« MON » 19 MARS… (Éric de Verdelhan)

« Il n’y a plus de Vendée ; elle est morte sous notre sabre libre avec ses femmes et ses enfants. Je viens de l’enterrer dans les marais et les bois de Savenay …J’ai écrasé les enfants sous les pieds des chevaux, massacré les femmes qui au moins pour celles-là n’enfanteront plus de brigands. Je n’ai pas un prisonnier à me reprocher. J’ai tout exterminé… ».

(Déclaration du général Westermann à la Convention après la bataille de Savenay).

 

 

Alors que le ludion narcissique qui nous tient lieu de président voudrait déclarer la guerre à la Russie, nous sommes soumis à une guerre civile larvée – voire carrément ouverte ! – à savoir le diktat des minorités : les allogènes basanés, « racialistes », « indigénistes », et autres « décoloniaux », sont en guerre contre le Blanc ;  les végans, végétariens, végétariens, antispécistes contre les amateurs de viande et de charcutaille; les écolos-bobos, contre les voitures, le diésel, les chasseurs ; les LGBT+++, contre les hétéros ; les féministes, contre les « machos » libidineux ; les racailles de banlieue, contre les flics …etc…sans parler des Islamistes – modérément radicaux ou radicalement modérés –  qui, eux, sont en guerre contre à peu près tout le monde pour que le pays du « Dar al-Harb », (le  domaine de la guerre :  دار الحرب) devienne le « Dar al-Islam » (le domaine de la soumission à Dieu : دار الإسلام), car toute terre foulée par l’islam appartient à l’islam ; les Musulmans le disent et les Occidentaux ne veulent pas les croire. On aimerait bien que le matamore vibrionnant qui menace Poutine soit d’abord capable de ramener la paix dans « les territoires perdus de la République » avant de vouloir engager les pays européens dans ce qui serait inévitablement la Troisième Guerre Mondiale. Après tout, ne dit-on pas « Jamais deux sans trois » ? Mais contentons-nous, pour l’instant, de parler de la situation chez nous, en France.  Toutes ces divisions imposées par des minorités, qui fracturent un peu plus notre nation d’année en année, sont voulues et entretenues par le pouvoir qui rêve d’une France qui deviendrait un simple « land » de l’Europe. Au final, la victime expiatoire est toujours la même : le Franchouillard blanc, raciste, xénophobe, poujadiste, qui critique l’arrivée massive d’une immigration majoritairement musulmane, qui aime son pays pour son passé et ses traditions, et qui s’entête – l’imbécile ! – à toujours voter à droite. Catalogué dans le camp de la « Fachosphère » par tous ceux qui font la loi et l’opinion dans le pays, on ne lui autorise plus que trois choses : se taire, travailler beaucoup et payer toujours plus d’impôts, lesquels servent, du moins en partie, à assurer le train de vie ou la survie de feignasses assistées, très majoritairement allogènes.

Mais venons-en à mon sujet du jour, en l’occurrence le 19 mars.

Aujourd’hui, quelques « idiots utiles », collabos, vieux moudjahidines, anciens « porteurs de valises » du FLN ou adhérents de la FNACA, commémorent le 19 mars 1962, cette infamie !  Il faut être en France, ce pays qui a honte de lui-même, de son passé, et se complaît dans la repentance envers son ancien Empire, pour oser honorer une trahison ou, si vous préférez, à salir une victoire militaire incontestable devenue une défaite voulue, encouragée, par le pouvoir de l’époque.

Je vais donc, aujourd’hui, fêter une victoire, une de celles dont on ne parle jamais, comme si on en avait honte. Nous sommes au début du mois de mars 1793, l’Ouest de la France est secoué par des soulèvements. Tout ceci avait commencé avec la Constitution civile du clergé et ses « curés-jureurs », le 12 juillet 1790. Puis le mouvement s’est accéléré jusqu’à la mort de Louis XVI, surnommé par la populace « le gros Capet », qui n’était déjà plus monarque de droit divinLouis VI (Le Gros) CAPETIENS DIRECTS : généalogie par Loïc PRIOU (loic15) -  Geneanet depuis des mois.

En Vendée éclatait alors une guerre terrible. Le point de départ de l’insurrection vendéenne n’est pas, comme on le lit trop souvent, la seule mort de Louis XVI. C’est la conjonction de quatre facteurs : la Constitution civile du clergé, la décapitation du Roi, la conscription et …la faim, qui ont poussé les Vendéens à prendre les armes. Au départ, l’émeute était essentiellement populaire, ou plus exactement, paysanne, mais très rapidement les Vendéens demandèrent à leurs seigneurs de prendre le commandement des troupes.

En Vendée, le 13 mars, les insurgés armés de fourches et de piques – une armée de gueux – s’emparent de Montaigu et des Herbiers, puis mettent en déroute la Garde Nationale de Fontenay-le-Comte au carrefour des Quatre-chemins, à L’Oie. Les « Bleus » se replient sur Sainte-Hermine en laissant trente cadavres sur le terrain.

À La Rochelle, la 12ème Division militaire est commandée par le général Marc-Antoine Malleret de Verteuil, un de ces trop nombreux aristocrates « vendus » à la Révolution.

Le 12 mars, répondant à l’appel à l’aide des districts des Sables-d’Olonne et de Challans, Verteuil annonce l’envoi de renforts. Le 13 mars, le général Louis de Marcé arrive à La Rochelle avec 900 hommes rassemblés à Rochefort-sur-Mer. Marcé est un brillant officier d’Ancien Régime, décoré de l’Ordre de Saint-Louis, qui est passé à la Révolution sans le moindre état d’âme, par carriérisme. Dorénavant il signe ses écrits « Demarcé » ou « Louis Marcé » ; le citoyen, le « ci-devant »,  Marcé est dans l’air du temps, comme tant d’autres à l’époque.

Verteuil voulait secourir les Sables-d’Olonne mais dans la nuit du 13 au 14 la route de Nantes est barrée par les Vendéens. Avec l’accord du représentant en mission Joseph Niou, le 14 mars, Marcé sort de La Rochelle avec une colonne de 1 200 hommes et une artillerie de quatre canons, et s’engage sur la route de Nantes. Le 16, il arrive à Sainte-Hermine et, le 17, il se porte sur Chantonnay avec une avant-garde de 500 hommes. Le bourg est vite repris par les « Bleus » et les Vendéens se replient sur L’Oie en laissant quelques morts sur le terrain.

Marcé reçoit des renforts le même jour et annonce son intention de poursuivre sa marche jusqu’à Nantes. Au départ, la colonne de Marcé comptait 400 hommes tirés des Volontaires de la Charente-Inférieure, 500 hommes de la Garde Nationale de Rochefort-sur-Mer (dont 100 cavaliers), 150 hommes de la Garde Nationale de La Rochelle, 140 hommes d’un régiment d’Infanterie de Marine, 50 autres d’un autre régiment, un peloton de la Gendarmerie, et quelques canonniers avec quatre pièces de campagne. Une troupe hétéroclite mais beaucoup mieux armée que les Vendéens.  La colonne est renforcée en cours de route par plusieurs centaines de Gardes Nationaux, venus de Surgères, Chaillé-les-Marais, Luçon, Marans, Niort et Saintes, avec quatre canons. Au total, le général Marcé déclare disposer d’environ 2 000 hommes lorsqu’il entre en territoire insurgé (1).

Les Vendéens, rassemblés au camp de L’Oie, sont entre 5 000 et 6 000, armés de quelques fusils, de piques et de faux. Ils sont commandés par Charles de Royrand, Louis Sapinaud de La Verrie, Charles Sapinaud de La Rairie, les frères Auguste et Amédée de Béjarry, Gabriel Baudry d’Asson, Aimé de Vaugirard, Jacques-Alexis et Mathieu de Verteuil(2), et Charles-François de Chouppe. Il me faut rectifier ici un cliché qui a la vie dure : l’insurrection est partie de la base et non d’une aristocratie royaliste en mal de revanche. Ses premiers chefs étaient des roturiers : un garde-chasse : Stofflet dit « Mistouflet »; un maçon: Cathelineau ; et Cottereau, dit « Jean Chouan », était faux-saunier. Les aristocrates sont arrivés après, simplement parce qu’ils connaissaient le métier des armes et savaient commander. Ils ont pris la tête de l’« Armée Catholique et Royale »  à la demande du peuple.

Le 19 mars, les « Bleus » se mettent en mouvement mais ils trouvent le pont Gravereau coupé donc infranchissable. À 7h, les hommes de l’avant-garde cantonnée à Saint-Vincent-Sterlanges tentent de rétablir le passage. À midi, Marcé sort de Chantonnay avec le gros de sa colonne. Les conditions climatiques sont difficiles : le temps est froid, pluvieux, et venteux. Vers 14h, une fois le pont Gravereau franchi, les « Bleus » trouvent le pont de la Basse-Rivière coupé.  Vers 16h, une troupe est signalée du côté de Saint-Fulgent. Certains pensent à une attaque ennemie, mais d’autres croient reconnaître « La Marseillaise » et supposent que des renforts arrivent de Nantes.

Deux heures se passent dans l’inaction la plus totale. Marcé fait bivouaquer ses troupes. Des émissaires lancent l’alerte, mais trop tard, les Vendéens sont sur leurs talons et attaquent. Les paroles chantées étaient en fait celles de « La Marseillaise des Blancs » (3). Le combat s’engage peu de temps avant la tombée de la nuit. Les Vendéens prennent position dans les bois et sur les hauteurs d’où ils ouvrent le feu, puis le combat tourne au corps-à-corps. Sur l’aile gauche, les Gardes Nationaux cèdent et la panique se communique rapidement à toute la troupe. En quelques heures, les Républicains sont totalement mis en déroute. Les fuyards atteignent Sainte-Hermine en pleine nuit. Marcé arrive à Sainte-Hermine à 6h du matin et est aussitôt destitué par les représentants en mission. Les officiers ne parviennent pas à rallier leurs hommes et la fuite reprend le lendemain matin. Elle ne s’arrêtera qu’à La Rochelle. Les premiers fuyards atteignent la ville le 20 mars au matin.

Les représentants en mission arrivent en ville vers 21h. Marcé les suit de peu ; il est parmi les derniers à rentrer. D’autres soldats refluent massivement sur Niort.

Pour les « Bleus » le bilan est lourd ! Jean-Baptiste Martineau annonce 300 morts dans une lettre adressée le 21 mars à Jean-François Goupilleau, député à la Convention.  Amédée de Béjarry donne un bilan de 400 à 500 morts et de 200 à 300 prisonniers (4). Les historiens Auguste Billaud, Yves Gras et Émile Gabory retiennent 500 morts, la perte d’un canon, d’un grand nombre de fusils, de 2 400 cartouches et d’un important stock de poudre. Du côté des Vendéens, Yves Gras parle de 250 tués mais Amédée de Béjarry retient 6 tués et 20 à 30 blessés.

À La Rochelle, l’annonce de la défaite provoque une stupéfaction générale. Le 21 mars, des prêtres réfractaires, incarcérés depuis octobre 1792, sont sortis de prison pour être transférés à l’île de Ré, mais en chemin, ils sont massacrés par la foule et leurs corps sont décapités, émasculés ou dépecés. Le lendemain, deux religieux vendéens débarqués par un bateau venu des Sables-d’Olonne subiront le même sort. L’époque n’était pas tendre pour le Trône et l’Autel !

Après avoir été destitué, le général Marcé est arrêté le soir du 20 mars et incarcéré. Le 21 mars, les représentants en mission rédigent leur rapport et rejettent la responsabilité de la défaite sur Marcé qu’ils accusent d’inaction. Ayant assisté à la déroute des troupes, ils lui reprochent « la plus lâche impéritie » ou « la plus lâche trahison ». Ils font également arrêter son fils aîné, âgé de 18 ans, en affirmant qu’ils ont tous deux trempé dans le complot du marquis de La Rouërie. De plus, dans ce climat de suspicion envers les aristocrates, les représentants, après avoir appris que deux des chefs insurgés se nomme Verteuil, en déduisent qu’il doit s’agir des fils de Marc-Antoine de Verteuil, le commandant de la place de La Rochelle, et envisagent également de le destituer. Enfin le 6 avril, la Convention fait un rapprochement avec la trahison du général Dumouriez en affirmant que la date de sa trahison est… la même que celle de la défaite de Marcé.  Comme Dumouriez a servi comme maréchal de camp en Vendée de 1791 à 1792, la Convention conclue qu’il n’y a « plus de doute sur un complot général, Marcé et Dumouriez étaient d’accord ». Or, bien évidement, tout ceci est faux !

Robespierre insiste pour que le général Marcé passe en jugement à Paris, devant le Tribunal révolutionnaire. Marcé est jugé le 28 janvier 1794. Dans son réquisitoire, Fouquier-Tinville accuse le général d’avoir « méchamment et à dessein, trahi les intérêts de la République… en favorisant le progrès des armes des brigands… ». Le tribunal porte dans son jugement des griefs de trahison, de négligence et d’indignité en reprochant à l’officier d’avoir abandonné « par une fuite lâche et criminelle, les troupes en désordre et l’artillerie exposée ; ce qui a fait perdre à la République de généreux défenseurs et a procuré aux révoltés des progrès monstrueux ».

Condamné à mort, le « ci-devant » Marcé est guillotiné le 29 janvier 1794.

C’est après cette belle première victoire que tous les insurgés de l’Ouest commencent à être qualifiés de « Vendéens » et que le conflit devient la « guerre de Vendée ».  Hélas tout va basculer après la défaite de Cholet (15-17 octobre), la « virée de galerne » (18 octobre-14 novembre), puis la terrible bataille du Mans (12 décembre). La troupe qui survit et arrive à s’échapper est massacrée à Savenay après dix jours de fuite éperdue et de combat (23 décembre 1793). Westermann, fier de lui, pourra faire à la Convention l’envolée mise en entête de cet article :

« Il n’y a plus de Vendée ; elle est morte sous notre sabre libre avec ses femmes et ses enfants. Je viens de l’enterrer dans les marais et les bois de Savenay …J’ai écrasé les enfants sous les pieds des chevaux, massacré les femmes qui au moins pour celles-là n’enfanteront plus de brigands. Je n’ai pas un prisonnier à me reprocher. J’ai tout exterminé… ».

Westermann gagnera le surnom de « boucher de Savenay ». Sa tête finira dans le panier du « rasoir national » juste après celle de Danton, juste avant celle de Robespierre car, proche de Danton et de Camille Desmoulins, il était jugé trop modéré par le Comité de salut public. Cette époque était barbare, cette époque était criminelle, cette époque était complètement folle !

Après la défaite de Savenay, des commissions militaires parcourent le pays : on fusille, en huit « chaînes » et sans jugement, 1893 prisonniers près d’Angers. Des centaines d’autres sont exécutés au Pont-de-Cé. 

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Les Noyades de Nantes en 1793, huile sur toile de Joseph Aubert, 1882.

A Nantes, sous l’autorité de Carrier, les « noyades » se multiplient. On coule des pontons sur lesquels sont entassés des prêtres réfractaires et des « brigands » – puisque c’est ainsi que les « Bleus » appellent les soldats de l’ « Armée Catholique et Royale » – . On dénombre plus de 5 000 victimes des noyades de Carrier. Ailleurs, des femmes sont fondues vives pour en tirer une graisse médicinale. Près d’Angers fonctionne une tannerie de peau de Vendéen.

Il est bien vu, chez certains officiers républicains, de porter une culotte en peau de Vendéen. On pratique aussi – ça amuse beaucoup la troupe – les « mariages républicains »: ce supplice consiste à noyer un couple, homme et femme attachés nus et jetés dans la Loire.

Louis Marie Turreau

Louis Marie Turreau

Quand Carrier est rappelé à Paris, la terreur est appliquée par le général Turreau de Linières. Il crée 12 « colonnes infernales » qui font de la Vendée « un monceau de cendres arrosé de sang ».

Aux Lucs-sur-Boulogne, un exemple parmi tant d’autres, les « Bleus » du général Cordellier massacrent plus de 500 personnes dont 110 enfants.

Max Gallo pense que les pertes vendéennes seraient de l’ordre de 120 000 morts (6) mais d’autres auteurs – Jean-François Chiappe, Reynald Secher(7)  et quelques autres, sont assez unanimes sur le bilan – aussi impressionnant que monstrueux – de 250 à 300 000 morts. Rapportée à la population totale de la « Vendée militaire » (8), qu’on le veuille ou non, une telle boucherie peut être qualifiée de génocide. Pour s’en convaincre, citons le général Louis-Marie Turreau de Lignières, le salopard qui commandait les « colonnes infernales », en janvier 1794 : « Tous les brigands qui seront trouvés les armes à la main ou soupçonnés de les avoir prises seront passés au fil de la baïonnette. On agira de même avec les femmes, filles, enfants…Les personnes seulement suspectes ne seront pas plus épargnées. Tous les villages, bouges, genêts, et tout ce qui peut être brûlé sera livré aux flammes… ».

Ou encore le général Grignon : « Camarades, nous entrons en pays insurgé. Je vous donne l’ordre de livrer aux flammes tout ce qui est susceptible d’être brûlé, et de passer au fil de la baïonnette tout ce que vous rencontrerez d’habitants sur votre passage…Je sais qu’il peut y avoir quelques patriotes dans ce pays ; c’est égal, nous devons tout sacrifier… ».

Terminons par cette formule de Carrier :

« Nous ferons un cimetière de ce pays plutôt que de ne pas le régénérer à notre manière… ». Arrêtons là ce florilège de citations de grands « humanistes » (imprégnés des droits de l’homme au sein des loges maçonniques très en vogue à l’époque).

Alors, à combien de morts faut-il chiffrer ces massacres ? Il est difficile de le dire précisément. Des auteurs sérieux – y compris des auteurs de gauche comme Max Gallo, déjà cité, ou Pierre Péan(9) – font osciller les chiffres entre 120 et 300 000 morts. Le scénariste du film « Vaincre ou mourir » parle de 240 000 morts (200 000 tués durant les combats et 40 000 tués par les « colonnes infernales »).

La fourchette est large, certes, mais le bilan est énorme ; c’est tout simplement…monstrueux !

La seule morale de cette grande boucherie est que quelques uns des assassins finiront sous le « rasoir national »; Westermann, on l’a vu, pour avoir été jugé trop faible et Carrier trop dur !

Donc, en ce 19 mars, quand quelques traîtres, collabos, « idiots utiles », imbéciles ou naïfs fêteront le 19 mars 1962, moi je lèverai mon verre à la belle victoire chouanne de Pont-Charrault.

Mais j’aurai aussi, comme tous les ans, une pensée pour toutes les victimes de l’abandon de l’Algérie française, cette trahison officialisée à Evian le 18 mars 1962.

Éric de Verdelhan

17 mars 2024

                                                                                                                                                                                

1) Verteuil, dans son rapport du 21 mars au ministre de la Guerre, évoque 2 400 hommes avec neuf canons. Les représentants en mission Niou et Trullard font quant à eux état de 2 300 hommes avec huit canons dans leur rapport à la Convention. Cet effectif est celui retenu par les historiens.

2) Cousins éloignés du général républicain Marc-Antoine Malleret de Verteuil.

3) Version royaliste de « La Marseillaise ».

4) D’après les notes de son grand-père Amédée-François-Paul de Béjarry.

5) Alors que l’insurrection concerne de nombreux autres départements.

6) « Aux armes citoyens » de Max Gallo; XO ; 2009.

7) « Vendée Vengé » de Reynald Secher; PUF ; 1986.

8) La « Vendée militaire » s’étendait sur 5 départements.

9) « Une blessure française » de Pierre Péan ; Fayard ;2008

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4 Commentaires

  1. Monsieur Cedric de Valfrancisque notre coeur de vrai français saigne en lisant ces lignes et doivent continuer à saigner pour ne jamais oublier. L’Histoire de France a connu de telles horreurs et aujourd’hui qu’en est-il de notre histoire ? Et des horreurs qui se préparent encore de la faute de « fous » que l’on ne « peut ou veut » pas arrêter? la Vendée a été martyre de fous sanguinaires, à présent c’est la France tout entière dont la vie est menacée par des fous tout aussi sanguinaires !