LE GRAND MÉCHANT MOU (Cédric de Valfrancisque.)

Note de la rédaction.

La ligne éditoriale de Minurne – Résistance est ciblée sur la défense de la France, la sécurité, la maitrise de l’immigration et une meilleure gestion de l’État.

Macron a mis du temps à désigner le nouveau Premier Ministre qui semble reprendre ces objectifs. Nous le jugerons vite, à l’aune de ses actions.
Dans l’attente, comme à l’accoutumée, nous laissons évidemment une liberté d’expression totale à nos contributeurs.  

« La lâcheté commence là ou cesse la puissance. »

(Gérard Klein). 

Ainsi, le royaume vient enfin de se doter d’un nouveau premier « sinistre ». Un vieux cheval de retour – ou un âne ? – qui aura bouffé à tous les râteliers depuis un demi-siècle. Ce Michel Bar-Niais a été député, sénateur, plusieurs fois ministre avant que d’aller se vendre comme commissaire à la reine Ursula von der La Hyène, qui règne sur un vaste foutoir, un conglomérat d’états en faillite, appelé Europe-passoire. Il fut autrefois, jeune, un bellâtre qui n’était pas sans rappeler les rôles de grand couillon joués par Bernard Menez (1). Certaines dindes le trouvaient beau gosse, mais du genre « beau et con à la fois », comme chantait Jacques Brel. Quiconque a fait un peu de morphopsychologie est capable de juger ce grand méchant mou : c’est un politicard de la pire espèce !

Passé par une grande école de commerce parisienne, il est de la même promotion que Jean-Pierre Raffa-Rien, une autre nullité qui fut, lui aussi, premier « sinistre » mais de Jacques Chiraclure, seigneur d’Ussel. Les promos de ces grandes écoles sont un peu comme les cuvées de pinards ; il y en a quelques-unes de bonnes et d’autres à jeter car elles ne produisent que du vinaigre. 

Au début de sa carrière, Michel Bar-Niais a été l’organisateur de Jeux Olympiques d’hiver dans sa région qui, financièrement, ne s’en est jamais remise. Ensuite il aura fait un parcours de girouette, disant tout et son contraire en fonction de ses intérêts. A la réflexion, je me demande s’il n’est pas le précurseur, voire l’inventeur, du « et en même temps » repris depuis par le marquis de Morveux d’Enarque. Ce dernier aura mis presque deux mois pour le trouver après avoir consulté les chefs des différents partis du pays et fait semblant de tenir compte de leur avis alors qu’en fait il s’en contrefout. Du côté des « Zinzins soumis », ses opposants les plus virulents, on voulait faire nommer une dénommée Lucie Cache-Sexe qui, d’après ce qu’on dit, cachait bien le sien puisqu’elle était grande prêtresse de la « tarte à poil ». Elle avait l’aval de toutes les gauches, des « Zinzins soumis » aux « Zinvertis ». Ces gens-là sont furieux et ont annoncé qu’ils allaient mobiliser la rue.

Bar-Niais arrivera-t-il à se maintenir ? À former un gouvernement de coalition ? C’est peu probable et je suis surpris de voir les gazettes et libelles conservatives se réjouir de la nomination de ce grand benêt. Elles n’ont aucune mémoire, ou bien elles sont d’une naïveté confondante.

Le marquis, lui, se soucie peu de tout ça. Il veut tenir jusqu’à la prochaine dissolution.   

Le bas peuple, les gueux, en arrivent à regretter le passé, l’ancienne Cellezécie; celle qui dura vingt siècles malgré des soubresauts, des guerres – étrangères ou civiles – et une funeste Révolution ; en gros jusqu’au Seigneur Pompidou de  Montboudif, lequel succédait à Charles de Colombey qui brada son Empire colonial. Ensuite ce pays partit en vrille, envahi par toutes sortes d’allogènes plus ou moins bigarrés, arrivés là avec leurs femmes et leurs marmots grâce à un édit honteux promulgué par messire Giscard de Chamalières et son féal ministre Jacques Chiraclure, appelé le « regroupement familial » mais qui, si l’on savait encore dire les choses, se nommerait « invasion légalisée ».

Dans quelques décennies, quand le royaume aura définitivement disparu, l’histoire retiendra que le point de non-retour a été atteint lors du règne calamiteux du marquis de Morveux d’Enarque, quand le pays des « Cellezéceux », totalement livré aux minorités – raciales, religieuses ou sexuelles – et inféodé à Ursula von der La Hyène, elle-même soumise aux diktats et oukases imposés par le pays des « Zobèses » appelé aussi « Zétazunie ». Cette bascule marquera la fin d’une grande nation, tuée par des incompétents, des voyous, des paltoquets sans morale et sans honneur.

Chaque jour qui passe nous rapproche de l’échéance fatale. Nous allons dans le mur et tout s’accélère. Le vulgum pecus subit et ne dit rien, quant aux « Zinzins soumis », ils rêvent d’accélérer la chute avec l’espoir de s’emparer du pouvoir, ce qui pourrait bien arriver…bientôt…

Comment ne pas avoir le vertige, la nausée, en évoquant ceux qui ont précédés le marquis :      

Une lignée de bons à rien, d’aigrefins, de brigands et autres gibiers de potence. Les plus connus parce que les pires, furent le comte Giscard de Chamalières, un individu totalement dépravé qui jouait de d’accordéon pour faire populo ; François le Florentin, baron de Latché, aussi machiavélique que manipulateur ; Jacques Chiraclure, seigneur d’Ussel, fainéant comme une couleuvre et menteur comme un arracheur de dents ; Nicolas Sarkozizi, un bouffon qui sautait de droite à gauche ;

François le Mou, seigneur de Tulle, un porcelet sudoripare, obsédé par son bas-ventre au point de sortir nuitamment de son palais pour aller saillir quelques ribaudes et autres gourgandines. 

Le pays, mal gouverné par des dirigeants incompétents et corrompus, se laissa berné par le jeune Emmanuel, toujours accompagné de son épouse (née Trognon du Touké) qui était à la fois sa duègne, sa mère, sa maîtresse et sa femme. On expliqua au bon peuple, assoiffé de changement et trop naïf, qu’on allait « faire de la politique autrement…casser les codes…renverser la table » mais en réalité, le petit marquis poudré, entouré de veillasses, d’allogènes et d’invertis, se moquait comme d’une guigne d’un peuple qu’il détestait ; il ne rendait de comptes qu’à celle qu’il aimait et à laquelle il était totalement dévoué, Ursula von der La Hyène. Or cette dernière voulait un empire qui ne fut plus blanc et, pour elle, le pays des « Cellezéceux » était une sorte de laboratoire expérimental.

Au fil des années, on y fit donc venir – officiellement ou clandestinement – une partie non négligeable des populaces crevant de faim du continent africain. Ces gens, qui refusaient les lois de leur pays d’accueil, entendaient lui imposer les leurs, régies par leur croyance religieuse : la Charia.

Le pays devint très vite un coupe-gorge ; émeutes, attentats, égorgements, tueries sur fond de trafics de substances hallucinogènes, devinrent le lot quotidien des « Cellezéceux » de souche que le marquis, arrogant et méprisant, se plaisait à traiter de « Gaulois réfractaires ». Les choses auraient pu s’arranger si le marquis, aussi fourbe et menteur que certains de ses prédécesseurs, n’avait pas pratiqué le « et en même temps » qui consistait, parfois dans la même journée, à dire tout et son contraire : Il prêchait l’union, condamnait le « séparatisme », tout en mettant de l’huile sur le feu pour entretenir les divisions. Il était en cela bien aidé par un fort-en-gueule, un faux dur, qui éructait plutôt qu’il ne parlait, Rachid Méchankon, qui dirigeait le parti des « Zinzins soumis », un parti totalement acquis aux allogènes. Méchankon entendait « créoliser » le pays, ce qui, en fait, était très exactement ce que souhaitaient Ursula von der La Hyène, Morveux d’Enarque, l’imam Bergoglio (qui siégeait au Vatican), le séfarade Attali, l’ashkénaze Soros et quelques autres gredins moins connus mais tous opposés aux nations souveraines et à la liberté de leurs peuples.

Au pays des « Cellezéceux » on se mit alors à tabasser le sexe faible : Les instituts de sondage, pourtant acquis au pouvoir, comptabilisèrent 220 000 actes de violences envers ces dames, dont 115 furent mortels en une seule année. On se garda bien de pointer du doigt les agresseurs.

Nous arrivâmes au chiffre – faramineux ! – de 120 agressions au couteau par jour mais rien ne semblait émouvoir le marquis, ses ministres et ses affidés. Régulièrement, des « jeunes » attaquaient au couteau des « Cellezéceux » de souche. Chaque fois les ministres, les journaux vendus au système, les médias radiophoniques (ta mère !) et télévisuels, parlaient d’une simple « rixe » ou de l’acte d’un déséquilibré mental pour ne pas « stigmatiser une communauté ». Moussa Dard-malin, ministre des basses polices, jouait les faux-durs en déclarant, par exemple, que le coup venait de « supporters anglais » , ce qui rassurait les imbéciles car que peut-on attendre de bon de la « perfide Albion » ? Ces gens qui ont brûlé Jeanne d’Arc, détruit notre flotte à Aboukir et à Trafalgar, humilié nos troupes à Fachoda, puis traitreusement massacrés nos marins à Mers-El-kébir, sont des gens aussi fielleux que fourbes. D’ailleurs, un peuple capable de faire bouillir une bonne cote de bœuf dans une sauce à la menthe est forcément barbare. Après d’autres incidents du même tonneau, Dard-Malin nous apprenait que les agresseurs étaient des « Cellezéceux » prénommés « Mattéo » et « Kévin ». Quand nous apprenions, par la suite, que l’agresseur se prénommait Chaïd et ses complices Yasir, Nasir, Fayçal etc…etc…Il ne faisait plus aucun doute, le méfait – pardon, le fait divers – avait été commis par des vrais « Cellezéceux ». A vrai dire, Nous savions déjà que les rixes entre jeunes ont toujours existé mais aussitôt l’extrême-droite, fasciste, raciste et xénophobe, tentait de récupérer ce qui n’était, au final, qu’un jeu d’adolescents qui aurait mal tourné. On ne devrait pas laisser les jeunes jouer avec des couteaux ; ils risquent de se blesser ou de blesser leurs camarades de jeu. Si nous donnions des poupées aux petits garçons dès leur plus jeune âge, ils arrêteraient de jouer à la guerre et de risquer de se faire mal (et ils éviteraient aussi de se faire « mâles »).  Il ne sert à rien de tenter de nous faire croire qu’il y aurait une corrélation entre immigration et délinquance puisque les faits divers  nous prouvent  le contraire.

En revanche, j’observe une dérive de la riposte qui me fait craindre le pire. Cette dégradation remonte en gros à mai 1968. Avant, quand une foule se rebellait, on la calmait en faisant tirer la troupe. Le 13 vendémiaire an IV, (4 octobre 1795) le général Bonaparte fit tirer au canon sur une foule de royalistes. Le 26 mars 1962, rue d’Isly à Alger, le pouvoir fit ouvrir le feu sur une foule – avec femmes, enfants, vieillards – qui venait pacifiquement manifester son attachement à l’Algérie française. En mai 68, des étudiants, certes un peu turbulents, brulaient des voitures et lançaient des pavés sur les forces de l’ordre. Ces dernières ripostèrent en lançant des grenades lacrymogènes et on vit alors ces fils de bourgeois, ces gosses de riches trop gâtés, pleurer comme des madeleines en bramant « CRS = SS ». Depuis ce temps-là, on désarme les argousins à chaque manifestation occasionnant un mort ou un blessé grave. De nos jours, les flics et pandores n’ont plus le droit de se défendre. Ceci est assez logique ; nous ne sommes pas une dictature, les violences policières ne sont pas tolérables au pays des « droits de l’homme et des libertés », parangon de la « démo-crassie » et qui s’autorise à donner des leçons au monde entier. D’ailleurs, Emmanuel de Morveux d’Enarque et son (faux) opposant Rachid Méchankon ont fait des violences policières leur cheval de bataille. On ne peut qu’approuver, « et en même temps » on peut craindre que le bas peuple de veuille donner dans l’autodéfense avec l’usage d’armes qui ne répondent pas à la notion de « riposte proportionnée à l’attaque », voire de légitime défense. Aussi, je m’autorise aujourd’hui à interpeller le marquis de Morveux d’Enarque afin qu’il impose à Sébastien le Cornecul, ministre des armées, à Moussa Dard-Malin, ministre des basses-polices, de confisquer toutes les armes des « Cellezéceux » de souche.  Je lui demande aussi, prestement, de charger Dupont-Le-Yéti, Garde des Sots, d’imposer à ses chats-fourrés une application très sévère, stricte et rigoureuse, de la loi en matière de sanctions pénales impliquant un « male blanc ». Ceci devra être contrebalancé par une clémence à l’égard des peuples exploités jadis et qui ont « une revanche à prendre ». C’est logique non ? 

Je ne doute pas un seul instant que la caramel mou qui tient dorénavant lieu de chef du gouvernement saura s’entourer de gens compétents, honnêtes, sérieux, efficaces ….Mais non, vous aurez compris que je rigole. Tout continuera à aller à vau-l’eau, et la Cellzécie perdra un peu plus sa dignité, sa fierté, sa combativité, ses valeurs, sa liberté et, son honneur. 

Cédric de Valfrancisque.

08/09/2024

1) Ancien prof de maths, intelligent, mais que son physique aura cantonné dans des rôles de cons.

 

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