« Il nous appartient de veiller tous ensemble à ce que notre société reste une société dont nous soyons fiers : pas cette société des sans-papiers, des expulsions, et des soupçons à l’égard des immigrés… »
(Stéphane Hessel, « Indignez-vous ! »).
Les gens de gauche sont souvent des donneurs de leçons, moralisateurs, pétris de certitudes humanistes, mais ils mettent rarement leurs actions, leur comportement, en concordance avec leurs affirmations péremptoires. L’un de leurs maîtres à penser, Jean-Jacques Rousseau, a commis un pavé indigeste – « Emile » – sur l’éducation des enfants, et a confié ses cinq gosses à l’équivalent de l’Assistance Publique (1).
« Faites ce que je dis, pas ce que je fais ! »,
doit être un dicton socialiste ou gauchiste ; ces gens-là n’ont aucune morale, aucune pudeur et ne craignent même pas le ridicule.
La citation en tête de mon article d’aujourd’hui émane de feu Stéphane Hessel, cette vieille crécelle mitterrandolâtre qui était l’archétype de ces insupportables donneurs de leçons.
Résistant, ancien déporté, belle conscience de gauche et européiste forcené, ami de Mendès- France et de Michel Rocard, Stéphane Hessel est connu du grand public pour ses prises de position concernant les droits de l’homme, la question des « sans-papiers », le conflit israélo-palestinien, ainsi que pour son opuscule « Indignez-vous ! », paru en 2010, dont je vous dirai un mot plus tard.
Pour vous brosser un portrait rapide du personnage, citons quelques bribes de son parcours.
Il est cofondateur de l’association « France-Algérie » créée en 1963 et créateur du « Guide du coopérant français en Algérie », brochure de conseils pour les jeunes du contingent effectuant leur Service National dans le cadre de la coopération en Algérie juste après la guerre.
Le titre de cet ouvrage devrait être « Manuel du collabo honteux de la colonisation ».
En mai 1975, sa connaissance supposée de l’Afrique fait qu’il est choisi comme négociateur dans l’affaire Claustre. Peu au fait des mécanismes africains, il va accumuler les erreurs et sa mission sera un échec cuisant. Il deviendra « persona non grata » dans la coopération africaine, notamment au Tchad. En 1976, il travaille à l’ « Office national pour la promotion culturelle des immigrés », chargé de promouvoir les cultures de l’immigration, en collaboration avec les pays d’origine.
En 1977, Giscard le nomme ambassadeur auprès de l’ONU à Genève, ce qui est sa première et seule ambassade. Pourtant tous les articles parlant de lui le présentent comme ancien ambassadeur.
Il est vrai qu’à peine arrivé au pouvoir, en 1981, François Mitterrand (que Stéphane Hessel a connu dans le cabinet Mendès-France) l’élève à la dignité honorifique d’« Ambassadeur de France ».
Puis Mermaz le choisit, en août 1982, pour être un des neuf membres de la « Haute Autorité de la Communication Audiovisuelle », organisme qui allait nous imposer une information de gauche.
En 1988, Stoléru exhibe le rapport d’un collectif sur l’immigration, que Stéphane Hessel avait présidé quelques années plus tôt, et dont il avait choisi le titre : « Immigration : le devoir d’insertion ».
En 1990, son ami Michel Rocard le nomme au « Haut Conseil à l’Intégration », poste qu’il occupe jusqu’en 1993. En 1996, il est choisi comme médiateur dans l’affaire des « sans-papiers » des églises Saint-Ambroise puis Saint-Bernard. Médiation qui sera encore un fiasco, mais Stéphane Hessel est de tous les combats en faveur de l’invasion migratoire.
Européiste compulsif, il pense que la France ne peut exister qu’à l’intérieur d’une fédération européenne. En 2004, il soutient la pétition « Pour un traité de l’Europe sociale », de Larrouturou. Le 15 mars 2009, lors de la convention d’« Europe Écologie », à la Villette, aux côtés de Cohn-Bendit et de José Bové, il affiche son soutien aux listes « Europe Écologie » pour les élections européennes du 7 juin 2009. Immigrationiste, européiste et écolo, ce type coche toutes les cases !
Bien sûr, il soutient la candidature de François Hollande à l’élection présidentielle de 2012.
Sa biographie nous le décrit comme « Issu lui-même de l’immigration », ce qui n’est pas faux, (il est juif allemand, fils de banquier, passé par « l’École Alsacienne », comme tant de caciques de la « gauche-caviar »), ce qui expliquerait son attachement aux droits de l’immigré.
Pour lui, l’immigration est « une richesse pour la France ». Il souhaite favoriser, valoriser et amplifier l’immigration officielle. Il est, entre autres, favorable au droit de vote des étrangers non-européens aux élections municipales.
Il est aussi pro-palestiniens. Le 5 janvier 2009, il déclare à propos de l’offensive israélienne dans la bande de Gaza :
«…Le mot qui s’applique est celui de crime de guerre et même de crime contre l’humanité… Ayant été à Gaza, ayant vu les camps de réfugiés avec des milliers d’enfants, la façon dont ils sont bombardés m’apparaît comme un véritable crime contre l’humanité ». ».
En 2009, il cite Israël dans une liste d’États « tyranniques », comme la Chine, la Russie ou l’Iran.
Fin 2009, il crée une polémique en déclarant : « Si je peux oser une comparaison audacieuse sur un sujet qui me touche (2), j’affirme ceci : l’occupation allemande était, si on la compare avec l’occupation actuelle de la Palestine par les Israéliens, une occupation relativement inoffensive, abstraction faite d’éléments d’exception comme les incarcérations, les internements et les exécutions, ainsi que le vol d’œuvres d’art… ». Vivement critiqué et attaqué par la diaspora juive, il s’empressera de rétropédaler en prétendant qu’on l’a mal compris.
En 2010, Stéphane Hessel fait à nouveau parler de lui en publiant un ridicule opuscule de 32 pages intitulé « Indignez-vous ! ». C’est une accumulation de lieux communs politiquement corrects. Il encourage les jeunes générations à conserver un pouvoir d’indignation. Il dénonce le système économique fondé sur le profit individuel et propose un partage des richesses plus équitable. Il consacre également une partie du fascicule au conflit israélo-palestinien, et prône « l’insurrection pacifique et l’espérance ». Ce petit livre niaiseux, lénifiant et mal écrit sera une magnifique opération de markéting ; il sera vendu à plus de 4 millions d’exemplaires dans une centaine de pays.
Mais « Indignez-vous ! » suscite aussi des oppositions. Pierre Assouline, par exemple, écrit :
«…Mettre ainsi sur une même ligne morale la situation des sans-papiers, la dérégulation du capitalisme et les crimes du totalitarisme national-socialiste devrait nous…indigner ».
Le jour du décès de Stéphane Hessel (27 février 2013), Richard Prasquier, président du CRIF, se disait
« effaré par le succès de son fascicule d’une indigenteindignation ».
Il considérait que Stéphane Hessel était …
« avant tout un maître à ne pas penser… Et que sa mise au pavois, malgré ses accommodements avec la vérité historique et sa faiblesse argumentative, en dit beaucoup sur le désarroi intellectuel de notre société et sur le rôle aberrant qu’y joue le marketing des individus qu’on transforme à bas prix en luminaires idéologiques… ».
C’est clair, net et bien envoyé !
Pour une fois – une fois n’est pas coutume – je suis en total accord avec le CRIF.
Aujourd’hui encore, dans certains collèges et lycées, on cite Hessel, chantre de l’immigration qui, c’est bien connu, est tantôt une chance, tantôt une richesse pour la France.
Comme ce n’est absolument pas mon point de vue, qu’on me permette de citer quelques exemples pour (tenter de) démontrer que l’immigration n’est pas toujours un enrichissement pour notre pays, c’est souvent l’inverse. Cette liste n’est, bien sûr, pas exhaustive.
De fin 1985 à septembre 1986, des attaques à la bombe sont perpétrées à Paris et sur la ligne ferroviaire Paris-Lyon – 14 au total – 13 personnes y perdent la vie et 300 autres sont blessées. Ces attentats sont organisés par Fouad Ali Saleh. Ce dernier est né le 10 mai 1958, à Paris, de parents tunisiens, c’est donc un Français par le « Jus Solis » qui ne se prénomme pas « Kévin » ou « Mattéo ».
En 1994 et 1996, le « Groupe Islamique Armé » algérien, va perpétrer 11 attaques sur le sol français : 12 personnes sont tuées et plus de 300 autres sont blessées. L’un des tueurs, Khaled Kelkal, est un Algérien arrivé à Vénissieux, dans le Rhône, dans le cadre du « regroupement familial ».
Il est inutile de rappeler, ici, les émeutes de 2005, les tueries de Mohamed Merah en 2012, « Charlie-Hebdo » en 2015, le Bataclan, Magnanville, le père Hamel, l’attentat de Nice, la mort du colonel Beltrame en 2018, la décapitation de Samuel Paty en 2020, l’assassinat de Dominique Bernard en octobre 2023, puis Crépol où une razzia menée par des « jeunes Français » a occasionné la mort de Thomas. La litanie des morts imputables à l’immigration afro-maghrébine serait beaucoup trop longue ! Et je ne trouve pas un seul tueur prénommé « Kevin » ou « Mattéo ».
Depuis plusieurs années, chaque semaine ou presque, un homme, une femme, un enfant, meurent sous le couteau d’un étranger « fiché S » ou sous OQTF, voire les deux.
Les statistiques ethniques sont interdites en France. Elles permettraient pourtant de prouver, de démonter, qui est fauteur de troubles et de délinquance sur notre territoire.
Récemment, le service « Police-Justice » de la chaîne CNews a réalisé une enquête basée sur des données officielles du ministère de l’Intérieur. Le résultat est assez édifiant. Sur l’ensemble de la population française, 8% sont des personnes étrangères, selon les chiffres officiels du gouvernement.
Or, lors des vols avec violences sans arme, 35% des mis en cause sont des étrangers (et 36% d’entre eux sont des mineurs). 30% d’entre eux viennent d’Afrique. Pour les cambriolages, 41% des auteurs sont étrangers. Pour les vols sans violence, le pays compte 64.784 mis en cause. Parmi eux, 33% sont des étrangers (dont 25% sont mineurs). En grande majorité, les individus concernés par des vols sans violence viennent d’Afrique (23%). Pour les vols de véhicules (ou liés aux véhicules), on dénombre 31.243 mis en cause. 34% sont des étrangers (dont 24% de mineurs). Au total, 24% des individus mis en cause sont africains. Ces chiffres sont des estimations basées sur le nombre de plaintes déposées, or beaucoup de victimes ne portent pas plainte, sachant pertinemment que ça ne servira à rien.
Ajoutons que les Français issus de la « diversité » sont deux à trois fois plus nombreux que les étrangers et ils occupent en gros le même pourcentage qu’eux dans les prisons. Pourtant, à chaque manifestation violente, le pouvoir nous annonce que les vandales et les fauteurs de troubles sont des Français mais, n’en déplaise à Dard-malin, ils se prénomment rarement « Kévin » et « Mattéo ».
Je tiens d’une source fiable (3) que les accidents corporels graves, commis soit par des gens sans permis de conduire, soit sous l’emprise de stupéfiants, voire les deux, sont majoritairement le fait d’allogènes, mais ça non plus il ne faut pas le dire. Le simple fait d’en parler peut vous conduire devant les tribunaux pour « incitation à la haine raciale (ou religieuse) ».
Dans le passé, nous avons eu besoin d’une immigration de travail européenne. Les Italiens, les Espagnols, les Portugais, les Polonais se sont parfaitement intégrés dans notre pays. Ils ont été un enrichissement pour la France, c’est indéniable ! On peut d’ailleurs en dire autant des Vietnamiens et Cambodgiens chassés de leur pays par la « terreur rouge ». Mais nos problèmes d’intégration sont arrivés avec l’islam, qui entend nous imposer ses lois et ses coutumes basées sur la Charia ; et avec une immigration d’Afrique Noire qui, quand elle n’est pas musulmane, rêve de revanche, véhicule la haine du Blanc et prétend nous faire payer notre passé colonial (et esclavagiste). Il n’est pas question de mettre tous les Africains et les Maghrébins (4) dans le même panier, mais il faut arrêter cette immigration de peuplement, invasive, agressive, et qui déteste la France.
Les parlementaires viennent de voter une…30ème loi sur l’immigration. Les Républicains sont contents d’eux, le RN jubile, et seul Eric Zemmour a compris le danger quand il écrit :
« Que savons-nous sur cette loi ? Qu’elle ne supprime pas le droit du sol. Elle ne supprime ni le regroupement familial, ni l’immigration familiale. Elle ne supprime pas l’AME, ni les prestations sociales pour les étrangers…Elle ne permet pas l’expulsion des délinquants, criminels et fichés S double-nationaux. Elle ne concernera aucun Algérien, puisque les ressortissants de ce pays bénéficient toujours des privilèges migratoires de l’accord de 1968. Elle continuera donc de laisser entrer, chaque année, 100 000 étudiants étrangers, 150 000 demandeurs d’asile et 100 000 personnes venues au titre de l’immigration familiale. Derrière les cris de victoire, dès l’année qui vient, 500.000 nouveaux étrangers pourront donc encore débarquer sur le sol français avec la bénédiction de cette « loi immigration »… »
Dès hier soir, l’avorton présidentiel annonçait qu’il allait saisir le Conseil Constitutionnel.
Cette loi mal ficelée, fadasse et floue, a de fortes chances d’être retoquée !
Et nous apprenons par « Le Monde » d’avant-hier que :
« L’Union Européenne a débloqué une aide financière de 150 millions d’euros. Cette aide avait été convenue lors de la signature d’un accord de principe le 16 juillet à Tunis pour un nouveau « partenariat » entre l’UE et le pays nord-africain… L’État tunisien, qui consacre une bonne partie de ses ressources à rembourser un endettement d’environ 80 % de son PIB, a besoin de liquidités pour l’achat de produits subventionnés comme le lait, la farine, le riz et l’huile ménagère qui connaissent des pénuries chroniques… »
Début octobre, un différend avait opposé Bruxelles à Tunis qui avait restitué à l’UE une aide de 60 millions d’euros. Le président tunisien, Kaïs Saïed, avait dit rejeter la « charité » en dénonçant une « atteinte à la dignité » de son pays. Donnons-leur NOTRE argent, mais c’est eux qui fixeront le montant du don. On croit rêver, mais non, hélas, on ne rêve pas !
Le problème de l’immigration et de nos relations avec nos anciennes colonies ou protectorats concerne le peuple français. Et je suis convaincu qu’un référendum sur ce sujet épineux contredirait les inepties de Bernard Stasi, de Stéphane Hessel et d’autres « humanistes » du même acabit.
Il pourrait aussi retarder ou contrecarrer les visées de Macron et d’Ursula Von der La Hyène en faveur du « remplacement de population ».
D’où j’en déduis qu’il n’y aura JAMAIS de référendum sur ce sujet brulant !
Éric de Verdelhan
23 décembre 2023
1) L’institution des « Enfants trouvés ».
2) Il est ancien déporté à Buchenwald.
3) J’ai gardé quelques relations dans mon ancien métier d’inspecteur d’assurances.
4) Pas plus que tous les Tchétchènes, les Afghans, les Roms…etc…etc…
Une ‘tite enquête sur l’islamisation s’impose !
Cadre FN, n°1 de la viande ahal en Picardie dans les 95’s 2000, qui suis-je ? Devenu persiflan de la région Picaaardie, ce même cadre FN expliquait (vidéo) sans rire combattre, je cite, » combattre le communautarisme ». C’est votre pote ce type ?
Et c’est ainsi que l’effacement de la France se partageait entre collabos : l’umps job logements et soins, et le FN, le repas.
Devinons quel parti raffla le marché ahal dans l’armée sous chierac…
Quel crétin a-t-il jamais pu penser que l’immigration serait une chance pour la France ? Quand les Pieds Noirs ont quitté l’Algéri, le pays était prospère ! avez-vous vu des images de ce qu’il est devenu ? ET nos gouvernants continuent d’accueillir des migrants qui ne travailleront jamais et qui ont la haine de la France ancrée en eux …… REVEILLEZ-VOUS Français : les lous sont entrés dans la bergerie …..
Encore un super article où toute la vérité est exprimée .Quand « MICRON » se décidera t’il à voir l’état de la France en face❓Décidément il ne comprend rien. Devons-nous le supporter encore pius de…. Je n’ose y croire .
Mais le jour viendra où nous en serons débarrassé
Que 2024 voit mon rêve se réaliser
Vous le dites vous-même, vous rêvez.
Macon connaît parfaitenent l’état de la France. Voici bientôt 7 ans qu’il s’applique à la démolir, à la laisser envahir.
À mon avis, seul un coup d’éclat pourra nous libérer car d’ici à 2027, lui et Ursula auront bien avancé en besogne.
Nous ne sortirons jamais de cette fange dans laquelle nous nous sommes englués…j’ai déjà dit que 68 a été le début de la décadence, les soixante-huitards, gauchistes, camés, soumis aux arabos musulmans ( violents eux!) ont hélas transmis leur idéologie à leurs descendants , ce qui fait que les jeunes d’aujourd’hui vivent au contact de la racaille qui les dominent et leur imposent leur idéologie, et ce ne sont pas leurs ainés qui les secoueront ! il y a des jeunes bien, courageux, mais hélas ils sont trop peu nombreux, et vite muselés, arrêtés, condamnés par Moussa Darmanine…je tiens à préciser que je suis de la génération 68 , donc un témoin qui a vécu et subit cette décadence, et en colère lorsque j’entends des anciens soixante-huitards se vanter devant les jeunes générations d’être des anciens résistants-révolutionnaires qui ont « fait bouger les choses »…ça oui! mais pas comme ils veulent le faire croire!!!
Excellente analyse. La partie que je préfère est le résumé biographique du vieux dinosaure de la nomenklatura intellectuelle gauchiste (double pléonasme), dont les discours et les écrits ont si largement contribué, depuis des décennies, à la destruction de la France. Même mort, il continue son travail de sape, comme Oswald Baudot dans le système judiciaire abusivement dénommé « justice ».
Et sortons de L’EUROPE.
Nous sommes un pays musulman français réveiller vous.le dictateur de l Elysées a transformé la France en pays musulmans notre religion catholique est remplacé par la religion musulmane nous ne sommes pas défendu par Macron.la France est devenue la sœur du Liban.Sortons le de l Elysées après ça sera trop tard
Excellente comparaison
Bien après avoir quitté la place Beauvau, Michel Poniatowski dénonçait la prolifération des mosquées en déplorant que la construction de chacune d’entre elles contribuait à la « libanisation » de la France. Qu’en pense-t-il aujourd’hui de là où il est ?
Un politicien dit qu’il n’est pas la pour le bonheur des gens :c’est la réponse d’un homme politique mais il fait en quelque sorte un certificat de complaisance pour un homme venant d’un autre pays qui n’assume pas ses responsabilités envers ses citoyens ou qui peut être agit dans une intention peu louable. comme le cheval de troie.
UN medecin agit pouir le soulagement des hommes mais réalise qu’il se met en danger et met parfois en danger celui à qui il fait un certificat de COMPLAISANCE.De la même façon l’homme politique face aux immigrés fait une sorte de certificat de complaisance mais lui n’a pas encore réalisé qu’en faisant à outrance des certificats de complaisance il se met en danger et met indirectement l’immigré en danger en l’encourageant quelque part à commettre peut être l’irréparable et que par consequent il s’agit aussi d’un delit..pire que la non assistance à personne en danger.car il est multiplié.
D’ailleurs on retorquera souvent face a la situation des immigrés qu’il y a non assistance à personne en danger ou qui se met en danger mais dans la dernière hypothèse, il n’y a de devoir :que de celui qui est réclamé pour porter secours à la personne qui se met en danger.
Quand une equipe de cascadeurs ou de motocyclistes savent qu’ils vont se mettre en danger , il appêlent une equipe de secouristes mais c’est payant .Et d’ailleurs la compétition est annulée s’il n’y a pas d’équipe de secouristes. Mais la france qui porte secours aux ( immigres de plein gré),c’est elle qui paye la note et de plus nous n’avons pas le respect et nous ne l’aurons jamais. : C’est trés paradoxal tout de même: Il n’y a qu’en france qu’on voit ça.
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Personnellement je ne suis pas contre l’immigration dans l’absolu et heureusement mais actuellement dans notre cher pays:,ELLe est surabondante ,côuteuse ,pollueuse de principes et de doutes sociétaux ,destabilisante ,stérile dangereuse et répond à de fausses nécessites..Je suis favorable à une immigration controlée comme si moi même étais un immigré, ce qui dans une situation identique 30 ou 40 ans auparavant m’aurait conduit à émigrer au canada du fait déja qu’on l’avait proposé.J’accepterai de principe le controle et l’obligation de travail pour pouvoir bénéficier d’un soutien quelconque.alors que dans beaucoup de peys ,elle est limitée dans le temps dans un premier acces,et demande des preuves ou un motif valable pour un deuxième sejour..La france qui est la terre dite des « droits de l’homme » devrait être simultanément la terre des devoirs.mais je ne parle pas seulement des devoirs administratifs qui pour l’autochtone sont « parfois ou souvent insupportables »
On s’étonne que les têtes s’en aillent mais je les comprends.aujourd’hui.On a envie de foutre le camp.
Sujet brulant qui reveille des conflits de générations notamment avec les quarantenaires qui malgré les faits restent souvent indifférents ou imperméables au problême : Comme il s’agit de votants ou pas (car ils oublient parfois de voter,ça pose problême