(Poème vaguement inspiré de la colère de Don Diègue dans « Le Cid » de Pierre Corneille.
Je suis conscient que c’est faire trop d’honneur à un matamore d’estrade, à un islamo-gauchiste qui déteste la culture française, que de s’inspirer du grand Corneille.
Pardon, pardon, pardon !)
(Le décor : Un bureau austère et triste comme une cellule de moine; au mur les photos de Joseph Staline, Mao Zédong, Fidel Castro et « Che » Guevara. Rien que des vrais démocrates ! )
En veste à col Mao, Rachid Merluchon, président-dictateur d’un parti plus à gauche que la gauche, les « Zinzins Soumis », fait les cents pas et laisse éclater sa grogne. Après les magouilles et désistements du deuxième tour des législatives, il se voyait déjà premier ministre mais les choses ne se passent pas comme prévues. Il avait pourtant réussi à créer un front des gauches, qu’il avait baptisé « Nouveau Front Populaire », comme le « Front popu » de 1936, ou le « Fronte crapular » de la guerre d’Espagne, mais quelques jours après les élections, ce front – association de la carpe et du lapin – se fissurait de partout et devenait la foire d’empoigne, la Tour de Babel ou le « Radeau de la Méduse ».
C’est à désespérer de vouloir faire croire aux allogènes des banlieues qu’ils sont des martyrs palestiniens. Dans son parti, la plupart de ses groupies, comme Mathilde Pavot, refusent de qualifier le Hamas de mouvement terroriste. Or Rachid Merluchon connait l’adage palestinien qui dit que « Pierre (de l’intifada) qui roule n’Hamas pas mousse ». Chez les « Zinzins Soumis », on pense que les terroristes du Hamas sont des résistants. Merluchon n’aime pas les Blancs ; il rêve de « créoliser » son pays et compte, pour ce faire, sur le vote des allogènes qu’il caresse dans le sens du poil et auxquels il lèche les babouches…Jusque là ça a plutôt bien fonctionné…
Ô rage ! Ô désespoir ! mais quel pays de cons,
Peuplé par des fachos, des bourgeois, des poltrons.
Tous ces gens bien trop blancs au faciès sinistre
Ne veulent pas de moi comme premier ministre.
Mes talents de tribun, mes discours, mon mental,
J’ai toutes qualités pour remplacer Attal.
Et il est indéniable que mon tempérament
Fait de moi un joker pour le gouvernement.
Or ma popularité aujourd’hui se ramasse,
Parce que mes affidés soutiennent le Hamas.
Pour ma part, je m’en fous que les Palestiniens
Veuillent éradiquer ces putains de youpins ?
J’ai fait ce qu’il fallait pour qu’on parle de moi,
J’ai, dans tous mes discours, fustigé les Gaulois,
Je me suis prostitué devant les allogènes ;
Je les ai flagornés, et attisé les haines.
J’ai léché les babouches des disciples d’Allah,
J’ai aussi défendu le port de l’Abaya.
Quand je parle des Blancs, ces cons de Franchouillards,
Je les traite de tout, de veaux, de pétochards,
Et tant pis s’ils me voient en islamo-gauchiste,
C’est mon droit, après tout, d’aimer les terroristes.
Je défends le Hamas, et j’entends continuer
Ça m’attire les suffrages des banlieues basanées.
Ma position de chef des « Zinzins Soumis »,
Devait me préserver de bien des avanies.
J’espère être calife et chasser le Macron
Je ne supporte plus ce petit avorton.
Quand je suis presque au but, tout foire autour de moi,
Même dans mon parti on dit du mal de moi.
Ça m’est insupportable, ça ne peut plus durer :
Ceux qui furent mes alliés veulent leur liberté,
Qu’ils soient des « Khmers verts », des traitres écolos,
Des gauchistes déçus ou bien des socialos,
Ces gens me doivent tout, aussi je les conchie,
Quand je gouvernerais, gare à leurs abattis !
Moi je veux gouverner, comme Hugo Chavez,
Et n’entends pas rester le cul entre deux chaises.
Quand j’aurai le pouvoir, car un jour je l’aurai,
Je ferai fusiller, pendre ou guillotiner,
Tous les salopards qui ne pensent pas comme moi.
Ça créera, j’en suis sûr un véritable émoi.
Les Français auront peur, et moi je serai fier
D’être un digne héritier de ce grand Robespierre.
J’imagine en riant la tête des « sans dents »
Qui vivront demain en pays musulman.
Peut-être ces abrutis, ce ramassis de cons,
En viendront, pourquoi pas, à regretter Macron.
Et que finalement, à bien y réfléchir,
Un régime islamiste peut être cent fois pire.
Et ils pourront bramer, regretter l’ancien temps,
Ils seront les « Dhimmis » d’un État musulman.
Mais moi, de mon côté, je n’ai pas d’états d’âme :
Car j’ai choisi mon camp, c’est celui de l’Islam.
(Il décroche son téléphone et apprend qu’il est désavoué par Alexis Corbillard, son ancien bras droit, Raclette Caribou sa compagne, Mandarine Hautain et François Rufian… Même dans un pays dégénéré, il est rare que les associations de malfaiteurs ne finissent pas en règlement de compte…)
Cédric de Valfrancisque
16/07/2024
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Si Pierre Corneille avait vécu au XXIeème siécle, il se serait réjoui de votre article… son ouvre Nicomède n’était pas vraiment appréciée par l’entourage de la royauté., cependant il a fait moult efforts pour mériter la considération de son roi. C’est un peu la même cuisine politique à notre époque, tout voir, tout entendre et se taire.
Vous ne parlez pas de la petite statue représentant les 3 petits singes orientaux quand même ? Des bonobos, il y en a plein l’Assemblée. Et eux sont intelligents (les bonobos bien entendu). Mais comme j’adore les poèmes de Mr de Valfrancisque, je vais m’abstenir d’aller plus loin et le relire une seconde fois. Votre plume, Monsieur, trempée dans le vitriol me fait pendser à tous ces hommes littéraires (Lamartine, Victor Hugo, Montesquieu,….) qui nous ont dit ce que serait l’islam dans les temps à venir. C’était pour nous prvenir mais le bon peuple gaulois dort. Alors dormez braves gens ! mais la charia arrive à grands pas ! Et quand elle sera là, ce sera trop tard ! Malheureusement ce sont nos enfants et nos petits enfants qui devront la subir. N’a-t-on pas parlé de « génération sactifiée » ?