, un hebdomadaire publiait une photo du jeune Mitterrand scandant « à bas les métèques » lors d’une manifestation en 1934 ou 35.

3) Ce qui fait dire aux mauvaises langues qu’il aurait échoué à son peloton d’élève-officier.

4) Robert Pesquet, qui se dit franc-maçon, affirme que Mitterrand l’était aussi. Ceci n’est pas avéré car à plusieurs reprises, Mitterrand a contesté le rôle néfaste de ceux qu’il surnommait les « frères la gratouille », mais venant d’un homme qui aura passé sa vie à se renier, on peut s’attendre à tout.

5) Mouvement des Radicaux de Gauche : une pépinière de Francs-maçons.

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7 Commentaires

  1. Il ne sera pas facile de dégotter à droite un individu aussi peu scrupuleux et aussi pourri que Mittoche. Il semblerait qu’une telle bassesse, une telle capacité de nuisance soit l’apanage de la gauche et comme elle est confrontée à  » la droite la plus bête du monde  » elle a encore de beaux jours devant elle.

  2. Moi je ne rêve plus depuis longtemps. Et encore moins depuis que j’ai pu me rendre compte récemment de visu de la félonie des hommes politiques d’aujourd’hui:à partir de commentaires d’ il y a une dizaine d’années à peine C’est lamentable:ils ont quasiment fait le contraire de ce qu’ils disaient..
    C’est sûr que les medias ne sont pas toujours ma tasse de thé mais quand on s’en sert bien c’est à dire longtemps aprés , comme le vin c’est nettement meilleur. Et vue avec des jumelles ,c’est différent sans être néammoins plus juste,c’est plus ,probant..On rêve donc quand on ne connait rien ou pas grand chose mais quelques années plus tard ,on rève beaucoup moins et surtout on ne se berce pas d’illusions.Dans ma salle d’attente ,d’ailleurs toutes mes revues ont plus de dix ans .Le nouvelles ne sont plus fraiches mais ça amuse..
    Merci pour ce descriptif peu élogieux de mitterand (je ne dis pas monsieur M) et vous êtes un des rares qui prononce le mot SFIO qui a eu comme représentant un certain LAVAL pourvoyeur des camps de concentration.et ensuite exécuté à la fin de la guerre.Si à ces chers socialistes on leur mettait plus souvent la SFIO et ses actions sous le nez ,peut être qu’ils fermeraient plus leurs gueules, ainsi, que la presse à propos de la dite extrême droite française .C’est dommage que jean marie LEPEN ait eu des propos plus que douteux à propos des camps de concentration car dans des commentaires du passé il voyait trés juste Hélas :En se sabordant ,il a sabordé aussi l’avenir de la france ou l’a mise dans une situation tres délicate aujourd’hui car on s’est servi de ces propos à des fins plus que malhonnêtes .Cependant je me rends compte que beaucoup plus de gens réalisant le danger à venir commencent à se serrer les coudes et moins se fuir.En fait ça me rapproche de ce que vit en ce moment mr DEPARDIEU qu’on salit de façon injuste en le faisant passer presque comme le forcéné violeur de rue et de plus un proverbe me dit « qui ne dit mot consent  » et dans ce milieu je ne pense pas qu’une femme suffisamment censée et même parfois innocente prendrait la liberté d’une deuxième fois si la « chose » lui avait déplue :Ou alors aujourd’hui lorsqu’on veut faire des avances à une femme ,il faut y aller avec un avocat.Evitons les journalistes car il trouveraient le moyen suggestif à l’interprétation malsaine.En fait aujourd’hui ,toutes les choses mais vraiment toutes ont un lien : l’interprétation diabolique et c’est une époque diabolique

  3. N’ayez aucun doute ! Imaginez un(e) Mitterrand de droite élu(e) avec une majorité confortable (on peut rêver) et toute la gauche se mobilisera. La guerre civile ce sera elle car elle ne supportera pas de perdre ses « privilèges » droits de l’hommesque vrais ou supposés. Alors en toute hypothèse il nous faudra un ou une personnalité de droite au moins du calibre d’un César ou d’un Bonaparte sinon rien ne chagera et la France déjà mal partie ira à se perte totale !

    • @ Allobroge ;
      La France est atteinte de deux maladies tenaces et concomitantes dont en premier « la gauche » qui s’est substituée à l’ Église Catholique qui avait toujours occupé le terrain des œuvres charitables, dont hospitalières médicales, et promu le syndicalisme ouvrier chrétien, bien avant l’ensemble des mouvements politiques révolutionnaires. Lors du désastre de Sedan et suite à l’abdication d’un Napoléon III qui était déjà un grand malade rénal avant même l’ouverture des hostilités avec les Prussiens, s’éteignit de fait quelques mois plus tard sur le sol Britannique où il avait alors dû s’expatrier avec l’Impératrice Eugénie.
      En seconde maladie, le cancer indigéniste de peuplades ethniquement et culturellement attardées à cause de religions et croyances encore dignes des hommes des cavernes ou de forêts vierges, et les islamiques inspirées d’une pâle et mauvaise copie de la Bible soit-disant révélée par l’ Éternel à un chamelier ambitieux, cruel et illettré, dont l’existence « du supposé prêche  » vient de commencer d’être reconnu comme très probablement une escroquerie historique d’ordre religieux selon plusieurs archéologues qui n’ont  » pas froid aux yeux » et accumulent indices concordants qui au fur et à mesure déboulonnent le Coran, ce qui chatouille et ne peut que donner urticaire à bien des imams !
      En espérant que ces quelques précisions pourront, cher compatriote Allobroge, compléter, alimenter votre réflexion…

  4. J’en pense que Mitterrand s’est fait bien des émules au sein des prétendants aux postes menant aux hautes prises de responsabilités au sein de la République française ; sorte de Machiavel mâtiné Talleyrand du 20ème siècle, parangon des nombreux hommes politiques pour lesquels il est nécessaire de ne pas hésiter à jeter pardessus tribord ou bâbord leur honneur, à chaque fois que le navire est secoué par l’ouragan des circonstances impérieuses…
    Répugnant ; Napoléon l’aurait défini : « de la merde dans un bas de soie ! «