QUAND LES BORNES SONT FRANCHIES… (par Cédric de Valfrancisque)

« Quand les bornes sont franchies, il n’y a plus de limites. »
(Alphonse Allais).

Morveux d’Enarque dépasse les bornes et déplace la Borne !

 

On se souvient de l’insecte sautillant, blond décoloré, qu’on appelait « Cloclo ». Ce chanteur efféminé qui gesticulait comme un foldingue devant quatre danseuses appelées « claudettes ».

Plus tard, messire Juppé, duc de Bordeaux, éphémère premier sinistre de Jacques Chiraclure, vidame d’Ussel et d’Upoivre, nomma  par démagogie, quelques donzelles comme ministres  de son gouvernement. On les nomma « les jupettes ». Depuis, en Cellezécie, on raconte que Chiraclure avait failli nommer Premier Ministre un industriel du nom d’Ambroise Roux. Pour un peu, nous eussions eu « les roupettes », ce qui eut été assez cocasse dans un pays majoritairement peuplé de lopes émasculées, celles-là même qui firent élire, plus tard, le marquis Emmanuel de Morveux d’Enarque.

Nous savions ce dernier porté sur les vieillasses boucanées. Il est vrai que, dès son jeune âge, dame Brigitte (née Trognon du Touquet) qui est à la fois sa maitresse, sa gouvernante et sa mère, lui a appris l’adage populaire qui assure que « c’est dans les vieux pots qu’on fait bonne soupe ».  

A peine élu, en 2017, le marquis  s’entoura  de « marquisettes », un quatuor de radasses peu girondes : Nicole Belloubet, Muriel Pénicaud, Jacqueline Gourault, et Elisabeth Borne, qui ne furent ni plus ni moins calamiteuses que le reste de son gouvernement d’incapables.

Elisabeth Borne se vit confier trois ministères durant le premier quinquennat du marquis : le ministère des Transports, celui de la Transition écologique,  et celui du  Travail et  de l’Emploi.

Il est vrai que cette polytechni-chienne de gauche  avait une certaine habitude des ministères puisqu’elle avait sévi au ministère de l’Équipement (près de Pierre Méhaignerie), au ministère de l’Éducation Nationale (1) (auprès de Lionel Jospin puis de Jack Lang), au cabinet de Jospin à Matignon comme conseillère chargée des transports, et au cabinet de Ségolène Déloyale, la folle du Poitou, au ministère de l’Écologie. En fait, cette dame aura passé une bonne partie de sa vie… aux cabinets, ceci expliquant sans aucun doute sa mine renfrognée de… constipée chronique ?

Réélu en 2022, Emmanuel de Morveux d’Enarque nous annonçait le changement, comme messire Giscard de Chamalières jadis : on allait voir un homme neuf, un programme neuf, pour une peuple neuf (2). Tous les naïfs – dont je fais partie – s’attendaient à le voir nommer une femme inconnue, si possible noire, lesbienne (ou transgenre) pour rester dans l’air du temps. Le suspense aura duré trois semaines car le « maître des horloges » entendait montrer qu’il était encore le chef.

Et puis, le clown Jean Cache-sexe faisait son dernier tour de piste comme Premier Ministre, pour céder la place à… Elisabeth Borne, quelle surprise !!!! C’était donc ça le changement ?

On va encore me dire que « l’habit ne fait pas le moine » mais avec ses cheveux gris coupés courts façon gougnotte, ses lunettes et son air avenant de commissaire politique de l’ex-URSS, la dame Borne a le physique d’une nonne en civil ou de ces dames patronnesses qui, faute de curés, « animent » les messes chez les cathos progressistes. Ces rombières, qui rêvent du Ciel à défaut d’en avoir connu le septième, et qui voudraient bien que Bergoglio, l’Islamo-gauchiste qui trône au Vatican, se décide à ordonner des femmes prêtres (3). Comme si la désertification des églises, la crise des vocations ou le recul de la foi étaient un problème de sexe !

Plus tard, la dame Borne céda sa place au mignon du marquis, le gamin Gaby Attal ; puis nous eûmes le vieux Michel Bar-Niais, puis François Bayrou, le « crétin des Pyrénées ». Le marquis avait usé quatre premiers ministres en moins d’un an, ce qui démontre que cet individu, non content d’être un pervers narcissique, est aussi un enfant gâté auquel il a manqué des baffes.

François Bayrou Premier Ministre a nommé… Elisabeth Borne à l’Éducation Nationale. Quelle surprise ! Au palais, on raconte qu’elle aurait été imposée à Bayrou par le marquis qui est en froid avec son ex-mignon Gaby Attal, lequel déteste les femmes en général et Borne en particulier. 

On raconte aussi, au Palais, que dame Brigitte serait furieuse. On fait circuler sous le manteau un poème qui serait l’œuvre d’un certain Pierre Corbeau (ou Corneille ? Je ne sais plus !). Je vous le livre tout de go bien qu’il soit très irrévérencieux :                                                                       


Mon Dieu, je suis inquiète de ce gouvernement !
Et le choix des ministres augmente mes tourments.
Je vis dans ce palais, où mon Choupinet règne,
Moi qui suis à la fois son épouse et sa duègne.
Et que va-t-il donc faire, sans même que je le sache ?
Car je sais ce gamin porté sur les radasses.

Or il ne manque point, au sein de sa maison,
De vieilles boucanées et autres laiderons.
Pour l’avoir déniaisé, lui avoir tout appris,
À faire des galipettes, à jouer la comédie (4),
Moi qui le connais bien, je le sais fort menteur,
Mais sachant, si besoin, se faire beau parleur.

Pour garder son amour, j’ai tout fait pour lui plaire :
Je me suis court vêtue, coiffée comme un cocker,
Dès que je m’absentais, ce petit obsédé
S’en allait roucouler avec la Belloubet.
Et pourtant, quel tableau, cette vielle rouquine !
Là, je ne comprends pas, et ça me turlupine.

Pour un peu, il aurait jeté son dévolu,
Sur Marlène Schiappa, plus jeune et bien dodue,
Dont, subrepticement, il lorgnait le gros cul.
Ou me faire pire encore et, toute honte bue,
Dans quelque cabinet, jouer « la bête à deux dos »
Avec l’ébouriffée Murielle Pénicaud.

Et je l’ai cru capable d’honorer en levrette
Cette grosse négresse qu’on appelait Sibeth (5).
Voilà que brusquement et sans en faire mystère,
Il donne à la mère Borne le plus beau ministère :
La voilà  donc ministre chargée de l’instruction,
Et elle ne doit ce poste qu’à mon jeune avorton.

Il l’a, dans le passé, nommée Premier Ministre.
Mais que lui trouve-t-il ? Elle est moche, elle est triste.
Si pareille viellasse doit finir dans son lit,
Elle le paiera très cher, c’est moi qui vous le dis !
Dussè-je pour cela remuer ciel et terre,
Car rien ne calmera ma haine et ma colère.

Je lui  ferai la peau, oui  je la crèverai,
Pour lui passer l’envie de me cornecufier.
Et le courroux du Ciel, allumé par mes vœux
Fera pleuvoir sur elle un déluge de feux !
Et avec  bonheur, la vouant aux gémonies,
Ne reculant devant aucune ignominie,

Et voir cette catin, à son dernier soupir,
Moi seule en être cause et mourir de plaisir.


Et, comme si cela ne suffisait pas, un troubadour cévenol dont j’ai oublié le nom a commis un quatrain qui dit ceci :

Lorsque l’on est vieille catin,
Amourachée  d’un galopin,
Il ne faut point vouloir du mal
À  une éventuelle rivale… 

Cédric de Valfrancisque

1)- Pourquoi appeler « nationale » une institution qui n’a qu’un but : détruire la nation ?

2)- Pour le peuple, il ne mentait pas car le « Gaulois » sera bientôt minoritaire en Cellezécie.

3)- Chez les traditionalistes, on ne se pose pas ces questions idiotes car leurs prêtres, en soutane, ne confondent pas la foi avec les Droits-de-l’homme.   

4)- On se souvient que la marquise fut la professeur(e) de Français ET de théâtre du jeune Emmanuel de Morveux d’Enarque lorsqu’il était lycéen à Amiens, et qu’elle l’a déniaisé lorsqu’il avait à peine 16 ans. De nos jours on qualifierait ça de « détournement de mineur ».

5)- (Note de l’éditeur) : L’auteur parvient, en un seul vers, à être raciste « et en même temps » grossophobe. Monsieur de Valfrancisque ne mérite pas d’entrer à l’Académie Française.

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