LA MULTIPLE TRAÎTRISE ANGLAISE (Pierre Duriot)

On se demande à quel jeu joue le nouveau premier ministre travailliste anglais Keir Starmer, avec les émeutes qui occupent les télévisions du monde entier ? À l’origine le meurtre de petites filles anglaises par un ressortissant de l’immigration, intervenant dans un contexte déjà largement marqué par des meurtres, viols à répétition enregistrés depuis des années, dont sont victimes les personnes de la population d’origine anglaise et perpétrés par des voyous issus de l’immigration, arabo-afro-musulmane, la plupart du temps, avec une configuration dont nous parlions dans l’un de nos derniers articles, centrée autour de la zone pakistanaise.

Les gouvernements anglais qui se sont succédé ont refusé de prendre le problème sous la forme d’une assimilation à la française, mais préféré le parti de laisser se juxtaposer les communautés en leur accordant des dérogations coutumières, pensant que tout le monde pourrait voisiner en paix. C’était sans compter sur l’incapacité d’une communauté en particulier à voisiner en paix avec qui que ce soit et qui fonctionne sur le mode de la conquête depuis 1400 ans, jouant toujours sur la masse critique numérique, soit pour pratiquer la Taqiya, la victimisation, ou passer à l’attaque en cas d’acquisition de la supériorité numérique. C’est bien ce qui s’est produit au Royaume-Uni, avec une pression sur la population d’origine exercée par le biais d’une délinquance galopante qui a rendu invivable l’existence des Anglais, condamnés à quitter des quartiers entiers, ou a se barricader derrière des systèmes d’alarme et à ne plus sortir, passée une certaine heure.

ENTRE TAQIYA ET DHIMMITUDE

Les gouvernements donc, ont adopté une traîtrise à plusieurs étages avec une incapacité à reconnaître la nature des délinquants, en étant incapables d’assurer la sécurité de tous, en cataloguant à l’extrême droite tous ceux qui refuseraient de se laisser tuer en silence et en condamnant durement ceux qui oseraient se plaindre que leurs enfants tombent sous les coups des « invités ». L’affaire a pris une tournure inhumaine avec les arrestations et jugements expéditifs d’Anglais de souche pris à protester avec violence certes, mais pas sur les personnes. Une justice en quelques jours, des peines très lourdes de prison, dans lesquelles ces gens vont se retrouver avec une population carcérale majoritairement musulmane, comme en France et leurs photos, noms et méfaits, diffusés par le gouvernement sur les réseaux sociaux. Mais il a pire encore, puisque pour leur faire de la place dans des établissements surchargés, plusieurs centaines de libérations ont eu lieu, comprenant des hommes dangereux, incarcérés pour des faits de meurtre, dont les peines sont ainsi raccourcies de manière impensable. Le gouvernement travailliste instaure donc de fait, une justice ethnicisée, officialisée, assumée, frappant plus spécialement les personnes issues de la population d’origine. On pense au phénomène similaire, en France, pendant l’épisode des Gilets Jaunes.

MÊME UN SOCIALISTE S’INQUIÈTE

À quoi pense Keir Starmer ? Soit qu’il satisfait la demande de sa population rapportée devenue la plus nombreuse et pour partie, son électorat majoritaire ; soit qu’il a peur et fait allégeance à une certaine idée de la conquête du territoire par la charia, dans laquelle les musulmans considèrent comme des Dhimmis, c’est à dire des inférieurs, les personnes des autres confessions ; soit qu’il envisage délibérément une conversion du royaume entier à la formule de la République islamique à l’iranienne ; soit qu’il ne sait pas où il va et improvise.

Un début de réponse à ses errements pourrait venir de l’autre bout monde, au Bangladesh, où un prétendu blasphème commis à l’occasion d’une fête religieuse a entraîné une série d’attaques dans tout le pays, contre la minorité hindoue. Une dizaine de personnes sont mortes et des centaines ont été blessées, le tout dans des scènes d’horreur, avec des pendaisons et décapitations des personnes désormais en infériorité numérique. On se souvient que ce type de scènes a également eu lieu en Egypte, avec des flambées de violence contre les chrétiens, avec des incendies d’églises. Keir Starmer devrait se souvenir de temps en temps qu’il est blanc et chrétien lui aussi et à ce titre, dhimmi. Plusieurs observateurs et non des moindres, analysent avec un certain effarement ce qui se passe en Angleterre. « Il y a tous les symptômes de la crise qui touche les sociétés européennes », a affirmé Frédéric Salat-Baroux, ex-secrétaire général de l’Élysée, qui n’est pas franchement un extrémiste de droite. Keir Starmer apparaît comme un type apeuré qui prend le parti du crocodile en espérant être mangé en dernier. Mais le chemin anglais, comme le dit en filigrane Salat-Baroux, préfigure ce qui nous attend dans bien d’autres pays européens où, même si la configuration de l’immigration massive n’est pas la même, le principe de la supériorité numérique des musulmans va entraîner les mêmes effets. Bien sûr, tous les musulmans ne sont pas des meurtriers de dhimmis en puissance mais il n’y a pas besoin qu’ils le soient tous. La masse des musulmans attentistes se rangera du côté du plus fort, quel que soit le cas de figure. Soit elle retrouvera bon gré mal gré l’ambiance des pays musulmans qu’elle a fui, soit en cas de victoire de la chrétienté, elle invoquera le pas d’amalgame et se victimisera, en attendant le prochain assaut. Le problème pour les Français, Allemands, Belges et autres est qu’il est très probable que leurs gouvernements actuellement en place, adopteront le même positionnement que l’anglais Keir Starmer.

Pierre Duriot

08/08/2024

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