Le 13 juin 2016, pour la première fois sur le territoire de la République Française, un couple de fonctionnaires de police a été sauvagement assassiné par un terroriste islamiste.
A domicile, et avec une cruauté froide et calculée, sous le regard effaré d’un petit garçon.
Leur petit garçon de 3 ans…
Le Commandant de Police Jean-Baptiste Salvaing et sa compagne Jessica Schneider reposent désormais au petit cimetière de Montagnac, dans l’Hérault.
Qu’ils y soient en paix, pour l’éternité.
Mais, comme l’a exprimé ce jour le maire de Pézenas, il n’y pas de mot pour traduire « l’émotion, la rage et la colère » qui ont saisi la France devant cet acte odieux, chargé d’une indicible haine contre des représentants de l’Etat et, à travers eux, contre la France et peut-être bien contre l’humanité toute entière.
Notre longue histoire millénaire s’écrit aujourd’hui en lettres de sang, dans une guerre totale qui ne dit pas son nom, contre un ennemi barbare, sauvage et sans merci, se référant à une religion moyennageuse selon laquelle la mort « en martyr » serait une victoire chargée de promesses délirantes.
Nous en avons assez, de ces accusations d’islamophobie, répétées à l’envi dans une litanie incantatoire. Nous constatons objectivement que tous ces actes barbares sont commis – sans exception – au nom d’une religion qui n’a rien à voir avec notre culture, et que nous ne voulons plus voir sévir dans notre pays.
Le grand Voltaire nous a appris la tolérance, mais il n’aurait jamais prôné la soumission face à une telle horreur, une telle violence bestiale et une telle haine.
Trop d’attentats ont frappé la France depuis plus d’un an, sans que le gouvernement ne prenne les mesures appropriées à cette guerre sans merci. Le chef du gouvernement lui-même nous promet même des décennies de carnage, sur notre sol, dans cette Patrie délivrée des Nazis il y a 70 ans par le sacrifice de ses enfants et ceux de ses alliés.
Des solutions existent, même si elles font parfois mauvais ménage avec ce fameux « état de droit » dont la bien-pensance nous rebat les oreilles à la moindre occasion.
Le général de Gaulle, auquel nous devons largement aujourd’hui notre liberté recouvrée, ne s’est pas embarassé de l' »état de droit » en juin 1940, emportant avec lui la légitimité de la France, alors abandonnée et trahie par des dirigeants soumis à l’ennemi.
Or, le crime de Larossi Abdalla n’était pas une fatalité. L’assassin était connu des services de police et de justice. Fiché pour des actes de délinquance (vols, recel), il avait même été arrêté en 2011 et condamné en 2013 à 3 ans de prison dont 6 mois avec sursis pour « association de malfaiteurs en vue de préparer des actes terroristes » (excusez du peu) dans le cadre d’un procès d’une filière d’acheminement de djihadistes vers le Pakistan.
Lors d’une perquisition au domicile de ses parents, un agenda avait été saisi avec une liste de commissariats et de lieux touristiques des Yvelines. « Des cibles potentielles », soulignait à l’époque une source proche de l’enquête.
Il faisait depuis l’objet d’une surveillance, notamment de la part de la Sous-Direction Anti-Terroriste (SDAT) et de la DGSI.
MAIS CE FOU FURIEUX ETAIT EN LIBERTE ! POURQUOI ?
Rappelons tout de même que la protection des personnes est l’une des principales fonctions régaliennes de l’Etat. Cette protection n’existe pas, n’existe plus, et le gouvernement annonce même, par la voix de ses chefs, que cette insécurité va durer qu’il y aura encore de nombreux morts. Que cette impuissance de l’Etat va perdurer ! De la sueur, du sang et des larmes, mais Churchill, lui, proposait le combat. Non la soumission.
Le 17 juin, au Trocadéro, à l’appel du SIEL de Riposte Laïque et de Résistance Républicaine, s’est déroulée une manifestation en hommage aux policiers victimes du terrorisme islamiste.
Des hommes et des femmes de courage, ni racistes, ni islamophobes, ni fascistes, mais tout simplement des patriotes outragés par le laxisme gouvernemental, qui se sont dressés pour dire « NON ». Il y en aura de plus en plus. C’est une « vague patriote » qui s’est formée et qui va enfler dans les semaines qui viennent.
Voici, grâce à TV- Patriote, les vidéos des allocutions prononcées à cette occasion. Ecoutez les bien. Certaines de ces phrases seront peut-être un jour gravées dans les livres d’histoire, quand ces années de plomb que nous traversons ne seront plus qu’un mauvais souvenir.
Marc Le Stahler
Discours de Karim Ouchikh
Discours de Serge Federbusch
Discours de Christine Tasin
Discours de Loïc Perdriel
Discours de Jean-Yves Le Gallou
Discours de Bernard Foucré
Discours de Brice Savin
Discours de Sébastien Jallamion
Discours de Pierre Cassen
Discours de Richard Haddad
Message de Robert Ménard
Discours de Frédéric Pichon