Une paix sociale achetée aux frais de la France laborieuse.
La SNCF a donné le coup d’envoi prévisible du chantage aux revendications.
Ont-ils eu raison ? Certainement, puisque que l’on ne refuse rien aux enfants gâtés de la République qui vont, pour certains, pouvoir bénéficier d’une cessation d’activité 30 mois avant leur retraite.
L’État (donc nous) verse chaque année une subvention de 3,2 milliards d’euros pour équilibrer les comptes de leur caisse de retraite, et comme ce n’est pas suffisant, les caisses complémentaires du privé (donc nous aussi) Agirc-Arrco sont, elles aussi, sollicitées. (source : Capital).
Ces épuisés du ferroviaire « aiguillent les aiguilleurs du ciel » dans la même direction. Eux aussi ont apparemment eu satisfaction sans que l’on sache exactement ce qu’ils ont obtenu.
Maintenant, ce sont les éboueurs et la RATP qui revendiquent…
Toutes ces corporations sont-elles les seules à être dans ce qu’ils appellent la pénibilité au travail ?
- Et le personnel de santé ?
- Les ouvriers d’usine ?
- Ceux qui travaillent par tous temps en extérieur ?
- Et bien d’autres métiers ingrats,
La liste est longue…
Bizarrement, toutes ces professions ne sont pas écoutées, elles sont même snobées.
Même les syndicats s’en contrefichent. On profite de leur conscience professionnelle, pour d’autres qui peuvent être les mêmes, c’est de leurs fins de mois difficiles dont on abuse.
Où est l’égalité sociale ?
Qui va financer ces largesses ?
Tout simplement les utilisateurs et les contribuables qui ne sont pas forcément les utilisateurs !
Comment peut-on, après être revenu sur l’âge de départ à la retraite de certains personnels de la SNCF, s’acharner à ce que les gens du privé travaillent jusque 65 ans ?
Ce que certains vont appeler des avancées sociales ne sont que le résultat d’un chantage prévisible qui va peser à vie sur le budget de l’État (c’est à dire nous).
Le gouvernement démontre une fois encore son amateurisme, son manque d’anticipation à gérer un événement :
- Paix sociale achetée…
- Insécurité grandissante au point de faire appel aux services d’ordres étranges
- Coûts non maîtrisés…
- Expulsions des migrants aux quatre coins de la France…
La liste est longue de ce que l’on peut appeler une pagaille olympique.
Il devient urgent de légiférer pour certaines restrictions sur le droit de grève, notamment :
- Dans l’intérêt de la Nation pour les grands événements.
- Dans l’intérêt des Français et leur bien-être au moment des vacances.
- Dans l’intérêt du budget de l’État, au déficit abyssal.
Il faut stopper ce pouvoir de nuisance qui dépasse le principe du droit de grève et scinde la France en deux.
Patrick Becquerelle
29/4/2024
C’est » la France Cgt » qui perdure, la pire erreur de De Gaulle d’après guerre, partageant le magot Sécurité-sociale, caisse d’allocations et le super pactole des cotisations obligatoires des salariés du privé via l’URSS.af au profit des régimes-retraites-spéciaux, et communistes et d’état.
Depuis, faute d’industries liquidées par les mêmes écolos-cocos, ils inventent impôts, taxes, cerfas à qui mieux mieux pour continuer à vivre comme « avant » de taxes, comme des esclavagistes en braquant tous les jours entrepreneurs et salariés du privé.
Notez qu’avant 2017 les cocos fonctionnaires, ne participaient même pas aux cotisations Unédic, c’est dire à quel point ils sont communistes pervers, soit pour un couple de fonctionnaire une « économie » de 50 000 euros sur leur « carrière », une maison de campagne.
La directive européenne 92/46/49 (défendu par Claude Reichman en 2002) permettait d’aller vers la responsabilité individuelle et un système-suisse de retraite/santé et bien les cocos en 2002 l’ont blacklistée et pour cause, l’argent du privé n’a pas de prix pour les cocos-esclavagistes qui n’aiment pas la liberté, mais le racket avec lois ou circulaires.
Les maîtres chanteurs communistes ont tout pour eux, de vrais maquereaux !