« LE » problème n’est pas « un » problème
Il est tard. Très tard. Nous vivons les derniers moments pour réunir en un sursaut salvateur tous les Français qui ont compris que le seul problème à régler est l’invasion musulmane.
L’actualité nous offre un exemple tragique. Le « fou d’Allah » de l’Opéra à Paris n’était pas arabe mais tchétchène. Il aurait fort bien pu être européen ou amérindien. Il s’agit bien une fois de plus de l’ISLAM. De l’islam tel que professé par l’université al-Azhar, le « Vatican » musulman, dont l’enseignement se propage dans nos banlieues et « quartiers » comme une traînée de poudre. Si on ne règle pas ce problème-là, point ne sera besoin de régler les autres. Mais notre gouvernement, parfaitement intégré au Système, compte de fidèles alliés au sein des monarchies du Golfe. Les diables de la FED étanchent leur soif avec du pétrole. Et ils ont forte soif, ces diables-là. Au royaume de Satan, il fait chaud.
Un large Mouvement réunissant tous les nationaux, tous les patriotes, de droite comme de gauche, sans aucun esprit polémique « à la politicienne », aurait une base considérable et réunirait des cadres de grande valeur, actuellement dispersés.
En France, des journalistes, écrivains, militaires et intellectuels ont lancé voici peu, avec objectivité et impartialité, LE MANIFESTE CONTRE LES COLLABOS DE L’ISLAM que nous vous invitons à signer sans tarder et à diffuser par tous moyens dont vous disposez.
Quel Chef se dressera dans nos rangs ?
On peut justement craindre que la parricide MLP se voit encore leader de ce rassemblement. Député d’Hénin-Beaumont, elle est à son niveau, ce qui n’est pas négligeable. Elle « pourrait » ainsi participer à l’effort commun. Malheureusement, personne ne l’en croit plus capable. Même au sein de son parti depuis le débat calamiteux du 3 mai 2017 où elle mit au grand jour non seulement de son incompétence (défaut non-majeur qu’auraient pu atténuer des collaborateurs de haut niveau – qu’elle écarte fiévreusement par crainte de voir son prestige assombri) mais surtout, où elle fit étalage de son inaptitude à gouverner. Gouverner, c’est prévoir disait Émile de Girardin [1]. Quand on s’enferme dans une tactique absurde dont on perçoit en un clin d’œil l’inadéquation, il est habile d’en changer. Et « changer » ou « s’adapter », Marine ne sait pas faire. Rien de sérieux ne pourra plus s’envisager avec elle. En s’accrochant à son siège comme une arapède, sa suffisance hautaine pourrait bien stériliser la dernière chance de survie de la France.
Force est de constater que, sur l’échiquier politique français, le Front National est un « poids-lourd incontournable ». Seulement voilà… la voie de la reconquête est étroite et le camion est en panne en plein milieu du chemin. Sa masse inerte barre la route aux pilotes qui seraient plus habiles à franchir en vainqueurs la ligne d’arrivée. MLP a été recalée à l’examen du permis de conduire les affaires.
Et si vous préférez l’image du « paquebot », vous entendrez peu à peu, derrière les brumes de nos espérances, éclater les premières notes du Vaisseau Fantôme…
Pour qu’une union des forces patriotiques puisse encore sauver la France, il faut qu’elle ait un vrai chef
Comme je l’écrivais en avril 2016 « En pratique, un « chef » se dégage naturellement de tout groupe uni. C’est une constante universelle. »
Cette constante universelle est le fruit de toutes les études sociologiques, quels que soient l’époque et le lieu. Encore faut-il que ledit groupe soit « UNI ». Encore faudrait-il aussi que nos Gaulois – viscéralement divisés depuis Vercingétorix – montrent la volonté de s’unir indéfectiblement et fassent fi des multiples guerres picrocholines qui les divisent depuis les temps chtoniens.
Mais le « syndrome d’Azincourt » [2] persiste. Aujourd’hui, les généraux chefaillons de la politicaillerie qui bénéficient d’un charisme relatif sont relégués dans la baraque de Guignol aux jardins du Luxembourg.
En cela, je rends hommage à Emmanuel Macron, qui a su tenir le balai avec une singulière dextérité.
Finie la république ? Finie la démocratie ? – Chiche ! Mais c’est là, précisément, qu’il faut faire très attention à la direction prise…
La Providence… qu’est-ce que c’est ?
Qu’on l’accepte ou qu’on s’en défende, même sous les coups de boutoir des chantres sataniques du Mondialisme (et des prélats jésuitiques qui ont envahi le Vatican [3]), la plupart de nos compatriotes et les autres Peuples qui forment l’Europe sont baignés de culture chrétienne depuis deux millénaires. Pour les chrétiens non-atteints par la déviance hérétique post-Vatican II, le mot « Providence » revêt une conception métaphysique : l’action du Créateur sur le monde en tant que volonté conduisant les évènements vers des buts définis par Lui.
Dans la Bible, des passages précis illustrent ce qu’est la providence. Pour exemple, les légendes d’Abraham (Genèse, 22) et de Joseph (Genèse, 36-50), de la sortie d’Égypte (Exode, 12-13) ou bien encore celle de Job. Ces légendes [4] montrent que Dieu gouverne le monde, appelé « création ». Dans le Volume de la Sainte Loi, la question théologique n’est pas de savoir si la Providence divine existe ou non : la Bible elle-même est la preuve palpable de son existence.
À l’échelle humaine, la providence divine prend davantage la forme du Destin.
Antiquité − dans son « De Natura Deorum » (De la Nature des Dieux) Marcus Tullius Cicero dit « Cicéron » déjà parlait de providentia, de « pro- » (en avant) et de « videre » (voir), conception si simple à comprendre qu’il serait superfétatoire d’aller plus avant dans son illustration.
Haute Antiquité − Épictète et Chrysippe (de l’école stoïcienne) proposaient une classification graduelle des philosophies antiques :
- athéisme de l’école épicurienne ;
- Épicure lui-même (les dieux existent mais ne s’occupent pas des hommes) ;
- position des aristotéliciens (l’ordre divin ne règne que dans le monde céleste) ;
- celle de stoïciens isolés (la providence ne concerne que l’ensemble, non le détail) ;
- Platon, dans la bouche de Socrate et illustrée par une phrase d’Ulysse dans l’Iliade, la thèse authentique du stoïcisme : la providence s’étend jusqu’au plus infime détail.
Le nom de notre futur Chef n’est (sûrement) pas encore connu. De nous…
Luc Sommeyre
14/05/2018
[1] Journaliste et homme politique français (1806-1881).
[2] Par référence à la Bataille d’Azincourt en 1415 qui vit la défaite de la Chevalerie française dépourvue de stratégie – donc d’unité de commandement – face à l’infanterie anglaise disciplinée. Cette honte fut lavée par Napoléon Ier, commandant suprême de la Grande Armée. Mais l’Empereur était-il « démocrate » au sens où braient les ânes qui nous gouvernent ?
La « démocratie » et la « république » sont les deux haridelles qui, par nuits et brouillards, tirent le corbillard de la France vers la fosse commune de la médiocrité.
[3] Il convient de prêter grande attention aux déclarations du Père Arturo Sosa Abascal (le nouveau Général des Jésuites, appelé communément le « pape-noir », ami très proche du pape François − jésuite lui aussi faut-il le rappeler − dont seule la soutane est blanche) qui mirent en cause l’authenticité des Évangiles, à Rome, le 18 février 2018. « Tout d’abord, dit le jésuite, il serait nécessaire de commencer une vraie réflexion sur ce que Jésus a vraiment dit… À son époque, personne n’avait un magnétophone pour enregistrer ses paroles. » Comme toutes les bombes lancées par les jésuites, les plus meurtrières sont cachées dans une gerbe de roses. Rien à redire quant à la forme, ni même quant au fond en première analyse.
Mais si l’on distingue de façon prospective le sens réel des paroles ci reproduites (le mot « sens » indiquant aussi la direction), apparaît clairement le but ultime de la flèche décochée par le Pape-Noir : la destruction de l’Église (donc de la civilisation dite chrétienne, donc aussi de Rome comme disent « certains »). Voilà un autre sujet − non « LE » sujet, celui qui commande à tous les autres − que nous allons être amenés à approfondir, au risque de prendre de bien sévères coups de bâton…
Leurs alliés jésuites excellent dans l’art de rentrer par la fenêtre quand on les expulse par la porte.
Démonstration :
♦ 1538 : fondation de l’ordre « La Compagnie de Jésus » par Ignace de Layola
♦ 1594 : expulsion de France et interdiction
♦ 1603 : retour des jésuites en France
♦ 1759 : expulsion du Portugal (premier pays qui les accueillit) et de ses colonies
♦ 1763 : bannissement de France
♦ 1767 : expulsion d’Espagne et de ses colonies
♦ 1776 : expulsion du Royaume des Deux-Siciles
♦ 1768 : expulsion du duché de Parme
♦ 1769 : expulsion du duché de Plaisance
♦ 1773 : expulsion d’Autriche
♦ 1773 : suppression de l’ordre dans le monde entier par le pape Clément XIV (bref apostolique « Dominus ac Redemptor » où l’on peut lire « Il est à peu près impossible que, la société des jésuites subsistant, l’Église puisse jouir d’une paix véritable et permanente »).
♦ 1814 : rétablissement de l’ordre par la pape Pie VII (bulle « Sollicitudo omnium ecclesiarum » – sollicitude pour toutes les églises)
♦ 1820 : expulsion de Russie
♦ 1824 : expulsion du Mexique (5 fois entre 1824 et 1914)
♦ 1828 : expulsion de France
♦ 1835 : expulsion d’Espagne
♦ 1868 : expulsion d’Espagne
♦ 1848 : expulsion de Suisse
♦ 1850 : expulsion de Colombie
♦ 1871 : expulsion du Guatemala
♦ 1880 : interdiction en France
♦ 1881 : expulsion du Nicaragua
♦ 1889 : expulsion du Brésil
♦ 1872 : expulsion d’Allemagne
♦ 1901 : interdiction en France
♦♦♦ 2013 : élection de François Ier, Mgr Jorge Mario Bergoglio, archevêque de Buenos Aires, nommé Provincial des jésuites en 1973, porteur de la « théorie de la libération » relative à la libération des peuples inspirée du marxisme. Le pape François est le premier jésuite s’asseyant sur le Trône de Saint Pierre.
Pensez-vous que ce soit un hasard que le pape François ait ramené avec lui des « réfugiés syriens » lors de son dernier voyage au Moyen-Orient, considérant le drame des chrétiens d’orient comme une affaire de seconde zone ?
Imaginez qu’un imam mette en cause l’authenticité du coran, de la sunna, ou même des hadiths… Je donnerais peu cher de ses abattis. Les musulmans tirent leur énergie du coran continu, mais, sous des influences subtiles et diaboliques – dont il serait trop long de faire ici l’exégèse – les chrétiens ont préféré l’alternatif, mot qui rime fort bien avec « subversif ».
Je note en mon fors intérieur que, pour le païen que je suis (re)devenu, il est presque amusant que je défende l’Église « réelle » avec tant d’acharnement… Si j’ai quitté l’Église « officielle », c’est précisément par fidélité à la Tradition dont elle s’est détournée.
Je ne puis m’empêcher de faire allusion à l’Antéchrist, évoqué par Saint Pie X : « L’homme, avec une témérité sans nom, a usurpé la place du Créateur en s’élevant au-dessus de tout ce qui porte le nom de Dieu. C’est à tel point que, impuissant à éteindre complètement en soi la notion de Dieu, il secoue cependant le joug de sa majesté, et se dédie à lui-même le monde visible en guise de temple, où il prétend recevoir les adorations de ses semblables. Il siège dans le temple de Dieu, où il se montre comme s’il était Dieu lui-même. » (Encyclique E Supremi Apostolatus – 1903).
Au reste, il est intéressant de se pencher sur ce mot, « Antéchrist »… Désigne-t-il « Celui qui vient avant le (retour du) Christ » comme on pourrait sémantiquement l’entendre, ou bien est-ce la déformation de « anti-Christ » comme c’est couramment admis ? Voici, une fois de plus, un oxymore apparent, soulignant une contradiction lourde entre le signifiant et le signifié.
Mais si c’était… les deux à la fois ? − Eh bien, il évoquerait la venue sur Terre de Satan manifesté et l’annonce de l’Affrontement Final tel que pré-senti lors des Initiations de l’ultime degré. Une question passionnante à étudier.
[4] « Ce qu’on appelle “les Légendes” m’apparaissent comme des enseignements reçus dans une langue perdue où la relation signifiant-signifié a été rompue. Peut-être lors du Déluge… Évola ne m’aurait pas démenti. » (in Coup de Gueule d’un Raciste en Colère − 2ème partie).