MORPION L’AFRICAIN (Cédric de Valfrancisque)

« Scipion l’Africain (Publius Cornelius Scipio Africanus) est un général et un homme d’État romain, né v. 236-235 av. J.-C., et mort en 183 av. J.-C. Il est connu pour ses campagnes militaires victorieuses contre les Carthaginois en Hispanie, puis pour la conquête du Nord de l’Afrique… »

« Morpion l’Africain » est un avorton qui aura passé sa vie à faire repentance et à lécher les babouches des Africains, fussent-ils noirs ou du nord… »

Il m’arrive – assez rarement j’en conviens – d’avoir quelques réminiscences des années de latin que j’ai subies jadis, en honnête cancre. Elles ne m’ont pas servi à grand-chose. Vatican II ayant tiré un trait sur la langue éternelle de l’Église, les curaillons progressistes n’apprennent plus le latin. Je crois savoir qu’on leur enseigne les « droits de l’homme » à la place. Heureusement qu’il reste quelques chapelles traditionnalistes sinon le latin serait une langue morte… définitivement morte. Pour ma part, je partage l’avis de Georges Brassens dans sa chanson « Tempête dans un bénitier » :

« Ils ne savent pas ce qu’ils perdent/ Tous ces fichus calotins,

Sans le latin, sans le latin/ La messe nous emmerde… »

Pour dire les choses moins crûment, je suis pour le rite tridentin et la messe de Saint Pie V.

Mais, me direz-vous, où veux-je en venir avec une telle entrée en matière ?

Au fait que j’ai croisé « Publius Cornelius Scipio Africanus » (dit « Scipion l’Africain ») durant mes chères études et qu’il ne m’a pas laissé un souvenir impérissable. Mais je ne savais pas que la vie me confronterait – même de loin ! – à un personnage douteux, fourbe, menteur, machiavélique, narcissique, que d’aucuns surnomment « Jupiter », « Choupinet », « Manu » et que, pour ma part, j’ai envie d’appeler « Morpion l’Africain ». Je veux parler, sous l’aurez compris, du marquis Emmanuel de Morveux d’Enarque, tant sa politique africaine aura été un fiasco, un bide total. Vous pourriez me rétorquer, à juste titre, que TOUT ce qu’il entreprend vire à la catastrophe ; c’est exact !

Je manque sans doute de charité chrétienne mais j’avoue que je me gausse, je m’esbaudis, je me tape sur les cuisses devant les malheurs de ce gamin arrogant qui foire tout ce qu’il entreprend.

Ce garnement immature et imbu de sa personne ne rate jamais une occasion de dire des sotties « et en même temps » des inepties qui lui retombent toujours sur le nez. Mais aujourd’hui, je veux vous parler de son goût, son étrange attirance, pour les nègres et les sarrazins et, en corolaire, de sa détestation du « mâle blanc » (hétérosexuel), car tout ceci me laisse pantois et perplexe.  

Souvenez-vous qu’en son palais, il fit venir, lors de la Fête de la Musique, en 2018, quelques nègres invertis qui éructèrent des insanités devant la dame Brigitte (née Trognon du Touké) laquelle, malgré son grand âge et ses rhumatismes, se trémoussait comme une jouvencelle.

Le royaume était en grande honte et l’Europe se mandait si le marquis et sa duègne avaient fumé quelque substance hallucinogène (dont sont fort friands les « bobos » (1) de la Cour).

Bien avant que d’être aux affaires, le marquis disait tout le bien qu’il pensait des allogènes plus ou moins bigarrés qui, petit à petit, occupent le royaume, vivant de trafics illicites et des aides, aussi diverses que variées, qu’on leur offre généreusement (puisqu’elles sont payées avec les deniers du contribuable). Le marquis aime l’exotisme, au point de prendre la Guyane pour une île, Si-bête Haine-Diaye comme porte-parole, une grasse Malienne vivant outre-quiévrain pour représenter la Francophonie et la dame Ayayaïe Nakamura, née elle aussi au Mali, pour massacrer une chanson d’Edith Piaf lors de l’inauguration des Jeux Olympiques de Boboland.

Au début de son règne, il avait même pris pour garde-du-corps, un mameluk du nom de Ben Allah. Depuis, tout ceci est parti en eau de boudin (2) : la dame Taubiraciste, guyanaise haineuse, a renvoyé le marquis dans les cordes en l’invitant à revoir sa géographie ; la plantureuse Sénégalaise Haine-Diaye et ses déguisements de Marsupilami sont passés aux oubliettes ; et la brute maghrébine, que son maître avait pourtant nommé colonel, a été condamnée par la justice.

On se souvient aussi qu’il avait qualifié de « crime contre l’humanité » la colonisation d’un repaire de barbaresques que nous avions baptisé « Algérie ».

Puis, qu’il avait chargé un Juif séfarade du nom de Stora de faire un rapport culpabilisant le royaume afin de s’attirer les bonnes grâces du vieux président Abdelmadjid Tebboune-Youl (3).

Patatras !!! Toujours soucieux de parler, généralement pour dire tout et son contraire, voilà que le marquis a reconnu à Mohamed VI, roi du Maroc, des droits sur le Sahara occidental.

Ceci a provoqué l’ire du pouvoir algérien, avec rappel de l’ambassadeur d’Algérie à Paris. 

Ce n’est, hélas, pas la première fois que la logorrhée du marquis, qui dit tout « et en même temps » son contraire, suscite des troubles sur la scène internationale. Il a réussi à nous faire chasser de toutes nos anciennes colonies africaines. Mais jamais la confusion des genres entre son baratin mondain et ses discours filandreux n’a provoqué une telle tension. Il est arrivé à faire l’unanimité contre lui en Algérie et ailleurs. Or ce pays compte plus de 40 millions d’habitants dont la moitié à moins de 20 ans. Dès leur plus jeune âge, les Algériens apprennent à détester la France mais, grâce à des accords débiles (et unilatéraux) datant de 1968, les jeunes Algériens peuvent venir massivement en France pour vivre de nos aides sociales. Dans leur pays, gouverné depuis son indépendance par des incapables et des corrompus, ils crèveraient de faim. Ils NOUS détestent et ne s’en cachent pas, mais ils veulent bien de NOTRE argent. L’argent des « Kouffar » (كفار, kuffār ) n’a pas d’odeur.

Ce gamin trop gâté, trop content de lui, paie aujourd’hui des années d’aveuglement sur la nature réelle du régime algérien. Il a longtemps voulu croire, que le vieil Abdelmadjid Tebboune-youl, depuis décembre 2019, pouvait être son partenaire dans une « réconciliation des mémoires » entre le royaume et l’Algérie. Vaniteux comme un paon, il se rêvait ainsi en héritier de François de Jarnac, baron de Latché, aux côtés du führer du IV° Reich, Helmut Kohl, à Verdun en 1984, quand deux peuples, enfin en paix, regardaient ensemble vers l’avenir (4).

En novembre 2020, le marquis, toujours imprévisible, qualifiait son homologue algérien de « courageux ». Il oubliait que Tebboune-Youl avait, sept mois plus tôt, accusé le royaume d’avoir massacré « plus de la moitié de la population algérienne ». L’annulation de la visite du premier ministre de l’époque, Jehan Cache-Sexe, à Alger, sur fond de déclaration haineuse d’un membre du gouvernement algérien, a souligné la fragilité du pari du marquis sur son homologue Tebboune-Youl.

La psychologie n’est pas sa qualité première, ni même la dernière. On raconte que la famille de Brigitte, les Trognon du Touké, et même le chien Némo, s’en sont rendus compte…

Ensuite, le chef de la diplomatie algérienne a dénoncé, depuis le lointain Mali, la « faillite mémorielle qui est malheureusement intergénérationnelle chez un certain nombre d’acteurs de la vie politique (du royaume), parfois au niveau le plus élevé ». Dans ce pathos verbeux, il ne citait pas le marquis en sa qualité de pompier-pyromane mais on comprenait bien qui était visé.

A Alger, toutes les gazettes se déchaînent contre « des positions inacceptables qui résonnent comme un casus belli », contre « la haine et la rancune exprimées (par le marquis)» ou la « pitoyable quête de voix dans un vote qui fait aux idées d’intolérance et de haine la part belle ».

Le moins que l’on puisse dire, c’est que c’est bien envoyé, et sans fioritures !

Si le marquis en avait (5), il sauterait sur l’occasion – inespérée ! – pour dénoncer les accords iniques (ta mère, eh bouffon !) de 1968 et renvoyer chez eux tous les parasites, dealers, voyous et autres délinquants algériens qui vivent chez nous de notre générosité (ou de notre laxisme). Il pourrait aussi aller plus loin et remettre en cause le « Jus Solis » et le « regroupement familial ».

Mais encore faudrait-il que ce gamin narcissique possède un minimum de dignité. En vérité, le marquis est un porte-poisse. Il a la scoumoune, le mauvais œil. Il n’a pas la baraka : même quand il prend une bonne décision – comme la reconnaissance des droits du Maroc sur le Sahara – elle lui revient en pleine poire, comme un boomerang.  A force de dire tout et son contraire, pour le seul plaisir de d’écouter parler, plus personne ne le prend au sérieux.

Un opposant algérien, Karim Tabbou,  a dénoncé « le profond désarroi d’un homme qui, faute de gagner de grandes batailles, espère tout au moins gagner la bataille électorale ». Si le marquis, que d’aucuns surnommaient « le Mozart de la finance », n’a pas compris que le bulletin de vote des Franco-algériens était acquis à Rachid Méchankon, c’est qu’il est aveugle, sourd, autiste, borné ou idiot.  Bref, il aura réussi le tour de force de coaliser contre lui, et contre son peuple, l’ensemble des sensibilités algériennes. L’entêtement de son pari sur Tebboune-Youl se transforme en fiasco total.

Et dire que ce jeune inconscient, cet irresponsable, qui déclare souvent qu’il ne porte pas « le poids de la colonisation », prétendait faire un travail d’apaisement des mémoires.

Je n’ose pas dire que le marquis est un « bon à rien », non, il est mauvais en tout !

Pourtant, depuis qu’il est au pouvoir, il prononce, chaque 17 octobre, un discours filandreux pour dénoncer ce que les Algériens (et leurs « idiots utiles ») qualifient de « massacre du 17 octobre 1961 » ou de « ratonnades policières » au cours desquelles quelques manifestants algériens ont été tués.  Dans ses interminables discours-fleuves dignes de Fidel Castro, notre « Fidel Castré » est généralement excellentissime quand il s’agit de dénigrer son pays – ses forces de l’ordre, son armée – ou les « Gaulois réfractaires » qui le peuplent. Et, pour une fois, il est sincère : il déteste la France et les gueux qui la peuplent. En fait, sans oser le dire ouvertement, il à la même obsession que Nino Ferrer qui chantait jadis : « Et c’est pourquoi je voudrais/Je voudrais être noir/Je voudrais être noir ».

Depuis les dernières élections législatives, le marquis est confronté à un grave dilemme : il lui faut absolument trouver un premier ministre à sa botte. Or « Morpion l’Africain » voudrait une femme, pour flatter les féministes ; qu’elle soit lesbienne, pour flagorner la communauté LGBT+++ ; et si possible négresse ou sarrazine pour satisfaire les allogènes basanés ou bigarrés qui deviennent majoritaires dans le royaume. Ce type de profil existe chez nous, elles sont mêmes de plus en plus nombreuses, mais TOUTES sont encartées chez Rachid Méchankon. Mince alors !

Cédric de Valfrancisque. 

29/08/2024

1) On me dit que « Bobo » serait la contraction de « Bourgeois bohème »  alors qu’en fait ce sont surtout des pédants dépravés : on devrait donc dire « Pédé »

2) Ne voyez aucun racisme dans le fait que le boudin est noir. Il existe aussi du boudin blanc.

3) L’auteur est parfois fâché avec les patronymes étrangers (Note de l’éditeur).

4) On a vu, depuis, que l’Allemagne se moquait du couple franco-allemand.

5) Je veux bien sûr parler du courage, vous l’aurez compris. Rien a voir avec l’adage populaire qui dit : « Si ma tante en avait, on l’appellerait mon oncle »…quoique.

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2 Commentaires

  1. Don’t panick….
    « Ce serait une erreur stratégique de chercher à contenir la croissance économique chinoise ou à la restreindre »
    « Je ne crois pas qu’on doive rejeter l’initiative des nouvelles routes de la soie »
    « Je ne crois pas à la pertinence de lancer une guerre commerciale avec la Chine ».
    Michel Barnier via les amis français du Pcc.

  2. Qu’en termes choisis vous avez raconté cette histoire ! J’ai aussi fréquenté (pas très bien) Scipion l’Africain lors de mes études au lycée d’Aumale à Constantine. Je ne suis pas Pied-Noir (puisque né en Indochine d’un père officier) mais arrivé dans ce pays à l’âge de 3 ans, je me considère comme en faisant partie. Il faudrait y nvoyer Macron non pas en visite officielle maissans garde du corps pour qu’il voit (au moins) ce que les Algériens ont fait de leur pays ….. Peut-être que cela lui mettrait du plomb dans la tête avant que ce ne soit un autre moyen qui donne le même résultat ! Merci à vous. Je vous lis toujours avec un plaisir inégalé.