Ci-dessous : compte-rendu de l’arrestation à Loon-Plage (Nord) ce lundi 15 février à 00:30 des membres du groupe de Résistants CALAIS IDÉOSCOPE. L’interpellation s’est déroulée de façon très violente par la police locale aux ordres discrétionnaires du pouvoir central.
Les 7 inculpés ont été condamnés à leur maintien en détention après avoir été entendus par le Juge d’Instruction, le Juge des Libertés et de la Détention entendu (correction par rapport au texte initial), condamnation qui ne peut excéder 4 mois d’emprisonnement, aucune ITT (Incapacité de Travail Temporaire) n’ayant été relevée sur les prétendues victimes ou présentées comme telles.
Sur cette simple déclaration d’un migrant devant un groupe de Calaisiens : « J’ai eu peur ! » (tout simplement) nos 7 Patriotes ont été violemment frappés et embastillés.
Pour la plupart, leurs avocats ont fait appel de cette décision inique qui sera réexaminée par la Cour de Douai le mercredi 24 février. Public non admis. (correction par rapport au texte initial)
Nous vous tiendrons informés.
Exemple (parmi tant d’autres) de l’ambiance qui règne aujourd’hui dans la région de Calais :
Il y a une quinzaine de jours, 4 jeunes femmes se rendaient au cinéma « Le Varlin » avenue du Général de Gaulle à Grande Synthe (Nord). Trouvant leur sortie incongrue, une patrouille de police les a… “interpellées” également. Non, elles n’ont été ni frappées ni placées en GAV (Garde À Vue) quand même ! Mais les policiers ont estimé qu’elles n’avaient pas à sortir, tout simplement… Ça n’est pas tout ! Sommées de vider leurs sacs, les petites bombes lacrymogènes qu’elles avaient emportées eu égard au climat d’insécurité hallucinant qui règne dans la région, leur ont été confisquées !
Il faut savoir que Grande Synthe était déjà surnommée « Alger » par les habitants du cru, bien avant qu’un nouveau camp de migrants n’y ait été installé… Je ne vous dirai pas pourquoi ! (Je voulais poser un smiley, mais je n’en n’ai pas le cœur.)
Voir l’article publié par RT.
Voir aussi avec beaucoup d’intérêt Les Moutons Enragés.
Il existe deux motifs de poursuite :
- d’une part celui fondé sur l’article 222-13 du Code Pénal, à savoir :
« Les violences ayant entraîné une incapacité de travail inférieure ou égale à huit jours ou n’ayant entraîné aucune incapacité de travail sont punies de trois ans d’emprisonnement et de 45.000 euros d’amende lorsqu’elles sont commises : »
« […]
« 8° — Par plusieurs personnes agissant en qualité d’auteur ou de complice ;
« […] »
Donc, les violences qui leurs sont reprochées n’auraient entraîné AUCUNE INCAPACITÉ mais auraient été commises « en réunion » (soit par plusieurs personnes).
- d’autre part, celui fondé sur l’article 222-14-2 du Code Pénal, à savoir :
« Le fait pour une personne de participer sciemment à un groupement, même formé de façon temporaire, en vue de la préparation, caractérisée par un ou plusieurs faits matériels, de violences volontaires contre les personnes ou de destructions ou dégradations de biens est puni d’un an d’emprisonnement et de 15.000 € d’amende. »
Ce dossier est ubuesque.
→ Les migrants, victimes prétendues de violences présentées par la presse comme « une odieuse et violente “ratonnade” » ne portent aucune trace de coup et, par la force des choses et de manière certaine, n’ont subi aucune incapacité.
→ En revanche, les supposés agresseurs présentent, eux, d’importants hématomes sur les jambes, le crâne, le visage, le nez et les yeux. L’un d’eux a un tympan probablement crevé et souffre de ce fait de surdité presque totale et d’acouphène. Deux autres présentent des fractures des côtes suite aux violents coups de pieds reçus alors qu’ils se trouvaient au sol.
À mots couverts dans les couloirs du Palais certains policiers parlent d’un « DOSSIER POLITIQUE ».
SI L’ON RÉSUME : un groupe de Calaisiens, natifs ou d’adoption, que la désinformation de la presse sur les camps migrants insupporte au plus haut point, décide de se rendre à Loon-Plage sur les itinéraires habituellement empruntés par les migrants pour prendre d’assaut les camions à destination de l’Angleterre, dans le but de « réinformer » l’opinion publique de ce qui se passe réellement. Sachant que les migrants ont coutume de se déplacer armés de couteaux et de barres de fer en toute impunité, conscients des risques encourus, certains se munissent d’une matraque ou d’un gourdin qu’ils rangent dans leurs voitures respectives.
De ces « armes », ils n’en n’auront fait AUCUN USAGE vu qu’ils ne se sont pas sentis en danger ce soir-là ce qui prouve qu’à aucun moment ils n’ont usé de violence.
Ne trouvant rien d’intéressant à Loon-Plage ce soir là, nos Calaisiens regagnent le parking où étaient stationnés leurs véhicules. Ils n’ont pas le temps de griller une cigarette avant de repartir chez eux, qu’ils se trouvent encerclés par certaines forces de police qui leur intiment l’ordre de se mettre au sol. Ce qu’ils font. Ils sont ensuite menottés.
Une fois plaqués au sol et menottés, les Calaisiens furent roués de coups sous des insultes comme « FACHOS », « ENCULÉS », « NAZIS », etc., injures parfaitement hallucinantes − mais pourtant réelles − de la part de policiers…
D’une part, la totale absence de coups sur les migrants (prétendument « victimes » !) prouve que le groupe des Calaisiens, qui n’avait pas l’intention de commettre de violences, n’en n’ont commis aucune,
et
D’autre part, les hématomes et blessures que présentent les Calaisiens prouvent a contrario qu’ils ont été frappés avec une violence extrême par les policiers locaux chargés de les arrêter…
Je puis vous garantir l’absolue authenticité de ces photos. LS.
Si ce dossier est en effet « politique », le message est le suivant :
- « CALAISIENS, TAISEZ-VOUS ET SUBISSEZ EN SILENCE. »
- « CALAISIENS, L’ÉTAT NE VEUT PAS ENTENDRE VOTRE SOUFFRANCE. »
- « CALAISIENS, SI VOUS TENTEZ DE DÉNONCER LE CLIMAT DE TERREUR QUI S’EST INSTALLÉ DANS VOTRE VILLE, VOUS SEREZ CONDAMNÉS. »
Calais Idéoscope
La Voix du Nord, complice sans vergogne des voyous anti-Français, tout comme son confrère Nord-Littoral (encore plus infect) s’évertue à minimiser l’action des Patriotes de Calais, qu’ils considèrent − ainsi que tous les Patriotes de France − comme “d’infâmes fachos”, et publie à son habitude des informations aussi erronées qu’absurdes, prétendant que les “mis en examen” encourent 3 ans de prison et 45.000 € d’amende. Étant donné que les prétendues victimes n’ont pu exhiber aucune blessure même légère (et pour cause !) les 7 Calaisiens encourent non pas 3 ans comme le dit le journaleux, mais 4 mois de prison au terme du Code Pénal pour les raisons susdites. Si tant est que le Code Pénal soit encore respecté en France…
Mais cette lourde peine de principe fait injure aux Libertés Publiques et Individuelles garanties par la Constitution.
Assurez la plus large diffusion à cet article et suscitez partout autour de vous la MOBILISATION GÉNÉRALE.