L’Histoire de la France a des trous noirs dont le récit est interdit. L’un d’eux est « l’Exode » de mai-juin 1940. Des millions de Français réunirent quelques maigres affaires pour gagner la « zone libre » et fuir l’avance des troupes nazies auxquelles l’armée française, rendue exsangue par les coupes sombres que les gouvernements socialistes de l’avant-guerre avaient effectuées dans ses budgets, était incapable d’opposer la moindre résistance faute de blindés, d’aviation et de stratégie.
Ma famille avait une raison supplémentaire de fuir : Les anglais, de peur de voir les Allemands y installer des batteries à longue portée, avaient bombardé le 10 mai 1940 le village côtier de la Manche où elle habitait, face aux falaises anglaises de Douvres, et leur maison avait été rasée. Ce même village, Le Portel, fut à nouveau pilonné en mai 1944 par des bombardements anglo-américains qui voulaient faire croire aux Allemands que le débarquement allait avoir lieu incessamment sur les côtes du Pas-de-Calais plutôt qu’en Normandie. Cela fut fait de nuit avec des bombes au phosphore : 7000 morts sur les 7500 habitants, massacrés pour rien par nos « alliés ». Pas un film, pas un documentaire pour parler de ce crime de guerre, moins grave bien sûr que les bombardements alliés sur Dresde en Allemagne, sur Hiroshima et Nagasaki au Japon qui firent des centaines de milliers de morts. Mais plus que les 642 morts du crime nazi d’Oradour-sur-Glane dont le véritable motif est toujours tenu secret qui répond à la question « Pourquoi le 10 août 1944 les SS en fuite dont la mission était de convoyer un train de chars de Narbonne en Normandie ont-ils fait un détour pour aller commettre un massacre dans ce village isolé, quasi inconnu, sans aucune voie ferrée, sans mouvement de résistants ?« . En France il est dangereux de s’écarter de l’histoire officielle, protégée par des lois liberticides, dont la loi du député communiste Gayssot qui interdit de remettre en cause la version officielle et glorieuse de l’histoire de la Résistance française pendant la guerre de 1939-45.
Nous connaissons aujourd’hui un nouvel exode, celui de populations d’Afrique et du Moyen-Orient vers l’Europe. N’ayant pas su, comme l’on fait les Asiatiques, saisir l’opportunité du formidable développement européo-américain des années 1950 à 1980 pour s’émanciper et s’enrichir, hormis leurs élites, elles se trouvent dans des situations permanentes de guerre et de grande pauvreté.
Photo Les photos et reportages truqués abondent sur l’exode actuel des musulmans vers l’Europe. On a vu la photo du bébé Aylan Kurdi (« le Kurde ») né en Turquie où son père était salarié depuis trois ans, et accessoirement passeur de migrants, présenté comme réfugié syrien fuyant la guerre alors qu’il allait juste se faire soigner les dents gratuitement en Europe quand son canot a coulé. Celle-ci n’est pas mal non plus. Ces gens sont supposés se noyer au large des côtes grecques à cause de la méchanceté des Européens qui refusent de les accueillir. On remarque que trois des figurants (la flèche rouge), les imbéciles, ont oublié de se mette à genoux ou assis sur le sable du fond, comme les autres qui tournent tous la tête gentiment vers le photographe qui a organisé cette mise en scène.
Les reportages abondent sur la misère de ces pauvres gens et pas un jour ne passe sans qu’une chaine de télévision n’y fasse une allusion et stigmatise l’égoïsme de tel ou tel pays européen qui ferme sa frontière, refoule des migrants ou les pousse à passer en vitesse chez le voisin. « La moitié des Syriens vit depuis deux ans avec moins de deux dollars par jour« , « Ils arrivent affamés, sans vêtements chauds, sans rien« , « Ils ont tout perdu« , « Des bébés sont morts« , « Nous avons le devoir de les accueillir« . Personne n’a le droit de mettre en doute ces affirmations, ces accusations. Est-il encore permis de réfléchir ? Non.
Il serait « raciste », « islamophobe » d’émettre un doute, de poser les termes du problème avec la rigueur qu’exigerait pourtant la situation s’il y avait vraiment chez les pouvoirs publics une volonté réelle d’accueillir dignement de vrais réfugiés (et eux seuls) et de les intégrer à des peuples européens qui jusqu’ici n’ont jamais refusé « l’étranger », excepté quand il s’est montré agressif ou pillard comme les armées musulmanes du VIIIème siècle, les « barbares » Mongols, Vikings et autres Huns des siècles suivants ou les nazis au XXème siècle.
Car, en même temps, les témoignages abondent de l’anormalité de l’exode actuel. Personne ne doute que la situation en Syrie soit terrible. Même sous la domination turco-ottomane, puis laïco-alaouite du clan Assad, les communautés qui peuplaient la Syrie vivaient un voisinage pacifique. « Bon voisinage » serait beaucoup dire, mais globalement les règles du « vivre ensemble » étaient respectées par tous sous l’autorité ferme, disons même brutale des autorités dominantes. Il y a moins de cinquante ans encore, ceux qui revenaient d’un séjour professionnel ou touristique au Moyen-Orient vantaient la joie de vivre du bazar d’Alep, l’accueil de Palmyre, les villages chrétiens dans les montagnes, le Liban « Suisse du Moyen-Orient » et la sécurité totale de la visite de Pétra en Jordanie. Le pays à risque, et encore, un risque très faible, c’était Israël.
Les sunnites, la secte musulmane aujourd’hui dominante, ont partout introduit la guerre civile par leur volonté de prendre le pouvoir, aidés par les magouilles politiques et militaires (livraisons d’armes) des Américains, des Anglais et des Français liés aux sunnites saoudiens et qataris par leurs intérêts pétroliers. Ils ont déstabilisé et attaqué les autocrates socialistes et laïques qui maintenaient la paix civile, accusant l’un d’avoir des armes de destruction massive, l’autre de martyriser et gazer sa population, malgré les enquêtes et rapports de l’ONU démontant ces mensonges.
Il ne fait plus aucun doute aujourd’hui que l’exode islamo-africain et oriental actuel vers l’Europe est largement entretenu par les États-Unis et les pétromonarchies du Golfe. Les premiers pour affaiblir et asservir un concurrent politique et économique dangereux, les autres pour conquérir ce riche continent à moindre coût, c’est-à-dire sans armées, par une stratégie musulmane vieille de quatorze siècle, la « hijra ». La hijra est l’arabisation de la stratégie grecque du cheval de Troie : amener au cœur du pays ennemi des guerriers dissimulés dans un moyen de transport qui est aujourd’hui ces bateaux de miséreux, ces canots pneumatiques fabriqués en grande série dans un pays ennemi historique de toujours de l’Europe, la Turquie. Son chef, le dictateur mégalomane Erdogan y trouve le moyen de relancer la politique ottomane de la Grande Turquie en faisant en sorte que l’ONU et les pétromonarchies sunnites lui confient un jour la gestion des territoires du Levant (Syrie, Irak, Liban, Jordanie) un fois « libérés » des chrétiens, des juifs et, surtout, des chiites, afin de créer le grand califat sunnite dont rêvent les Arabes du golfe.
Qui sont les martyrs des guerres civiles en Syrie-Irak et l’Organisation Etat islamique ? Avant tout les Chrétiens, les Yézidis, les Chiites et les Alaouites, les femmes vendues comme esclaves sur les marchés au pied des mosquées, les enfants transformés en bombes vivantes par Al Nosra-Al Qaïda et autres milices sectaires sunnites, les malades et les vieillards privés de soins.
Qui débarque sur les côtes grecques et italiennes ? Avant tout des jeunes Arabes sunnites en pleine forme physique. Ils l’ont prouvé en violant 576 allemandes (plaintes enregistrées par la police), en une seule nuit en janvier dernier. Aucun doute, certains sont des migrants fuyant la guerre. Mais il suffit d’aller compter à Calais pour constater que des Chrétiens, des Yézidis, des femmes, des enfants, des vieillards, des blessés par la guerre il y en a peu, presque pas en proportion du nombre des jeunes mâles sportifs (il faut les voir courir pour grimper dans les camions et les trains) qui tous se plaignent d’avoir du payer entre 2 et 5 000 dollars à des passeurs successifs.
Si, comme nous l’affirment les reportages et les associations humanitaires, le revenu moyen journalier dans les pays d’où ils proviennent n’excède pas 2 dollars par jour, d’où proviennent ces milliards de dollars répartis par paquets de 2 à 5 000 dans plus d’un million de poches de migrants très majoritairement jeunes musulmans sunnites ? D’où proviennent les dizaines de millions de dollars nécessaires à l’achat de canots pneumatiques et de cargos abandonnés ensuite sur les côtes européennes ? Quelles banques, quelles organisations prêtent ou donnent cet argent ?
Les services secrets ont la réponse mais la taisent sous la pression des politiques : les pétromonarchies et l’Organisation-Etat-islamique ont d’énormes ressources financières dont ils consacrent une partie à l’expansion de l’islam sunnite dans le monde avec pour cible première et principale l’Europe.
Le moyen le plus économique pour le faire, c’est la hijra, l’invasion « pacifique » par ces centaines de chevaux de Troie que sont chaque canot, chaque cargo qui transporte des migrants au milieu desquels sont dissimulés des djihadistes. Aguerris ou novices peu importe puisqu’ils sont sacrifiés par avance au succès de la conquête musulmane. Combien ? Là encore les services secrets ont des réponses, on parle de déjà plus de 5 000 pour la France.
Cerise pourrie sur ce gâteau véreux de l’exode musulman vers l’Europe, il a un coût astronomique pour les contribuables européens quand on apprend dans un reportage de France 2 (pour une fois, merci au service public pour cette info !) que l’entretien à l’hôtel de certaines familles de migrants coûte jusqu’à 5 000 euros par mois au Samu social et que nos gouvernements cèdent au chantage migratoire de la Turquie en lui donnant des milliards.
L’Imprécateur