Nous avons déja évoqué sur Minurne (voir l’article « le Réveil de l’Europe« ) les Journées Européennes des 6 et 7 février qui, à l’initiative de Tommy Robinson (English Defence League) au Royaume-Uni, de Pegida en Allemagne et de Résistance Républicaine / Riposte Laïque en France, devrait permettre, pour la première fois et simultanément, d’unir les forces patriotes du Vieux Continent dans un projet commun de défense face à l’invasion migratoire et à l’islamisation galopante.
En région parisienne – état d’urgence oblige – c’est le 7 février à RUNGIS, dans une salle privée, que se réuniront les patriotes les plus fermement décidés à mettre un terme à ces fléaux qui menacent notre mode de vie, notre équilibre économique, culturel et social et, plus simplement encore, nos vies et celles de nos enfants.
Des manifestations seront également organisées en dans quelques grandes villes de province. Des informations précises seront données, ville par ville, sur RR et RL et relayées par Minurne.
A la demande de nombreux lecteurs, celles et ceux qui n’auraient pas la possibilité de se déplacer et qui résideraient loin des grandes villes participant à l’événement ont la possibilité de s’exprimer et de participer à ces journées. La zone de commentaires ci-dessous leur est ouverte, afin qu’ils puissent manifester par des messages leur contribution personnelle à ces Journées Européennes.
Chacun de nous, où qu’il soit, doit pouvoir participer à la mesure de ses moyens au REVEIL DE L’EUROPE.
Il est plus que temps !
Marc Le Stahler
Le 7 février, tous à Rungis pour sauver notre pays de l’islam et de l’invasion migratoire
COMMUNIQUE DE CHRISTINE TASIN, PARU SUR RESISTANCE REPUBLICAINE
Voilà, c’est décidé, le 7 février, en Ile de France, le rassemblement pour répondre à l’appel de Tommy « Sauvons notre pays, sauvons notre culture, sauvons notre futur » aura lieu à Rungis, dans une salle privée.
La Préfecture de Paris ayant interdit nos manifestations des 8 et 18 janvier 2015 alors qu’il n’y avait pas d’état d’urgence, nous préférons ne pas prendre le risque d’une interdiction de dernière minute, plus que probable, et organiser un rassemblement dans une salle privée, bien sécurisée.
Nous pourrons ainsi et montrer aux autorités qu’en France comme en Allemagne et dans les 15 autres pays européens participant à l’opération il y a des Résistants à leur politique et communier autour d’un apéro saucisson-pinard avant d’écouter les analyses et propositions de plusieurs intervenants.
Ces derniers, hommes politiques, élus ou anciens élus, général en retraite, personnages de la vie civile ayant eu à souffrir de l’islam, habitant de Calais, spécialiste de l’immigration et militants associatifs auront beaucoup à partager avec les présents.
Nous évoquerons également les techniques manipulatoires mises en œuvre dans l’Education nationale et le réseau de Résistants qui se met en place dans les pays européens.
Les peuples d’Europe se lèvent, peu à peu, nous l’avons vu notamment avec la mobilisation, semaine après semaine, des Allemands, les manifestations anti-migrants de Hongrie ou de Pologne… Il était temps que tout cela soit coordonné et que tous les responsables de mouvements anti-islam soient en lien, prêts à lancer à chaque fois qu’il le faudra des mots d’ordre de mobilisation.
Pour la première journée européenne ce sera un mot d’ordre de rassemblement, de manifestation. Nul ne peut, en l’état actuel, dire ce que seront les suivants, mais il y en aura d’autres, puisque les gouvernants bafouent nos droits élémentaires, nous piétinent et permettent que nos filles soient exposées, agressées, violées dans tous les pays européens comme cela vient de se passer à Cologne et dans des dizaines de villes, allemandes, finlandaises et suisses.
Que dire également du risque élevé d’attentats sous lequel nous vivons parce que des irresponsables font entrer à tour de bras de soi-disant « réfugiés » ayant abandonné femmes, enfants et vieillards dans des pays en guerre ?
Il y avait 3 faux réfugiés, 3 migrants parmi les responsables de l’attentat du Bataclan le 13 novembre dernier, ne l’oublions pas.
Ça suffit !
Nous dirons non, les 6 et 7 février, parce que nous n’avons pas le choix, parce que nous devons nous faire entendre, de tous les moyens possibles.
Nous vous donnerons, au cours des jours ou semaines à venir toutes les indications pratiques et la liste des intervenants.