EDITO 773 : UNE QUICHE SE PLAINT D’UNE QUICHE (Xavier Jésu)

Il y a une quarantaine d’années de cela, j’habitais dans un petit village de l’arrière-pays niçois, tenu par un maire communiste, plutôt sympa je dois le reconnaitre. Je faisais partie du comité des fêtes et nous avions fort à faire quand les différentes activités se succédaient entre le printemps et l’automne. Comme toutes personnes qui s’engage dans un tel comité, nous étions bien évidemment bénévoles et nous espérions être vus comme tels pour que nos imperfections dans les diverses organisations soient pardonnées. Nous ne comptions pas nos heures pour que les journées soient les plus agréables pour les administrés.
Lors d’une de ces activités, j’avais proposé de m’occuper du barbecue qui se résumait à faire cuire les saucisses et, aussi, des merguez pour une population déjà très importante de Harkis, d’enfants de Harkis et aussi d’Algériens de souche. Dans les années 85-90, le « touche pas à mon pote » était très actif et j’ai découvert à ce moment-là, aussi, le « touche pas à ma merguez avec la pince qui a touché la saucisse d’à côté » !! . En effet, j’avais eu le malheur de servir à une jeune femme musulmane une merguez dans un morceau de pain et de l’harissa ave la même pince qui avait servi à retourner sur le barbecue, les chipolatas et autres saucisses bannies par leur religion car 100% porc. Sacrilège qui m’avait valu, ce jour ci, une belle engueulade de la part de la jeune fille qui, heureusement ne connaissait pas mon nom de famille… J’avoue avoir été très en colère car j’avais dû m’excuser d’une erreur qui, pour moi dans ces années-là, n’en n’était pas une, mais une simple facilité quand on est devant un feu qui vous cuit autant que les merguez et qui vous transforme la chevelure en toison gominée par les émanations de graisses. J’aurais bien voulu lui dire que le bénévole que j’étais, supportait bien de puer la merguez en fin de journée pour son bien-être à elle et que si elle n’était pas contente, elle n’avait qu’à venir avec sa boucherie halal avec elle. Mais j’étais respectueux de ma mission de « service public » et me suis retenu de lui dire d’aller se faire voir, elle et ses interdictions dont je ne comprenais, à l’époque, ni le pourquoi ni le comment. Je vous épargnerai aussi l’insulte qui m’avait traversé l’esprit concernant l’utilisation qu’elle pouvait faire de sa merguez…
Je suis persuadé que cette femme agressive doit être en abaya, maintenant et écoute les prêches des imams intégristes.
Cette histoire m’avait marqué, surtout à une période où l’islam n’était pas encore aussi conquérant qu’aujourd’hui, ou disons moins ostentatoire, et que la population de harkis qui avaient fait la guerre aux côtés de Français, calmaient encore les ardeurs des jeunes qui commençaient à manifester leur présence mais de façon bien moins respectueuse que celle des anciens combattants qui aimaient le pays pour lequel ils s’étaient battus.
Aujourd’hui, nous parlons de l’erreur d’une jeune serveuse qui aurait servi une quiche lorraine au lieu d’une quiche au fromage à des musulmans. Résultat dû au probable flot d’insultes que l’employée a reçu : le porc disparait définitivement du magasin. Victoire 1 à 0 pour le communautarisme religieux et son irrespect de la laïcité française.
Alors, pour, soutenir à ma façon les quelques charcuteries qui restent dans le pays et les traiteurs qui considèrent que tout est bon dans le cochon, je leur offre cette recette simple et vous propose, au passage, d’en faire chez vous ! c’est tellement bon !
Xavier Jésu
22/08/2024

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2 Commentaires

  1. Une quiche lorraine ! quel bonheur de manger cela ! Ce n’est pas à mes ancêtres alsaciens que je la dois mais à mon épouse (pure nantaise) qui a appris auprès de sa maman comment la fairre. Et si cela ne plaît pas aux muzz et autres racailles, comme l’a dit “Dissident” : qu’ils aillent dans leurs p… de pays arabes et constatent que là-bas il faut travailler pour manger, que là-bas l’esclavage existe encore de nos jours, que là-bas aucun “hors sentier” n’est permis ….. C’est d’ailleurs pour ça qu’ils viennent chez nous. On leur laisse tout faire … même assassiner des gens de n’importe quelle façon…. Alors à quand le réveil de la France ? Je connais des étrangers qu’il faudrait envoyer dans les “cités sensibles” mais eux ont l’amour de la Patrie : c’est la Légion Etrangère (qye je salue). Nettoyons tous ces nids à cfards et renvoyons ceux qui seront encore vivants après dans leurs pays ! Mais tant que le Poudré de l’Elysée sera à son poste il n’y aura rien à faire. Donc, renvoyons-le lui aussi dans son foyer ! AUX ARMES CITOYENS !

  2. Quand la première anecdote vous est arrivée, l’incident était anodin et l’islam pas conquérant. PREMIERE ERREUR ! que nous avons tous faite.
    La marche de l’isslam était engagée engagée et nous ne voyions rien.
    Aujourd’hui l’heure est grave et pour la même chose vous prendriez un coup de couteau.
    Alors BASTA comme disent les Corses, que les mahométans aillent se faire foutre au bled. Chez moi c’est cochon, quiche au lard (et je vous jure que je sais la faire depuis longtemps, et pas un muz ne passe ma porte.