MITTERRAND ET LA COLONISATION (Eric de Verdelhan)

« Je suis partisan passionné de la présence et de la grandeur de la France en Afrique. »

(François Mitterrand, à l’Assemblée Nationale, le 19 juin 1952).

Je ne supporte plus d’entendre, chaque jour, des gens issus de l’immigration nous reprocher de les discriminer et de faire preuve à leur égard d’un suprématisme blanc. J’en ai également assez de subir en permanence la repentance et la veulerie compassionnelle des politiques, des journalistes, des médias, des intellectuels, bref, les « élites » autoproclamées qui ne sont, en réalité, que des « collabos » même pas honteux : ces gens-là devraient pourtant adopter un profil bas, la fermer et raser les murs même si, de nos jours, on ne fusille plus les traîtres.

J’avoue humblement ne pas comprendre la démarche masochiste qui consiste à quitter des « paradis » africains (surtout depuis qu’ils sont indépendants) pour venir vivre dans un pays dont on refuse les lois, les coutumes, les traditions, les mœurs vestimentaires ou alimentaires, et dans lequel on est ghettoïsé, discriminé, tyrannisé, brutalisé et/ou contrôlé « au faciès » par une police qui, à les en croire, serait odieusement raciste (1). Il est vrai que, pour l’allogène, ce pays épouvantablement xénophobe ne lésine pas sur les allocations diverses, soins gratuits, logements sociaux et autres mannes financières que le « Souchien » n’obtient pas toujours, même s’il est sous-smicard. Ainsi nous serions peu accueillants pour l’immigré. Ceci serait un phénomène récent : le début des années 60, qui marque la fin de notre Empire colonial.  Mais de qui se moque-t-on ?   

L’inventeur de la « préférence nationale » qui choque tant les bonnes consciences de gauche, ce n’est pas Jean-Marie Le Pen, comme on se plaît à le faire croire, mais… Léon Blum, président du Conseil sous le « Front Populaire ». Roger Salengro – Média LAROUSSEDès l’été 1936, Roger Salengro, ministre de l’intérieur, s’écriait :

« Le gouvernement ne saurait tolérer que des étrangers abusent de l’asile qui leur est offert »

Maurice Thorez — Wikipédiaet Maurice Thorez, patron du PCF, clamait, le 28 septembre 1938 :

« La France aux Français ! ».

De son côté, le bon radical-socialiste Edouard Herriot invitait la France à mettre dehors les « indésirables ». En 1938, Edouard Daladier promulguait une loi permettant d’emprisonner les Français qui aideraient des clandestins. De nos jours, pour avoir aidé des migrants à passer la frontière italienne, le pseudo berger-écolo-gaucho Cédric Herrou a été… ovationné au Festival de Cannes, puis relaxé par la justice sous les applaudissements. Notre pauvre pays marche vraiment sur la tête !

Le 12 novembre 1938, une loi donnait l’autorisation de « dénaturaliser » (sans intervention d’un juge) tout citoyen d’origine étrangère. L’article 22 stipulait que « pour des actes contraires à l’ordre public…les étrangers perdront leur nationalité ». Retrait qui pouvait s’étendre « à la femme et aux enfants mineurs » (2). Citons encore le décret-loi du 3 mai 1938, qui autorisait les préfets à expulser les étrangers, même ceux ayant un permis de séjour. Quelle époque bénie !

Donc, les « chances pour la France », qui s’estiment discriminées, stigmatisées, ostracisées, feraient mieux d’arrêter leurs pleurnichailleries victimaires. Qu’ils apprennent donc NOTRE histoire.

NON, la France d’avant-guerre n’a pas été plus tendre, plus complaisante, plus accueillante, avec les « Ruskoffs » blancs, les « Polaks », les « Macaronis » (ou « Ritals ») ou les « Espingouins » qu’avec les Africains, mais, à l’époque, les « hussards noirs de la République » et les curés délivraient le même message aux nouveaux arrivants : l’intégration devait d’abord passer par l’apprentissage de la langue, le respect des lois, us et coutumes, et l’amour de leur nouvelle patrie. Même pour les gens de gauche, la France avait des racines chrétiennes et n’entendait pas se voir imposer la Charia.

Mais on m’explique que nous avons une dette envers nos anciens colonisés qui ont, eux, une revanche ô combien légitime à prendre sur l’ancien colonisateur honni. Tous ces débats stériles sur l’immigration et la colonisation, qui ne sont que prétextes à l’auto-flagellation et à la repentance, m’irritent mais il arrive parfois – trop rarement, hélas ! – que je m’en amuse. Quand, par exemple la gauche anticolonialiste se prend les pieds dans le tapis ou quand elle est obligée de condamner un de ses modèles, un de ses maîtres à penser, ou de démolir une de ses idoles.

Figurez-vous que « Médiapart », qui est au pays ce que « La Pravda » était à l’ex-URSS, vient de lever un lièvre qui embarrasse et dérange toute cette gauche morale donneuse de leçons.

François Mitterrand, non content d’avoir été jadis proche de « l’Action Française », puis d’avoir été décoré de la « Francisque Gallique » par le maréchal Pétain (3) n’était pas, comme le dit sa légende « dès les années 1950, un partisan résolu de la décolonisation ». C’est pourtant ce qu’on peut lire dans sa biographie officielle sur le site de l’Élysée. En ce qui me concerne, ce n’est pas un scoop et ceci ne me le rend pas plus sympathique, juste un peu moins antipathique.

Pendant la guerre d’Algérie, comme ministre de l’Intérieur puis de la Justice (4), il a refusé de gracier des dizaines de condamnés à mort algériens et il a approuvé la bataille d’Alger en 1957. C’est plutôt à mettre à son crédit mais ses nombreuses biographies nous présentent « le Florentin » comme un anticolonialiste convaincu. On raconte que c’est à lui qu’on devrait le processus de décolonisation globalement pacifique en Afrique. Or, d’après « Médiapart » Thomas Deltombe - Éditions la découverteun certain Thomas Deltombe raconte dans un bouquin « extrêmement bien informé, s’appuyant notamment sur des archives variées et inexploitées » qu’il s’agit là d’une complète mystification, dont l’artisan fut, à partir des années 1960, François Mitterrand lui-même. Il fut, en réalité, dans les années 1950, un partisan acharné de notre maintien en Afrique. Il lui est arrivé de réprouver des méthodes de domination trop brutales mais seulement parce qu’elles nourrissaient la révolte des colonisés. Mitterrand aura été l’une des figures de proue d’un « réformisme colonial », très en vogue sous la IV° République, qui tenta de sauver l’impérialisme français en concédant des miettes pour tenter de garder l’essentiel. Thomas Deltombe écrit que les nationalistes algériens le dénonçaient comme un « néocolonialisme » plus dangereux encore pour les colonisés. Cette position n’excluait en rien la répression la plus féroce, comme en Algérie, des « séparatistes », comme on nommait alors les partisans de l’indépendance, exécrés et très fermement combattus par François Mitterrand qui avait la main plutôt lourde.

En bon gauchiste, Deltombe lui reproche aussi d’avoir servi personnellement de caution à la défense de Raoul Salan, lors du procès du général putschiste d’avril 1961.  Et il lui reproche encore, en juillet 1962, à la veille de l’Indépendance algérienne, d’avoir partagé « une larmoyante nostalgie avec les partisans de l’Algérie française ». Moi, je trouve ça plutôt à son honneur !

Puis, lors de la campagne pour l’élection présidentielle de 1965, alors qu’il lui faut fédérer la gauche, Mitterrand s’invente un passé anticolonialiste. Il soutiendra cette version jusqu’à sa mort. C’est pourtant le même nationalisme obsédé par la concurrence anglo-américaine en Afrique qui le conduira à un soutien au régime génocidaire du Rwanda dans les années 1990.

Le livre de Thomas Deltombe raconte, par exemple, que la presse coloniale attaquait déjà le « franciscard » Mitterrand sur son passé vichyste dès 1951. Je n’en suis pas surpris car on nous a fait croire que Pierre Péan avait découvert ça dans les années 1990 alors qu’en 1982, peu après l’élection de Mitterrand, « leAbeBooks Crapouillot » révélait déjà l’histoire de la Francisque et l’existence d’Anne Pingeot et de sa fille Mazarine. Mais les médias – de gauche comme de la droite molle – ont pratiqué l’omerta jusqu’à ce que Mitterrand, très malade, soit à l’article de la mort. Ces gens-là sont pourris, sans morale, manipulateurs, menteurs, délateurs si besoin ; ils déshonorent leur profession.

A qui veut-on faire croire qu’on ne savait pas ? François Mitterrand était une personnalité publique dès la fin de la Seconde Guerre Mondiale, onze fois ministre dans les années 1940‑1950, leader de l’opposition dans les années 1960‑1970, puis président de la République dans les années 1980‑1990.  Il aura donc fallu trois décennies pour que son action durant la guerre d’Algérie, comme ministre de l’Intérieur puis comme Garde des Sceaux, suscite quelque émoi au sein de la gauche.

Deltombe cherche à éclairer un des aspects les moins connus du parcours de Mitterrand : sa politique coloniale de ministre sous la IV° République. Celle que son biographe, Jean Lacouture, a appelé son « septennat africain » (5), depuis sa nomination en juillet 1950 à la tête du ministère de la France d’outre-mer jusqu’à la chute, en mai 1957, du gouvernement Guy Mollet, dont il était le Garde des Sceaux. À l’orée des années 1950, Mitterrand s’est passionné pour le continent africain, de l’Afrique-du-Nord à l’Afrique Noire. Il était « l’un des spécialistes attitrés de la IV° République pour les problèmes africains », note le politologue Roland Cayrol. L’intéressé, pour sa part, confie dans son livre « Ma part de vérité » (6) que son bref passage au ministère de la France d’outre‑mer a constitué « l’expérience majeure de sa vie politique ». Pour lui, à cette époque, l’Afrique était le joyau de notre Empire, rebaptisé « Union Française » au lendemain de la guerre.

En 1952, il déclare « La France du XXI° siècle sera africaine ou ne sera pas » ; ça ne s’invente pas ! Ce vieux farfelu de Malraux dira, lui, « le XXI° siècle sera religieux ou ne sera pas ». Dans les deux cas ça ne veut strictement rien dire mais ces citations (idiotes !) resteront dans l’histoire.  

Par la suite, notre aspirant président, passé de la droite nationale dans les années 1930 au pétainisme en 1942, puis à une gauche tiers-mondiste dans les années 1970, ne souhaitait pas qu’on se penche sur son passé. Pourtant, il a écrit deux livres que n’importe qui peut consulter : « Aux frontières de l’Union AUX FRONTIERES DE L UNION FRANCAISE.INDOCHINE-TUNISIE.Française » écrit en 1953 et « Présence française et abandon » en 1957,Présence française et abandon – Institut François Mitterrand ce qui démontre une fois de plus que, chez nous, les journalistes – très majoritairement de gauche – sont des jean-foutres qui ne sont pas là pour informer mais pour intoxiquer leurs lecteurs. Ils s’autorisent à raconter n’importe quoi. L’ineffable Benjamin Stora – l’ami de Macron – et François Malye, co-auteurs (en 2010) d’une enquête sur la politique algérienne de Mitterrand, font preuve de la plus mauvaise foi à son égard. François Mitterrand, et je ne saurais l’en blâmer, prônait la politique la plus répressive à l’égard des fellaghas algériens, or les deux plumitifs de gauche nous racontent qu’il fut « parmi ceux qui avancèrent les idées les plus libérales sur la décolonisation de l’Afrique, du Maroc et de la Tunisie ». Ils n’ont pas osé rajouter l’Algérie, et pour cause ! François Mitterrand, Garde des Sceaux, a fait guillotiner quelques terroristes. En février 1957, le président Coty a refusé la grâce du communiste Fernand Iveton après avis défavorable de… Mitterrand. C’était un ministre qui savait taper fort ; une fermeté qui manque à tous les Gardes des Sceaux qui lui ont succédé depuis.

Avant de conclure, je voudrais rappeler une réalité que tout le monde semble avoir oublié.

Sous la III° République, deuxième grande époque de notre colonisation, la droite française, humiliée et traumatisée par la défaite de 1870, rêvait d’une revanche sur les Prussiens. Après Sedan, elle pensait à la reconquête de l’Alsace-Lorraine. Tandis que la gauche maçonnique voulait exporter l’esprit des Lumières et civiliser les peuplades africaines sous-développées : les propos d’Emile Combes et de Jules Ferry à ce sujet sont sans ambiguïté. Jules ferry écrivait, en 1885 :

« La première forme de la colonisation, c’est celle qui offre un asile et du travail au surcroît de population des pays pauvres ou de ceux qui renferment une population exubérante…»

Ernest Renan — WikipédiaJe pourrais ajouter Ernest Renan, celui que le pape Pie IX traitait de « blasphémateur européen », franc-maçon admis au Grand Orient de France en 1856, et qui a écrit :

« La colonisation est une nécessité politique de premier ordre…La conquête d’un pays de race inférieure par une race supérieure n’a rien de choquant… ».                            

Issu d’une droite conservatrice très marquée par « l’Action Française » de Charles Maurras, le jeune François Mitterrand, comme le jeune Charles De Gaulle, s’est intéressé ensuite à notre Empire colonial, univers exotique que les Français de l’époque ont fini par regarder avec une certaine fierté. Ce vaste Empire leur semblait indispensable à la puissance et au rayonnement de la France.

Quand les Soviétiques et les Américains – pour des raisons trop longues à expliciter ici – ont décidé de nous chasser de nos colonies en brandissant le concept stupide du « droit des peuples à disposer d’eux-mêmes », nous nous sommes mis à décoloniser à tour de bras, à la hussarde, comme d’autres pays européens (7). Il faut se souvenir qu’à la même époque, les Soviétiques maintenaient sous leur coupe, d’une main de fer, tous les pays satellites de l’URSS, signataires plus ou moins forcés du « Pacte de Varsovie ». Chez nos intellectuels – presque tous communistes – le colonialisme était hautement critiquable et condamnable, mais uniquement dans les pays capitalistes.

François Mitterrand, comme tant d’autres, est devenu anticolonialiste par effet de mode, puis par clientélisme électoral, pour faire main-basse sur la gauche. Reconnaissons que cet esprit retord et machiavélique a plutôt bien réussi son coup, mais il lui aura fallu trois essais – 1965, 1974 et 1981 – pour devenir président de la République. De Gaulle, en se faisant passer pour le sauveur de notre Empire et le garant de l’Algérie française en 1958, aura réussi ça du premier coup.

Dans les deux cas, le moyen d’arriver au pouvoir aura été malhonnête et mensonger. On aura roulé le peuple français dans la farine (ou, si vous préférez, dans le couscous et le manioc).   

Eric de Verdelhan

03/09/2024

1) En France, il y a plus de flics et de gendarmes blessés par des allogènes que de bavures policières.

2) Aujourd’hui, on accorde l’asile à des « mineurs isolés » qui ne sont ni mineurs ni isolés.

3) Sous le numéro 2202, après avoir prêté serment d’allégeance à la personne du maréchal.

4) Dans le gouvernement de Guy Mollet. Celui qui envoya le Contingent en Algérie.

5) « Mitterrand. Une histoire de Français » (tome 1) de Jean Lacouture ; Seuil ; 1998.

6) « Ma part de vérité » de François Mitterrand ; Belles Lettres ; 1969.

7)- Le seul à tenter de résister à cette vague de bradage des colonies a été Salazar au Portugal.

            

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3 Commentaires

  1. J’ai fait quelques recherches concernant ce bon François ! Et un grand Ami m’a apporté son aide / Je vous livre ci-après sa réponse à une de mes questions :
    Pour ceux qui ont bien écouté Madame COMYN, épouse du Gendarme assassiné par un OQTF (elle a dit : que s’est-il passé en 1981 ?… donc sous les septennats de Mitterrand)
    .Voici donc des nouvelles de Tonton à Faire suivre

    Suis-je bête ? Avec la loi du 9 octobre 12981, Badinter abolit la peine de mort en France ….. Nous sommes le 36è pays à adopter cette loi. Et comme par hasard, le dernier homme guillotiné en 1977 est Hamida Djandoubi…… Déjà !
    Pour les plus jeunes connaître véritablement qui était « La Mitte » (surnom de François Mitterrand) devrait être indispensable.
    Lui qui ne mit que 3 ans et demi pour ruiner la France avec ses 2 premiers gouvernements, de 81 à 84. Ce n’est pas de la fiction, c’est la triste histoire ! Il faut que tout le monde sache

    Pendant le mois d’août la base de Salon se vide et en 82 j’étais de permanence sur la base (c’est mon ami qui raconte)
    Tous les vendredis soir le Mystère 50 du GLAM se posait sur la base et j’étais au pied de l’avion pour l’accueillir. La porte s’ouvrait et, dans l’ordre, le chien, Mitterrand et sa maîtresse descendaient et s’engouffraient dans la R25 (descendue par la route de Paris).. Mitterrand se mettait en place avant passager et ouvrait un journal pour se planquer. La voiture, sans escorte, se rendait à Gordes, déposait ses passagers et remontait à Paris.
    Le Mystère 50 lui aussi remontait à Paris.
    La manip inverse se reproduisait le dimanche soir.
    Quand on sait que dans l’Armée de l’Air il est arrivé qu’en fin de mois les vols opérationnels étaient arrêtés car nous avions dépassés les « quotas » ! Pour le Mystére 50 il n’y en avait pas !

    Mitterrand fut tout d’abord l’homme des « suicides » :
    de De Grossouvre à l’Elysée (qui préparait un livre sur lui) s’est suicidé dans un bureau de l’Elysée en se tirant une balle dans la nuque
    de son ancien Premier Ministre Pierre Beregovoy (suicidé avec l’arme de service de son garde du corps)
    du capitaine de gendarmerie chargé de poser les fils d’écoute de plus de 150 personnes
    et P.Pelat ; on l’oublie ?
    Et le bateau de Greenpeace en Nouvelle Zélande on en fait quoi ?
    Et Tonton a pu tout se permettre. Si la PRESSE parlait, elle risquait de gros problèmes et ses journalistes avaient peur :Jean-Edern Hallier n’a-t-il pas été assassiné par une mauvaise chute en vélo sans témoin pour avoir voulu révéler l’existence de Mazarine laquelle fût entretenue aux frais de la princesse pendant plus de 20 ans ?

  2. « J’avoue humblement ne pas comprendre la démarche masochiste qui consiste à quitter des « paradis » africains » Voyons vous savez bien qu’il s’agit ni plus ni moins d’une invasion d’un nouveau genre, apparemment pacifiste, où les envahisseurs arrivent par petits groupes. Au début ca ne se voit pas, enfin pas trop. Puis petit à petit les conquérants commencent à se compter via souvent leurs compagnes voilées. Ensuite ?!…Ensuite viendra le moment de la distribution des armes et munitions et il leur sera alors loisible de servir sur le conquis et ses biens, entre autres. Enfin tout étant réduit à néant, du passé il sera fait table rase et tout devra recommencer mais à quel prix ?!…Bien sûr le suis sans nul doute un affreux complotiste !…Quoique comme nos généraux sont toujours en retard d’une guerre, que nos politiques refont l’épuration de 44 à loisir parions qu’ils ne voient rien ou se refusent à voir car il leur faurda alors prendre des décisions radicales et ça !……

  3. citez-moi un peuple ou une race autre que blanche ayant inventé l’électricité , la médecine moderne et l’hygiène de masse , l’eau courante controlée , la domestication du nucléaire et j’en passe tant la liste des bienfaits pour l’humanité est longue . tout ces éléments viennent del’Europe , continent de race blanche . POURQUOI !