MÉMÉ TROGNON (Cédric de Valfrancisque)

(Poème librement inspiré par la célèbre chanson d’Aristide Bruant « Nini peaud’chien », c’est un hommage à notre première dame ; celle qui a déniaisé Macron et qui fait le bonheur de la presse people et des hebdomadaires pour shampouineuses ; celle que des mauvaises langues surnomment  « Jean-Brichel », je ne saurais vous dire exactement pourquoi ?…)

 

 

Fraiche  et encore belle

Prof  de français,

Le jeune Emmanuel

Elle a déniaisé.

Maint’nant qu’elle est vieille,

et toute fripée,

Cette  haridelle

Ne l’fait plus rêver (1).  

Refrain :

À l’Élysée, Il n’aime plus Mémé Trognon,

Qui n’est ni belle, ni gentille !

Il n’aime plus : qui ça ?  Mémé Trognon, : où ça ?

À l’Élysée…ée…ée !

 

On dit que Macron,

Si content de lui,

Préfère le giron,

À cette harpie.

Ce sont médisances,

Moi, je vous le dis :

Dans sa suffisance,

Il n’aime que lui.

Refrain :

Le paltoquet en a marre de Mémé Trognon,

Et des ses cuisses de grenouilles.

Il en a marre : qui ça ? Il n’en veut plus : qui ça ?

Le paltoquet…et…et.  

 

On  a raconté,

C’est même attesté,

Qu’il aime caresser

Les peaux basanées.

La vieille forcément

Ça lui fait d’la peine

Ce  bizarre  penchant

Pour les allogènes.  

Refrain :

A l’Elysée, il n’en peut plus d’ Mémé Trognon,

Et de sa coiffure de cocker.

Il n’en peut plus : qui ça ? Il n’en veut plus : où ça ?

A l’Elysée…ée…ée.  

 

Quand le soleil brille

Dans ses blonds cheveux,

La vieille frétille

Devant  son  morveux.

Elle en pince pour lui,

Elle l’a dans la peau :

Elle n’aime que lui,

Et son chien « Némo »

Refrain :

Or Emmanuel ne veut plus de Mémé Trognon,

Et des ses jupettes trop courtes.

Il n’en peut plus : qui ça ? Il n’en veut plus : qui ça ?

Emmanuel…el…el. 

 

Mais le sale gamin

A tous les culots

Et il se fout bien

De  ce vieux tableau.

Car ce triste sire,

Fier et mégalo,

En fait, n’admire

Rien que son égo (2).

Refrain :

Nous, on s’en fout des amours de Mémé  Trognon,

Et de son gamin narcissique.

On n’en veut plus : d’qui ça ? Faut qu’on les chasse : où ça ?

Faut qu’on les vire…ire…ire…

 

Cédric de Valfrancisque

10/08/2024

  

1) (Note de l’éditeur) : Cédric de Valfrancisque déteste la vulgarité. Un autre auteur, moins soucieux de langage châtié, aurait écrit « Ne l’fait plus bander ». Je soupçonne l’auteur de viser son élection à  l’Académie Française.

2) (Note de l’éditeur – bis) : Un auteur moins imprégné d’antiracisme, moins respectueux de « la diversité » et de cette immigration africaine qui est « une chance pour la France »  aurait sans doute écrit, cédant à la facilité, « Rien que les négros ». Il devient évident que l’auteur, ce poète, mérite d’entrer à l’Académie Française.

 

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1 Commentaire

  1. Le titre de “Première Dame” n’a jamais existé en France. C’est une fumisterie inventée par les francs-maçons pour l’épouse de Macron. J’adore vos écrits …. et, même sivous n’entrez pas à l’Académie Française (fautil en tuer un pour qu’un fauteuil vous soit réservé ???) vos écrits sont “frappants” ! Bravo pour cette nouvelle version de “Nini pueau d’chien”.