RACISME ISLAMIQUE ET COMPLICITÉ D’ÉTAT (par Guillaume Faye)

FAYE GuillaumeGuillaume Faye, né le 7 novembre 1949 à Angoulême, est un écrivain et journaliste français. Classé à l’extrême droite, il est l’un des principaux théoriciens de la Nouvelle Droite dans les années 1970-1980, dans le cadre du Groupement de Recherche et d’Études pour la Civilisation Européenne (GRECE). Il rompt un temps avec la politique, et travaille notamment comme animateur de radio sur Skyrock sous le pseudonyme de Skyman. Il revient ensuite au militantisme, au sein de la mouvance identitaire, à partir de la fin des années 90.

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NB : cet article, daté du 4 août 2016, a été publié le sur le blog de Guillaume Faye
J’ai tout compris.

Il est un peu long, mais constitue une synthèse quasi-parfaite de la situation dramatique dans laquelle se trouve la France et, d’une manière générale, l’ensemble de l’Occident. Ceux qui ont tendance à exonèrer un peu vite l’islam de ce qu’ils considèrent comme des actes de “déments” ou de “déséquilibrés” y trouveront matière à sérieuse réflexion. Sans qu’il soit question de dédouaner l’islam de ses tendances mortifères, il est clair que cette religion sert aussi souvent de prétexte opportun et de porte-drapeau pour tuer “au nom d’Allah” ceux qui sont considérés comme les “oppresseurs”.
Et il convient d’ajouter que, dans ce conflit culturel, socio-économique et civilisationnel, la France, encore chargée de son histoire coloniale et notamment de la guerre d’Algérie, porte, aux yeux d’une partie de sa communauté musulmane, un fardeau plus pesant encore que celui du reste de l’Europe.

Loin d’avoir été intégrés, bon nombre des enfants, petits-enfants et arrière-petits-enfants des musulmans des années 50/60, se sont peu à peu ghettoïsés, radicalisés et repliés dans une haine de la France et des Français qu’il faudra sans doute plusieurs générations pour l’apaiser. Si c’est encore possible…
Dans ce conflit majeur qui était largement prévisible, certains politiques irresponsables ont joué avec le feu, attisant à l’envi la haine contre la France, méprisée et accusée de tous les maux, et faisant vibrer dangereusement la stupide corde de la “repentance”.
Ceux qui le souhaitent peuvent relire, en complément à cet article, celui de Luc Sommeyre Les vices-cachés du gouvernement, paru le 21 mai 2016.

Marc Le Stahler

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RACISME ISLAMIQUE ET COMPLICITÉ D’ÉTAT
(par Guillaume Faye)

 

À Nice le tueur tunisien au camion n’était même pas un musulman pratiquant. Certes, l’islam est impliqué, son totalitarisme intrinsèque, sa haine des ”mécréants”, mais il y a une seconde dimension fondamentale : le racisme de ressentiment anti–Européen, corrélé à l’islam. Y participent d’ailleurs aussi des Noirs ou des métis qui se réclament de cette ”religion” ou s’y convertissent. La motivation raciale de la guerre civile qui débute (pour l’instant guerre unilatérale d’agression) est aussi importante que sa justification islamique. Et les deux sont fortement liées. Ne parler que de ”religion” est impropre. L’appartenance à l’islam n’est pas un fait purement religieux et spiritualiste, comme dans le christianisme, mais ethnique et revendicatif ; cette dimension polémique et raciste, est centrale. Dae’ch a revendiqué le massacre commis par le Tunisien, même si ce dernier n’était pas directement commandité. La motivation est la haine raciste (contre les ”Blancs) et, bien entendu, aussi antisémite.

Le racisme, moteur du djihad et du terrorisme musulman

Ce n’est donc pas seulement l’islam et la lutte contre les ”mécréants” qui a motivé cet attentat – comme les précédents. Le terroriste qui avait prémédité son acte avec des coreligionnaires, n’était pas un pratiquant fondamentaliste, mais un voyou alcoolique et délinquant. Il était animé par une haine anti–européenne de ressentiment, de frustrations, de vengeance. Ce racisme meurtrier sous la bannière de l’islam est aussi partagé par des Africains islamisés. On connaît depuis longtemps le même problème en Amérique du Nord (Black Muslims, le boxeur Mohamed Ali, raciste et converti, etc.)

La totalité des attentats commis en France – et en Europe – depuis la fin des années 80 est le fait d’Arabes, parfois d’Iraniens – ou de Noirs – musulmans. Le dernier massacre de Nice (on aura près de 100 morts au total sans compter les blessés et mutilés à vie, les vies brisées, les parents qui ont vu mourir leurs enfants – et l’inverse – les familles exterminées) comme ceux du 13 septembre, nous ont fait passer dans une autre dimension. Et il n’y a pas de syndrome d’agression ethnique, de crime raciste derrière cela ?

Un décompte des derniers attentats terroristes arabo–africano–musulmans en France, accomplis au nom du djihad, depuis 2012 (en dehors, bien sûr, de la criminalité perpétrée par la même population) donne : 235 morts depuis le début 2015, sans compter les blessés et les mutilés à vie, plus d’un millier. Il faudrait y ajouter les victimes chez nos voisins (Belgique, Espagne, Pays-Bas, UK, Allemagne…) Où sont les tueurs racistes blancs de l’”extrême droite” ?

Le racisme anti–Blanc, imbriqué avec la haine des Juifs, tue infiniment plus que tous les autres, sous forme de terrorisme ou de criminalité. Et pourtant, l’idéologie dominante répand l’idée que ce sont les Français de souche (ou autres Européens) qui sont racistes alors que tous les actes racistes et antisémites (attentats, agressions, crimes crapuleux et autres) sont commis par des Arabes, Asiatiques ou Africains musulmans. Et pas seulement en France, mais dans toute l’Europe. Et aussi en Amérique.

Désinformation des médias et approbation du terrorisme par une partie des Arabo-musulmans

Il ne s’agit donc pas seulement d’une ”radicalisation” islamique de ce voyou tunisien (Mohamed Lahouaiej – Bouhlel) ou des autres terroristes musulmans, mais aussi de combat racial dissimulé. Bien sûr, les médias bien pensants essaient de masquer ce phénomène tabou. Le Journal du Dimanche (17/07/2016) ou Le Figaro (21/07/2016) insistaient lourdement sur le nombre des victimes musulmanes – une vingtaine de personnes, paraîtrait–il– comme pour disculper l’islam. Sous-entendu : le tueur est un ”déséquilibré” et la ”communauté musulmane de France”, elle aussi victime, condamne ces crimes. On n’a pas entendu de grandes condamnations de la part des autorités musulmanes ! D’autres médias ont suivi la subtile désinformation, avec, en tête, comme toujours, Le Monde et Libération, les deux Pravda de l’idéologie dominante officielle avec Radio France et France Télévision, tous médias sous perfusion financière publique.

Le Monde du 24-25/07/2016 consacre un reportage sur la ”stigmatisation” des musulmans de Nice et l’accroissement prétendu du racisme anti-arabe et de l’islamophobie dans cette ville. C’est bien plus grave, pour la rédaction du quotidien d’État, que les 84 morts du tueur raciste maghrébin… Les racistes, ce sont les Français de souche ! Quant à Libération, il fait plus fort. Un certain Jean-Luc Nancy explique, le 22/07/2016, dans un article abject et masochiste dont le slogan était « S’en prendre à nous–mêmes », que l’attentat sanguinaire de la Promenade des Anglais était de la faute des Français autochtones, racistes et islamophobes ! Renversant la réalité, il légitime et excuse le meurtre islamique. Tous sont les complices objectifs des criminels – et des envahisseurs.

Mais il n’empêche que, comme pour les attaques terroristes de janvier 2015 et du 13 septembre 2015, nombre de jeunes arabo-musulmans se sont ouvertement réjouis des carnages. À Nice, on a vu des images de jeunes Arabes hilares (même ceux qui sont français, immigrés de la 3ème génération, et ne se reconnaissent nullement comme Français ou Européens) rigoler après le massacre derrière des cordons de policiers qui avaient ordre de fermer les yeux. Et sur les réseaux sociaux et les très nombreux sites racistes d’obédience musulmane – jamais interrompus par nos autorités ”républicaines” timorées ou complices, au choix – on a pu constater, comme au cours des précédents massacres, une large approbation. La guerre civile ethnique (unilatérale pour l’instant) a donc bel et bien commencé, bien qu’elle soit encore de basse intensité. Pas pour longtemps.

Le mode opératoire du massacre de Nice fera des émules

L’attentat de Nice marque un tournant : la facilité d’exécution du meurtre de masse ; un seul assassin au volant d’un camion est aussi dévastateur qu’un commando avec armes à feu et explosifs. C’est la stratégie du djihad minimaliste, prônée par Dae’ch. Daesch

L’attentat de Bouhlel, qui visait symboliquement la Fête nationale et ce lieu emblématique français qu’est la promenade des Anglais, indique que nous allons subir d’autres attentats du même type, assez faciles à réaliser par rapport à des attaques militaires compliquées de commandos armés, type Bataclan. C’est la guerre asymétrique, assez imparable. Le tueur n’était même pas repéré par les services de renseignement. D’autres existent et vont prendre exemple sur lui. On imagine les conséquences sur la fréquentation des lieux publics, le coût des précautions à prendre et le manque–à–gagner économique. Dans le domaine touristique et hôtelier, on estime déjà cet été à 25% de chiffre d’affaire la perte de ce secteur économique dans le bassin Côte d’Azur. 50% des festivals et manifestations estivales diverses ont été annulés. À Lourdes, on craint pour la sécurité des pèlerinages face aux tueurs musulmans terroristes. Du jamais vu.

Quelques jours plus tard, le 20 juillet, l’écraseur tunisien de Nice faisait son premier émule : un jeune ”réfugié” afghan en Allemagne, placé en famille d’accueil, attaquait à l’arme blanche les passagers d’un train en Bavière, au cri de Allah Akhbar ! faisant plusieurs blessés graves, avant d’agresser des policiers qui l’ont abattu. Une des ministres du gouvernement allemand a même déploré qu’on l’ait tué ! Ne fréquentant pas spécialement les mosquées, il avait fait allégeance à l’État islamique (Dae’ch) sur une vidéo d’Internet et indiqué qu’il suivait la voie du djihadiste de Nice. Racisme.

À Munich, le 23 juillet, un Iranien faisait neuf morts et seize blessés dans un centre commercial, à l’arme à feu. Les autorités allemandes soutiennent que ce crime n’a rien à voir avec le djihad et l’islam et qu’il s’agit d’un ”déséquilibré”. Ben voyons… On les croit… Puis, le 24 juillet, un demandeur d’asile syrien de 21 ans, voyou de droit commun déjà ”connu des services de police”, tuait, près de Stuttgart, à coups de machette une femme enceinte et blessait d’autres personnes. Le 26 juillet, à Saint-Étienne-du-Rouvray deux tueurs musulmans égorgent dans l’église le prêtre qui disait la messe et blessent quatre fidèles, dont un très grièvement, avant d’être abattus par la police. La contagion criminelle. Les deux assassins étaient bien entendu des ”radicalisés” libérés de prison par des magistrats laxistes et objectivement complices… Dae’ch a revendiqué l’attentat des deux « soldats d’Allah ».

Des musulmans qui tuent un prêtre célébrant la messe dans son église, c’est une première dans l’histoire de France ! Les persécutions musulmanes sanglantes contre les chrétiens d’Orient s’importent maintenant en France contre les catholiques. C’est un symbole capital. L’idéologie dominante et ses médias feront tout pour nier la motivation de ces crimes : ce racisme anti–Européens imbriqué dans une identification à l’islam, dans sa véritable et authentique nature originelle : haine destructrice et violence. ”Mais non, cher ami, ce n’est pas le véritable islam, ce sont des déséquilibrés…”

Il faut donc se préparer à la multiplication de ces attaques meurtrières, avec tous types d’armes, même par destination, de la part de jeunes musulmans racistes fanatisés qui seront de plus en plus nombreux par effet de contagion et par l’invasion démographique. On dénombre 650 zones de non–droit, dont beaucoup islamisées et salafistes, rongées par la délinquance dont elles vivent, où gendarmes, policiers, pompiers, médecins etc ne peuvent plus entrer sans se faire agresser. De ce vivier, d’autres tueurs vont surgir.

Et la situation peut devenir intenable et angoissante car la menace islamo– terroriste est destinée à paralyser le pays, à le sidérer : une messe de minuit, un marché de Noël, une fête populaire, un concert, une plage, la terrasse d’une brasserie, un grand magasin, la sortie d’une synagogue, un salon ou une foire commerciale, etc. vont devenir des lieux possibles d’attaques surprise meurtrières et imprévisibles pratiquement impossibles à protéger. Surtout par un État impuissant, par laxisme, mollesse ou…complicité.

Complicité de l’État envers le terrorisme musulman et l’invasion migratoire

La population niçoise a bien ressenti cette complicité des oligarques étatiques, pendant la commémoration de l’attentat, quand la foule a hué MM. Valls et Cazeneuve, les traitant d’« assassins ». Cette complicité a deux facettes : organiser l’immigration et désarmer la réponse répressive à la criminalité et au terrorisme.

La stratégie étatique est de protéger, de disculper l’islam invasif et criminel ainsi que les colons ethniques et de s’en prendre à la résistance autochtone, française, désignée sous le vocable d’« extrême droite ». Pour cela, le pouvoir s’appuie sur ses médias aux ordres : les chaines de Radio France et de France TV, Le Monde, etc. ouvertement islamophiles, immigrationnistes, ”antiracistes”. Le directeur des services de renseignement intérieur (DGSI), M. Patrick Calvar, n’a pas hésité, sans la moindre preuve, devant une commission parlementaire, à prédire, avant même l’attentat de Nice, des actions violentes de représailles de l’« ultradroite » contre les musulmans ; et de prévenir que cette dernière serait la cible majeure de ses services, avant même tout passage à l’acte. Ce fonctionnaire obéissant, pas très malin, a dévoilé son jeu.

Valls a, lui aussi, lâché le morceau dans le JDD: « il y a un risque de fracture (elle est déjà faite !) et Daech cherche justement l’escalade, la confrontation, la guerre civile. Et nous avons en France des groupuscules d’extrême droite qui ont les mêmes intérêts (Quels groupuscules ? Des noms !). L’essentiel est en jeu. C’est la vie en commun, c’est la manière dont on vit ensemble » Notez la parfaite langue de bois de cet excité pathologique.

Il faut s’attendre à une manœuvre de services d’État pour ”aider” un attentat contre une cible arabo-musulmane, mosquée ou autre. Avec, comme auteurs, des manipulés d’”extrême–droite” aidés par des barbouzes. Ce qui permettrait – d’une pierre deux coups – de victimiser les musulmans, électeurs de gauche, et de lancer une grande répression (avec interdictions, dissolutions, arrestations, etc.) contre l’”extrême droite”, y compris le Front National. J’ai l’intuition qu’au ministère de l’Intérieur, une cellule planche sur ce scénario… (*)

Le souriant laxisme judiciaire contre la mouvance terroriste arabo-musulmane (refus de l’internement administratif préventif des sujets classés “S”, régime de réduction de peine semblable à ceux des condamnés de droits commun pour les terroristes et associés, absence d’expulsions en nombre, absence de répression sérieuse contre les mosquées salafistes, etc.) ne s’expliquent pas seulement, comme on le lit dans les médias de droite, par l’« angélisme » des autorités ; mais aussi par une complicité, parfaitement préméditée, dont les mesures subversives de l’anti–française Taubira sont l’emblème.

Manuel Valls est d’ailleurs partisan de l’interruption du processus démocratique (invalidation) au cas où le FN emporterait la présidentielle. Pour toute cette mouvance, c’est la résistance qui est détestable et c’est la collaboration avec l’envahisseur, la soumission, qui est le bon choix. Les collabos ont de multiples visages mais leur logique est la soumission à l’envahisseur, quel qu’il soit.

Salah Abdeslam, le seul Arabo–musulman survivant des massacres du 13 septembre, s’est plaint d’une vidéosurveillance permanente en prison, soutenu par son avocat, Me Frank Berton. L’administration pénitentiaire lui a offert, au nom des ”droits de l’homme” une salle de sport personnelle (hallucinant), ce qui a été dénoncé par le député Thierry Solère, victime d’une plainte de la part de l’avocat de l’assassin (!). Cela signifie que le système manifeste une sympathie objective pour les tueurs terroristes musulmans. Si ce n’est pas de la collaboration d’État, c’est quoi ?

L’absence totale de protection de la Promenade des Anglais le 14 juillet par les services de M. Cazeneuve (qui a menti) est d’autant plus étonnant que la revue islamiste Inspire avait, en 2010, prôné l’attentat au camion bélier fonçant dans une foule de ”mécréants”. Le califat Dae’ch ne cesse de prôner ce type d’attaque par véhicule ”faucheur”. Les Israéliens nous avaient alerté et conseillé sur les moyens d’y faire face. Nos services de renseignements n’étaient pas au courant ? Incompétence ou complicité ? Les deux.

Lorsque Yves de Kerdrel (Valeurs actuelles, 21–27/07/2016) traite nos dirigeants de « somnambules » et d’« ânes » pour leur incompétence et leur impuissance face au terrorisme, à l’islamisation, à l’immigration, il se trompe partiellement. En effet, certains d’entre eux mènent des actions de sabotage et de trahison volontaires, par fanatisme idéologique et xénophilie. Quand le Conseil Constitutionnel interdit (droits de l’homme, libertés, blabla, etc…) le 16 février 2016, la copie et la remise aux services de renseignement des données informatiques saisies chez des perquisitionnés dans le cadre de l’état d’urgence, n’est-ce pas une aide objective à la préparation d’actes terroristes, non dépourvue d’arrières pensées ? Idiots angéliques ou complices pervers ? Il y a probablement un partage des rôles. Les collabos ont infiltré les institutions d’État.

De la thérapie des conséquences à celle des causes

Les opérations Vigipirate – ou Sentinelle– sont de graves erreurs ; « cette opération dévastatrice pour les capacités de nos armées » selon le colonel Michel Goya, est une impasse stratégique qui n’a pas empêché un seul attentat, qui confond les missions de l’armée avec celles de la police. Des patrouilles de milliers de soldats, pas du tout formés au maintien de l’ordre ni au combat de rue, cela affaiblit nos capacités militaires (exercices, entraînements, interventions supprimés) sans protéger la population. En fait, c’est de la communication (propagande) décidée par les politiciens.

À tous ces attentats, les autorités musulmanes de France réagissent avec une hypocrisie calculée. Pas d’amalgame ? Mais si, il faut pratiquer l’amalgame. Il y a une complicité objective, cachée, de la part de maints musulmans qui tiennent un double discours. C’est la taqhiyah (le principe de dissimulation, enseigné dans l’islam). De plus en plus de jeunes issus de l’immigration se veulent, en lien avec l’islam, comme des envahisseurs hostiles, animés par le ressentiment et la vengeance, et encouragés, excités par la repentance masochiste de nos dirigeants et de nos médias, obsédés par une interprétation perverse et falsifiée des ”droits de l’homme” comme droits des assassins.

Recueillement, bougies, fleurs, poèmes, ours en peluche, décorations posthumes pour les victimes, toujours les mêmes scènes, les mêmes larmoiements dévirilisés face aux tueurs arabo-musulmans racistes et aux masses qui les soutiennent et les encouragent, partout en France. Avec Emmanuel Valls aux commandes, la figure même du faux dur (comme son subordonné, l’incapable Cazeneuve) et son patron Hollande, le politicien ramollo, qui parlent de ”guerre” sans oser riposter ni agir, les agresseurs jubilent.

Le terroriste arabe de Nice était un repris de justice, auteur de violences et agressions, jamais incarcéré, toujours condamné avec sursis. Impuni. La suppression de la ”double peine” (expulsion d’un étranger condamné) par Sarkozy, le politicien imposteur qui change d’avis comme de chemise, sous influence de son épouse bobo–gaucho et le laxisme judiciaire, organisé par la gauche (Taubira, égérie protectrice des délinquants allogènes) sont directement responsables de ces attentats. Car cet assassin tunisien n’aurait, normalement, jamais dû résider en France. Les deux égorgeurs arabes du prêtre le 26 juillet, parfaitement connus des ”services” comme des islamo–voyous dangereux, avaient été libérés de prison. C’est donc toutes les règles hors du bon sens de notre droit pénal laxiste qu’il faut revoir.

Beaucoup se rallient à des positions de plus en plus dures, même parmi d’anciens bien-pensants. L’idée de guerre civile ethnique inéluctable fait son chemin. L’idéologie dominante – mais minoritaire dans la population – ne pourra pas empêcher une explosion. Car la force des faits dépasse celle de persuasion des dogmes.

Depuis deux ans, nos dirigeants ont laissé entrer près de deux millions de ”migrants” (!) en Europe, à 90% musulmans, sous l’influence de la catastrophique Mme Merkel et d’une oligarchie allemande perverse. C’est l’accélération vertigineuse d’une immigration de peuplement, et non plus provisoire de travail initiée dans les années 70. Et cette invasion massive est proportionnelle, depuis deux décennies, à la hausse de la criminalité, de l’insécurité et du terrorisme. Quelle coïncidence bizarre…

Plutôt que de mener des opérations militaires contre–productives au Moyen-Orient ou en Afrique contre l’”islamisme”, il faudrait mieux se défendre contre l’invasion en France et en Europe. Le vrai front est ici. L’idée s’impose, par la lucidité et la douleur de l’expérience, que la cohabitation inter-ethnique est impossible – partout dans le monde et depuis toujours – et qu’il va falloir faire le ménage.

La solution ne réside pas uniquement dans la lutte contre le ”communautarisme”, pour la ”laïcité”, la défense des ”valeurs de la République” (qui ne sont que des conséquences) mais dans la prise en compte des causes : c’est–à–dire l’immigration de peuplement. Il faut traiter les causes et pas les symptômes. Et la cause principale, et même unique, c’est la présence massive et croissante sur notre sol, en France et en Europe, de populations de plus en plus inassimilables, ingérables et surtout hostiles. Avec la complicité de l’État. Ce qui rend toute politique d’intégration ou d’assimilation totalement impossible. Utopie infantile d’intellectuels. La seule thérapie comprend donc deux volets, en plus de la lutte contre le terrorisme musulman et raciste et l’islamisation :

  1. immigration zéro, arrêt des flux invasifs ;
  2. démigration, expulsions et retours massifs. Là où il y a une volonté, il y a un chemin. Marion Maréchal–Le Pen est la seule, dans la classe politique, à avoir eu la bonne formule : « Ils tuent nos enfants, assassinent nos policiers et égorgent nos prêtres. Réveillez–vous ! » Exact, mais le problème est démographique et ethnique. Il faut réduire drastiquement le nombre de ces ”ils”. Et les désigner pour les combattre, les empêcher d’entrer et les expulser. Qu’ils rentrent chez eux et continuent –entre eux – leur jeu de massacre atavique. Ça ne nous concerne pas

Guillaume Faye
4 août 2016

(*) Une partie de l’”extrême droite” risque très peu de la part de la répression l’État parce qu’elle flirte avec l’islamophilie. Des revues comme Réfléchir et Agir ou Éléments, des auteurs comme Alain Soral ou Alain de Benoist et toute leur mouvance sont les héritiers d’une tradition de soumission et de collaboration, dont la peur de l’ennemi est la règle. La lâcheté – la trouille – est leur loi.