Extrait du chapitre II / article 21 du Projet de Gouvernement de Minurne :
« Les subventions accordées par l’État, les Territoires et les Communes seront attentivement contrôlées et révisées à la baisse, au moins jusqu’à ce que la dette publique soit apurée. Elles devront être justifiées par un réel et indiscutable intérêt national, territorial ou local et non par des considérations subjectives et/ou des intérêts électoraux ou catégoriels.
« Les subventions publiques aux associations à vocation humanitaire, sociale, sociétale, culturelle, cultuelle, devront être soumises à un contrôle citoyen très strict, dont les modalités seront précisées par un texte réglementaire voire législatif, qui interdira formellement les financements directs ou indirects de construction de nouveaux édifices religieux dans le strict respect de la Loi de 1905.
« L’utilisation faite par les subventions publiques fera l’objet d’un rapport annuel précis aux organismes financeurs et d’un audit régulier par ceux-ci. »
- 1er septembre : « #rentreedesclasses : la preuve la plus éclatante du Grand Remplacement en cours. Il suffit de regarder d’anciennes photos de classe… »
- 5 septembre, sur LCI : « Dans une classe du centre-ville de chez moi, 91% d’enfants musulmans. Évidemment que c’est un problème. Il y a des seuils de tolérance… »
Robert Ménard a touché à un tabou. Il est interdit d’exprimer une opinion dissidente sur le sujet de l’immigration, du multiculturalisme, de l’islam, maintenant de l’IVG, bientôt du socialisme. Le voilà donc poursuivi en justice pour provocation à la haine par les deux officines socialistes (dont c’est le métier puisqu’elles sont payées pour ça : la LICRA et le MRAP).
Ces associations (en réalité des sociétés commerciales financées par nos impôts) se sont fait une spécialité des procès en sorcellerie et empochent de confortables indemnisations lorsque les tribunaux leur donnent raison.
− Pour la bonne cause qu’elles prétendent défendre ?
− À voir !
Commençons par trier les associations, ce que la Loi permet de faire, mais que le pouvoir en place ne veut pas faire.
Celles qui sont utiles : les plus nombreuses (un peu plus de 90%).
Elles travaillent dans les loisirs, le sport, l’aide sociale (aide aux Anciens ou à l’enfance, aide aux mères en difficulté ou aux malades, médecine, sports, loisirs, etc.). Ce sont celles qui coûtent le moins cher à la collectivité. Dans leurs budgets, on trouve moins de 20% d’argent public provenant des impôts, l’essentiel étant financé par les cotisations de leurs membres et quelques menues recettes extérieures.
Exemple : “Médecins Sans Frontières”, qui n’a que 9% de son budget d’origine publique.
Celles qui sont inutiles, voire nuisibles : un peu plus de 7 %.
Elles ont généralement très peu de membres, des budgets colossaux, une audience médiatique disproportionnée avec leur objet et le nombre de leurs adhérents, une gestion opaque des impôts qu’elles perçoivent sous forme de subventions d’origines ministérielles diverses.
Mais elle servent la politique socialiste de rééducation du peuple pour faire « l’homme nouveau ».
Globalement − utiles ou inutiles − les associations françaises gèrent 80 milliards d’euros par an, dont près de la moitié proviennent de subventions publiques.
II y a 1,3 million d’associations en France.
- 80% ne reçoivent aucune subvention,
- les 7% inutiles ou nuisibles reçoivent 70% des subventions publiques.
Il y a clairement un traitement profondément inégalitaire de l’argent public par le gouvernement.
Ce chiffre date de 2012, car le gouvernement socialiste entretient depuis une totale opacité sur cette part de l’argent public versé à des intérêts privés. “Privés” puisque les associations sont en théorie créées par des individus finançant avec leurs cotisations une activité dont ils s’efforcent ensuite de démontrer l’utilité au maire, au député, au sénateur, au ministre ou au président de la République.
Comme par exemple LGBT, club de quelques dizaines d’homos-lesbio-bis-trans qui a porte ouverte à l’Elysée pour obtenir un complément de financement avec de l’impôt local ou national.
Certaines font leur beurre avec une activité quasi commerciale de procès, comme celui que le GISTI a intenté à la Marine Nationale. Celle-ci ne serait pas arrivée suffisamment rapidement pour récupérer une barque de migrants qui venait de quitter la côte libyenne, alors qu’elle en avait dûment été prévenue par les passeurs-esclavagistes aux ordres desquels la commission européenne et le gouvernement français l’ont placée.
Canot pneumatique payé par l’Europe, sauvetage payé par nos impôts, recettes du transport encaissées par les passeurs-esclavagistes avant l’embarquement.
Dans ce cas précis, une organisation privée qui vit essentiellement d’argent public (le GISTI) intente un procès à l’Etat avec l’espoir d’obtenir de la Justice, elle aussi de l’État, une indemnisation qui lui rapporterait encore plus d’argent public dont 90 % environ serviront à financer le train de vie de l’association : indemnités perçues par les dirigeants, frais de restauration, de déplacements, matériel, personnel, véhicules, locaux, et 10% seulement, ou moins, être utiles aux clandestins.
L’ANAFÉ, quant à elle, à porté plainte contre la Police qui a contrôlé et interpellé six migrantes africaines dans la zone d’attente de Roissy sous le prétexte que ce contrôle et cette interpellation de migrants serait « une violence policière ». Dans ce cas, l’objectif est clair : obtenir que les migrants en situation irrégulière et les sans-papiers ne soient plus contrôlés.
ANAFÉ a d’ailleurs demandé en juillet dernier à ses soutiens politiques d’extrême6gauche qu’une permanence d’avocats soit créée dans les aéroports pour que les migrants puissent immédiatement porter plainte dès leur arrivée et demander des indemnisations aux pouvoirs publics !
Ces associations inutiles ou dangereuses fonctionnent comme les familles mafieuses, dans une entraide financière hallucinante.
Exemple. Comme disait Paul Quilès « il ne suffit pas de dire : “des têtes vont tomber”, il faut dire lesquelles ». RESF (Réseau pour l’Éducation Sans Frontière) a été crée en 2004 par le MRAP, la LCR, le PC (Parti Communiste), ATTAC et quelques autres associations et organismes, tous d’extrême-gauche. Objet : scolariser le plus vite possible les enfants de clandestins entrés en France sans papiers (des extra-européens pour la plupart), pour rendre ces clandestins non-expulsables.
En cas de besoin, les associations les plus riches sous-subventionnent leurs amies. Ainsi, le GISTI (Groupe d’Information et de SouTien aux Immigrés) qui a déjà un budget annuel de 750.000€ vit en symbiose financière avec la CGT, l’ANAFÉ, le MRAP, la LICRA, etc. Et il reçoit en outre des sortes de rétro-subventions d’Emmaüs (lequel emploie un directeur financier à 8.000€/mois* uniquement pour gérer ses placements !) ou du Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement, qui reçoivent de l’argent public.
Les associations dont l’objet est d’organiser l’installation en France de migrants majoritairement sub-sahariens et musulmans sont nombreuses, les plus importantes et les plus riches sont la CIMADE, l’ANAFE (Association Nationale d’Assistance aux Frontières pour les Étrangers), Hors la Rue, le GISTI, France Terre d’Asile et RESF.
Elles gèrent en moyenne 10.000 migrants par mois **.
Le montant des aides peut être estimé à 200 millions d’euros pour celles qui viennent en aide aux clandestins et de 230 millions pour celles visant l’intégration des migrants.
Les 80 milliards du budget global du monde associatif, s’est 4% du PIB de la France, plus de deux fois plus que le budget des Armées, c’est un montant équivalent à celui de la production et de la transformation industrielle agricole, équivalent à l’activité touristique totale de la France.
Pour quel rendement social, ou pour quelle nuisance nationale ?
Car il s’agit à 80 % d’argent public provenant de l’impôt qui sert à financer des activités privées sans contrôle financier, surtout quand il s’agit d’associations politiquement sensibles comme la Ligue des Droits de l’Homme, le MRAP ou la LICRA.
Il y a pourtant une loi qui oblige les associations à tenir une comptabilité, mais elle est peu ou pas appliquée et la gestion de la quasi totalité des associations est réellement opaque, comme celle des syndicats.
Surtout que les Français se rendant compte du niveau élevé de marketing, de corruption et de clientélisme politique dans lequel baigne le milieu associatif dit humanitaire, les effectifs d’adhérents baissent et les recettes des cotisations aussi.
Il en est ainsi pour la Ligue des Droits de l’Homme qui revendiquait plus de 100.000 adhérents en 1930 et en a moins de 10.000 aujourd’hui. Quant au MRAP, il aurait moins de 2.000 adhérents.
Ces associations ont toujours compté sur les contribuables pour les maintenir à flot.
SOS RACISME a ainsi reçu, par exemple, 579.000 euros de subventions publiques en 2009, pour seulement 18.655 euros de cotisations ***.
Sachant que la cotisation des membres est de 35€ par an, cela donne 533 adhérents à jour de leur cotisation.
Autrement dit, pour 35€ de cotisation privée volontaire, SOS RACISME encaisse 1.086€ d’argent public. Une affaire sacrément rentable, typique du fonctionnement de l’économie socialiste.
Un contrôle financier de l’utilisation de tout cet argent public donné à des intérêts privés par le ministère concerné serait utile, car toute association qui reçoit plus de 153 000 euros de subventions ou de dons est tenue de par la loi de publier ses comptes au Journal Officiel.
SOS RACISME a publié ses comptes pour 2009, mais ne l’a pas refait depuis, et elle est loin d’être la seule association dans ce cas. Toutes sont dans l’illégalité.
Un dernier exemple de la nocivité sociale de nombreuses associations parmi les plus subventionnées : l’UNADFI (Union Nationale de Défense de la Famille et de l’Individu) qui se présente comme une association indépendante anti-sectes est une association vit quasi exclusivement de l’argent du contribuable, puisqu’elle est subventionnée à hauteur de 97% par les pouvoirs publics, en l’occurrence l’Éducation Nationale ainsi que la Jeunesse et les Sports ****.
On se demande quelle est la véritable indépendance de pensée de cette association qui, ayant des agences dans presque tous les départements et outre-mer gère un budget colossal.
Elle n’est en fait que l’un des bras-armés de l’État contre la liberté de conscience et d’opinion ; elle a milité pour la théorie du genre et pour l’adoption de la loi interdisant d’informer honnêtement et librement sur l’IVG.
L’Imprécateur
* Martin Hirsch, ex-ministre d’ouverture de Sarkozy, avait (quand il dirigeait Emmaüs) publié une annonce proposant 8.000€/mois à un cadre recruté pour “gérer les actifs de l’association”.
** Selon un rapport de la police aux frontières (PAF) cité par Le Figaro en octobre dernier, il entre en moyenne 10.000 migrants en situation irrégulière par mois en provenance de Syrie, de Libye, d’Érythrée et d’autres territoires d’Afrique subsaharienne après leur appontage en Italie à Lampedusa où les amène la marine italienne et les flottes des associations qui collaborent avec les esclavagistes-passeurs.
Environ 40% de ces clandestins sont appréhendés par la PAF. Le reste essaie de gagner d’autres pays européens, comme l’Allemagne, ou reste clandestinement en France. Tous ces arrivants enrichissent ces associations qui demandent au gouvernement d’ouvrir plus largement les bras au trafic de migrants et de leur donner davantage d’argent.
*** Dernier chiffre connu et publié par Les Dossiers du Contribuable n°1. Depuis, SOS RACISME est silencieuse sur ses comptes.
**** http://www.prevensectes.com/padfi.htm et www.coordiap.com/Document/adfi/adfi_finances.rtf