DÉCADENCE, DÉGÉNÉRESCENCE, DÉLITEMENT ? (Cédric de Valfrancisque)

 

 

À la lecture d’un mail récent d’un ami, je ne peux m’empêcher de penser à Mère Térésa qui disait :

« La perte d’une certaine pudeur comme la perte de la pureté sont les causes profondes de la décadence du monde. ».

Je suis bien incapable de vous dire si nous devons notre décadence à la dégénérescence de l’Occident ou si c’est l’inverse; c’est un peu la même interrogation que pour le premier œuf ou la première poule. Mais peu importe, une chose est certaine : Le délitement de notre nation est indéniable et nous savons à qui nous le devons car, pour avancer vers une gouvernance mondiale, il faut préalablement tuer les nations. Quand Emmanuel Macron et presque tous les partis politiques ont affiché leur volonté d’inscrire le droit – qu’ils veulent inaliénable –  à l’IVG dans notre Constitution, j’ai rappelé le but, la raison d’être, d’une Constitution :

« C’est la volonté d’un peuple de s’ériger en nation ».

En conséquence, je ne vois pas en quoi le droit à l’avortement acte la naissance d’une nation, surtout en tuant ses enfants à naître ? Le gros Gérard Larcher, président du Sénat, vient de déclarer à France info : «Je pense que la Constitution n’est pas un catalogue de droits sociaux et sociétaux». Pour une fois, je suis entièrement d’accord avec lui. De surcroit, la France est née à Noël 496, après la bataille de Tolbiac, avec le baptême de Clovis (1). Nous ne sommes pas une jeune nation qui se cherche mais un vieux peuple qui a une longue histoire.

L’ami dont j’ai parlé en préambule m’écrivait :

« Tu t’es souvent indigné de trop de présence de Noirs ou d’Arabes dans les films ou la publicité, mais tu ne dis rien sur le lobby homosexuel qui occupe tout l’espace médiatique. Que faut-il en penser ? ».

Que répondre à ça ? Plusieurs choses que je vais détailler car je ne veux pas être taxé de racisme, de xénophobie ou d’homophobie.

Mon indignation devant toutes ces publicités où on ne voit plus que des basanés n’a rien de raciste. Je suis tout simplement pour l’égalité : les gens de couleurs représentent environ 10% de la population de notre pays, donc je trouve totalement anormal que la publicité ne présente quasiment plus de « mâles blancs » et que, quand on y voit une femme – la blonde de service – elle soit toujours en couple avec un Noir (ou avec une autre femme, si possible de couleur). Et, il en va de même pour l’importance prise par les LGBT+++ car, si j’en crois ce que je lis, ils (ou elles ?) représentent moins de 9% des Français. Que ça plaise ou non à ces gens-là, le couple hétérosexuel est encore majoritaire dans le pays. Pour combien de temps ? Là est la question car on a l’impression que tout est fait pour critiquer, dénigrer, stigmatiser, détruire la famille traditionnelle au profit des rapports entre gens du même sexe (ou d’un sexe « mutant » ou indéfini); et quand on nous parle de couples traditionnels, ils font la une de la presse people pour leurs frasques amoureuses. Souvenez-vous de Nicolas Sarkozy et Cécilia, puis du même Sarko déballant ses amours avec Carla à laquelle les plumitifs attribuaient…32 amants connus. La nouvelle « première dame » n’était pas une première main.Ensuite nous avons eu droit aux virées nocturnes de François Hollande, ce porcelet sudoripare et priapique, allant honorer une gourgandine du showbiz, en scooter piloté par un Garde Républicain. Sa régulière – avec laquelle il n’était pas marié – se croyait obligée de balancer ça dans un livre. Imagine-t-on ce genre de déballage indécent de la part de madame Coty, celle qu’une presse vacharde surnommait « madame sans gaine » (2) ? Imagine-t-on ça de « Tante Yvonne », de Claude Pompidou, de la pimbêche coincée Anémone Giscard ? Même « Tatie Danièle » Mitterrand  se faisait discrète sur les aventures – fort nombreuses – de son coureur de mari. Même chose pour Bernadette Chirac dont le grand benêt d’époux tirait (plus vite que son ombre nous dit-on (3)) sur tout ce qui portait jupon.

Puis on nous a vendu le couple Macron. La sémillante prof de français (et de théâtre) qui avait déniaisé le jeune Emmanuel quand il avait 16 ans. Elle avait 25 ou 30 ans de plus que lui. Le jeune puceau n’a pas été obligé, comme tout bon fils de famille, d’attendre son service militaire pour aller au bordel. Une telle histoire aurait déclenché un scandale dans un pays normal, mais pas chez nous.

La presse pour shampouineuses s’est prise d’affection pour Brigitte Macron – que certains sites complotistes appelaient « Jean-Brichel », allez savoir pourquoi ? – qui a eu les honneurs de…58 unes de magazine avant et après l’élection du galopin qui lui servait de mari.

Chaque semaine, les journaux nous imposaient son sourire béat de « Barbie » satisfaite, son faciès ravagé (mais ravalé), sa coiffure de cocker, ses gambettes de sauterelles, ses jupes trop courtes, ses airs de vieille gamine qui semblait se croire encore à l’époque « Yéyé ». Pour la presse, elle était à Emmanuel ce que la Sainte Trinité est au Catholique; une en trois personnes : à la fois son épouse, sa maîtresse et sa mère. C’est elle qui lui avait appris à parler français « et en même temps » à jouer la comédie or, soyons honnête, c’est la seule chose qu’il fait  à peu près correctement.

Mais ceux qui, comme mon ami, s’étonnent de la place prise par les invertis dans l’entourage du couple présidentiel me font penser à la tirade du maréchal Pétain en juin 1941 (4) « Français, vous avez la mémoire courte ! » car Macron annonçait la couleur dès le début de son règne calamiteux.

Souvenez-vous, en effet, du 22 juin 2019, jour de la « Fête de la musique ». Ce jour là,  nous le vîmes arriver main dans la main avec Elton John auquel il venait de décerner la Légion d’Honneur.

On peut m’objecter qu’octroyer la Légion d’Honneur aux saltimbanques du showbiz est une coutume républicaine (que je trouve parfaitement détestable). Hollande a bien octroyé la Légion d’Honneur à Mimie Mathy. « Personne à croissance réduite », qui vote à gauche et le fait savoir, elle devait sa décoration à un nain gras (lequel, en l’occurrence, n’était pas un ingrat).

Mais Elton John, non content d’être un citoyen de la « perfide Albion », est un pédéraste assumé et qui s’affiche. Certes, il est incontestable que le jeune Emmanuel affectionne et adule « la jaquette flottante ». Certains journaleux lui prêtaient une aventure avec Mathieu Gallet. D’autres  pensaient que Benalla était son giron. On se souvient aussi qu’il se trémoussait au milieu d’invertis négroïdes en bas-résilles  lors de la fête de la musique 2018. Est-il réellement attiré par les sodomites ou est-ce un calcul machiavélique pour glaner  les votes du lobby LGBT+++ ? Peu importe après tout !

Mais pourquoi décorer Elton John, citoyen britannique, de la Légion d’Honneur ?

Je rappelle, juste pour mémoire, que l’ordre de la Légion d’Honneur a été Institué le 19 mai 1802 par Napoléon Bonaparte. « La Rouge » récompense, depuis sa création, les militaires comme les civils ayant rendu des « services éminents » à la nation.

Quels sont les « services éminents » que la France doit à Elton John ?

Sa biographie nous apprend que, non content d’avoir été longtemps drogué et alcoolique, il aurait « trouvé son équilibre » avec un cinéaste canadien auquel il s’unit à Windsor le 21 décembre 2005 ( jour où la loi britannique sur le Civil Partnership – le PACS anglais – entrait en vigueur).

Après 16 ans de vie commune, le couple a émis le souhait d’avoir un enfant (né en décembre 2010). Deux ans après, le couple annonçait que la mère porteuse de leur premier enfant était de nouveau enceinte. Le couple avait en effet confié quelques mois plus tôt à un canard people  son « refus de voir leur fils grandir seul ». Ils sont les parents d’un deuxième garçon, né en janvier 2013.

Si la pédérastie est devenue légale (elle est même fortement encouragée(5)), si l’alcoolisme est excusable et parfaitement compréhensible, que je sache, l’usage de stupéfiants et la GPA sont  (encore) interdits et ce, au Royaume-Uni comme en France. Vous me direz qu’Elton John soutient financièrement la lutte contre le SIDA. Cette maladie terrible frappe prioritairement les invertis, donc il ne fait jamais que mettre une (infime) partie de son (immense) fortune dans la protection de ses semblables.  Sa générosité  ne justifie en rien l’attribution de la Légion d’Honneur.

Je ne suis pas particulièrement bégueule mais, en voyant Macron main dans la main avec Elton John, j’ai eu honte pour mon pays, et j’ai pensé à l’envolée de François Fillon durant la primaire de la droite (molle) et du centre (flou). En effet, « Peut-on imaginer De Gaulle la mano en la mano avec jean Cocteau ? », « Peut-on imaginer Georges Pompidou, main dans la main avec Jean-Louis Bory ? », « Peut-on imaginer Giscard, le Verchuren de Chamalières, main dans la main avec Jacques Chazot ? »…C’est tout simplement impensable !

Dans le passé, on a bien vu François Mitterrand, main dans la main avec Helmut Kohl mais il s’agissait simplement de sceller la réconciliation franco-allemande.

Un président socialiste, décoré de la Francisque gallique (N° 2202), venait parachever la politique de collaboration, totale et entière, avec l’Allemagne souhaitée quelques années plus tôt par le socialiste Pierre Laval. Il n’y avait rien d’ambigu, de vulgaire, dans la photo du petit François Mitterrand donnant la main au gros Helmut Kohl: le rapport de force entre les deux  était dans l’image. De plus, Mitterrand était connu pour tirer sur tout ce qui bouge (6).

J’ai eu également une pensée pour Brigitte car franchement, entre Elton John et elle, il n’y a quand même pas photo ! Du moins pour un individu normalement constitué, mais Emmanuel est-il normalement constitué ?  C’est une question à laquelle je me garderai bien de répondre.

Contentons nous de la sagesse Georges Brassens dans sa chanson «  le gorille » :

« Qu’une alternative pareille/ Un de ces quatre jours, m’échoie,
C’est, j’en suis convaincu, la vieille/ Qui sera l’objet de mon choix… ».

Ma conclusion sera un appel aux pessimistes et aux grincheux qui pensent que tout est foutu, juste pour leur demander d’arrêter de dire que « la France perd les pédales ». La formulation est de mauvais goût et pourrait leur valoir des démêlés avec la justice. En France on a le droit de se moquer, de critiquer, de stigmatiser, les « males blancs » hétérosexuels, les blondes et les Catholiques.

Certains trouvent qu’il y a beaucoup d’antiphysiques au sein même du gouvernement. C’est un fait mais ces gens sont là pour aider Emmanuel Macron, or il est bien connu que dans la vie, selon l’adage populaire, « on n’est jamais trop aidé ».

Cédric de Valfrancisque

24/01/2024

1) Selon les historiens, cette conversion se situerait plutôt en 498 ou 499 ; certains penchent pour une conversion plus tardive, en 505 voire 508.

2) Le président René Coty avait répondu en souriant « sans gaine et sans scandale ».

3) Ses maîtresses le surnommaient « 5 minutes, douche comprise ».

4) Le vieux maréchal faisait allusion à son discours émouvant du 17 juin 1940 ou il faisait « don de sa personne » et demandait un armistice. Ce fut un immense soulagement dans la population.  

5) De nos jours, c’est le « mâle blanc » hétérosexuel  qu’on stigmatise et qui passe pour anormal.

6) Ses amours  avec Anne Pingeot (et sa fille Mazarine élevée aux frais du contribuable) ne sont que la face connue du personnage. On pourrait citer, entre autres, Catherine Langeais, Dalida, Elisabeth Tessier, Edith Cresson  etc…etc…