En lisant les informations ce matin, « il est cinq heures, Paris s’éveille » on y apprend que de nombreux “jeunes” migrants sont déjà retournés à Calais, avec toujours cet espoir fou de gagner le paradis anglais. La quasi-totalité d’entre eux sont des clandestins qui ont délibérément violé les lois françaises mais sont toujours en France. Peu importe, ils ne seront pas appréhendés et sanctionnés par un renvoi définitif dans leur pays d’origine, les “humanitaires” y veillent. C’est leur pain quotidien aux humanitaires. Ou plutôt, la viande humaine qui assure leurs revenus et leurs salaires payés par les impôts des Français. De plus, Cazeneuve y tient, lui aussi. C’est son brevet de socialisme et d’islamisme, les deux idéologies dans lesquelles il baigne depuis sa tendre enfance de rejeton de “Pieds Noirs (…) militants marxistes et de gauche” (Wikipedia). Il leur trouve toutes les excuses : « ils viennent d’un pays en guerre, ils veulent rejoindre leur famille, ils n’ont pas de travail, pas de logement décent, pas d’avenir, etc. Il serait inhumain de les renvoyer chez eux ! » (J.L. Burtscher)
Tout cela est faux. Seuls quelques uns viennent de pays réellement en guerre comme la Syrie ou la Libye. La plupart viennent de pays où il est difficile de vivre c’est vrai, mais où les gens courageux restent et se battent pour améliorer leur situation. Des pays potentiellement riches ou très riches, mais dirigés par des cliques corrompues, des dictateurs sanguinaires comme Mugabe (Zimbabwe) ou Afewerki (Érythrée). Ces deux-là se disant d’ailleurs socialistes. Une démographie galopante totalement hors de contrôle et l’économie en ruine y produisent un chômage de masse. Il y sévit des guerres civiles larvées, toutes, sans exception, causées par l’islam intégriste. Des passeurs-esclavagistes leur ont fait miroiter le paradis européen où le travail et les filles sont faciles, où même il est possible de vivre sans rien faire de la charité de l’État dont le montant est bien supérieur à celui d’un salaire africain ou arabe.
Il veulent rejoindre leur famille ? − Oh que non ! Au mieux ils veulent la faire venir en Europe, continent en crise économique peuplé de mécréants et d’infidèles, mais c’est quand même mieux que l’Arabie Saoudite ou le Qatar, pays riches qui manquent de travailleurs mais où l’on risque le fouet et l’esclavage. Au pire femmes et enfants sont déjà entre les mains des marchands d’esclaves que sont la plupart des bandes d’islamo-terroristes également trafiquants de drogue et d’armes qui sévissent dans leurs pays d’origine. Mais elles leur ont prêté l’argent nécessaire pour payer les passeurs dans leur migration, que, s’il en reste, ils leur reprendront de toute façon au dernier moment, à l’embarquement sur le canot ou la barque qui les amènera dans les mains de FRONTEX et des associations humanitaires, dernier maillon de la chaîne de la traite moderne avant l’entrée au paradis européen.
Ils n’ont pas de travail ? − Les statistiques du Bureau International du Travail montrent que 80% n’en cherchent pas quand ils sont arrivés en Europe. Pas de logement décent ? − Ils les obtiennent en priorité sur nos SDF européens. Pas d’avenir ? − C’est leur choix d’être venus en toute connaissance de cause dans une Europe que ses dirigeants disent en guerre contre le terrorisme.
Coïncidence ou non, il y a aussi ce matin un mail, envoyé par l’un de mes correspondants lecteur de Minurne. C’est un article de l’excellent Jean-Louis Burtscher. Il écrit de nombreux articles sur les bienfaits de “l’islam religion d’amour et de paix” dans Riposte laïque. C’est une plaisanterie, Jean-Louis Burtscher, écrit au contraire des articles très bien documentés sur la triste réalité de “l’islam assassin”. Son article confirme l’article publié par Minurne sur les associations soi-disant humanitaires qui vivent du trafic de migrants et encaissent d’énormes subventions des ministères collaborateurs du Grand Remplacement.
Le voici. Il mérite d’être largement diffusé.
Clandestins : une machine bien huilée qui tourne à plein régime…
Je me suis toujours demandé comment les téléphones pouvaient continuer à fonctionner dans un pays à moitié détruit, sur une barque, etc. Comment sont payés les abonnements ? Où les téléphones sont-ils branchés après un séjour en mer de plusieurs jours sans prise électrique à bord ? Comment les caméras des journalistes sont là, et au bon moment, et cela en pleine mer ? − Voici l’explication. Voilà comment ça marche… au pays de Tintin dit « Casevide ».
Le coup du téléphone satellitaire bien rôdé. Miraculeux, même !
En déployant mon journal quotidien ce matin, mon attention fut attirée par une grande photo montrant des naufragés clandestins voguant sur un canot pneumatique. Banal, me direz-vous, on ne parle plus que de ça. Je décide donc de tourner la page. Mais c’est à ce moment que la légende incrustée dans la photo m’interpelle : « en pleine mer, ils appellent Strasbourg ».
Plus loin, l’article est explicite : des migrants en détresse peuvent composer un numéro d’appel téléphonique (+33 4 86 51 71 61) dont le destinataire est le bureau strasbourgeois de l’Association des Travailleurs Maghrébins de France. Là, un correspondant décroche, demande la position du bateau, le nombre de personnes à bord, s’il y a des blessés, etc.
Son collègue transfère le message aux garde-côtes de FRONTEX, organisme européen de surveillance des frontières de l’Europe pour que le bateau soit secouru le plus rapidement possible et ensuite pour s’assurer que les garde-côtes se portent bien au secours des migrants en difficulté.
Ces appels au secours sont planifiés bien à l’avance par le collectif « Watch the Med » qui distribue aux candidats à l’émigration des cartons comportant le N° de téléphone et l’intitulé du collectif.
C’est écrit en Anglais, Arabe, Français et Persan. Au verso, il est précisé que s’ils n’étaient pas rapidement secourus, le collectif ferait pression sur les médias et les politiques. Il y a aussi des contacts au Maroc et en Tunisie où les cartons sont distribués sur place. On en distribue même à Calais, Vintimille et autres lieux en Europe.
Vous pourrez faire remarquer qu’ils sauvent des vies humaines. Vous n’allez pas nous faire croire que ces gens ne connaissent pas les risques encourus. Ils viennent peut être du fin fond de la Somalie mais ils regardent aussi les informations télévisées et savent exactement ce qui les attend. Et puis, on parle surtout de ceux qui sont en détresse (forcément, quand on monte à 200 sur un bateau prévu pour 20…) mais combien d’entre eux passent sans trop d’en’ombre, sauf dans la dernière ligne droite.
Car le truc est bien connu désormais : on provoque une avarie de moteur et on appelle le numéro de Strasbourg par téléphone satellitaire. Facile ! Les garde-côtes embarquent tout le monde et une heure plus tard tous les passagers mettent les pieds dans une Europe où ils seront inexpulsables. Comme ils n’ont effectué aucune formalité pour obtenir une autorisation de séjour, de migrants, ils sont passés au stade de clandestins.
Ainsi donc, sous couvert d’une action humanitaire, un collectif ayant pignon sur rue en France et relayé par l’Association des Travailleurs Maghrébins de Strasbourg organise l’immigration clandestine en Europe et par conséquent dans notre pays sans que cela n’émeuve personne. Ainsi donc, ce collectif et cette association sont un maillon de la grande chaîne des passeurs que notre ministre de l’Intérieur promet à moult reprises de sanctionner avec la plus grande sévérité.
Allô Cazeneuve ! Où es-tu ? Tu ne vois rien ? Tu n’entends rien ? Il est vrai que tu n’en finis pas de serrer les mains aux clandestins qui violent les lois de la République. Et comme il en arrive tous les jours, je crois bien que tu vas finir par attraper des ampoules. Je sais bien que tu espères que beaucoup d’entre eux demanderont l’asile en France et que le meilleur moyen d’en attirer le plus possible est de fermer les yeux sur l’immigration clandestine et de choyer les associations qui la soutiennent et l’organisent.
Nous en avons eu la preuve, c’est en première page de nos journaux qui n’ont pas compris qu’ils venaient involontairement de jouer un mauvais tour à la « bienpensance ».
Jean-Louis Burtscher
L’Imprécateur