Ce qui est extraordinaire avec ces bouchers islamistes qui martyrisent et tuent au nom d’Allah, c’est qu’on imagine toujours avoir touché le fond de l’horreur. On pourrait en effet raisonnablement penser que, de même qu’il existe une limite au froid absolu (- 273°) alors que la chaleur est infinie, il pourrait y avoir une limite à la cruauté de ces sous-humains. Et bien mes chers amis, il y en a peut-être une, mais on ne l’a pas encore atteinte…
Le carnage de la Promenade des Anglais n’est pas soldé, loin de là, de nombreux blessés souffrent dans leur chair, dont une vingtaine luttant contre la mort. Mais voici qu’un article publié par notre confrère Dreuz Info donne un peu plus de crédibilité aux informations que nous donnions avec précaution au début de cette année sur ce qui pourrait s’être réellement passé à l’intérieur du Bataclan, pendant ces longues heures avant l’assaut. Accrochez vous…
Des rumeurs avaient en effet circulé très vite après le 13 novembre, émanant de sources considérées comme sûres, que les tueurs, à cours de munitions, avaient en quelque sorte torturé et achevé certaines victimes à l’arme blanche avec une cruauté inimaginable.
Les informations reçues par la Commission d’enquête parlementaire semble bien conforter ces rumeurs, et c’est à nouveau une plongée dans l’horreur de ces crimes contre l’humanité perpétrés au nom de l’islam.
Car, il convient de l’écrire, de le dire et de le répéter à l’envi : si tous les musulmans ne sont pas des criminels terroristes, tous les crimes terroristes sont commis au nom de cette « religion » obscurantiste.
Dans la situation actuelle, où la sauvagerie barbare a tendance à être censurée par la gouvernement, nous publions cet article avec les réserves d’usage.
Le sourcing parait sérieux et l’auteur dénonce à l’avance les tentatives de certains de faire passer ces informations comme des mensonges. Toutefois, si un lecteur est en possession de l’orgininal du rapport de la Commission d’enquête, il va de soi que nous sommes preneurs.
Une dernière précision : suite au carnage de Nice, le président de la Commission parlementaire, qui vient de remettre son rapport sur les attentats du 13 novembre (sans avoir – à sa grande surprise – été entendu par l’exécutif), vient de réagir violemment sur twitter en précisant « cette tragédie était prévisible, il faut agir plus fort et autrement« .
Mais sans doute, le pingouin de l’Elysée à d’autres soucis en tête. 250 morts en 18 mois ne semblent pas l’impressionner outre mesure. Et il lui reste encore 9 mois pour parfaire son score.
Sa réélection, en revanche, semble le préoccuper et peut-être, plus trivialement, le bon ordonnancement des cheveux qui lui restent.
MLS
L’article ci-dessous a été publié par Jean-Patrick Grumberg sur Dreuz info le 16 juillet 2016
L’attentat du 13 novembre 2015 au Bataclan révèle encore de nouvelles horreurs.
Les faits suivants* avaient jusqu’à présent été cachés au public pour qu’il ne pense pas trop de mal de l’islam.
Mr le Président Georges Fenech : Je crois que certaines choses n’ont jamais été dites. Je pense que l’on pourrait peut-être, à ce stade, éclaircir les choses.
Il s’est produit, durant l’attentat du Bataclan qui a fait 89 victimes (130 victimes en plusieurs lieux de la capitale ce jour-là), des scènes de torture d’une barbarie inimaginable (décapitations, yeux et testicules arrachés, viols…), et les Français ont le droit d’être informés.
Les témoignages suivants sont issus de la Commission d’enquête parlementaire sur les attentats, et ont été publiés sur le site de l’Assemblée nationale le 5 juillet dernier.
M. le président Georges Fenech. Pour l’information de la commission d’enquête, Monsieur P. T., pouvez-vous nous dire comment vous avez appris qu’il y avait eu des actes de barbarie à l’intérieur du Bataclan : décapitations, éviscérations, énucléations… ?
M. T. P. Après l’assaut, nous étions avec des collègues au niveau du passage Saint-Pierre-Amelot lorsque j’ai vu sortir un enquêteur en pleurs qui est allé vomir. Il nous a dit ce qu’il avait vu. Je ne connaissais pas ce collègue, mais il avait été tellement choqué que c’est sorti naturellement.
M. Alain Marsaud. Les actes de tortures se sont passés au deuxième étage ?
M. T. P. Je pense, car je suis entré au niveau du rez-de-chaussée où il n’y avait rien de tel, seulement des personnes touchées par des balles.
M. le président Georges Fenech. Je crois que certaines choses n’ont jamais été dites. Je pense que l’on pourrait peut-être, à ce stade, éclaircir les choses.
M. T. P. Des corps n’ont pas été présentés aux familles parce qu’il y a eu des gens décapités, des gens égorgés, des gens qui ont été éviscérés. Il y a des femmes qui ont pris des coups de couteau au niveau des appareils génitaux.
M. le président Georges Fenech. Tout cela aurait été filmé en vidéo pour DAECH !
M. T. P. Il me semble. Les victimes en ont parlé.
M. le rapporteur. Ces actes ont été commis par les deux survivants.
M. Pierre Lellouche. Les exactions sur les gens se sont déroulées à quel endroit ?
M. T. P. À l’étage.
M. Pierre Lellouche. Cela se passe après que l’individu que vous avez blessé est remonté ?
M. T. P. Je pense même que ça s’est produit avant, mais ce n’est que mon avis personnel. Pendant que nous fixions un terroriste à la porte de secours, un autre faisait toutes ces choses ignobles à l’étage.
M. Pierre Lellouche. La vidéo est partie ?
M. le président Georges Fenech. Je crois savoir que des vidéos sont parties.
M. Pierre Lellouche. On peut le savoir si l’on a récupéré les portables des victimes. On les a ?
M. T. P. Ils se sont fait exploser. Il y a eu des personnes décapitées, égorgées, éviscérées. Il y a eu des mimiques d’actes sexuels sur des femmes et des coups de couteau au niveau des appareils génitaux. Si je ne me trompe pas, les yeux de certaines personnes ont été arrachés.
M. le rapporteur. Les terroristes du Bataclan ont-ils commis des décapitations ou des mutilations ? Des décès se sont-ils produits autrement que par fusillade ou explosion ? Nous sommes saisis d’informations contradictoires — dont certaines nous ont été communiquées lors de nos auditions — qu’il faut éclaircir.
A l’institut médico-légal de Paris, on m’a dit… qu’on avait coupé les testicules [de mon fils], qu’on les lui avait mis dans la bouche, et qu’il avait été éventré.
M. le président Georges Fenech. En effet, la commission est troublée par ces informations, qui n’ont filtré nulle part. Ainsi, le père de l’une des victimes m’a adressé la copie d’une lettre qu’il a transmise au juge d’instruction, que je cite en résumant :
« Sur les causes de la mort de mon fils A., à l’institut médico-légal de Paris, on m’a dit, et ce avec des réserves compte tenu du choc que cela représentait pour moi à cet instant-là, qu’on lui avait coupé les testicules, qu’on les lui avait mis dans la bouche, et qu’il avait été éventré. Lorsque je l’ai vu derrière une vitre, allongé sur une table, un linceul blanc le recouvrant jusqu’au cou, une psychologue m’accompagnait. Cette dernière m’a dit : ‟La seule partie montrable de votre fils est son profil gauche. » J’ai constaté qu’il n’avait plus d’œil droit. J’en ai fait la remarque ; il m’a été répondu qu’ils lui avaient crevé l’œil et enfoncé la face droite de son visage, d’où des hématomes très importants que nous avons pu tous constater lors de sa mise en bière. »
Cette barbarie, c’est l’islam tel qu’il l’a toujours été dans l’histoire, ne l’oubliez jamais.
- Ces témoignages ont été publiés dans le Washington Times, Fox News Daily Mail.
- Aucun média français n’en a parlé.
- Un seul média aborde le sujet, Le Parisien, et c’est pour nier les faits.
- Aucun média — hormis Dreuz — ne reproduit les propos échangés lors du compte rendu des auditions de la Commission d’enquête de l’Assemblée nationale.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pourDreuz.info.
* PS : bien que cet article soit ni plus ni moins qu’un copié collé des débats de la Commission parlementaire, des sites de hoax affirment que les faits n’existent pas ! En fait, les sites en question ne sont que des machines destinées à imposer le politiquement correct : quand ils le peuvent ils affirment que les propos qu’ils n’aiment pas qu’on publie viennent de l’extrême droite. Quand ils ne peuvent pas, ils disent qu’on est conspirationniste, et si ça ne marche pas non plus, ils sortent l’argument hoax ou désinfo. Le but est le même qu’ailleurs : régner sur l’information qu’ils jugent digne d’être publiée, et celle qu’ils voudraient voir censurée.
Sources :
- Commission d’enquête parlementaire de l’Assemblée nationale dont cet article est un copié-collé.
- Washington Times qui reprend les traductions de la Commission.
- Fox News, premier média d’information en continue des Etats-Unis, largement devant CNN.
- Daily Mail britannique.