AVIS AUX AMIS LECTEURS DE MINURNE.
Vous avez sans doute noté ces dernières heures des problèmes d’accès au site.
Certains d’entre vous se sont même inquiétés, craignant une nouvelle agression juridico-policière.
Il n’en est rien.
Les graves événements qui se déroulent en France (à l’heure où nous mettons en ligne, les frères « Pois Chiche » sont retranchés avec au moins un otage dans une imprimerie à Dammartin en Goële) ont provoqué un explosion de l’audience des sites de réinformation, dont Minurne, bloquant les serveurs informatiques.
Nos amis suisses de Lucerne, qui nous ont patriotiquement accueillis depuis la fermeture de Minurne.fr début décembre par l’Etat totalitaire français, travaillent durement pour remettre définitivement tout en ordre.
Si vous constatez à nouveau des difficultés d’accès, n’insistez pas, revenez plus tard !
Merci de votre compréhension.
MLS
François Hollande demande l’unité nationale. Très bien, mais pourquoi et contre qui ?
A-t-il enfin pris conscience que nous sommes en guerre avec l’islam ? Le mot tabou a été dit à plusieurs reprises par les intervenants de C dans l’air hier. Il n’y eut que l’ignorant Christophe Barbier pour dire que l’on ne peut pas parler de guerre, parce qu’une guerre « ça se passe entre deux États structurés« . Notion périmée depuis au moins un demi siècle, si ce n’est plus, pour les plus clairvoyants des exégètes militaires. Médiocre tentative pour rester politiquement correct, son crédo professionnel.
En disant cette phrase, Barbier niait 95 % des guerres modernes dont la majorité sont des guerres opposant un état structuré à une société tribale, voire deux sociétés tribales entre elles et parfois plus, ou encore à un mouvement religieux.
Il y a aussi les associations d’États qui veulent en soumettre un, comme aujourd’hui l’OTAN quand il veut faire plier la Russie et l’attaque sur le plan monétaire et économique, ou la « coalition arabo-occidentale » contre l’État islamique qu’elle bombarde.
OTAN : Organisation Tentaculaire d’Asservissement des Nations
La guerre est multiforme, elle est devenue « hors limites » comme l’ont parfaitement décrit les théoriciens militaires de l’armée chinoise : avant d’entreprendre une action militaire de masse contre un pays, on commence par tenter de le déstructurer, de détruire son réseau informatique, notamment celui qui permet la gestion de l’approvisionnement en énergie, des télécommunications, des transports et même du fonctionnement des ministères et autres organes de gestion de l’État. On tente de le ruiner en attaquant sa devise, en prenant ses marchés extérieurs, en faisant pression sur ses partenaires commerciaux, en lui imposant des sanctions. On l’inonde de fausses informations qui ont pour but de démoraliser et terroriser sa population, etc. Tout ça l’est la guerre multiforme moderne.
Une religion comme l’islam qui affiche sa volonté de conquérir le monde sait qu’elle ne pourra plus le faire comme autrefois en envoyant des armées organisées. Elles ont réussi tant qu’elles ont eu à vaincre des sociétés tribales comme Israël l’était à l’époque, le Maghreb, les empires en ruines du Moyen-Orient et des vieux États épuisés comme l’Egypte, ou l’Espagne émiettée et soumise par la conquête wisigoth qui n’avait laissé qu’un semis très affaibli de principautés catholiques.
Dès que les armées musulmanes se sont heurtées à celles d’États forts comme la France, l’Autriche et l’Espagne du XVe siècle, elles ont échoué et ont du refluer (Charles Martel, sièges de Vienne, Reconquista…).
L’islam a aussi l’expérience de l’Afghanistan où les tribus ont mis successivement en échec les deux plus grandes puissances militaires du monde, l’URSS et les Etats-Unis. C’est donc ce type de guerre tribale et religieuse qu’il entreprend en Europe, et en France particulièrement en raison de son engagement aveugle comme mercenaire des Etats-Unis contre l’État islamique, avec une stratégie qui vise à éparpiller pour l’affaiblir la capacité de réaction des forces de police et de gendarmerie.
Les action sont menées comme des tirs de kalachnikov, en rafales : trois en province en décembre, Joué-les-Tours, Dijon, Nantes, deux en janvier dans le Grand Paris, et ce n’est pas fini.
Le plus étonnant est la réaction stupéfaite des commentateurs et des politiciens qui nous dirigent, car cet activisme mortel était largement prévisible pour deux raisons.
Un facteur externe, la lutte anti-musulmane qu’on ne mène pas en France mais qui fut menée avec férocité au Mali, souvenons-nous des instructions à mots couverts de Hollande demandant aux militaires de ne pas faire de prisonniers djihadistes, puis en Centre-Afrique sous prétexte de séparer les belligérants chrétiens et musulmans, puis en Syrie avec des bombardements anti-état-islamiques.
L’islam sait qu’il ne vaincra pas l’armée française, mais qu’il peut porter la guerre civile en France même.
Un facteur interne, l’échec de l’intégration pour cause d’immigration non maitrisée dont la responsabilité, dit Houellebecq dans Soumission, tient au néant de l’idéologie officielle. Celle-ci croit assurer la coexistence des communautés religieuses et non-religieuses par la « laïcité à la française », qui est uniquement anticatholique comme le souhaitent les francs-maçons de La Libre Pensée et du Grand Orient de France très puissants au sein du gouvernement. Elle ne fait qu’attiser les haines communautaires.
De plus, il faut tout de même rappeler que le fond de commerce de Charlie Hebdo était la haine des trois religions, la catholique, la musulmane et la juive dont il trainait les dieux et les autorités dans la boue à chaque numéro. Seulement Charlie a oublié qu’une seule est capable de tuer pour se faire respecter, l’islam, ce qui ne diminue en rien l’horreur du martyre de ses dessinateurs et journalistes et le droit de tout Français à critiquer les religions, même celle pour laquelle le président et son gouvernement ont les yeux de Chimène.
Faute d’intégration sous prétexte de respecter les différences, la France est considérée comme un ennemi par une grande partie de la jeunesse musulmane, quelle soit de première ou seconde génération.
Il n’y a que les vieux musulmans pour vouloir s’intégrer..
À C dans l’air, l’un des chroniqueurs a même osé parler de militants musulmans « islamo-nazis » qui « avant tout veulent tuer du Juif » et il a rappelé qu’une guerre du même type a eu lieu en Algérie il y a quelques années et qu’elle a fait 200 000 morts avant que le gouvernement algérien prenne le dessus sur les islamistes du Groupement Islamiste Armé.
Ce chroniqueur lucide et courageux s’appelle Aziz Sahiri et il est musulman
La police et la gendarmerie française ont-elles les moyens de se défendre ?
« Non » a répondu clairement Pierre Martinet, un ancien des services secrets.
Elles sont sous-armées, les mains liées par des procédures judiciaires et des procédures de tir imbéciles qui sont totalement inefficaces face à des voyous musulmans surarmés et qui tirent sans sommation et vite, voire pas du tout armées comme la jeune policière antillaise abattue hier matin à Montrouge, qui n’aurait pas pu protéger sa vie avec l’arme qu’elle n’avait pas.
De plus, a ajouté Pierre Martinet, il n’y a pas de volonté politique de lutter contre l’expansion et la violence de l’islam en France : les renseignements recueillis par les Renseignements Généraux autrefois, par la DCRI aujourd’hui, ne sont la plupart du temps pas exploités afin de ne pas « stigmatiser toute une communauté », et les statistiques ne sont pas publiées sous le prétexte que les statistiques ethniques sont interdites.
Résultat : des centaines de zones de non-droit sont apparues en France dont plusieurs en région parisienne, où l’on trouve avec un peu d’argent des esclaves sexuelles et de la drogue, mais surtout des armes de guerre de première catégorie.
Il est possible que nos ministres socialistes aient pris conscience que nous sommes en guerre, mais, comme le souligne Houellebecq dans Soumission, ils n’ont de toute façon aucune intention de prendre les mesures de fond énergiques qui s’imposent, l’électorat musulman est trop important pour faire réélire Hollande en 2017, ils sont déjà « soumis ».
Par contre, l’occasion est belle de profiter des circonstances pour réduire la liberté de la presse et celle d’internet. Bernard Cazeneuve l’a dit à Montrouge, il veut « maîtriser l’information« , ce qu’Yves Calvi a interprété de façon lapidaire : « Journalistes, taisez-vous« . Et cela pendant que Hollande et Valls demandent un grand rassemblement de tous les républicains, dont il exclut le Front National, aux cris de « défendons la liberté de la presse » ! Et elle la défend, la bobocratie socialiste, en faisant la chasse au Zemmour, au Houellebecq et en censurant Minurne.
Encore une « valeur de la République » piétinée au nom de la correctitude de la pensée socialiste.
Il ne faut pas dire, par exemple, que les frères Kouachi on été endoctrinés à la mosquée Adda’wa, 39 rue de Tanger dans le 19ème à Paris qu’ils fréquentaient, et dont le recteur algérien s’appelle Larbi Kechat, pour ne pas stigmatiser ses fidèles.
Les frères Kouachiottes, récidivistes « bien connus de la police et de la justice »
C’est Bertrand Delanoë qui en a autorisé sa reconstruction pour en faire « le plus grand centre architectural et culturel d’Europe« , elle peut sous cette appellation être financée par les impôts des Parisiens. L’imam Larbi Kechat « a fait un travail remarquable dans sa mosquée. Il y a développé amitié et fraternité« , affirme le recteur de la Mosquée de Paris Dalil Boubakeur, qui reproche aux Français d’entretenir « une sorte de paranoïa anti-intégriste« . On comprend mieux son appréciation du massacre perpétré à Charlie Hebdo par deux des fidèles de la mosquée, ce n’est qu’un petit « dérapage » pour Boubakeur.
Dans la religion d’amour et de paix, « amitié et fraternité » égalent 13 morts en deux jours à Paris !
On verra combien de temps va durer ce grand moment d’unité à l’exception du FN.
En attendant, je me demande pourquoi la LICRA, le MRAP, les juges gauchistes du Tribunal administratif de Nantes, les francs-maçons de La Libre Pensée et tous les autres qui ont demandé l’interdiction des crèches au nom de la loi de 1905, la ferment piteusement quand le gouvernement et l’Elysée ont demandé à l’archevêque catholique de Paris que ce soit la cathédrale de Paris qui sonne le glas ce 8 janvier, jour de deuil national.
Est-ce la cloche « Maurice » qui a sonné le glas ? J’espère qu’un jour prochain, elle sonnera le glas du socialisme « à la française ».
Maurice D.